Snowy a beaucoup souffert, trop souffert. Son histoire est la même que celle de tous ses copains de misère… Criblé de plombs, les organes déplacés à force de coup, il lutte pourtant pour continuer à vivre !

Il est important que nous n’oubliions pas que chaque jour des bénévoles espagnols effectuent un travail exceptionnel pour sauver d’une mort affreuse quelques Galgos et je remercie particulièrement Maria, Marta et Manolo et le refuge Brown de Zafra.

Des chevaux errants secourus par la Fondation 30 Millions d’Amis

5 équidés qui divaguaient sur une route de Champigny-sur-Marne (94) ont été mis hors de danger et confiés à la Fondation 30 Millions d’Amis.

Les 5 équidés secourus.

 Affolés, perdus… Échappés d’un campement de gens du voyage situé à Villiers-sur-Marne (94), une jument, son poulain, deux chevaux et un poney, divaguaient en beau milieu de la circulation à proximité de l’autoroute A4 à Champigny-sur-Marne (14/08/2015).

Ils risquaient leurs vies et celles des automobilistes. Selon toute vraisemblance, cette cavale aurait duré plusieurs jours.

La mairie de cette commune du Val-de-Marne a fait appel en urgence à la Fondation 30 Millions d’Amis pour prendre en charge les animaux. Capturés par la Brigade équestre de la Courneuve (93), ils ont été confiés définitivement à la Fondation par un arrêté municipal et placés dans une pension.

Le Chem* - partenaire de la Fondation 30 Millions d’amis dans la lutte contre les maltraitances faites aux équidés – surveille de près ces véritables rescapés qui se remettent doucement de leur errance. Légèrement blessés, la pouliche et son poulain font l’objet de soins vétérinaires.

« Même s’ils ne sont pas squelettiques, ils ne sont pas non plus en très bonne forme, constate Laëtitia Bos, présidente du Chem.

On soupçonne une nouvelle grossesse de la jument qu’on va rapidement vérifier. ».

Quant à leur caractère ?

« Ils sont tous gentils même si la pouliche n’est pas du tout dressée » précise-t-elle.

FAMILLES D’ACCUEIL RECHERCHÉES

Le Chem recherche actuellement des familles d’accueil. Si vous souhaitez héberger temporairement ces équidés, adressez-vous par mail à l’adresse : chemparis[a]gmail.com

Paris : mystérieuses morts de chiens promenés dans le parc Brassens

Brassens (XVe), ce mardi. Les habitants du quartier hésitent à emprunter cet espace réservé aux chiens depuis que quatre d’entre eux sont morts dans des circonstances similaires. Parc Georges-Brassens (XVe), ce mardi.

Les habitants du quartier hésitent à emprunter cet espace réservé aux chiens depuis que quatre d’entre eux sont morts dans des circonstances similaires. (LP/E.S.) L’histoire se répand dans le quartier, les réseaux sociaux et les médias commencent à relayer…

Autour du parc Georges-Brassens (XVe), l’alerte lancée par une jeune femme après la mort inexpliquée de plusieurs chiens, au retour de simples balades dans l’unique « allée aux chiens » du jardin, braque les regards sur ce coin de verdure du sud de la capitale.

Depuis dix jours, la propriétaire d’un petit bouledogue français mort brutalement de convulsions, peu après sa promenade, tente de comprendre.

« Qui peut être assez méchant et assez fou pour vouloir empoisonner nos chiens? C’est forcément quelqu’un », martèle la jeune femme . Pas de psychose pour l’instant à Georges-Brassens, mais l’affaire fait tout de même hésiter le rationnel Jean-Michel, qui traverse souvent le parc par cette allée avec Johnny, son pékinois de 8 ans.

« Il ne s’éloigne jamais beaucoup, mais depuis qu’on m’a parlé de ça, je fais tout de même plus attention à ce qu’il va renifler », reconnaît le jeune retraité.

Car Héléna en est convaincue : c’est du poison dissimulé dans des appâts qu’a avalé Hendrix, son chien d’à peine un an. Et avant lui, selon l’enquête menée par la jeune femme, trois chiens ont été foudroyés par le même mal depuis le printemps.

Tous s’étaient promenés dans l’étroit chemin réservé aux toutous, qui longe les aires de jeu, les pelouses et les allées plus escarpées de Brassens.

Une plainte contre X Inconsolable, mais aussi effrayée et en colère, Héléna va déposer plainte contre X, dès qu’elle aura les résultats de la recherche de toxiques pratiqués dans ce que son chien avait régurgité, lorsqu’il a été pris de convulsions. Elle pressent déjà le verdict :

« Il y a une très forte suspicion d’empoisonnement. D’ailleurs un monsieur a déjà retrouvé une sorte de boulette ou de croquette empoisonnée qu’avait mangée son chien, juste à l’entrée de l’allée, dans les arbustes. »

Héléna ne croit pas au hasard.

« Ce n’est pas possible que trois chiens meurent de la même façon aussi atroce. Il faut trouver qui fait cela. Et avec quoi. »

Pesticide ? Antilimace ? Cyanure ou même curare, un poison extrait de lianes ?

« C’est très difficile de s’en procurer dans le commerce », remarque toutefois un vétérinaire, qui confirme que les symptômes des chiens malades évoquent les poisons très violents de certains produits phytosanitaires.

« Il faudrait passer le parc au peigne fin pour trouver de quoi il s’agit », suggère-t-il.

Sur place en tout cas, les jardiniers en combinaisons vertes le répètent : « On n’utilise aucun produit toxique. Si ces chiens ont avalé quelque chose, cela n’a rien à voir avec nous », s’agace l’un d’eux.

De son côté, la Ville de Paris a annoncé ce mardi soir qu’elle allait, par précaution, «passer au peigne fin le parc et ses alentours» mercredi matin.

Seul sur le sable, loin de ma mère, loin de mon pâturage, j'apprends encore à marcher, et pourtant ils veulent ma mort.

Une femelle magot maltraitée secourue par la Fondation 30 Millions d’Amis Moky dite « Fifi », une petite femelle magot, a été sauvée par la Fondation 30 Millions d’Amis des terribles conditions dans lesquelles elle vivait à Fontenay-sur-Loing (45).

Fifi vivait dans de très mauvaises conditions. © Fondation 30 Millions d'Amis Une femelle magot de 8 ans a été secourue par la Fondation 30 Millions d’Amis (08/06/2015).

Enfermée dans une cage remplie d’excréments où elle pouvait à peine se mouvoir, elle ne sortait plus depuis de nombreuses années. Elle vivait isolée dans une caravane désaffectée placée à côté de la maison de ses propriétaires.

Alertée par des voisins qui entendait le singe frapper contre sa cage, la Fondation 30 Millions d’Amis a contacté les autorités. A la suite d’un contrôle effectué par la gendarmerie, le parquet de Montargis (45) a prononcé la saisie de l’animal au profit de la Fondation.

FIFI, AUX CÔTÉS DE BOB ET EASY

Le magot est une espèce en voie d’extinction protégée par la convention de Washington. Sa détention est, à ce titre, soumise à une réglementation stricte.

C’est pourquoi une plainte a été déposée à l’encontre des propriétaires, notamment pour « défaut de capacité » et « maltraitance ».

La Fondation 30 Millions d’Amis se portera partie civile lors du procès. « Fifi » a rejoint aux Pays-Bas l’association AAP, partenaire de la Fondation 30 Millions d’Amis et spécialisée dans l’accueil de ces animaux . Elle côtoie désormais Bob et Easy, les deux magots saisis en mars 2015.

Un gamin de 5 ans attrape le chien d'une fillette puis le noie dans une fontaine

Cette histoire qui s’est passée ce dimanche matin à Oudenbosh intrigue et choque une partie de nos voisins, comme en témoignent les nombreux partages sur Facebook (plus de 8000 en moins de 24 heures) du statut de la maman d’une fillette.

Celle-ci se promenait avec son chien quand un gamin de 5 ans s’est précipité sur elle, lui a enlevé l’animal et est parti avec pour… le noyer dans une fontaine.

C’est en tout cas ce qu’explique la maman de la gamine sur Facebook, précisant qu’elle est allée trouver la police et que le gamin a été « intercepté » par après, semblant complètement indifférent à ce qui venait de se passer.

Même réaction « froide » de la mère du gamin, lorsque la police est allée vers elle pour expliquer ce qui s’était passé. La maman de la fillette a en tout cas porté plainte. On verra ce que cela donnera, étant entendu que le garçon ne pourra être poursuivi en raison de son âge…

Emotion à Barcelone après la mort d'un cheval épuisé d'avoir tracté des touristes en calèche

Un cheval est mort, jeudi dans la soirée, à Barcelone en pleine rue. Le cheval qui tirait des touristes dans des calèches, aurait été victime d'épuisement après un coup de chaud.

Selon une association de protection des animaux , le cheval est resté au sol pendant deux heures, sans aide, son propriétaire ne "voulant pas appeler le vétérinaire parce qu'il ne voulait pas payer". Finalement, après deux heures d'agonie, le cheval a été sacrifié.

L'émotion provoquée par la mort de ce cheval est grande à Barcelone où la Guardia Urbana (police municipale) a ouvert une enquête pour maltraitance d'animaux.

Des policiers qui sont toutefois dans le collimateur pour avoir tardé à appeler le vétérinaire.

La mairie de Barcelone, elle, a informé que le département de Protection animale a également ouvert une procédure qu'elle transmettra à la Generalitat pour d'éventuelles sanctions administratives.

Quant à l'organisation de protection des animaux, elle veut mettre fin aux tractages de calèches dans les rues de Barcelone et a, pour cela, ouvert une pétition en ligne.

Elle va risquer sa vie pour sauver celle d'un petit être en danger. Quand vous verrez qui, vous allez fondre!

Tous les jours, on entend de nouvelles histoires de tortures et de négligences envers les animaux.

Mais des histoires comme celles de cette femme sont tellement plus rares qu’on les savoure sans modération!

Dans une grande canalisation d’évacuation des eaux usées, cette femme a entendu les cris d’un chaton en détresse.

N’écoutant que son courage, elle a pris les choses en main : elle a appelé des amis et les autorités locales pour lui donner un coup de main.

Ceux-ci l’ont maintenu au dessus de la canalisation surplombée de boue afin qu’elle parvienne à attraper le petit animal en détresse. Elle a finalement réussi à se glisser à l’intérieur et à secourir le chaton.

Un sauvetage audacieux et réconfortant qui montre que certaines personnes sont prêtes à se mettre en danger pour sauver la vie de petits animaux en danger! Magnifique, à partager sans attendre avec tous vos amis!

Tant de misère, tant de maltraitance.

Pour les chiens bouilli vivant en Corée

Pour Les Dauphins Éviscéré au Japon

Pour les baleines chassés par les norvégiens

Pour les bulls poignardé à mort en Espagne

Pour les ânes a travaillé à mort au Népal

Pour les renards et les blaireaux déchirée en Angleterre

Pour les éléphants mutilés et enchaînés en Inde

Pour les ours et les bisons et les loups tourné en Amérique

Pour les phoques veaux battue à mort dans le Canada et l'Islande

Pour les lapins dépecés vivants en Chine

Pour les chiots et les chatons de faim en Serbie

Pour tous les animaux dans des laboratoires, dans des zoos, dans les élevages industriels et dans les cirques

Pour chaque animal sur la terre qui doit endurer le cruel silence de l'indifférence des hommes...

Je serai leur voix !

Le sexagénaire avait traîné sa chienne attachée à sa voiture : du sursis

C’est une affaire de sévices graves sur un animal domestique peu banale qui a occupé les juges du tribunal correctionnel de Bonneville, hier en milieu d’après-midi.

Les faits remontent au 23 avril dernier. Alors que sa chienne avait l’habitude de s’enfuir et de divaguer, son propriétaire avait tenté de la faire monter dans sa voiture pour rentrer à la maison.

Devant le refus de l’animal, l’homme, âgé d’une soixantaine d’années, avait alors décidé d’attacher son chien au véhicule et de le traîner sur plusieurs centaines de mètres sur l’asphalte. Il voulait punir sa chienne

Brûlures graves aux coussinets et plaies béantes sur l’ensemble du corps, c’est l’état dans lequel se trouvait la bête au moment où elle a été transportée chez le vétérinaire.

Elle a ensuite été soignée puis remise à l’association Animaux secours à Arthaz, dont l’objectif est la défense des animaux sur le territoire français, et qui s’est porté partie civile dans cette affaire.

À la barre du tribunal, l’homme semble ne pas avoir de regrets, expliquant qu’il avait voulu punir sa chienne. Des propos jugés inquiétants par la partie civile, réclamant l’interdiction définitive pour cette personne de détenir des animaux domestiques. Le procureur, quant à lui, parle de grave cruauté et de comportement de type sadique, rappelant que le prévenu souffre d’alcoolisme chronique.

La défense, enfin, a tenté de démontrer que si les faits sont particulièrement désagréables, le personnage ne l’est pas forcément, arguant que ce jour-là, il n’était pas dans son état normal du fait d’une alcoolémie très importante.

Au final, l’homme a été condamné à 4 mois de prison avec sursis et à une amende de 1 000 euros. Il devra en outre verser environ 1 800 euros de dommages et intérêts à la partie civile. De plus, il s’est vu condamner également à l’interdiction définitive de détenir un animal. Sa chienne lui a été confisquée et remise à l’association d’Arthaz.