Pour ceux qui pensent encore que les animaux non humain n'ont pas de conscience et ne souffrent pas...A méditer et "si possible" changer votre façon de consommer.

Cruauté envers un animal domestique : un chien jeté par la fenêtre à Fourmies

Encore une fête qui a tristement mal tourné, samedi dernier à la Tour Bellevue de Fourmies et c’est une pauvre petite chienne qui en a fait les frais.

Au cours d’une soirée bien arrosée, le propriétaire a balancé son bouledogue femelle noir d’un an et demi par dessus le balcon de son appartement.

Tombé du septième étage, l’animal n’a pas survécu. Placé en garde à vue, l’homme a reconnu les faits et devra répondre de ses actes devant la Justice.

La Société protectrice des animaux (SPA) Grande Thiérache d’Hirson et la Fondation Brigitte-Bardot de Paris se sont portées partie civile.

Echec est un mot que je connais .Sur mon lit de mort il sera gravé pour que les gens sachent ce que j'ai fait ou plûtot ce que j'ai raté. Ils seront un par un stupéfaits. Riront-ils ? J'en suis persuadé. Faudra-t-il vivre dans le noir. Abandonner au pied du mur. Il ne faut pas perdre espoir Tout appartient au futur. Vivre ou mourrir .Imaginez mon malheur. Voilà ce qu'il y a de pire ,ressentir toutes les douleurs et ne plus éprouver de plaisir

LE PERE NOËL NOUS A ENCORE OUBLIE CETTE ANNEE

LA PROTECTION ANIMALE C EST QUOI ?

- C'est SIGNER des pétitions

- Se RENDRE à des manifestations

- C'est NE PLUS ALLER aux cirques/delphinarium

- C'est ENVOYER des mails au gouvernements du monde entier

- C'est SENSIBILISER ses enfants, ses proches sur la condition animale - C'est se RENSEIGNER sur ce que vous consommez

- C'est faire du BENEVOLAT quelques jours/an (emmener promener des chiens de SPA/refuge, distribuer des tracts,...)

- C'est FAIRE des dons (croquettes, médicaments, couvertures, gamelles,....)

- C'est DENONCER l'horreur (partage sur facebook, discussion entre amis,...)

- C'est BOYCOTTER tout ce qui cautionne la maltraitance animale (cirques, delphinarium (type Marineland), huile de palme, pays où la maltraitance est légale, fourrure, produits d'élevage intensifs, graisse de phoque, produits testés sur les animaux, etc etc...)

- C'est ENCOURAGER les associations de protection animale par des dons (fondation BB, Sea Shepherd, 30millions d'amis, etc...)

- C'est vous ARRETER lorsque vous voyez un animal en détresse

- C'est PENSER/PRIER pour chaque animal en souffrance

IL Y A 1000 FAçONS D AIDER LES ANIMAUX, PEU IMPORTE COMMENT, LE PRINCIPAL C' EST D'AGIR POUR QUE TOUT CELA CESSE !! NE RIEN FAIRE C'EST CAUTIONNER REJOIGNEZ LA PROTECTION ANIMALE FAITES BOUGER LES CHOSES DONNER VOTRE VOIX AUX ANIMAUX, ENSEMBLE TOUT DEVIENT POSSIBLE, IL SUFFIT D'Y CROIRE

Employé dans un refuge, il maltraite et abandonne des chiens .Depuis plusieurs jours, la police de Long Island, aux Etats-Unis, est à la recherche d'un caniche disparu, Bailey.

Le pauvre animal a été jeté d'une voiture, par un homme travaillant dans un refuge pour animaux.

Michael Papini, 30 ans, a été interpellé samedi après avoir été identifié grâce à des caméras de vidéosurveillance, rapportent les médias locaux.

Mais il a versé une caution de 500 dollars, soit 360 euros environ, et a été relâché.

2 victimes en quelques jours

Ses collègues sont bouleversés, car quelques jours plus tôt, ils ont secouru un autre chien maltraité par cet homme, un Lhassa Apso baptisé Cherry, jeté dans une berne à ordures.

Le chien, enfermé dans des sacs, avait réussi à se libérer en mâchant le plastique, raconte le directeur de la SPCA du comté de Suffolk, Roy Gross.

C'est un SDF qui l'a découvert alors qu'il fouillait dans une poubelle. La maîtresse de la pauvre bête a été retrouvée grâce à la puce électronique de l'animal.

Elle a alors expliqué à la police avoir confié Cherry à Papini car elle ne pouvait plus s'en occuper. Il lui avait promis qu'en échange de 250 dollars, l'animal serait pris en charge par le refuge qui l'employait. Une récompense de 360 euros Papini aurait jeté Bailey dans une rue de Babylone Village le 23 décembre dernier.

Le recherchant activement, la SPCA promet une récompense de 500 dollars pour toute information qui permettrait de le retrouver. "Je trouve très inquiétant que quelqu'un puisse faire une chose pareille, et encore plus inquiétant qu'il s'agisse d'une personne travaillant dans un refuge" déclare Roy Gross.

Espérons que Bailey sera très vite sauvé et secouru, comme Cherry qui devrait être prochainement proposé à l'adoption, dès qu'il sera remis sur pattes.

La connerie humaine n'a donc vraiment pas de limite... quelle déception... (c'est de l'ironie) Quand allons-nous ENFIN comprendre que les nuisibles ce ne sont pas EUX ??!! Regardez-vous dans la glace... grrrrrrrrrrrrrrr

J'espère qu'un jour les gens comprendrons enfin que ce n'est pas juste un chien!

Il y a des cœurs qui saignent, il y a beaucoup d’injustice dans le monde! Alors oui je me battrai pour la justice et pour le respect de tout individu. Même si je dérange, même si ça ne plait pas à tout le monde, mon combat commence à un niveau individuel, au niveau de l’être, parce que je suis très consciente qu’aucun changement à un niveau collectif et mondial ne pourra se faire tant que nous ne commencerons pas à un niveau individuel. Respectons-nous et l’amour se propagera. Respectons-nous et l’injustice se résorbera .Respectons-nous et la paix sera maître sur terre..

Dordogne : condamnée pour avoir abandonné ses 13 chiens

Une habitante de Sourzac avait laissé ses animaux en cage durant l’été, sans eau, ni nourriture Jugée, une habitante de Sourzac avait laissé ses animaux en cage durant l’été, sans eau, ni nourriture

Ce sont des voisins qui, début août à Sourzac, avaient donné l’alerte. Inquiétés et pour le moins dérangés par des chiens enfermés dans des cages aboyant jour et nuit, ils avaient prévenu les gendarmes.

Sur place, ces derniers avaient découvert 13 chiens qui, malgré la chaleur estivale, étaient cloîtrés en plein soleil dans un espace réduit, sans eau, ni nourriture.

Dépêché sur place, un vétérinaire avait posé un diagnostic peu réjouissant de l’état des animaux, parfois maigres et anormalement craintifs.

Mireille, la propriétaire, comparaissait donc ce mercredi devant le tribunal correctionnel de Périgueux pour abandon volontaire et mauvais traitements sur des animaux domestiques.

Des animaux délaissés Mais à la barre, l’éleveuse, qui assurait vouloir dresser des border collies à rassembler les moutons, a rejeté avec vigueur toutes les charges qui pesaient sur elle. « On ne peut pas parler d’abandon alors qu’il y avait normalement quelqu’un pour s’occuper des chiens et qu’en son absence, j’allais les voir deux fois par jour », s’est-elle défendue.

Une position un peu courte pour les avocats des SPA de Périgueux et Bergerac qui, ayant recueilli les animaux, s’étaient constituées parties civiles : « La prévenue dit ne pas avoir maltraité ses chiens, mais en fait, elle ne les a pas traités du tout. Ces animaux ne connaissaient pas l’homme, ils n’étaient pas apprivoisés car elle les délaissait dans leurs cages. » Et son confrère de renchérir : « Les chiens étaient livrés à eux-mêmes, blessés, malades, vivant dans leurs propres excréments. » Le procureur a quant à lui souligné que Mireille, 49 ans, avait déjà été condamnée pour des faits similaires au Mans (72) en 2011.

Estimant qu’elle était incapable de s’occuper d’animaux, il a requis un mois de prison avec sursis, une interdiction de détenir des animaux pendant cinq ans, la confiscation de ces derniers et des contraventions.

Pas de mauvais traitements Mais visiblement peu impressionnée par les plaidoiries des avocats et les réquisitions du parquet, l’éleveuse non déclarée, vivant en fait du RSA, est revenue à la charge : « Je suis éducateur canin et comportementaliste et je connais les chiens », a-t-elle lancé avant de conclure sans se démonter : « Je souhaite les récupérer. J’ai trouvé une maison avec un hangar et du terrain pour m’en occuper ». Une défense qui a en partie porté ses fruits.

Mireille a été relaxée des faits de mauvais traitements. Pour le reste, elle a été condamnée à trente-cinq heures de travail d’intérêt général à effectuer en dix-huit mois, 17 contraventions à 20 euros et une interdiction de détenir des chiens pendant cinq ans. Ces chiens sont en outre confisqués. La prévenue devra aussi dédommager la SPA.