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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
L’HEUREUX ÉLU A 22 ANS
LA PLUS GROSSE FEMME DU MONDE VA SE MARIER
38 ans, Charity Pierce va se marier. Confinée chez elle depuis 2001 en raison de son obésité -elle pèse plus de 346 kilos-, la trentenaire a déclaré qu’elle ferait « tout ce qui est possible » pour pouvoir épouser son compagnon de 22 ans, Tony.
« Nous aimons tous les deux la country, donc je porterai une robe de mariée, des bottes et un chapeau de cow-girl, et Tony sera en jean et bottes de cow-boy », a-t-elle expliqué.
Son rêve: atteindre le poids de 88 kilos pour ne plus craindre « de faire une crise cardiaque en dormant ».
Pour cela, elle va bientôt se faire poser un anneau gastrique.
Dans la cuisine de Louise, l’évier est hors d’usage. On fait la vaisselle dans le lavabo de la salle de bains. Dans la cuisine de Louise, l’évier est hors d’usage. On fait la vaisselle dans le lavabo de la salle de bains.
Jeudi, lors d’une visite de quartier organisée par la CGL, au Mas de Mingue à Nîmes, la porte s’est ouverte sur le logement indigne d’une femme de 81 ans.
Intolérable. Insupportable. Dans un appartement HLM du Mas de Mingue, une misère sociale d’un autre temps. Des murs et des plafonds noircis où la peinture lâche ses dernières écailles. Des fils électriques pendants, un évier de cuisine hors d’usage, une fenêtre balafrée d’un ruban adhésif.
C’est ici, en 2014, dans une ville moderne, que vivent Louise, 81 ans, son fils Christophe, leurs deux chiens et leur chat. Jeudi, leur porte s’est ouverte sur ce spectacle de désolation, lors d’une visite de quartier organisée par la Confédération générale du logement (CGL), en présence du maire Jean-Paul Fournier et du conseiller général Thierry Procida.
"Je suis abasourdi qu’on puisse laisser des personnes habiter ici" Jean-Paul Fournier, maire de Nîmes D’une pièce à l’autre, la vue du logement, propriété du bailleur social Habitat du Gard, soulève le cœur.
Tout ici est irrespirable. Chaque recoin trahit la lente dégradation, l’entretien oublié, l’insalubrité de longue date.
Élus et représentants de la CGL s’accordent à dénoncer cette situation choquante.
"Je suis abasourdi qu’on puisse laisser des personnes habiter ici. Ça n’a pas de nom. On n’y mettrait pas des bêtes", commentait le maire, prêt à alerter le préfet. Pourtant, le cas de Louise et de son fils est connu depuis longtemps, des bureaux d’Habitat du Gard à ceux des services d’hygiène de la Ville. Deux hivers sans chauffage, ni eau chaude "C’est nous qui l’avons signalé au CCAS de la ville de Nîmes", rétorque le bailleur social, pris à partie jeudi, lors de la visite.
Autre témoin de ce drame social, Nadia Sarret, mandataire judiciaire pour la protection des majeurs.
"J’ai pris en charge cette personne à partir de 2012 dans le cadre d’une curatelle. Elle était alors en voie d’expulsion pour des loyers impayés. Elle avait aussi passé deux hivers sans chauffage, ni eau chaude, à cause de factures de gaz non réglées. Puis, fin 2013, une curatelle renforcée a été mise en place", précise-t-elle.
Une situation "bloquée" 750 € de retraite pour Louise.Son fils au RSA.
Un problème d’autonomie flagrant et reconnu. Mais rien ne change. "Le bailleur serait prêt à réaliser des travaux, à condition que les locataires quittent momentanément l’appartement, mais il faudrait séparer la mère et le fils et trouver une solution pour leurs animaux.
Quant à l’aide ménagère, elle ne peut intervenir tant que le logement est dans cet état", explique Nadia Sarret.
Aujourd’hui, la mandataire se dit face à une situation "bloquée", prise entre des institutions qui se renvoient la balle. Élisabeth Aït Amara, vice-présidente de la CGL, pourtant critique à l’encontre du bailleur social, reconnaît la difficulté de ce cas :
"Habitat du Gard prend en charge des personnes que d’autres refusent de loger."
"Ce n’est pas que le problème du logement insalubre"
Une responsable de Habitat du Gard À l’association La Pléiade, au Mas de Mingue à Nîmes, on connaît aussi l’histoire de Louise et Christophe. Une famille au parcours semé de difficultés, de drames.
"Ce n’est pas que le problème du logement insalubre, c’est aussi celui des personnes qui vieillissent seules, observe une responsable. Habitat du Gard a fait une proposition de relogement, mais ils l’ont refusée." Alors, leur dossier prend la poussière et leur misère perdure. Cachée, honteuse.
En Tunisie, un maître d’école a eu la bonne idée de faire apprendre les tables de multiplications et les règles de conjugaisons à ses élèves, de façon très ludique : en les peignant en grand et en couleurs sur les murs de l’école.
Une belle manière d’éduquer des enfants, n’est-ce-pas ?
Cette anglaise de 39 ans attend… son 17e enfants!
La famille Radford est la famille la plus nombreuse d'Angleterre. Et deux petits nouveaux vont bientôt rejoindre leurs rangs.
Les Radford sont célèbres dans toute l'Angleterre : c'est la plus grande famille du pays avec neuf fils et sept filles.
Le plus âgé, Chris a 25 ans, le plus jeune, Casper, un an tout juste.
Mais Sue, 39 ans et son mari Noël, 43 ans, n'en avaient semble-t-il pas assez : un 17e bébé arrivera bientôt… et il ne sera pas tout seul !
L'une des filles de la famille Radford, Sophie, 20 ans est en effet elle aussi enceinte... pour la seconde fois.
La mère et la fille devraient accoucher à peu près en même temps en novembre prochain ont-ils annoncé au Daily Mail.
Repas monstrueux
Les Radford, qui gèrent une boulangerie dans la station balnéaire de Morecambe dans le Lancashire, aiment à rappeler qu'ils ne touchent aucune assistance financière spécifique. Et pourtant leur grande famille a besoin de repas pantagruéliques : au petit déjeuner, il leur faut 10 litres de lait, trois grands pains de campagne et 2 boîtes complètes de céréales pour assouvir l'appétit de tous.
Au déjeuner, même punition : 16 côtes de porc, 7 kilos de tomates, 3 choux et une bonne trentaines de carottes sont nécessaires à rassasier la fratrie.
Amours de jeunesse
Les Radford ont commencé tôt : amoureux dès l'école, Sue s'est trouvée enceinte de son premier enfant à 14 ans. Ils donnent régulièrement de leurs nouvelles sur un site internet familial. Interrogés sur d'autres projets familiaux, ils hésitent : "Le bébé à venir sera sans doute le dernier… mais on a coutume de dire dans la famille "Jamais plus jamais !" "
La crise peut-elle excuser tout ?
C’est en effet la question que l’on est en droit de se poser après avoir jeté un œil sur le cas de Lucie, 34 ans qui à cause de sa situation précaire aurait mangé 7 de ses nourrissons au fil de 12 années.
La relation que menait Lucie Schalefstein et son conjoint Marc (qui a souhaité rester anonyme) était tout de ce qu’il avait de plus normal. Couple qui vivait dans une situation précaire (dans un petit studio de 12M²) allait après environ un an de couple obtenir leur tout premier enfant.
Sauf que voilà, Marc qui ne pouvait être présent le jour de l’accouchement pour des raisons encore obscures n’a jamais eu l’occasion de rencontrer son nouveau-né puisqu’il avait selon lui disparu lors de son retour.
Devant le refus de sa femme de lui indiquer ce qu’elle avait fait de leur enfant, Marc a paniqué et a immédiatement contacter les forces de l’ordre.
Quel effroi de la part des enquêteurs de la police criminelle de Topotren durant la perquisition du domicile conjugal. Le petit logement totalement insalubre et uniquement doté d’un lit et d’une cuisine comportant un four de taille moyenne cachait pourtant de grands secrets.
Après une fouille plutôt poussée, les enquêteurs sont tombés sur l’inimaginable.
7 boites contenant des os d’humain de petite taille cachées dans le faux plafond du studio.
La femme, toujours en phase d’interrogatoire, aurait avoué les manger suivant un rituel particulier trouvé sur Internet mais sans donner plus d’explications.
L’analyse du Laboratoire de Police Scientifique de Topotren est formelle, les os sont tous d’origine humaine et proviennent tous de nourrissons âgés de moins d’une semaine.
L’analyse ADN ne laisse quant à elle pas planer le doute sur le fait que les 7 enfants étaient tous issus d’une même femme, Lucie. L’ADN de Marc a été confondu avec l’un des ossements et ce dernier n’aura donc jamais la chance d’admirer sa progéniture.
Derrière cet effroyable cauchemar, beaucoup de questions restent en suspens comme nous le rappelle Pascal Fermant, enquêteur pour la police de Toulon « Il nous reste beaucoup de choses à déterminer dans cette enquête, avec tout d’abord les raisons de l’absence de Marc durant l’accouchement ou encore comment la suspecte a-t-elle réussie à mettre au monde toute seule son enfant.
De plus, il nous reste à découvrir qui sont les pères des 6 autres nourrissons décédés et surtout les raisons qui l’ont poussée à commettre ces actes atroces »
La femme, qui aurait invoqué « un manque d’argent » pour expliquer ses gestes a été incarcérée et sera jugée une fois que les enquêteurs auront monté un dossier complet et seulement après avoir étudié toutes les pistes menant aux 6 autres pères victimes.
La SNCF aurait commandé 2000 rames de TER trop rapides pour son réseau
C’est une information révélée par le Canard enchaîné ce matin. Selon ses informations, la SNCF aurait passé commande de près de 2000 rames de TER, des rames qui se sont avérées bien trop rapides et ponctuelles pour son réseau.
« Nous avons volonté de perfectionner notre réseau mais là le gain de temps réalisé par les usagers et voyageurs est bien trop important » estime un rapport préliminaire de la société qui a testé plusieurs rames sur le réseau. Une des options retenue par la SNCF pour résoudre le problème serait d’élargir l’éloignement des gares entre elles, mais cela risquerait d’alourdir la facture de plusieurs milliards d’euros. En outre, le problème impacterait grandement les conducteurs de trains.
« L’effet de vitesse est trop fort, ils ne sont pas du tout habitués, nous en avons qui ont été rendus malades » raconte un cadre anonyme. Toujours selon le Canard, les rames ne répondraient pas au cahier des charges demandé, étant toutes équipées de sièges confortables et d’une climatisation efficace.
C'est une « histoire de trains fous » que raconte dans son édition de mercredi 21 mai le Canard enchaîné.
L'aboutissement d'un travail de cinq ans, mis en place par la SNCF et les régions françaises pour renouveler les vétustes trains express régionaux (TER).
Au total, près de deux mille rames flambant neuves ont été commandées à Alstom et au canadien Bombardier, pour une somme totale de près de quinze milliards d'euros.
Problème, nous apprend l'hebdomadaire satirique : les nouvelles rames sont « un poil trop larges ».
Et pour les faire circuler, il « faudra raboter les quais de centaines de gares ».
C'est pourtant bien la SNCF qui avait établi le cahier des charges, avec l'aide de Réseau ferré de France (RFF), propriétaire et gestionnaire du rail français. RFF avait ainsi fourni à la SNCF les écarts existants entre les voitures et les quais — qui datent d'une trentaine d'années — soit « une dizaine de centimètres de part et d'autre », selon le Canard enchaîné.
De fait, la SNCF a donc autorisé les deux constructeurs retenus à l'issue de l'appel d'offre à mettre au point des rames plus larges de 20 centimètres, afin d'augmenter le confort des voyageurs. 80 MILLIONS D'EUROS EN URGENCE
Mais « nombre de gares ont été construites plus de cinquante ans avant l'adoption de ces normes, c'est-à-dire à une époque où les trains étaient nettement moins bedonnants », nous explique l'hebdomadaire.
Faute de contrôles en temps et en heure sur le terrain, douze cents quais se retrouvent donc trop proches des voies pour laisser passer les trains, selon l'Association des régions de France, interrogée par le journal. Et la SNCF se voit contrainte de lancer une vaste opération pour raboter ces quais devenus trop proches des voies.
A ce jour, « RFF en a raboté trois cents, tantôt intégralement, tantôt sur quelques mètres ».
qui va payer la facture? Mille trois cents quais à raboter à cause de wagons trop larges! C'est l'incroyable constat fait par la SNCF après avoir commandé 2.000 nouvelles rames pour ses futurs TER.
Coût de cette erreur de calcul: 50 millions d'euros d'après RFF (propriétaire du réseau), probablement le double d'après le "Canard Enchaîné".
Parmi les régions les plus concernées par ces opérations figurent notamment Midi-Pyrénées et Centre.
A Lyon, « il a fallu déplacer des rails à l'entrée d'une gare, car un train aurait pu en casser un autre », relate encore le Canard enchaîné. Selon l'hebdomadaire, RFF — déjà très endetté — a débloqué 80 millions d'euros en urgence pour régler l'addition, mais espère encore pouvoir la partager avec les régions ou la SNCF.
Dans un communiqué, la SNCF et RFF ont pour leur part affirmé que 50 millions d'euros seront nécessaires au total pour modifier ces quais. Ils seront intégrés aux 4 milliards d'euros de dépenses investies chaque année par RFF pour la modernisation et le développement du réseau, selon les deux entreprises.
la SNCF et RFF parlent « d'adaptation tout à fait logique » Après la bourde des TER, le gouvernement veut une enquête interne Couac des trains régionaux : comment on en est arrivé là
Disparition: lancement d’un site internet de sensibilisation aux disparitions d’enfants
- Un site internet destiné à sensibiliser aux disparitions d’enfants, en informant le grand public et en apprenant aux enfants à réagir aux risques d’enlèvement, est lancé jeudi, trois jours avant la Journée internationale des enfants disparus du 25 mai, a annoncé l’association gestionnaire.
Le Centre français de protection de l’enfance (CFPE), qui gère déjà en France le 116.000, numéro européen gratuit de conseil et soutien aux familles d’enfants disparus, est à l’initiative de ce site (http://www.25mai.fr), dont la marraine est la Défenseure des enfants Marie Derain.
“Notre association, dédiée au soutien et à l’accompagnement des familles d’enfants disparus, veut s’impliquer davantage dans la recherche et la prévention”, a expliqué Jean-Pierre Debuisson, président du CFPE-Enfants disparus, lors de la présentation du site.
Le grand public y trouvera une carte pour s’informer sur les disparitions d’enfants et plusieurs espaces pour témoigner, tandis que les jeunes enfants pourront y apprendre, sous forme de jeu, les réflexes à avoir face aux risques d’enlèvements.
Sur la carte des enfants disparus figurent par exemple Estelle Mouzin, disparue le 9 janvier 2003 à Guermantes (Seine-et-Marne) en rentrant de l’école à l’âge de 9 ans, Marion Wagon, disparue le 14 novembre 1996 à Agen (Lot-et-Garonne) dans les mêmes circonstances, également à 9 ans, ou encore Mathis Jouanneau, enlevé à Caen par son père qui avait un droit d’hébergement un week-end sur deux, le 4 septembre 2011 à 8 ans.
Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur cités par l’association, les disparitions de 47.759 mineurs ont été signalées en 2013. La grande majorité (près de 46.800) de ces mineurs inscrits au Fichier des personnes recherchées FRP) sont des fugueurs, auxquelles il faut ajouter 379 enfants enlevés ou détournés, le plus souvent par un parent, et 582 disparitions particulièrement inquiétantes.
Les disparitions de fugueurs “ne durent parfois que 48 heures, d’autres fois elles se prolongent indéfiniment”, a souligné M. Debuisson. Mathilde Cerf, commissaire de police à l’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP), a précisé que dans “56% des cas”, les signalements de fugues concernant des jeunes de 16-18 ans ayant fugué de foyers ou familles d’accueil réintègrent les établissements, dans la plupart des cas dans les 24 à 48 heures.
Les cas de disparitions inquiétantes où la piste criminelle est estimée très plausible concernent “184 enfants actuellement”, a-t-elle précisé. En moyenne, un enfant disparu par an n’est jamais retrouvé, selon l’association.
Evreux : les ouvriers d'État en grève
Une perte de salaire allant de 500 € à 700 € par an en moyenne, une réduction permanente des effectifs depuis 2008 et même une remise en cause de leur statut...
Pour les ouvriers d’État de la Défense nationale, la coupe est pleine. Ils se sont mobilisés jeudi matin devant la BA 105 d'Evreux, pour observer un mouvement de grève de 24 heures.
Ils entendent dénoncer les menaces qui pèsent sur leur profession et les mesures d’économies qui, selon eux, mettent en péril l’accomplissement de leurs missions.
Ils étaient une vingtaine de salariés réunis devant la Base aérienne 105 d’Évreux pour faire entendre leurs revendications auprès du ministère de la Défense nationale.
Elle décède seule chez elle et est mangée par son Yorkshire
- Une femme de 64 ans a été retrouvée morte chez elle à Toulouse par les secours qui ont constaté qu'elle avait été partiellement mangée par son chien avec lequel elle vivait seule, a-t-on appris jeudi de source policière.
Les pompiers se sont rendus sur les lieux mercredi à la demande de voisins alertés par les odeurs qui se dégagaient de son logement. Sur place, ils ont retrouvé le corps sans vie de la victime ainsi que le petit chien de race Yorkshire qui, lui, était toujours vivant et qui avait survécu en se nourrissant de sa maîtresse.
Selon les premières constatations de la police, la sexagénaire serait morte de cause naturelle il y a environ un mois.
Honteux de voir ces gens passer sans aucune réaction devant cet enfant au sol.Cela se passe au philippines