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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
5 préjugés erronés sur certaines races de chien et sur certains chats.
1. « Les chiens et chats noir, c'est méchant et ça porte malheur, c'est dans leurs gènes ! » Effectivement, la couleur est génétique, bien évidemment deux chiens noir ne font pas TOUJOURS que des chiots noir puisqu'ils peuvent être porteur d'autres couleurs, mais nous ne sommes pas là pour un cours de génétique. Donc oui, la couleur d'un chien ou d'un chat est belle et bien inscrite dans leurs gènes mais le reste ne l'est pas ! Le gène « Porte malheur » n'existe pas. Il est fini le temps où l'ont croyait au sorcières rousses et leur chat noir, ces animaux sont comme tous les autres si vous leur laissez leur chance, gentil, tendre, affectueux et remplis d'amour !
2. «Les staff et tous ces genre de chien sont cultivés pour leur agressivité ! » Oui, on les croisent avec des lions et des requins, on plante des graines et on les fait pousser comme des plantes carnivores, puis une fois nées on les récoltes. Plus sérieusement, il existe ce que l'ont appel un « standard de race », que les éleveurs doivent respecté le plus possible pour que leurs chiens soient confirmer et donc LOF. Un chien trop agressif, sera automatiquement recalé à la confirmation et ne sera donc pas « certifié » LOF. Expliquer nous donc quels est l’intérêt de l'éleveur à rendre des chiens agressifs si il ne peut pas les vendre par la suite ? Et puis, même les chiens dit de « type » donc non LOF, ne sont pas des machines de guerre près à tuer le premier qui passe un peu trop près, ça non plus ce n'est pas inscrit dans leur gènes. Les Labradors peuvent être encore plus féroce qu'un Staff si ils sont mal éduqué puisque justement jugé « gentil ». N'oubliez pas, ce n'est pas au chien qu'il ne faut pas faire confiance, c'est au maître.
3. « Les Shar Pei ? Ils s'achètent au nombres de plis, et puis ils sont méchants avec leur congénères une fois adultes ! » PROMO : UN PLIS ACHETER 3 OFFERTS ! Non, non les Shar Pei se vendent comme les autres races, les éleveurs ne s'amusent pas à compter le nombre de plis sur chacun... Et puis c'est toujours la même rengaine sur ces soit disant chiens méchants.... EDUCATION mes amis, EDUCATION.
4. «A 7 ans un Dobermann devient fou, sa boite crânienne rétrécie » Ah ce bon vieux mythe de la boite crânienne qui rétrécie jusqu'à ce que le cerveau explose... C'est l'une des plus grosses bêtises que l'ont ait entendu du point de vue scientifique dans l'histoire de la cynophilie... Non mesdames et messieurs, ce grand toutou ne deviendra pas fou à 7 ans, son cerveau ne va par ressortir par ses oreilles non plus. Si il est bien éduquer il sera doux, gentil et affectueux comme tout chien bien dans ses pattes
5. « Le caniche est un chien qui aboie tout le temps, d'ailleurs c'est un chien à mamie » Bah oui, vous ne connaissez pas Mortibus ? Le vieux caniche de mamie Jacqueline ? Et si je vous disais que ce bon petit chien était en réalité un chien de chasse au départ ? Et oui, il était beaucoup utiliser pour la chasse aux canards, fou non ? De plus les caniches sont en réalités très intelligents, vif, joueur, gentil... En fait comme tout les autres tout dépend de … ? De … ? Son EDUCATION.
Allez voir des propriétaires de caniche qui n'en ont pas fait ce genre de petite chose programmer pour aboyer sans arrêt et vous serrez surpris de votre découverte ! Bien sûr il en existe bien d'autres, mais on pourrait en faire un livre ! Alors n'écoutez pas tout ce qu'on raconte
1ère journée de don du sang pour les animaux domestiques en Russie
La Russie va organiser pour la première fois de son histoire une journée de don du sang pour les animaux domestiques. L’objectif de l’événement est, outre de constituer des réserves, de mettre en lumière de tels besoins auprès d’une population qui n’en a pas conscience. Ce sont nos confrères de La Voix de la Russie qui dévoilent l’information.
Cet automne, à Moscou, devrait avoir lieu la première journée de don du sang en faveur des animaux domestiques, afin « d’attirer l’attention de l’opinion publique sur le problème du manque de sang pour les animaux et créer une base de sang pour les animaux domestiques ».
C’est le mouvement moscovite Mosvolonter qui a soulevé la question, soulignant qu’en Russie, y compris dans les grandes villes, il arrive que des chats ou des chiens meurent après une opération, car ils n’ont pas pu être transfusés à l’issue de celle-ci alors qu’ils avaient perdu une quantité considérable de sang.
Les militants ont proposé qu’un système soit mis en place, et la mairie de Moscou a approuvé l’idée, permettant la mise en place de cette journée peu ordinaire (dont la date n’a pas encore été arrêtée). Le succès qui y sera rencontré sera certainement décisif pour la suite. Les animaux ne doivent pas être malades
Pour qu’un animal puisse donner son sang, il y a certains impératifs. « Les animaux doivent être vaccinés régulièrement. La deuxième condition – c’est le poids. Chez les chiens qui effectuent le don du sang, il doit atteindre 20-25 kg, et chez les chats, pas moins de 5 kg. Les animaux domestiques doivent également être âgés de moins de 8 ans.
Car il ne faut pas oublier qu’il y a des risques autant pour les bénéficiaires que pour les donateurs au-delà de cet âge », raconte à La Voix de la Russie Anna Bakirova, directrice du service de don du sang pour les animaux au Laboratoire vétérinaire indépendant Chans-Bio. Bien entendu, il faut également que l’animal soit en bonne santé.
A suivre. Actuellement, il existe des Banques de Sang pour les animaux aux Etats-Unis, en Angleterre, en Belgique, etc., mais pas en France.
Vétérinaires, réveillez-vous, la leishmaniose est aux portes de la France/ LSF
Si l’instant était à l’humour, si les vies de nos chiens n’étaient pas en jeu, j’aurai envie de vous chanter ce refrain d’enfance que nous avons tous en mémoire.
« Debout les gars, réveillez- vous, il va falloir en mettre un coup »
Ces quelques mots résument à eux seuls, l’ignorance de la majorité des vétérinaires Français face à cette maladie méditerranéennes, la leishmaniose, qui envahie peu à peu notre pays. Elle est aux portes de chez nous et déjà présente dans le Sud de la France. Il y a plusieurs sortes de professionnels.
-Ceux qui avouent ne pas connaitre cette maladie et qui vont en référer à un confrère plus qualifié ou demander conseil à l’association qui leur indiquera la marche à suivre.
- Ceux qui proposent l’euthanasie du chien purement et simplement sous prétexte que la leishmaniose est transmissible à l’homme. Oui nous en sommes encore là en 2014 et bien évidemment si tel était le cas, vous imaginez bien que l’Europe incompétente en matière de protection animale, prendrait des mesures draconiennes à l’encontre des pays ou la leishmaniose sévit et que tous les animaux atteints seraient exterminés.
-Ceux qui ne s’avouent pas vaincu et qui vont potasser leurs bouquins d’étudiants pour élaborer une recette maison, ceux qui ne veulent rien entendre et qui considèrent qu’ils ont la science infuse, ces professionnels-là tuent nos chiens.
Et puis il y a vous. Vous êtes des clients, en droit d’exiger des soins appropriés, en droit de mettre en doute la parole de votre vétérinaire. Ce n’est pas parce qu’il a sauvé le chien de votre cousine, qu’il est le meilleur.
Et puis il y a nous. Qui demandons à nos adoptants de refaire un test 6 mois après l’arrivée du chien en France afin de recontrôler la leishmaniose.
Et bien en 2014 , certains vétérinaires prétendent qu’il n’est pas nécessaire de refaire ce test sous prétexte qu’il n’y a aucun risque puisque le chien ne présente pas de symptômes et qu’il a été testé négatif en Espagne 6 mois auparavant .
Et oui nous en sommes encore là, c’est affligeant… Vétérinaires, réveillez-vous, la leishmaniose est aux portes de la France.
L'œil de lynx du chat
De tous les sens, la vision est chez le chat comme pour nous le premier, celui qui permet de découvrir autant que de contrôler le monde, parfois même depuis notre épaule pour les plus acrobates de nos chats.
Le sens de la lumière
En matière de vision, beaucoup de paramètres comptent : là où nous privilégions la couleur, nos chats apprécient chaque pixel de luminosité. Leur monde en sépia n'est certainement pas mélancolique comme les clichés jaunis de nos grand-mères. Ils sont capables de discerner des différences de luminosités de 10 à 12%. Dans une chambre noire de photographe, nos chats n'y voient pas mieux que nous mais...grâce à ses moustaches, ils perçoivent le moindre frissonnement de l'air, qui se répercute sur les objets, qu'ils éviteront donc avec prudence pour se diriger sans tomber ni se cogner.
A l'affût du moindre mouvement
Habile à repérer de loin une proie dont le plus petit mouvement le met en alerte, votre chat peut cependant ne pas voir tout de suite la friandise que vous venez de poser devant son nez, alors même qu'il attrape avec une dextérité rare une mouche, vos doigts ou le bout de vos lunettes d'une de ses griffes.
Il est un peu myope, car sa mise au point est d'autant plus efficace qu'il regarde de loin, ou au moins juste au bout de sa patte. C'est une des raisons pour lesquelles il aime tant se placer en hauteur, comme les contrôleurs aériens.
Il apprécie aussi la chasse nocturne, quand ses pupilles peuvent se dilater, lui offrant une vision binoculaire bien supérieure à la nôtre. C'est d'ailleurs dans l'obscurité que le chat nous éblouit, au propre comme au figuré, avec le tapis réfléchissant de sa rétine, le tapetum lucidum, qui renvoie en miroir la lumière reçue, avec parfois un véritable rayon vert, à faire pâlir les amoureux des océans.
Au soleil, pas besoin de lunettes noires pour votre chat, ses pupilles se rétractent pour ne plus laisser passer qu'un fil de lumière. Sa vision, c'est sacrée, il se protège, avec d'ailleurs la meilleure des armes, la sieste, qu'il adore faire, paupières closes, laissant la chaleur l'envahir.
S'il ne dort pas toujours sur ses deux oreilles, c'est que celles-ci font office d'yeux derrière sa tête, décuplant ses capacités à détecter des mouvements sur les côtés qui lui assurent sa sécurité quand il est en embuscade. Peu de choses lui échappent, d'autant que la souplesse des muscles de toute son encolure lui assure un balayage visuel que bien des radars ou des drones lui envient.
Préserver sa vue par une bonne santé
Jusqu'au soir de leur vieillesse, les chats gardent souvent le privilège d'une très bonne vue, que la cataracte ne vient que très rarement entraver. La partie colorée de leurs yeux, l'iris, peut prendre un aspect en paillettes, comme du mica. Avec l'âge, en revanche, l'hypertension artérielle peut, sans se manifester par d'autres symptômes, provoquer des hémorragies brutales de la rétine, qui les rendent aveugles du jour au lendemain. Le traitement très précoce peut leur rendre la vue, mais il est surtout primordial de faire contrôler la tension artérielle chaque année, auprès de votre vétérinaire, dès que votre chat passe le cap des 10 ans. Un contrôle de la tension chaque année peut lui sauver la vie et surtout la vue. Pensez-y !
Bon à savoir
On sait avec certitude qu'ils perçoivent le bleu et le jaune, donc le vert tendre des herbes dans lesquelles les souris grises aiment à se promener. Le doute persiste sur leur perception du rouge. Mais ils peuvent réagir aux couleurs de vos chandails, tout simplement pour leur douceur ou la délicieuse odeur qu'ils transportent. C'est un peu de vous !
Les vétérinaires mettent les propriétaires d'animaux en garde contre Internet
Bien trop de propriétaires d'animaux tentent de diagnostiquer eux-mêmes les maladies dont souffrent leurs compagnons, en faisant appel au fameux Dr google.
Résultat ?
Ces animaux sont emmenés trop tard chez le vétérinaire, et pour certains, les conséquences sont très graves voire fatales. C'est ce que révèle la dernière enquête menée par la British veterinary association (BVA).
Les vétérinaires britanniques mettent alors en garde ces personnes tentées de soigner elles-mêmes leurs compagnons à 4 pattes grâce aux conseils glanés sur internet.
Ils s'inquiètent également de voir trop de propriétaires d'animaux donnant leurs propres médicaments à leurs chiens, chats et Nacs, ou des traitements achetés en ligne afin de faire des économies.
Croire le Dr google plutôt que son vétérinaire Certains n'hésitent pas non plus à contredire leur vétérinaire ou refuser ses propositions de traitements en raison de ce qu'ils ont pu lire sur le web.
Un vétérinaire raconte avoir eu affaire à une personne ayant refusé une opération sur son chien, avant de "revenir quelques minutes chien plus tard totalement paniquée parce que internet avait confirmé (son) conseil".
Les problèmes dermatologiques et digestifs arrivent en tête des motifs de consultation, indique l'étude menée auprès des vétérinaires britanniques.
Et 80% d'entre eux déplorent de voir les animaux concernés dans leur cabinet plus tard qu'il ne l'aurait fallu. Plus vite la maladie est traitée, plus grandes sont les chances de rétablissement, rappellent-ils. Gare à l'auto-diagnostic !
Robin Hargreaves, le président de la BVA affirme que si certains sites sont réellement utiles et donnent de bons conseils, de nombreuses maladies ont des symptômes semblables et sont donc quasiment impossibles à diagnostiquer sans qu'aucun test ne soit réalisé sur l'animal. "Souvent, les symptômes que les gens reconnaissent sont assez génériques", explique-t-il. "Si vous les entrez dans un moteur de recherche, vous pouvez obtenir toutes sortes de choses, dont certaines sans gravité et d'autres qui peuvent être très graves".
En bref, si tous les conseils en ligne ne sont pas bons à jeter, l'auto-diagnostic, lui, qu'on le pratique sur un humain ou un animal, est toujours à proscrire !
En images, le matériel médical financé par la Fondation 30millionsdamis pour aider l'association Wildlife Friends Foundation Thailand, un organisme qui vient en aide aux animaux en Thaïlande. Découvrez le formidable travail de cette association
La Fondation au secours des animaux en Thaïlande 10620 Ajouter un commentaire Partager sur facebook Partager sur Twitter
La Fondation 30 Millions d’Amis apporte son soutien à la Wildlife Friends Foundation of Thailand. Une aide qui permettra de financer de nouveaux équipements médicaux.
La Fondation au secours des animaux en Thaïlande Trafic, braconnage, destruction de l’habitat…
En Thaïlande aussi les animaux sont victimes de l’homme et de ses activités. Une situation d’autant plus difficile que la loi ne se montre pas réellement protectrice envers eux.
« Le pays dispose d'une législation très limitée pour la protection de sa faune... et les autorités se montrent laxistes envers les propriétaires d’animaux, qui interprètent la loi comme cela les arrange » explique Nicole Vooijs, directrice de la Wildlife Friends Foundation of Thailand.
Les éléphants sont tués pour leur ivoire, les primates pour leur viande, les pangolins et les ours pour leurs propriétés médicinales supposées. Ceux qui ne sont pas tués sont gardés comme animaux de compagnie, en totale contradiction avec les besoins de leur espèce. Les abus concernent également les chiens :
« De nombreux animaux sont capturés dans la rue, puis acheminés aux frontières pour servir les besoins de la consommation alimentaire en Chine, au Laos et au Vietnam » poursuit Nicole Vooijs. PLUS DE 2 000 ANIMAUX SECOURUS Créée en 2001 par Edwin Wiek, un Hollandais expatrié, la Wildlife Friends Foundation of Thailand (WFFT) recueille, soigne, relâche des animaux ou leur offre des conditions de vie adaptées dans son sanctuaire s’ils ne peuvent retourner à la vie sauvage.
En 12 ans d’existence, plus de 2 000 ont été secourus, et plus de la moitié a pu être relâchée. 365 jours par an, l’équipe - composée de 35 employés permanents et de 20 à 45 volontaires - soigne les 350 animaux hébergés en permanence dans le sanctuaire : des éléphants, des ours, des langurs, des iguanes et même des félins s’ébattent sur 24 hectares.
L’ampleur de la tâche est énorme : « Le gouvernement thaïlandais a augmenté ses efforts dans la lutte contre le trafic d'espèces sauvages, mais la corruption limite les effets de son action », explique Nicole Vooijs.
Ainsi, « le braconnage est omniprésent, y compris dans les parcs nationaux ». Par sa situation géographique, le pays occupe une place stratégique. « L'aéroport international est l’une des principales plaques tournantes du trafic illégal, explique la jeune femme. Plus de 3 millions de tonnes de marchandises y transitent chaque année… dont seulement 3% sont contrôlés par les autorités ».
Pour contrer ce phénomène, la Wildlife Friends Foundation of Thailand a lancé le projet WARN (Wildlife Animal Rescue Network, NDLR) : ce réseau transfrontalier, qui implique plusieurs centres de sauvetage d’animaux sauvages, veille à l’application des différentes législations. « Son but est également de renforcer les capacités de ces structures et de promouvoir des normes minimales pour l’accueil et les soins dispensés à la faune sauvage » détaille Nicole.
Parmi les pays participants, le Laos, le Cambodge, la Chine ou encore l’Indonésie.
CHANGER LES MENTALITÉS
Parallèlement aux sauvetages qu’elle organise, le Wildlife Friends Foundation of Thailand mène des campagnes de sensibilisation pour expliquer les différentes menaces qui pèsent sur la faune sauvage de Thaïlande et d’Asie du sud-est. Mais la population locale n’est pas la seule à devoir modifier ses comportements
Toutes ces menaces s’accentuent notamment avec le tourisme :
« Plusieurs sites thaïlandais exploitent la faune en proposant aux visiteurs des séances photos avec des gibbons, des jeunes macaques et même des iguanes. Les balades à dos d’éléphants sont toujours très populaires » déplore la fondation.
Ce que les touristes ignorent, c'est que la moitié des éléphants captifs de Thaïlande meurent de mauvais traitements ou de faim chaque année, selon des chiffres publiés par le WWF*.
Depuis quelques années, les interventions de la Wildlife Friends Foundation of Thailand se multiplient sur le terrain, grâce à l’acquisition d’une clinique mobile. Elle est utilisée pour les opérations d’urgence, mais également dans le cadre de campagnes de stérilisation des animaux errants.
La Fondation 30 Millions d'Amis a souhaité débloquer une aide de 5 000 euros pour financer l’achat d'équipements médicaux.
À Rome, une plage qui a du chien
«Ici, c'est la plage des chiens, nous sommes seulement des invités», plaisante José Luis, un habitué venu avec Morena sa jeune chienne Labrador à la «BauBeach», une des rares plages canines à proximité de Rome. Dans un pays qui compte près de six millions de chiens enregistrés auprès du ministère de la Santé italien (chiffres de 2012), les bandes de sable de la Botte restent pour la plupart interdites au meilleur ami de l'homme.
«Une aberration quand on sait que les chèvres ou les chevaux sont eux autorisés», s'agace auprès de l'AFP Patrizia Daffinà, pionnière et fondatrice en 1998 de l'association «BauBeach» («bau» étant le «wouaf» des chiens italiens), première plage canine à voir le jour en Italie.
«La politique touristique du développement balnéaire lancée dans le pays au sortir de la Seconde Guerre mondiale a chassé les chiens de nos plages pour leur donner une image de propreté», regrette cette ancienne scénariste pour le cinéma italien, aujourd'hui plus cynophile que cinéphile. Une plage au poil Sur le front de mer de Maccarese, petite localité à quelques kilomètres au nord de Rome, à deux pas de la plage privée réservée à la police italienne, la «BauBeach» s'étend sur quelque 7000 m2, pouvant ainsi accueillir plus de 100 chiens en même temps.
Pour pouvoir profiter de cet espace privilégié, les maîtres doivent se munir du carnet de santé de l'animal et s'affranchir d'une inscription annuelle de 13EUR à laquelle s'ajoute un billet d'accès journalier de 4EUR, 3EUR pour les chiens adoptés dans un chenil. «Hormis les chiennes en chaleur, tous les chiens peuvent profiter de notre plage, du rottweiler au caniche, aucune discrimination de race n'est pratiquée chez nous», précise Patrizia qui l'an dernier a enregistré plus de 7000 entrées entre mai et septembre, «un chiffre en constante progression».
Lorsqu'un doute persiste sur la bonté de caractère d'un chien, ce dernier, à l'instar d'une entrée en boîte de nuit, doit se soumettre à un examen rapide effectué par un membre «doté d'un bon flair» de la «BauBeach», avant de se voir ou non refuser l'accès à la baignade. Une fois la laisse détachée, «condition absolue, selon Patrizia, pour laisser le chien sociabiliser, s'amuser en toute liberté et s'affranchir de tensions potentielles», transat, parasol et gamelle s'offrent à l'animal, le tout sous le contrôle d'un vétérinaire.
Une vie de chien Alors que les «toutous» de petits gabarits préfèreront plonger dans un petit bassin artificiel pour y récupérer un bâton ou simplement barboter avec leur maître, les nageurs aguerris -- y compris les énormes terre-neuves -- iront eux se frotter aux vagues de ce coin de la Méditerranée. Allongée sur un transat avec entre ses jambes sa chienne Melissa, Roberta est venue depuis Rome «grâce au bouche-à-oreille»:
«C'est super, mon chien s'amuse et moi je me repose, on fait d'une pierre deux coups!» Le bain terminé, assommés par l'effort et la chaleur, les chiens peuvent réguler leur température interne -- d'un degré supérieur à celles des humains (37°) -- en s'abreuvant dans leur gamelle et en s'allongeant à l'ombre d'un parasol installé au ras du sol spécialement pour eux.
Malgré toutes ces attentions réservées aux canidés, les «accompagnateurs» ne sont pas non plus délaissés: du bar, où ils peuvent garder un oeil sur leur bête qui gambade au loin, à la plage d'une propreté irréprochable, tout est fait pour que la journée se déroule «au poil».
Placée sous le drapeau vert du bio, la «BauBeach» est nettoyée à l'aide de produits non polluants par une équipe en permanence mobilisée. «Voir son chien nager, s'amuser avec d'autres chiens, ça te rend heureux parce que lorsque ton animal va bien, tu vas bien toi aussi», sourit le maître de Morena pendant que celle-ci s'ébroue avant de s'amuser à creuser un énième trou. Une vraie vie de chien.
CETTE PUCE POURRAIT METTRE FIN AUX EXPÉRIMENTATIONS ANIMALES
L’institut Wyss de l’université d’Harvard a mis au point une série de puces pouvant imiter le fonctionnement d’organes complets. Inspirée par la biologie autant que la micro-électronique, la technologie présentée a pour ambition de révolutionner la recherche en remplaçant les tests cliniques et l’expérimentation animale.
Les méthodes à la base des découvertes médicales et les développements pharmaceutiques dans le monde moderne sont depuis longtemps controversées.
Le secteur recherche et développement a vu sa productivité chuter pendant 50 ans, exigeant un temps et des moyens toujours plus importants :
« Pour chaque milliard de dollars investi, (…) nous mettons de moins en moins de médicaments approuvés sur le marché » explique Geraldine Hamilton, scientifique en chef de l’institut Wyss, lors de la conférence TED 2013 de Boston. Pour expliquer ce déclin, la biologiste cellulaire met en avant l’inefficacité des protocoles de recherche :
« Nous n’avons pas les bons outils (…) Prenons l’exemple des boîtes de Petri. Nous les prenons - les cellules - et les arrachons à leur environnement naturel, nous les jetons dans ces boîtes de pétri en espérant que cela fonctionne.
Devinez quoi ?
Ca ne marche pas. Elles n’aiment pas cet environnement parce qu’il ne ressemble en rien à celui du corps humain. » Une autre part encore indissociable des progrès médicaux - et la plus vivement critiquée - est l’expérimentation animale.
Malgré des apports indéniables en biologie, cette méthode montre ses faiblesses lorsqu’il s’agit de transposer les résultats sur le genre humain, et à plus forte raison sur l’individu. De même, les essais cliniques peuvent prendre des années et passent à côté des traitements personnalisés.
L’idée développée par l’Institut Wyss vise à optimiser les recherches. En créant un modèle qui imite la physiologie humaine, ses chercheurs ont tenté d’offrir à la recherche un moyen de prédire plus efficacement et plus rapidement les effets d’une maladie ou d’un traitement sur les patients.
LA NAISSANCE DES « ARCHITECTES CELLULAIRES »
Les Organs-on-Chips (littéralement organes sur une puce) sont des appareils en polymère flexible à peine plus gros qu’une carte mémoire, dans lesquels serpentent des canaux prévus pour faire circuler des fluides.
Au centre, une membrane poreuse sur laquelle sont déposées les cellules que l’on souhaite observer : dans le cas de Lung-on-a-chip, il s’agit de cellules pulmonaires situées sur la membrane, et des cellules capillaires appliquées en dessous.
L’ensemble est ensuite soumis à des déformations régulières, « de sorte qu’il expérimente la même chose que nos cellules lorsque nous respirons. » Dès lors que l’environnement est créé, il suffit d’y ajouter l’objet de l’étude :
« Nous pourrions, par exemple, simuler une infection en ajoutant des cellules bactériennes dans le poumon, puis des globules blancs dans le canal sanguin. Et dès qu’ils perçoivent une infection, ils passent du sang aux poumons pour dévorer les bactéries. » Le processus permet ainsi de visualiser - en direct - l’intervention des globules blancs dans un tel cas. La vidéo présentée au TED dévoile des images étonnantes où les lymphocytes s’agglutinent à la paroi centrale à peine l’infection détectée, avant de traverser la membrane pour s’attaquer effectivement aux bactéries.
DES POSSIBILITÉS ÉTENDUES
Les applications possibles d’une telle innovation pourraient révolutionner l’industrie pharmaceutique, mais pas seulement : « Nous pourrions éventuellement utiliser la peau sur une puce pour tester si les ingrédients de ces produits ne sont pas nocifs, sans avoir recours aux tests sur les animaux.
Nous pourrions tester la nocivité des produits chimiques auxquels nous sommes quotidiennement exposés comme les produits d’entretien (…) ou encore étudier précisément les effets d’une exposition aux radiations. » Ces puces permettraient également de tailler un traitement sur mesure, en prélevant les cellules d’un patient pour les déposer dans les différentes puces.
Les chercheurs de l’Institut ne comptent pas s’arrêter là, et visent désormais à relier l’ensemble des puces afin de simuler le fonctionnement d’un organisme complet. Plus de dix puces-organes existent déjà (rein, foie, estomac…) et un prototype rappelant une imprimante a été dévoilé dans le but de montrer les progrès faits dans cette voie. Le système semble par ailleurs assez simple d’utilisation pour les non-initiés.
Avant d’accueillir un petit nouveau dans la famille, il convient de vous poser les bonnes questions :
En avez-vous vraiment envie, ou n’est-ce là qu’un caprice ? La famille partage-t-elle votre enthousiasme ? Votre budget –entre l’alimentation, les frais vétérinaires…
– vous permet-il d’adopter ? Votre habitation est-elle bien conçue pour accueillir un chat ? Aurez-vous assez de temps pour vous en occuper ? Un membre de la famille ne souffre-t-il pas d’allergie ?
A votre retour à la maison : Aménagez-lui son coin à lui, « à l’abri des passages et des courants d’air » Disposez une petite gamelle d’eau fraîche, une autre de nourriture, le tout éloigné de la litière afin de ne pas l’incommoder » ;
C’est bien connu, les chats sont des sentinelles. « Prévoyez-lui un endroit accessible en hauteur. C’est également là qu’il se réfugie en cas de stress ou de peur » ; Surtout, ne le brusquez pas. S’il est timide, il ira se cacher sous un meuble et n’en sortira que la nuit. Pas de panique.
Soyez patient. Il finira bien par venir à vous ; Le chat est joueur.
Aménagez-lui un espace dédié, surtout si vous vivez en appartement. « Un arbre à chat, quelques accessoires, un point de vue sur l’extérieur… Le chat a besoin d’être stimulé pour se sentir bien dans son nouveau foyer » ;
Enfin, pensez aux accessoires indispensables à son bien-être. Une litière bien entendu, mais aussi une petite brosse adaptée à son type de poil, un panier, des jouets… « Pour le panier cependant, ne vous tracassez pas trop : le chat décide seul de l’endroit où il se repose… Et c’est, dans la plupart des cas, un endroit auquel vous n’auriez jamais pensé ! »