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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Nous tuons des milliards d' animaux, détruisons la forêt Amazonienne, empoisonnons l' environnement, nous sommes la principale cause de l' extinction des espèces, des zones mortes de l' océan, de la pollution de l' eau, et nous vous vendons des produits qui vous tuent, merci pour votre soutien!.
Je ne sais pas pourquoi je suis là? Où je suis? Pourquoi on me fait ça? Qu' est-ce que j' ai fait de mal? Ma maman me manque...j' ai faim...et j' ai peur...
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Vendredi soir, alors que nous étions en famille autour d'une bon barbecue convivial, nous avons été interpellés par les miaulements de mon chat au portail, en y rigolant je demande à mon conjoint d'aller lui ouvrir car maintenant il faut lui ouvrir la porte comme un prince ... et c'est la que le cauchemar a commencé, il ramène mon chat le visage explosé rempli de sang, nous avons tout de suite pensé à une voiture... sans chercher + loin nous appelons service d'urgence veterinaire, (ma veterinaire habituelle n'a pas voulu me le prendre il fallait attendre le lendemain 9h) chose impossible vu le sang qu'il perdait, donc mon voisin nous a communiquer le numéro de son veto, qui nous a recu illico.
Vu son état il nous la garder la nuit. J'appel le samedi matin 9h pour avoir des nouvelles et la la nouvelle m'a assomé littéralement... Je ne trouve pas les mots pour décrire la personne qui a fait ca mais IL A FUSILLE DARRYO A BOUT PORTANT au fusil à plomb à air comprimé directement dans sa machoire... vu l'impact, le plomb à exploser dans lui... le veto l'a opérer une bonne partie de la nuit, a reconstitué sa machoire, lui a posé une sonde alimentaire, son pronostic vital est engagé, il ne sait pas s'il pourra se ré-alimenter seul, ne sait pas si sa machoire va se remettre correctement et du coup s'il respirera normalement, s'il va supporter les éclats de plombs en lui...
Dimanche midi, le vêterinaire nous appel pour venir le voir (photo) presque inconscient, mais nous étions si content de le voir, il s'est mis à ronronner pour notre + grand bonheur...
Le docteur vétêrinaire exceptionnel le garde auprès de lui, le nourrit, le cajole, nous soutien, nous rassure et le garde encore plusieurs jours...
PARTAGEZ CE TEXTE si vous aussi vous etes scandalisée par la cruauté envers les animaux, si vous aussi vous etes scandalisés que l'état classe la plupart de ces affaires sans suites... pour ma part mon chat c'est un membre de ma famille à part entière...
Mélanie Lenaehla
Les préfectures accélèrent l'extermination du Loup ! Les préfectures sont aux ordres du gouvernement français. Elles en sont même la principale "courroie de transmission".
Le gouvernement veut davantage de loups tués ; les préfectures s'exécutent...souvent avec zèle !
Il faut dire que Ségolhaine la Sanglante n'a pas la réputation d'avoir un caractère facile ; certains allant jusqu'à dire qu'elle n'hésite pas à "couper les têtes" qui la dérange...
Il n'y a qu'à voir avec quel acharnement madame Royal poursuit Canis lupus italicus de sa haine !
La préfecture des Hautes-Alpes (05) vient d'autoriser jusqu’au 10/01/2016, les tirs à tuer de deux loups dans la région d'Embrun (05200).
Les escadrons de la mort agiront sous la conduite de la louveterie et de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS).
Ces autorisations de massacre s’inscrivent dans les dispositions du protocole d’intervention 2015 sur la population de loups, le funeste Plan Loup validé par des associations comme FERUS, la FNE et le WWF France.
La préfecture de Gap a également demandé d’urgence que des battues soient effectuées prochainement dans le secteur.
Il faut dire que les élections régionales sont dans 4 mois et le gouvernement est à la pêche aux voix de leurs gogos favoris, les éleveurs et les néo ruraux.
La préfecture de la Drôme, jamais en reste dans la lutte à mort contre le Loup, a autorisé des tirs à tuer jusqu'au 28/08/15 dans les secteur de Glandage (26410) et de Lus-la-Croix-Haute (26620). Là aussi, tous les haineux de la Nature sont invités au massacre.
L'association Le Klan du Loup appelle les Citoyennes et les Citoyens attaché-e-s au respect de la biodiversité à entraver par tous les moyens les actions illégales d'extermination du Loup en France.
Certaines ont déjà été menées avec succès ; elles doivent se poursuivre et s'amplifier. Une fois de plus, l'association Le Klan du Loup est la seule à être 100% Loup, 0% de tir à tuer !
Nous en profitons pour souligner l'appel de The Wolf Army à une coordination des associations opposées à TOUS les tirs à tuer. Nous reviendrons rapidement sur cet appel que nous soutenons.
Le Klan du Loup
Le lion est mort. Difficile de qualifier l’ampleur de la vague d’émotion qui a déferlé sur les réseaux sociaux et les médias après l’abattage du félin Cecil, icône du Zimbabwe, par un dentiste américain lors d’une partie de chasse.
Déluges de commentaires et de photos , traque du chasseur jusqu’aux menaces de mort, indignations et pleurs de célébrités, centaines de milliers de dollars versés à des organismes de recherche et à des ONG de protection des animaux sauvages.
Rien ne paraît pouvoir étancher la peine et l’indignation collectives. A tel point que le Zimbabwe a interdit la chasse près du parc national Hwange, que des compagnies aériennes nord-américaines se sont engagées à ne plus transporter de trophées et qu’un sénateur américain a proposé une « loi Cecil » contre ce sport désormais honni par l’opinion publique occidentale.
Les tollés entraînés par les actes de cruauté envers les animaux, ou par la mise en scène de leur abattage, ne sont pas nouveaux. On se souvient du zoo de Copenhague qui avait provoqué la foudre des internautes, voilà un an, en abattant et en dépeçant un girafon en parfaite santé, Marius, parce qu’il ne présentait pas un patrimoine génétique suffisamment original.
En France, la vidéo virale du chaton Oscar, violemment jeté contre un mur par un jeune homme, avait également suscité des torrents de commentaires et conduit à la condamnation de l’auteur à un an de prison ferme, une peine plus sévère qu’à l’accoutumée.
Cette fois, l’histoire est d’autant plus détestable qu’elle est assortie de relents colonialistes : un riche touriste américain, blanc de surcroît, qui débourse 50 000 dollars (quelque 46 000 euros) pour tuer le roi des animaux dans un pays africain, l’image marque.
D’autant que l’époque n’est plus celle de Tintin au Congo. Le temps est loin où l’on exposait les fauves dans des cages exiguës au sein de ménageries, et où l’on organisait des combats de bêtes sauvages. Aujourd’hui, la société – une partie du moins – ne ressent plus le besoin de se mesurer à l’animal.
La vie sauvage et les espaces naturels sont non seulement davantage respectés, mais fascinent aussi pour la majesté et l’esprit de liberté qu’ils incarnent. De plus en plus, le tourisme de chasse cède la place au tourisme d’observation, qui permet de générer des rentrées financières sans piller ou gaspiller les ressources naturelles. Actes de cruauté et de mises à mort quotidiens
Comment expliquer ce basculement ?
Les progrès de la recherche scientifique, de l’éthologie à la biologie en passant par le droit animal, ont permis de mieux saisir les modes de vie des êtres à quatre pattes et de faire preuve d’empathie à leur égard.
Les pressions des associations de défense des animaux, qui se sont professionnalisées, ont conduit certains pays à interdire des pratiques sanglantes – comme la découpe d’ailerons de requins vivants ou le massacre de bébés phoques.
Enfin, internet et les réseaux sociaux ont facilité tant la dénonciation de massacres d’éléphants que l’émerveillement face à des images de chatons ou de lionceaux.
Le droit suit (timidement) le mouvement. En France, à défaut de faire l’objet d’une vraie catégorie dans le code civil, les animaux se sont vu accorder, en début d’année, le statut d’êtres vivants doués de sensibilité, censé davantage les protéger.
Mais ces bons sentiments s’exercent à l’égard de certains animaux seulement. Les emblématiques, les iconiques. Les « beaux » ou les « mignons ». Les félins, les chats, les baleines, les ours polaires, les dauphins ou les pandas. Pas les rats, les salamandres, les échidnés ou les poissons.
Pourtant, l’érosion de la biodiversité, si elle est générale, concerne davantage les amphibiens et les reptiles que les oiseaux et les mammifères. Le rapport de l’homme à l’animal est irrationnel.
Nombre d’entre nous s’indignent de l’abattage d’un lion au Zimbabwe, mais tolèrent plus facilement la chasse en France– qui tue 30 millions d’animaux par an –, ainsi que la corrida, les zoos ou l’expérimentation animale.
Surtout, la grande majorité ferme les yeux sur l’élevage industriel, responsable de la pire exploitation et maltraitance animales de tous les temps. A l’échelle mondiale, ce sont 65 milliards d’animaux qui sont abattus chaque année pour satisfaire nos appétits toujours plus carnés.
Des bêtes qui passent une vie de plus en plus courte en étant maltraitées, surmenées, gavées d’antibiotiques et d’hormones de croissance, avant d’être transportées et abattues sans considération. L’essentiel de nos modes de vie est fondé sur l’utilisation des animaux.
A la différence de la mort du lion Cecil, cette exploitation nous est cachée et nous ne voulons pas la voir. Tout est fait, dans les pays développés, pour nous épargner la vue d’actes de cruauté et de mises à mort, en réalité quotidiens.
Dans le secteur agroalimentaire, les abattoirs et les vastes élevages industriels sont situés hors des villes et fermés. Le lien entre la bête et les morceaux de viande est gommé. Le vocabulaire lénifiant prend le dessus sur la réalité des pratiques.
Le chemin est encore long dans la prise de conscience de la condition animale. La mort de Cecil peut ouvrir une porte sur cette réalité. A nous de nous y engouffrer, pour en faire une question de justice plus qu’une réaction affective. E
«Les bêtes sont encore vivantes au moment où on les tronçonne»
INTERVIEW Anne de Loisy, journaliste, est l’auteure d’une enquête sur la filière de la viande.
La journaliste Anne de Loisy avait enquêté en 2012 sur les abattoirs pour l’émission Envoyé spécial.
Elle en a tiré Bon appétit ! Quand l’industrie de la viande nous mène en barquette (1), un livre très documenté paru fin février sur la filière de la barbaque, des éleveurs à nos assiettes.
Est-ce difficile d’enquêter sur la filière de la viande ?
C’est très compliqué parce que c’est hyper opaque. Les industriels refusent les interviews et interdisent les tournages dans les abattoirs. Le problème de la viande, c’est que c’est une industrie qui est dirigée par trois personnes : les groupes Bigard, Terrena, et SVA Jean Rozé.
Du coup, rien ne sort. Comment avez-vous eu accès aux abattoirs ?
J’ai d’abord demandé les autorisations officielles, qui m’ont été refusées. J’ai fini par y avoir accès grâce à des intermédiaires, notamment l’Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs (OABA). Je suis entrée avec le directeur, qui m’a présentée comme l’une de ses assistantes.
Lors de votre enquête, qu’est-ce qui vous a le plus choquée ?
Je ne me rendais pas compte à quel point l’industrialisation de la viande était en marche. A tous les niveaux. Les élevages de 40 000 volailles, de milliers de cochons, de centaines de bovins… On est loin des images de vaches dans les prés qu’on vend au consommateur. Mais le plus impressionnant, c’est l’industrialisation de l’abattage.
Faire passer un animal de vie à trépas, c’est forcément un peu gore. Mais l’industrialisation de cette étape-là est extrêmement violente : les bêtes sont abattues à une telle cadence qu’elles sont encore vivantes au moment où on les tronçonne.
En plus, ce sont des conditions extrêmement compliquées pour les ouvriers des abattoirs, qui travaillent dans le froid, le sang, les odeurs…
D’où vient la viande que l’on trouve dans nos assiettes ?
Dans la restauration collective, 70% des bovins et 87% de la volaille sont importés. Alors qu’on a des éleveurs qui crèvent de faim, et que la profession compte entre un et deux suicides par jour. Quand les gens chargés de nourrir une société se suicident à tour de bras, c’est qu’il y a un souci quelque part !
Le paradoxe, c’est que nos belles races à viande sont exportées et qu’on récupère des vaches laitières moins chères, de mauvaise qualité. C’est toute l’aberration du système : les industriels nous expliquent qu’on a une viande bas de gamme parce que le consommateur veut une viande bon marché, alors que les prix ont augmenté de 40% entre 1995 et 2010 pour le consommateur, mais n’ont pas changé pour l’éleveur. Ces deux bouts de la chaîne sont les grands perdants. Vous expliquez qu’il n’y a pas assez de vétérinaires dans les abattoirs…
Les grands abattoirs ont choisi l’autocontrôle. Ça ne fonctionne pas, parce qu’ils se retrouvent juges et parties. Les bouchers disent qu’ils ont de plus en plus de carcasses qui arrivent avec des abcès. Eux les enlèvent, mais après, tout ce qui part en industriel…
C’est parfois mixé ! On n’arrivera pas à améliorer le système tant qu’on ne mettra pas plus de vétérinaires pour contrôler les différentes étapes de l’abattage.
Qu’est-ce que l’abattage rituel ?
C’est un abattage, halal ou casher, fait par des personnes habilitées. Pour les juifs, ce sont des chokhet, pour les musulmans, ce sont des personnes qui possèdent une carte de sacrificateur, remise par trois mosquées en France.
Dans les deux cas, ils tranchent complètement la gorge, et sont obligés de couper tous les canaux, dont l’œsophage et la trachée. Abattage rituel ne signifie pas qu’il est forcément sans étourdissement préalable.
De plus en plus de musulmans considèrent qu’un abattage avec étourdissement est halal si la bête est tournée vers La Mecque et si le nom d’Allah est prononcé par le sacrificateur.
Pourquoi certains abattoirs généralisent-ils l’abattage rituel ?
Plutôt que de nettoyer la chaîne entre chaque type d’abattage, et donc stopper la production, les industriels préfèrent tout faire en rituel, en se disant que les consommateurs n’ont pas besoin de savoir.
Parvenez-vous encore à manger de la viande ?
Oui, mais j’en mange moins, et de meilleure qualité.
Et en circuit plus direct, ce qui permet de savoir comment les bêtes ont été élevées et abattues, tout en faisant mieux vivre les éleveurs. Le circuit court, c’est ce qui peut nous sauver, et sauver la filière. Vous dédicacez ce livre «aux femmes et aux hommes qui travaillent dans la filière viande pour satisfaire nos pulsions carnivores».
Les coupables, c’est nous ?
Manger de la viande n’est pas un problème en soi. Mais si les gens prennent conscience de la réalité, ils seront peut-être moins enclins à jeter la vieille tranche de jambon au fond du frigo. Le plus problématique, c’est la viande transformée, qui contient énormément de conservateurs, d’additifs, d’antibiotiques.
C’est complètement aberrant dans un pays qui vante partout sa gastronomie et qui nous sert des produits qu’on n’a vraiment pas envie de manger. Mais, au final, c’est quand même le consommateur qui achète. Son pouvoir d’achat, c’est un bulletin de vote.
Si je dois être la voix des animaux, alors comment devrais-je parler ? Est-ce que je dois chuchoter, quand ils crient de douleur ? parler avec calme, quand ils tremblent de peur ? hurler pour demander pitié, quand leurs gorges sont tranchées ? Dites-moi comment je dois parler pour que vous arrêtiez de les exploite
Corée du Sud: la folie du lifting pour...chien
En Corée du Sud, les propriétaires de bichons ou autres caniches font pratiquer sur leurs animaux de la chirurgie esthétique.
Parmi les interventions les plus demandées: chirurgie des paupières, remodelage des oreilles ou encore raccourcissement de la queue.
En cette journée mondiale du chat, en Corée du Sud, c'est tous les jours la fête des chiens.
Les Coréens ont succombé à la tendance botox mais pour leurs compagnons à quatre pattes.
Selon l'un des plus importants quotidien sud-coréen Chosun Ilbo, les propriétaires d'animaux sont devenus complètement fous de la chirurgie esthétique, en tout cas à Séoul.
Rien d'étonnant pour cette ville, considérée comme la capitale des opérations chirurgicales, avec 16 opérations pour 1.000 habitants.
Au programme pour les canidés, des actes chirurgicaux semblables à ceux de leur maîtres et maîtresses.
Agrandissement des paupières, réduction des rides, aspiration de la graisse... autant ne pas avoir un Basset ou un Shar Pei.
Les chirurgiens proposent également de faire raccourcir la queue de son chien ou encore de lui remodeler les oreilles.
"Actes de cruauté"
"La chirurgie esthétique pour les animaux était, dans le passé, exclusivement réservé à des raisons médicales, explique un vétérinaire au quotidien local.
Mais les résultats donnaient également des chiens plus beaux, ce qui a encouragé une clientèle croissante à recourir à la chirurgie." Un autre praticien, le Dr Yoon, assure quant à lui que "les propriétaires d'animaux avaient le droit de rendre leurs animaux plus beaux", vantant les mérites d'une intervention sans risque.
Si pour le moment seuls les chiens sont concernés, les défenseurs des aniùaux sont déjà montés au créneau pour que ces pratiques soient considérées comme des actes de crua
Une chienne abandonnée photographiée dans un refuge avec les larmes aux yeux Si vous vous demandiez à quoi ressemble le chagrin, c’est à cela.
Chaque année, des milliers de chiens innocents risquent d’être euthanasiés à tout moment (environ 1/3 des chiens accueillis en refuge sont euthanasiés).
Y compris cette chienne, qui semble tout à fait avoir conscience de ce qui pourrait lui arriver.
La société de protection des animaux HPHS (High Plains Humane Society) envoie ses membres dans les refuges afin de photographier les chiens en attente d’aide ou d’adoption.
Lors d’une récente visite au refuge de la ville de Portales, au Nouveau-Mexique, l’HPHS a pris une photo poignante d’une chienne, qui contemple l’objectif avec désespoir à travers la grille de sa cage.