Le but de notre vie consiste à connaître la joie d’être pleinement vivant, l’enthousiasme de se sentir faire partie de l’univers en pulsation et la profonde satisfaction d’être

Un jour quelqu'un me demanda , et toi tu n'as peur de rien ? .... Oh si lui répondis-je , j'ai peur de la bêtise des humain sans conscience de l'impact de leurs gestes

Je rêve du jour ou je pourrais m'évader .Du jour ou mon esprit arrêtera de rêver. Je rêve jour après jour de mon bonheur et du moment ou il n'y aura plus d'heure. Mon ♥ déborde de larmes .Mais pour combattre cette tristesse je me retrouve sans armes comme une âme dans la détresse.

C'est sûr que le "Monde du Silence", c'est plus pratique pour pioncer tranquille !

MESSAGE

Les murs on des oreilles, Les portes ont des yeux, Les arbres parlent, Les bêtes mentent, Prenez garde à la pluie, Prenez garde à la neige, Prenez garde à l'homme que vous pensez connaître

Tous les jours,je publierai une page du journal de Jean-Luc Daub,enquêteur des abattoirs FRANCAIS!

Merci à Jeanne Chatelain pour la compilation.

"En dehors de mes heures de travail, j’allais, le matin, le soir ou la nuit, derrière l’abattoir, parfois dans un froid glacial. Je guettais caché derrière les parois en béton.

J’assistais à des mauvais traitements que le personnel ou les chauffeurs des camions infligeaient aux animaux.

Les vaches qui n’avançaient pas étaient frappées, à coups de bâtons sur les os des pattes, sur la croupe jusqu’à l’éclatement de la chair, à coups de bâtons sur les naseaux qui se mettaient à saigner de façon profuse, à coups de fourches, ou par la torsion de la queue…"

Journal de Jean-Luc Daub, enquêteur dans les abattoirs français. Les droits des animaux Luce

Un Grizzly de 750 kg abattu à l'arc

 Le québécois fier de raconter que la bête se trouver à 1O mètres de lui!

Le chasseur Ken Taylor reçoit les félicitations de toute la communauté de chasseurs depuis quelques jours après avoir accompli un exploit jamais réalisé par un Québécois, soit celui d’avoir abattu un grizzly à l’arc traditionnel.

L’homme de 62 ans a réalisé ce tour de force à Kenai en Alaska le 21 septembre dernier.

À la mi-septembre, le résident de Waskaganish à la Baie-James s’est rendu en Alaska avec six autres Québécois pour tenter de capturer cette bête mythique.

Après six jours de chasse dans des conditions difficiles, la chance s’est présentée. Le chasseur, un guide et un caméraman étaient en zodiac sur une rivière afin de trouver un grizzly cherchant du saumon pour se nourrir.

Après avoir finalement repéré une bête, le groupe s’est mis en mode furtif. «Le vent était marginal alors si on s’était dirigés directement sur l’ours, il nous aurait sentis, donc il a fallu faire un grand détour pour rejoindre le bord.»

Il fallait faire ça assez vite pour s’installer, prendre une place pour que je puisse tirer», raconte M. Taylor. Heureusement pour le chasseur, l’animal a choisi l’endroit où il était posté pour s’arrêter pêcher.

Ainsi, pendant plusieurs minutes, le grizzly se trouvait à une vingtaine de mètres, pêchant et mangeant sans apercevoir le chasseur.

Ce dernier était alors debout, à découvert, immobile comme une statue à attendre que l’animal s’approche. À 10 mètres «Quand il a décidé qu’il en avait assez de cette place-là, il s’en est venu directement vers moi: il s’est approché à huit mètres», raconte celui qui avait un camouflage qui se mariait à merveille avec la nature.

L’homme a silencieusement bandé son arc, fixant «un poil» en arrière de son épaule. Quand il est arrivé dans mon châssis d’opportunité, j’ai lâché ma flèche».

Poumons perforés

Le grizzly d’environ était alors à 10 mètres. «L’ours s’est viré comme l’éclair et il a mordu où la flèche est rentrée. Il n’a pas vu d’où ça venait.

Il a explosé, couru 50 mètres et il est tombé mort .» La flèche a perforé les deux poumons de la bête. Humble, le chasseur est conscient que certaines personnes peuvent s’offusquer d’une telle chasse.

Mais celui qui «adore les animaux et la nature» rappelle qu’il pratique l’une des chasses les plus «primitives» qui soient.

«Ils ont même augmenté le nombre de permis pour cette zone-là parce que la population a tellement augmenté que les caribous et les orignaux en souffrent.»

Le premier loup tué « légalement » en France : une louve à Bouvante, dans la Drôme, en octobre 2004.

Communiqué FERUS, 20 octobre 2015 Jeudi dernier, un louveteau a été abattu dans les Alpes-de-Haute-Provence.

Samedi et dimanche, deux loups ont été abattus en Savoie. Dimanche, deux loups ont été abattus dans les Alpes-Maritimes. On n’est pas loin du carnage…

Pourtant, le loup est une espèce protégée en Francedont les effectifs sont en baisse et les autorisations d’abattage en hausse.

Où est la protection des troupeaux quand ceux-ci ne sont pas plus en alpage pour certains secteurs ou lorsqu’on sait que la destruction d’individus dominants déstructurent les meutes et peuvent augmenter de ce fait les dommages aux troupeaux domestiques ?

Où est l’achat de la paix sociale qu’on nous vante depuis des années alors que plus les loups tués augmentent, plus la hargne de certains éleveurs s’élève (séquestration dans la Vanoise, menace de blocage de la ville de Gap et préfecture murée etc.) ?

Comment peut-on encore laisser la gestion d’une espèce protégée à des milliers de chasseurs, sans aucun contrôle sur le terrain par des agents assermentés, vu les bavures qui se multiplient ?

Des chasseurs ont tiré et blessé, sans que leur cadavre soit retrouvé, plusieurs loups dont encore un ce week-end. Depuis que l’Etat français autorise des tirs de loups (2004), 51 loups ont été tués.

Pour rappel, FERUS et une vingtaine d’autres associations du collectif CAP Loup ont attaqué devant l’Europe les derniers arrêtés ministériels autorisant le tir de 36 loups.

Des loups flingués à tout va, des bouquetins massacrés, aucun lâcher d’ours prévu notamment dans le secteur où ne résident plus que deux mâles condamnés à disparaître. La biodiversité est en berne en France.

C’est donc là le signal que la France envoie à 2 mois de la COP 21, une conférence axée sur le climat certes mais qui englobent de manière générale la dimension de la protection de la nature toute entière ?

Pour qu'une enquête soit diligentée auprès du Zoo de Lunaret de Montpellier !!!

Les responsables du zoo de Lunaret de Montpellier ont volontairement placé une femelle singe Magot dans un enclos destiné à de grands singes, dont le mode de vie est totalement incompatible avec celle de cette femelle Magot, qui a donc été prise pour une proie facile, l'entraînant dans une lente et douloureuse agonie jusqu'à son décès.

Pétition : http://www.mesopinions.com/…/qu-enquete-soit-diligent…/16395

Face à cet acte odieux et irresponsable, cet acte de maltraitance aggravé manifeste, et en vertu de l'article 561-1 du Code civil, nous, pétitionnaires, demandons au Préfet de l'Hérault qu'une enquête soit rapidement diligentée, afin que les responsables de ce zoo soient entendus, que toute la lumière soit faite sur cette affaire, et que ceux-ci soient condamnés pour les faits qui leurs sont reprochés. Rappel des faits !!!

Le parc animalier Darwin-zoo de Lunaret à Montpellier est secoué depuis plusieurs mois par un profond malaise, qui affecte une partie du personnel de la ville. Le climat est devenu malsain entre la direction du zoo et des employés, qui dénoncent les méthodes de gestion et surtout certaines conditions de traitement des animaux . « Il était facile de le capturer »

Une vidéo mise en ligne sur YouTube par Pascal Rousseau, il y a maintenant plus d’un an (postée le 20 juin 2014) et qui a déjà été vue par plus de 2300 internautes, fait froid dans le dos : on y voit un singe Magot dans un piteux état de santé.

L’animal aurait été volontairement laissé dans un grand enclos avec d’autres singes qui l’attaquaient, au point d’entraîner une agonie. Les images qui durent 2,55 minutes sont pénibles à regarder. Cet enclos n'était pas visible du public, travaux obligent. On peut lire, dans les regards pitoyables de ce malheureux petit singe, toute sa détresse, presque son imploration à venir le soigner. Selon nos informations, ce singe Magot femelle est finalement décédé.

« C’est une honte, ce singe Magot qui était fragilisé par le sort que lui réservaient les autres singes aurait pu être facilement capturé, isolé et donc sauvé de la mort.

Cette vidéo est insupportable » s’indigne notre informateur.