Un violeur présumé de 27 ans battu à mort par la famille de la jeune femme dans un parking

Le violeur présumé d’une jeune femme a été apparemment battu à mort par des proches de cette dernière sur un parking, à Neuenburg (Allemagne), près de la frontière française, a annoncé jeudi la police allemande.

Le parking où s’est déroulée la mise à mort

L’homme de 27 ans «a subi des coups d’une grande violence», a indiqué une porte-parole de la police de Fribourg en Brisgau (sud-ouest).

Les faits se sont produits mercredi soir. Des secouristes français avaient tenté de réanimer l’homme après les coups, mais ce dernier est mort sur les lieux peu après.

Quatre personnes ont été interpellées dans la nuit de mercredi à jeudi: deux membres de la famille de la femme violée et deux proches de cette dernière.

La police a indiqué ne pas avoir encore complètement élucidé comment la rencontre sur le parking entre les quatre personnes ayant porté les coups et l’homme décédé avait pu avoir lieu.

L’homme de 27 ans était soupçonné d’avoir violé la jeune femme il y a une semaine.

Bosnie: la fille ayant jeté des chiots dans une rivière identifiée

La police a identifié la jeune fille blonde de la vidéo Youtube la montrant saisissant un par un des chiots dans un seau pour les jeter loin dans une rivière au débit rapide.

La police bosniaque a indiqué vendredi 3 septembre avoir identifié une adolescente accusée d'avoir jeté des chiots dans une rivière, une hisyoire qui, après la mise en ligne d'une vidéo sur le site de partage Youtube, avait suscité l'indignation d'internautes à travers le monde.

La police a identifié la fille en cause, elle habite à Bugojno (centre), a déclaré un porte-parole de la police, Sefir Barucija, cité par l'agence Srna.

Se gardant de révéler l'identité de l'adolescente, il a ajouté que la police poursuivrait la "procédure prescrite" pour "compléter le dossier".

Si l'adolescente bosniaque venait à être reconnue coupable, il s'agirait alors d'un premier cas en Bosnie, où des situations de cruauté envers des animaux sont fréquentes mais peu médiatisées.

Encouragée par sa grand-mère La vidéo de 44 secondes, qui avait été mise en ligne mardi sur Youtube, montre une jeune fille blonde portant un sweat-shirt rouge, qui saisit un par un des chiots dans un seau blanc pour les jeter loin dans une rivière au débit rapide.

Comme une traînée de poudre, de nombreuses pages ont été créées sur le site de socialisation Facebook, réunissant plusieurs milliers de membres, pour appeler à la vengeance et à retrouver la fille.

La vidéo a été enlevée de Youtube, mais elle a été relayée par de nombreux autres sites. Selon la presse bosniaque, l'adolescente a été encouragée par sa grand-mère à jeter des chiots vieux de trois jours dans le cours d'eau.

Ces jumeaux sont nés... à près d'un mois d'écart. Découvrez leur incroyable histoire

Contre toute attente, ces jumeaux ne partagent pas la même date de naissance. Ils ont même vu le jour à plusieurs semaines d'écart...

Aussi farfelu que cela puisse paraître, ces jumeaux ne fêteront pas leur anniversaire le même jour. Les concernant, ce n'est même plus une question d'heures qui les sépare mais bel et bien de jours entiers.

Effectivement, ces nourrissons ont partagé la même poche au sein de leur mère mais sont nés avec près d'un mois de différence !

La mère, Linda DaSilva, âgée de 35 ans, a eu de fortes contractions au bout de 24 semaines de grossesse.

Paniquée, elle s'est rendue à l'hôpital. Les médecins l'ont faite accoucher quelques jours plus tard.

Prématuré, Alexandre est tout de même né en bonne santé. La maman s'attendait alors à donner naissance au second fœtus.

Toutefois, les médecins ont demandé à la jeune femme qu'elle soit patiente. Et c'est 24 jours après la première naissance que le petit Ronaldo a pointé le bout de son nez avec quelques kilos en plus que son frère. 

Italie: une momie âgée de 94 ans ouvre ses yeux pour les visiteurs (vidéo)

Les scientifiques ont étudié le corps momifié il y a 94 ans d'une petite fille, qui ouvre et ferme les yeux fréquemment. Le corps momifié de Rosalie Lombardo qui reposait dans les catacombes du monastère, à Palerme, en Italie, a récemment été dévoilé au grand public.

Le corps de la jeune fille est devenu une attraction touristique car assez souvent, elle ouvre et ferme ses yeux!

Pour beaucoup, il s'agit d'un miracle. Une histoire émouvante Le corps de Rosalia Lombardo a été momifié en 1920 suite à son décès d'une pneumonie à l'âge de deux ans.

Dévasté à la mort de sa fille, le père ne pouvait se résoudre à s'en séparer et il a donc décidé d'appeler le Dr Alfredo Salafia pour l'embaumer.

Récemment, le cadavre de l'enfant a été trouvé parmi de nombreux autres dans les catacombes du monastère. Contrairement aux autres, le sien était intact.

Un phénomène étrange

Des scientifiques ont été chargés d'étudier la momie. Ils ont installé un appareil photo programmé pour prendre des photos toutes les 60 minutes du visage de la jeune fille.

En voyant les photos, on a constate que les yeux de Rosalia s'ouvrent et se ferment. Pour les locaux, c'est un miracle. Les scientifiques disent qu'il n'y a rien de paranormal ou miraculeux dans ce phénomène.

L'humidité et les flashs des appareils seraient responsables de cet effet étrange.

MODE DE VIE

Dans le Nord-Pas-de-Calais, on donne 46 euros d'argent de poche par mois

Plus contraints financièrement que le reste des Français, les habitants de la région Nord-Pas-de-Calais n'en sont pas moins plus généreux avec leurs enfants.

C'est ce qui ressort d'un sondage BVA Opinion/Cetelem* sur le budget des nordistes.Dans le nord de la France, à l'image de la moyenne nationale, 39% des parents déclarent donner « régulièrement » de l'argent de poche à leurs enfants, en échange ou non de services.

La proportion est nettement moins importante en zone périurbaine et rurale (31%) que dans l'agglomération lilloise (57%). Sur ce point, ces chiffres restent bien en-deçà de ceux observés dans la région Paca, en particulier à Marseille.

Dans le Nord-Pas-de-Calais, apprend-t-on du sondage, les enfants reçoivent en moyenne 46 euros par mois d'argent de poche. Là, les Nord-Pas-de-Calaisiens sont plus généreux que le reste des Français (34 euros mensuels).

Il apparaît toutefois que les parents nordistes ont davantage besoin d'une « bonne raison » de donner à leur enfant que le reste des Français : plus de la moitié des sondés, à l'échelle nationale, déclarent donner sans contrepartie, contre à peine un tiers des habitants de la région NPDC (38%).

Ces derniers utilisent d'ailleurs l'argent de poche d'abord pour récompenser les bons résultats scolaires de leurs enfants (à 42%, contre 30% pour le reste des Français).

Plus prévoyants, plus regardants

Le sondage nous apprend en outre que les nordistes sont plus vigilants que la moyenne des Français concernant l'utilisation de cet argent de poche : si la majorité laisse libre ses enfants, ils sont 26% à déclarer surveiller de près la façon dont leurs enfants le dépensent (contre 14% au plan national).

Quant au financement des études de leurs enfants, les parents du Nord-Pas-de-Calais sont prévoyants : un sur deux a ainsi ouvert un compte qu'il alimente régulièrement dès le plus jeune âge de leur progéniture (contre un sur trois seulement au niveau national).

Toutefois, 17% des parents du nord de la France déclarent ne pas être en mesure de financer des cours particuliers pour leurs enfants alors qu'ils en auraient besoin.

Enfin, au chapitre des arbitrages budgétaires (voir infographie ci-dessous), on observe qu'un tiers des habitants de la région (35%) ont dû, au cours des douze derniers mois, modérer les dépenses pour les activités de leurs enfants (sports, loisirs, contre 34% à l’échelle nationale).

Dans la longue liste des objets que l’on perd sans arrêt, les lunettes de soleil sont en bonne place !

Plutôt gênant avec le retour du beau temps !

Mais l’application Tzukuri, ce ne sera plus qu’un mauvais souvenir. Cette entreprise australienne a en effet inventé les premières lunettes de soleil géolocalisables.

Et vous, faites-vous partie des gens qui perdent facilement vos objets du quotidien ?

Retraites: le congé maternité ne fera plus de "trou" de carrière "

Les congés maternité ne créeront plus de 'trou' dans la carrière", fait valoir Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales. Tous les trimestres seront désormais pris en compte pour le calcul de la retraite.

Jusqu'à présent les femmes ne pouvaient valider qu'un seul trimestre de congé maternité par enfant, même quand la durée légale de leur congé avait excédé un trimestre. REUTERS/Regis Duvignau Tous les trimestres de congé maternité vont désormais être pris en compte pour la retraite, selon un décret paru ce dimanche au Journal Officiel. Cette nouveauté a été introduite par la dernière réforme des retraites.

Jusqu'à présent les femmes ne pouvaient valider qu'un seul trimestre de congé maternité par enfant, même quand la durée légale de leur congé avait excédé un trimestre. Pour un troisième enfant ou en cas de naissance multiple, le congé maternité est supérieur, allant jusqu'à 6 mois ou plus.

En vertu du décret paru ce dimanche, pour tous les enfants nés depuis janvier dernier, tous les trimestres de maternité seront pris en compte: "Un trimestre est également décompté pour chaque nouvelle période d'indemnisation de quatre-vingt-dix jours", est-il expliqué dans le texte.

En outre, les congés pour adoption donnant droit à des indemnités journalières seront également validés à raison d'un trimestre pour 90 jours de congé. "Une avancée majeure pour les femmes"

La ministre des Affaires sociales Marisol Touraine a salué "une avancée majeure pour les femmes", en soulignant que "les congés maternité ne créeront plus de 'trou' dans la carrière". "La prise en compte de tous les trimestres de congé maternité et du congé d'adoption représente une avancée majeure pour les femmes et pour les familles.

C'est la preuve qu'une réforme des retraites de justice et de progrès est possible", a déclaré la ministre dans un communiqué publié dimanche. La réforme des retraites, qui allonge progressivement la durée de cotisation et crée un compte pénibilité, est entrée en vigueur le 20 janvier. Elle a été votée par le parlement en décembre et validée par le Conseil constitutionnel.

Santé : ce qui va changer.

affiche La ministre espère ainsi réaliser 2,9 milliards d'euros d'économie. Qu'est ce qui va changer dans la prise en charge des soins par la Sécurité sociale ?

Tour d'horizon des pistes envisagées...

AVID BECKHAM S’OFFRE MIAMI

CE SERA LE CLUB LE PLUS HYPE DE LA PLANÈTE, PRÉSIDÉ PAR LE RETRAITÉ LE PLUS GLAM DU FOOT.

IL S’APPELLERA LE MIAMI BECKHAM UNITED.

ATTENTION, ÇA VA BUZZER?!

Les élèves turbulents en «punition» avec les enfants autistes..

DRUMMONDVILLE

L'école primaire Duvernay de Drummondville a trouvé une manière inédite de calmer les ardeurs de ses élèves les plus turbulents. Depuis le début de l'année, elle les envoie passer l'heure du dîner avec d'autres élèves atteints de troubles envahissants du développement (TED), une initiative qui déplaît à certains parents, ainsi qu'à Autisme Centre-du-Québec.

«C'est un frein à notre effort de sensibilisation. On est en train de les stigmatiser (les enfants autistes). On les utilise comme punition. Ça va à l'encontre de toutes les pratiques. C'est un contact, mais ce n'est pas un contact positif pour ces enfants», estime la coordonnatrice de l'organisme, Marie-Ève Lavoie.

Si Autisme Centre-du-Québec monte aux barricades, c'est que des parents d'enfants ayant été envoyés en «punition» ont soulevé des doutes quant à la pertinence de la mesure.

On craint que les enfants du cheminement régulier se mettent à associer les élèves TED à leurs malheurs.

«Non seulement on leur dit qu'ils ne sont pas comme eux, mais on instaure un climat de peur. On leur dit que s'ils ne sont pas sages, on les envoie avec les «pas vite-vite» et là je suis polie, les enfants peuvent être beaucoup plus méchants que ça», ajoute-t-elle.

Autisme Centre-du-Québec déplore également qu'on utilise les ressources humaines déployées afin de venir en aide aux élèves en difficulté afin de faire de la discipline.

Selon Mme Lavoie, ce n'est pas par hasard qu'on mandate des spécialistes pour leur venir en aide et que les groupes sont plus petits. «On invite les parents à nous contacter afin de déposer une plainte collective.»

Une plainte collective?

Autisme Centre-du-Québec tente d'entamer la discussion avec la Commission scolaire des Chênes (CSDC) afin d'obtenir des explications sur cette façon de faire. On aimerait notamment que cette pratique cesse immédiatement.

S'il n'obtient pas une oreille attentive, l'organisme n'écarte pas la possibilité de porter plainte. Il a d'ailleurs publié un message sur les médias sociaux invitant les parents insatisfaits relativement à cette situation à se manifester.

«On invite les parents à nous contacter afin de déposer une plainte collective. Pour l'instant, la Commission ne permet que des plaintes individuelles, mais ce n'est pas évident pour des parents qui peuvent avoir huit rencontres par semaine avec des spécialistes», affirme Mme Lavoie.

La directrice adjointe de la CSDC, Chantal Sylvain, confirme qu'il arrive que certains élèves soient envoyés dans les classes d'adaptation afin d'effectuer un travail de réflexion. L'atmosphère y étant plus sereine, elle a un effet bénéfique sur le rendement et le comportement.

Selon elle, cette mesure vise également à informer les élèves envoyés dans les classes spécialisées sur la réalité des enfants TED. «Ils font partie de la vie de l'école aussi. Nous croyons qu'en leur demandant d'aller faire un casse-tête avec cet élève, il comprendra mieux sa réalité. Il y en a même qui ont décidé de retourner de leur propre chef dans les classes afin d'aider.

C'est une richesse incroyable. C'est gagnant», estime Mme Sylvain. La directrice adjointe explique que cette mesure est utilisée «au compte-gouttes» et que les élèves envoyés dans les classes fermées sont choisis pour des raisons particulières.

Pour ce qui est des inquiétudes d'Autisme Centre-du-Québec, elle se dit prête à les entendre et à évaluer ce qui peut être fait pour que la situation plaise à tous. «Je n'avais pas été informée que la situation gênait qui que ce soit jusqu'à tout récemment.

Ça me préoccupe. Je vais être à l'écoute de ce que les intervenants ont à dire», assure-t-elle.