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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Espagne : ils construisent une tour de 47 étages et oublient les ascenseurs
L’Intempo devait être le plus grand immeuble d’habitation en Europe.
Situé à Benidorm, en Espagne, on le retiendra surtout comme étant le plus grand fail du secteur immobilier d’Europe.
La construction des 47 étages de la tour Intempo est presque achevée, mais les architectes ont commis une légère erreur : ils n’ont prévu aucun emplacement pour accueillir un ascenseur au delà du 20e étage…
Une histoire farfelue qui ressemble plus à une énorme blague qu’autre chose, rapportée par le journal el El País.
L’histoire est aussi simple que WTF
Alors que les architectes avaient finalisé les vingt premiers étages (avec ascenseur, cette fois !), ces derniers ont décidé de voir plus grand… beaucoup plus grand !
En se voyant déjà en haut du plus grand immeuble d’Europe, les concepteurs ont oublié de reconfigurer la disposition des ascenseurs.
L’immeuble se retrouve donc avec 27 étages sans ascenseur, affectant 269 logement du bâtiment. 94% de l’édifice seraient aujourd’hui achevés.
Les architectes ont jusqu’à la fin de l’année pour trouver une solution et éviter que le futur joyau espagnol se transforme en cauchemar…
Le Petit Monde des Pensées
Il y a quelques temps, à l’entrée d’un gymnase, on pouvait voir un panneau avec la photo d’une fille au physique spectaculaire où il était écrit « cet été, tu veux être une sirène ou une baleine ? »
On raconte qu’une femme, dont on ignore l’aspect physique, répondit à la question de la façon suivante :
Chers messieurs, les baleines sont toujours entourées d’amis (dauphins, phoques, humains curieux), elles ont une vie sexuelle très active et élèvent leurs enfants avec beaucoup de tendresse .
Elles s ‘amusent comme des folles avec les dauphins et mangent des gambas jusqu’à plus soif.
Elles nagent toute la journée et voyagent dans des lieux fantastiques comme la Patagonie, la mer de Barens ou les barrières de corail de Polynésie.
Elles chantent incroyablement bien et quelque fois on va même jusqu’à en faire des cd. Se sont des animaux impressionnants et très aimés, que tout le monde défend et admire.
Les sirènes n’existent pas.
Mais si elles existaient, elles feraient la queue pour consulter un psychologue à cause d’un problème de dédoublement de personnalité, femme ou poisson ?
Elles n’auraient pas de vie sexuelle et ne pourraient pas avoir d’enfants.
Elles seraient ravissantes, certes, mais solitaires et tristes. De plus, qui voudrait à ses côtés d’une fille qui sent le poisson ?
"Il y a quelques jours, est passée, sur France 2, une petite info qui fait réfléchir. Sur un ton humoristique, le reportage montrait un radar automatique, quelque part du côté de Clermont-Ferrand, qui avait été hors service pendant 3 semaines.
Pourquoi ? Parce qu'EDF avait coupé le courant pour facture impayée ! Drôle, non ?
Mais ce n'est pas tout, le vraiment intéressant est ailleurs. En effet, le journaliste nous expliqua que la société qui gère ce radar n'avait pas payé en temps sa facture d'électricité.
La société qui gère le radar ??? Quoi ?? Une société privée gère le radar ?
Je croyais que les radars dépendaient de l'état. Mais alors, si on réfléchit, cela veut dire qu'au passage il y a des gens qui se sucrent sur les infractions des automobilistes et que l'argent des amendes, loin d'aller entièrement dans les caisses de l'état (ce qui serait un moindre mal), va en partie dans des poches privées !!
Et on peut supposer (car aucune entreprise privée n'est une oeuvre philanthropique) que ces entreprises sont intéressées proportionnellement à la rentabilité des radars.
La spéculation sur la sécurité routière, voilà la dernière trouvaille... On ne nous avait pas dit ça quand le gouvernement a lancé sa campagne. Il n'y a pas que la sécurité routière dans l'histoire, mais aussi (et surtout ?) ... une affaire de profit !!
Et, bien sûr, pour couronner le tout, le PDG de cette entreprise n'est autre que le frère du ministre Gilles de Robien ! On ne nous dit pas TOUT !!!!!!! Si cette petite info. vous choque autant que moi, faites-la circuler : ça mérite d'être connu !!!!"
Un livre français relié en peau humaine retrouvé à Harvard
La prestigieuse Houghton Library, bibliothèque deHarvard, a prouvé scientifiquement cette découverte en analysant la reliure d'un livre français datant du XIXe siècle.
Quand la littérature vous colle à la peau jusqu'à ne faire plus qu'un ! La découverte est surprenante mais a été authentifiée par la Houghton Library.
Le livre "Des destinées de l'âme", écrit par l'auteur français du XIXe siècle Arsène Houssaye, a été relié avec de l'épiderme humain, indique le blog de la bibliothèque.
"La couverture [du livre] correspond à de l'ADN humain et on a clairement éliminé d'autres types de matériaux de parchemin communs, comme le mouton, le bétail ou la chèvre", expliquent Bille Lane et Daniel Kirby dans le cadre de leurs recherches pour un laboratoire scientifique d'Harvard.
Une peau de femme utilisée pour la reliure Question : quelle est l'origine de cette peau humaine, utilisée pour la confection du livre ?
La fiche technique de l'ouvrage accessible sur le site de la bibliothèque d'Harvard donne la réponse :
Fabriqué en peau humaine prise sur le dos du corps non réclamé d'une patiente enfermée dans un hôpital psychiatrique français, qui est morte soudainement d'apoplexie."
Mais Bille Lane et Daniel Kirby, même s'il sont sûrs "à 99%" des résultats de leurs recherches, émettent une autre hypothèse : "Bien que le résultat de nos recherches soit compatible avec l'homme, d'autres primates proches, comme les grands singes et les gibbons, ne pouvaient pas être éliminés à cause du manque de références nécessaires."
La bibliopégie anthropodermique, nom de cette étrange pratique, est apparue au XVIe siècle, les reliures trouvant souvent leurs origines sur les cadavres anonymes des morgues nationales. Mais cette trouvaille semble unique. Le blog indique ainsi que d'autres tests ont été effectués sur deux ouvrages de l'université eux aussi supposés reliés en peau humaine, mais il s'agissait de peau de mouton.
Alerte aux désodorisants d’intérieur !
Les désodorisants d’intérieur ne sont plus de simples désodorisants !
Aujourd’hui on vous propose des produits aux multiples casquettes:
« destructeur d’odeur », « anti-bactérien », « anti-acarien », « désinfectant », « purificateur d’air », « anti-tabac »…
Mais aussi sous toutes formes :
bougies, prises et diffuseurs électriques, encens, lampes berger… Faut-il les adopter ?
Désodorisants – alerte aux toxiques
En septembre 2008, le magazine Que choisir ? démontre ce que l’on soupçonnait : les désodorisants et surtout les destructeurs d’odeurs polluent. Ils sont une source de pollution domestique car ils diffusent des polluants atmosphériques.
Gênant. désodorisant
Pour un air sain, évitez les désodorisants! Dès 2004, le magazine consumériste avait alerté l’opinion en montrant que les diffuseurs d’odeurs sont surtout des diffuseurs de substances toxiques, des polluants atmosphériques nocifs !
La plupart des désodorisants avaient révélé leur « capacité » à diffuser dans l’air de votre habitation des composés organiques volatils, COV, des substances cancérigènes, allergènes ou tout simplement irritantes.
Depuis 2004, les grands fabricants tels que Procter & Gamble (Febreze), SC Johnson (Oust), Sara Lee (Ambi pur),Reckitt Benckiser (Air Wick), ont fait des efforts pour réduire la toxicité de leurs produits.
Mais selon Que choisir?
» il reste beaucoup à faire pour que leurs produits deviennent recommandables ».
Des tests ont à nouveau été menés fin 2008 sur 39 désodorisants d’intérieur différents, vendus au grand public. Le résultat est à résumer en une simple phrase: « Éliminez les désodorisants d’intérieur »…
car les fabricants de désodorisants d’intérieur ne peuvent pas garantir qu’ils ne sont pas nocifs et ils dégradent la qualité de votre air. Une nouvelle espèce de pollueurs :
les destructeurs d’odeurs… désodorisant febreze
Les dernières innovations en termes de désodorisants d’intérieurs sont donc des désodorisants censés détruire les odeurs et non plus les chasser. « Ne masquez plus les mauvaises odeurs, dites-leur Oust ».
Les tests de destructeurs d’odeurs sont édifiants:
non seulement les destructeurs d’odeurs n’ont pas abouti à une atmosphère propre mais ils l’ont pollué. Les molécules des effluves désagréables ne sont pas éliminées par les « destructeurs » d’odeurs.
Qui plus est, ces destructeurs d’odeurs ont introduit dans votre atmosphère domestique des quantités significatives de COV ainsi que de composés semi-volatils et très volatils.
Désodorisants d’intérieur – Recommandation pratique:
Pour obtenir de l’air pur et frais, laissez tomber les désodorisants d’intérieur et ouvrez les fenêtres, aérez tout simplement vos locaux, vos proches et vous vous en porterez mieux. Par ailleurs, ces menaces pour votre santé et l’air de votre intérieur ne concernent pas uniquement les désodorisants d’intérieur, mais aussi les bougies parfumées, les lampes Berger et d’encens, les diffuseurs électriques et diffuseurs prêts à poser.
bougie désodorisante
En effet, seules quelques bougies sont parvenues à obtenir la mention « très bien » grâce à l’absence d’émission de substances chimiques. Quant aux diffuseurs de parfums, ceux à la vanille ou au caramel émettraient du benzène, une substance cancérigène… *
Un mémorial pour les 796 enfants morts au foyer de Tuam.
796 enfants abandonnés seraient morts de 1925 à 1961 dans le foyer qui les accueillait à Tuam (Irlande).
Leurs corps auraient été inhumés sur place dans une ancienne fosse septique. Un mémorial devrait être prochainement érigés sur place en leur mémoire.
Une historienne, Catherine Corless, a établi qu'en 36 ans, près de 800 enfants illégitimes seraient morts dans un foyer appelé The Home et tenu par des religieuses à Tuam (Irlande).
La chercheuse s'est appuyée sur les archives de l'état civil : actes de naissance et de décès. L'historienne a rapidement constaté un écart criant entre le nombre de décès consignés dans les registres et la présence d'un seul enfant du foyer dans le cimetière de la ville.
Or, dans une ancienne fosse septique découverte par des enfants en 1975 sur le site d couvent, de nombreux ossements épars avaient été retrouvés. Catherine Corless en a déduit qu'il s'agissait des restes des petites victimes. "Il y a juste un enfant qui a été enterré dans le cimetière de Tuam. C'est ainsi que j'en ai déduit qu'il y avait au moins 796 bébés dans la fosse", a-t-elle expliqué au Daily Mail, considérant qu'aucun bébé n'avait été confié à des familles d'acueil.
La plupart sont morts de pneumonie, de rougeole et de gastro-entérite. Une femme qui a vécu au sein de l'établissement a confirmé ces faits au Daily Mail.
Elle se rappelle que les enfants de l'époque étaient "rarement lavés" et portaient souvent les mêmes vêtements pendant des semaines.
De son côté, l'Eglise catholique irlandaise a annoncé qu'un monument commémoratif sera érigé portant le nom des 800 enfants sur le site de l'ancien couvent, a indiqué The Independent.
Rihanna ose la robe transparente. Sexy ou vulgaire selon vous ?
Une émission diffuse des images du corps de notre mère décédée.En septembre 2011, nous découvrons le corps de notre mère, décédée quelques mois plus tôt, dans une émission de télévision.
Aucune autorisation ne nous a été demandée. Le 6 juin 2011, Ludovic, un de mes frères, rend visite à ma mère et la trouve inanimée à côté de son lit.
Il appelle les pompiers qui arrivent accompagnés d’un médecin du SAMU. Ce dernier ne veut pas délivrer le permis d'inhumer et fait intervenir la gendarmerie, donc une médecin légiste. Celle-ci arrive peu après accompagnée d'une personne qu’elle aurait, d’après mon frère, présentée comme son assistante.
Une fois l'examen du corps terminé, la maison de ma mère est fermée et mise sous scellés par les gendarmes. Il est environ 18 heures quand mon frère aîné, Jean-Pierre, me téléphone pour m'apprendre la triste nouvelle.
Le 20 septembre 2011, ma belle-sœur me téléphone et me dit d'aller voir une vidéo sur Youtube : un reportage diffusé la veille, « Les médecins légistes mènent l'enquête », circule.
Dès les premières images, je reconnais parfaitement la porte cochère de chez mes parents. Nous voyons clairement la médecin légiste rentrer sous le porche, puis le reportage se poursuit dans la chambre de ma mère.
Les images du reportage
Dans le reportage, on voit la façade de la maison ainsi que la chambre de ma mère. Je remarque qu'aucune image n'a été tournée dans la cuisine, pièce dans laquelle se trouvent pourtant mes frères et les gendarmes.
Dans la chambre, lors de la première diffusion de l'émission (il y en aura deux autres, le 10 octobre 2011 et le 19 décembre 2011), il n'y a aucun floutage et je reconnais différents objets personnels, bibelots, lampe de chevet et même le chat. Il y a un gros plan sur la main de ma mère qui montre son alliance.
Ces images sont accompagnées de commentaires choquants comme « La vieille dame a peut-être été assassinée ».
On assiste à un dialogue entre un gendarme et la médecin légiste qui demande :
« Cette personne était-elle aimée dans le village ? Parfois on a tendance à vouloir faire disparaître certaines personnes ».
Le gendarme répond qu'il a vu le maire du village qui lui a affirmé que nous étions une famille connue et sans histoire. A ce moment, la médecin légiste sous-entend que la maison est sale, présente ma mère comme une femme battue et dit qu’elle pense à un crime. De gros plans sont fait sur ses hématomes : ils viennent du port de ses béquilles (car ma mère, très malade, ne peut plus marcher) mais le reportage sous-entend qu’ils sont dus à de la maltraitance.
Je pense que le but était surtout de retenir les téléspectateurs devant leur télévision. Qui est cette médecin pour se permettre de telles allégations ?
Je suis outré par ces propos et j'estime que la mémoire de ma mère est salie. D'autre part, ce reportage porte atteinte à mes frères et à moi-même.
En effet, suite à la première diffusion, beaucoup de nos proches et simples connaissances ayant reconnu les lieux se sont interrogés sur les circonstances du décès de ma mère.
J'ai alors été sollicité à de multiples reprises par téléphone et sur les réseaux sociaux. Et même si les raisons du décès sont révélées dans le reportage (ma mère souffrait d’une leucémie et est morte naturellement), pour beaucoup un doute subsistera.
Les conditions du tournage
Nous n’avons jamais donné d’autorisation pour ce reportage : ni pour le tournage des images (du corps de notre mère et de son domicile), ni pour la diffusion des images. Pour ma part, je n'aurais jamais donné l'autorisation de filmer le corps sans vie de ma mère et il en est de même pour mes frères.
Je ne vois pas qui peut donner ce genre d'autorisation : c'est un décès, non un spectacle. La journaliste qui a filmé les images étaient en fait la supposée assistante de la médecin légiste.
A aucun moment, elle n’a dit qu'elle était journaliste et qu'elle enregistrait un reportage. Même les gendarmes, qui eux ont vu la caméra, n'ont pas informé mes frères de ce tournage.
Je m'interroge également sur l'absence de contrôle d'identité de cette tierce personne par les gendarmes présents, alors que même certains de mes frères affirment avoir fait l'objet d'une surveillance particulière tout au long des investigations.
Les plaintes
Un de mes frères, après avoir vu le reportage en direct le 19 septembre 2011, a déposé plainte le lendemain même (20 septembre). Pour ma part, j’ai contacté la chaîne le 21 septembre au matin. L’homme que j’ai eu au téléphone m'a lui-même présenté ses excuses et expliqué qu'il n'avait pas vérifié les documents afférents aux autorisations.
Le soir même, j'ai été contacté par la journaliste qui avait réalisé le reportage et qui m’a également présenté des excuses. Je lui ai demandé comment elle avait eu les autorisations des familles mais elle n'a jamais répondu et m'a affirmé qu'elle devait contacter son service juridique.
Elle m'a recontacté plus tard de jour-là pour me dire qu'elle ne devait plus prendre contact avec moi. Le 22 septembre, j’ai déposé plainte contre X à la gendarmerie de Saint-Maximin la Sainte-Baume. Les gendarmes avaient eux-mêmes visionné le reportage sur Internet et m’ont dit que c'était inadmissible de diffuser de telles images.
Le 3 octobre, j’ai déposé plainte contre X auprès de l'Ordre des médecins qui m’a répondu que, la médecin légiste étant médecin hospitalier, ils ne pouvaient rien faire. Ils m’ont conseillé de me rapprocher du directeur du CHU d'Amiens.
Je l’ai fait le 24 octobre en lui adressant une plainte pour atteinte à la vie privée. Dans un courrier du 9 novembre, il m’a alors expliqué que « la chaîne s'était formellement engagée à ce que les personnes apparaissant dans le cadre de ce reportage ne puissent être identifiées aussi bien par l'image que par le commentaire ».
Une très longue procédure
En décembre 2012, voyant que rien n'avance, moi et quatre autres de mes frères avons décidé de prendre un avocat, Maître Stéphane Diboundje. Celui-ci a déposé plainte auprès du procureur de la République d'Amiens le 18 janvier 2012.
Depuis cette date, j'ai de nombreuses fois relancé le Procureur de la République et plusieurs articles de presse ont été diffusés dans le Courrier Picard mais rien n'avance. D’autres familles sont concernées par ce reportage.
Une a le même avocat que nous et en est au même point. Lors d'un contact avec le procureur de la République en juillet 2013, celui-ci m’a dit que le dossier se trouvait au commissariat de Puteaux pour les auditions.
J’ai pris contact avec ce commissariat mais le dossier restait introuvable et se transmettait apparemment de service en service. Enfin, au bout de deux jours passés au téléphone, je suis entré en contact avec un commandant de police.
Il m’a dit qu’il avait le dossier entre les mains et que les auditions allaient commencer. Quatre mois plus tard, mon avocat avait un rendez-vous avec mes frères et le procureur de la République car le dossier était revenu vide.
J'ai repris contact avec le commissariat de Puteaux, sans obtenir de réponse. La procédure me semble longue, très longue. Cela fait maintenant deux ans et demi que la première plainte a été déposée et aucune sanction n'a été prise à l'encontre de qui que ce soit.
Je ressens un sentiment d'abandon par cette justice. Ma famille et moi souhaitons que l'ensemble des responsabilités soient déterminées et ceci dans les plus brefs délais.
Émoi en Flandre : à Eecke, le voisin tire sur leur yorkshire « Biloute » et le tue
Les relations de voisinage sont parfois difficiles mais dérapent rarement à ce point.
Samedi soir, le yorkshire d’un jeune couple a reçu un coup de carabine à plomb, alors qu’il crapahutait sur le toit du voisin. Dans la rue du bourg, la situation s’est envenimée et les gendarmes ont dû intervenir. Une plainte a été déposée.
Jonathan et Marina habitent à Eecke depuis quatre ans. « J’ai entendu un pfiout et tout de suite, mon chien hurler à la mort », raconte Jonathan, qui était, ce samedi soir, en train de regarder un match de foot dans son salon.
Le jeune Eeckois se rue alors sur la terrasse de l’appartement situé au premier étage. De là, son yorkshire a l’habitude d’aller gambader sur le toit du voisin. C’est là qu’il le voit complètement ensanglanté. L’animal a reçu un coup de carabine à plomb qui aurait été porté par l’un des membres de la famille voisine, ce que l’enquête devra déterminer.
Samedi soir, la situation s’envenime un peu dans la rue, voisinage et famille se réunissant pour demander des explications. L’un des membres de la famille voisine incriminée – éméché selon des témoignages – serait même allé jusqu’à baisser son pantalon « par provocation ».
Les gendarmes interviennent aux alentours de 22 h. Si le couple s’est précipité aux urgences vétérinaires de Steenvoorde, il n’y avait plus rien à faire. « Dès que le vétérinaire a vu le chien, il a compris. C’est la carotide qui a été touchée », raconte Jonathan. « Bien sûr, certains diront que c’est juste un chien. Mais on l’avait depuis qu’on s’était rencontré, il y a huit ans », fait valoir Marina, son amie, qui dit tomber des nues et affirme : « L es voisins ne se sont jamais plaints. Sinon, on aurait mis une planche pour empêcher le chien de passer. Mais on ne se connaissait pas plus que ça, on s’ignorait. »
Grosse bêtise ? Ras-le-bol ?
Aujourd’hui, le couple est plus peiné de la disparition de « Biloute » qu’en colère, « on l’a appelé comme ça avant le film », précisent-ils. Il leur reste un autre yorkshire. Ce qui les choque le plus, c’est « la loi », affirme enfin Marina, qui est allée porter plainte à la gendarmerie de Steenvoorde, samedi.
L’auteur du délit pourrait, au maximum, selon la gendarmerie qui a ouvert une enquête, recevoir une contravention de 1500 €. « Et il n’y a même pas de garde à vue. C’est pour cela que j’ai voulu contacter la SPA et la presse. C’est de la méchanceté et de la cruauté gratuite, je suis déçue par la loi. »