Tu sais, « pour toujours », c'est un temps très très long. Mais le temps a une façon bien à lui de changer les choses...

Nos vies ne nous appartiennent pas. Des entrailles à la tombe, nous sommes liés à d'autres

Je commence à comprendre que la vie, c'est : un peu d'amour, beaucoup de joies, quelques larmes, une pincée de peur, et des tas de poussières d'espoir.

Fais moi pousser des ailes pour que je m'envole vers mes rêves...

Je vais mettre en rafale des photos de ce que vivent la parents des chiots que vous achetez en animalerie et chez des supposés élevages familiaux qui annoncent sur des sites d'objets à vendre.

Vous allez voir ce que VOUS encouragez en achetant le chiot. Si vous achetez ce chiot, c'est payant, alors ils continueront.

Grâce à vous ces gens font du cash et ne cesseront d'en faire tant que vous achetez.

Les parents de ces chiots devront finir leur vie dans ces endroits parce que VOUS achetez les chiots.

Parlez en autour de vous.

Expliquez aux gens de ne pas le faire.

Faites le pour eux.

Il torture son nouveau chien après avoir égorgé son labrador en mars Saint-Étienne.

Âgé de 20 ans, récidiviste, le tortionnaire vient d’être une nouvelle fois hospitalisé d’office en psychiatrie.

Son jeune chien, de race akita inu, est actuellement soigné dans une clinique vétérinaire à Villars.

Hayko est un jeune chien de race akita inu.

Comment est-il arrivé chez son futur tortionnaire, à Saint-Étienne ?

Nul ne le sait encore. Toujours est-il que lundi après-midi, les services de police ont été alertés par des riverains de la rue Borie, pour les hurlements de douleur d’un chien et des traces de sang retrouvées dans les escaliers de l’immeuble.

Un jeune homme de 20 ans a ouvert la porte de son appartement sans résistance et les policiers ont découvert le chien, grièvement blessé aux pattes, à l’arrière-train et à l’œil.

Dans la salle de bains, un rasoir, une paire de ciseaux et un couteau portant des traces de sang, ont été saisis.

Le maître, placé en garde à vue, a ensuite été hospitalisé d’office en psychiatrie.

Quant à Hayko, il a été transporté par les pompiers dans une clinique à Villars.

Si ses jours ne sont pas en danger, il pourrait être énucléé avant d’être recueilli dans le refuge de la fondation Brigitte Bardot, en Normandie.

Une plainte a d’ailleurs été déposée, au nom de la fondation, par Christine Crépinge, enquêtrice pour les départements de la Loire et la Haute-Loire, pour actes de cruauté.

Le pire, c’est que le jeune maître tortionnaire, est récidiviste.

Le 27 mars dernier, sa compagne avait prévenu les services de police. C’est elle qui avait reçu les policiers, un bébé dans les bras. Dans le salon, gisait un jeune coupé labrador, sur un canapé, sous un sac-poubelle.

Assommé avec une clé à pipe, le pauvre animal avait été égorgé avec un couteau. À l’issue de sa garde à vue, là encore, le jeune homme avait été hospitalisé d’office.

Mais comment a-t-il pu se retrouver à nouveau en possession d’un animal , quelques mois après ces précédents faits ?

D’autant plus que le voisinage, qui a d’ailleurs alerté lundi les services de police et la fondation Brigitte Bardot, évoque des sévices habituels de la part de ce jeune maître.

Une enquête permettra sans doute aussi de découvrir comment Hayko, chien de pure race, né le 6 avril 2012 dans l’Ondaine et acquis pour 1 000 euros par une jeune femme de Saône-et-Loire a pu atterrir chez son tortionnaire, à Saint-Étienne.

Adoptez en refuge ! Ils ont besoin de vous !

Si vous avez adopté un animal, peut-être l’avez-vous fait grâce à l’aide d’une S.P.A, d'une association ou d’un refuge ? C’est un geste noble et plein d’amour que vous avez fait là.

Mais nous sommes nombreux à nous demander comment se passe la vie là bas pour les animaux ; nous allons essayer d’y répondre.

Tout d’abord, la Société Protectrice des Animaux a été crée au XIXe siècle afin de lutter contre la cruauté et les maltraitances animales.

Elle recueille les animaux abandonnés afin de les faire adopter, mais exécute également des actions en justice pour protéger nos compagnons.

Elle aide aussi à la sensibilisation pour la protection des animaux. Les animaux sont accueillis dans des cages ou des boxs, sont nourris et abreuvés régulièrement ; les chiens sont souvent sortis pour qu’ils puissent se dépenser.

Les animaux blessés sont soignés, et en général, on stérilise les animaux qui arrivent dans les refuges. Mais ces S.P.A. sont de plus en plus débordées : en effet, de plus en plus d’animaux sont abandonnés et retrouvés par les bénévoles, ou directement déposés dans les refuges.

De ce fait, ils y sont souvent en surnombre. Cette proximité avec les autres congénères peut géner certains animaux, les rendre anxieux ou un peu agressifs.

Les bénévoles sont souvent débordés avec ces trop grandes affluences. De plus, certains animaux, de par leur abandon ou leur passé difficile, peuvent avoir des troubles du comportement qu’il faut essayer de corriger avec patience et éducation.

Il existe parfois des dérives : certains refuges sont dépassés par le trop grand nombre d’animaux à s’occuper. On trouve alors des cas où les besoins naturels de ces créatures ne sont pas respectés : sous-alimentés, déshydratés ou pas soignés lorsqu’ils sont malades ou blessés ; de plus, à force d’être en contact avec des parasites et des animaux malades, la plupart contractent eux aussi des infections.

On trouve aussi un trop grand nombre d’animaux dans des cages, des chiens qui ne sortent pas assez et qui sont maltraités ; et même des animaux qui sont directement euthanasiés après leur arrivée au refuge…

Mais cela ne représente qu’une infime partie des refuges en France, qui d’ailleurs ont énormément besoin de vous pour les aider et des règles très strictes sont mises en place pour protéger les droits de nos compagnons.

Très souvent, ils sont bien traités et respectés, dans l’attente de famille et de personnes qui viendront adopter ces animaux délaissés.

....Une vidéo filmée en caméra cachée provoque l’émoi sur la Toile, en révélant les tortures subies par les animaux du Central Valley Meat Co.

Un abattoir situé à Hanford, Californie. Capture d'écran Youtube Capture d'écran Youtube Comme tous les abattoirs américains, Central Valley Meat est tenu de se conformer aux exigences fédérales ainsi qu’aux lois provinciales en matière de protection des animaux. Pourtant, la vidéo clandestine tournée par l’association de défense des animaux Compassion Over Killing témoigne d’actes de cruauté enfreignant tout à la fois les lois provinciales et californiennes.

Les images divulguées sont choquantes : certaines vaches affaiblies s’écroulent sous leur propre poids. Des hommes viennent alors leur infliger des décharges électriques à répétition pour les forcer à marcher.

On peut également voir d’autres bêtes gisant sur le sol, secoués de spasmes, ou vomissant un liquide jaunâtre. Un gros plan montre également un bovin saignant abondamment des naseaux.

CANTINES SCOLAIRES

 La plupart des animaux abattus par le CVM sont des vaches laitières qui ne sont plus économiquement rentables en tant que productrices de lait, révèle le site internet de l’association. Elles sont alors revendues à l’industrie de la viande qui écoule les stocks via des chaines de fast-food telles que Mc Donald’s mais également certaines cantines scolaires des Etats-Unis. Après avoir visionné la vidéo, le ministère de l’agriculture a fermé l'abattoir, dénonçant « un traitement inhumain des animaux d'élevage. » De tels abus ne sont pas des incidents isolés.

Les infiltrations de nombreux abattoirs à travers les États-Unis révèlent que les actes de cruauté envers les animaux d'élevage sont une pratique courante dans l'industrie de la viande. L'association préconise de consommer moins de viande afin de mettre fin à de tels abus, rappelant au passage que plus de 9 milliards d'animaux – oiseaux, cochons, vaches – sont élevés et tués chaque année aux États-Unis.

Adieu Beau Rêve, merci d'avoir existé .Adieu Beau Rêve, je t'ai bien aimé je t'ai chéri, presque adoré. Adieu Beau Rêve, tu n'as pas voulu faire partie de ma vie alors je t'en ai chassé. Tu n'as pas brisé mon ♥, tu l'as meurtri

De loin venus, voici les doctes, les savants. Ils vont sévir bientôt. Ils ont déjà sévi. Ce sont les médecins légistes de l’écriture. Ils opèrent à froid. Ils retournent un texte comme une peau de lapin. Ils décortiquent, ils désossent. Ils trouvent des milliers de circonstances, de virgules de guillemets. Ils trouvent tout sauf l’essentiel. Ce sont de grands malades. Ils sont atteints de cette maladie des paroles maigres, des paroles sobres. Même quand ils parlent juste, ils sont encore dans l’erreur de parle