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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Les moines Shaolin font des figures incroyables !
Le photographe polonais Tomasz Gudzowaty nous dévoile le secret des moines Shaolin à travers des photos sublimes. Situés dans la province de Henan, à Dengfeng, en Chine, ces moines subissent le plus dur des entraînements.
On tombe souvent sous leur charme en les voyants si léger et souple qu'on croirait à des montages parfois. Tomasz a fait un travail remarquable en nous montrant le cœur de l'univers Shaolin: là où les techniques tournent autour de l'équilibre, la force, l'endurance et la légitime défense.
Ce qui a fait de lui l'heureux gagnant des prix de World Press Photo. Les Shaolin sont des accumulateurs de douleurs qui ne sourcillent point...
Les moines Shaolin font des figures incroyables !
Le photographe polonais Tomasz Gudzowaty nous dévoile le secret des moines Shaolin à travers des photos sublimes. Situés dans la province de Henan, à Dengfeng, en Chine, ces moines subissent le plus dur des entraînements.
On tombe souvent sous leur charme en les voyants si léger et souple qu'on croirait à des montages parfois. Tomasz a fait un travail remarquable en nous montrant le cœur de l'univers Shaolin: là où les techniques tournent autour de l'équilibre, la force, l'endurance et la légitime défense.
Ce qui a fait de lui l'heureux gagnant des prix de World Press Photo. Les Shaolin sont des accumulateurs de douleurs qui ne sourcillent point...
Les moines Shaolin font des figures incroyables !
Le photographe polonais Tomasz Gudzowaty nous dévoile le secret des moines Shaolin à travers des photos sublimes. Situés dans la province de Henan, à Dengfeng, en Chine, ces moines subissent le plus dur des entraînements.
On tombe souvent sous leur charme en les voyants si léger et souple qu'on croirait à des montages parfois. Tomasz a fait un travail remarquable en nous montrant le cœur de l'univers Shaolin: là où les techniques tournent autour de l'équilibre, la force, l'endurance et la légitime défense.
Ce qui a fait de lui l'heureux gagnant des prix de World Press Photo. Les Shaolin sont des accumulateurs de douleurs qui ne sourcillent point...
Les moines Shaolin font des figures incroyables ! Le photographe polonais Tomasz Gudzowaty nous dévoile le secret des moines Shaolin à travers des photos sublimes.
Situés dans la province de Henan, à Dengfeng, en Chine, ces moines subissent le plus dur des entraînements. On tombe souvent sous leur charme en les voyants si léger et souple qu'on croirait à des montages parfois.
Tomasz a fait un travail remarquable en nous montrant le cœur de l'univers Shaolin: là où les techniques tournent autour de l'équilibre, la force, l'endurance et la légitime défense. Ce qui a fait de lui l'heureux gagnant des prix de World Press Photo. Les Shaolin sont des accumulateurs de douleurs qui ne sourcillent point...
Les moines Shaolin font des figures incroyables !
Le photographe polonais Tomasz Gudzowaty nous dévoile le secret des moines Shaolin à travers des photos sublimes. Situés dans la province de Henan, à Dengfeng, en Chine, ces moines subissent le plus dur des entraînements.
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Ce qui a fait de lui l'heureux gagnant des prix de World Press Photo. Les Shaolin sont des accumulateurs de douleurs qui ne sourcillent point...
Les moines Shaolin font des figures incroyables !
Le photographe polonais Tomasz Gudzowaty nous dévoile le secret des moines Shaolin à travers des photos sublimes. Situés dans la province de Henan, à Dengfeng, en Chine, ces moines subissent le plus dur des entraînements.
On tombe souvent sous leur charme en les voyants si léger et souple qu'on croirait à des montages parfois. Tomasz a fait un travail remarquable en nous montrant le cœur de l'univers Shaolin: là où les techniques tournent autour de l'équilibre, la force, l'endurance et la légitime défense.
Ce qui a fait de lui l'heureux gagnant des prix de World Press Photo. Les Shaolin sont des accumulateurs de douleurs qui ne sourcillent point...
Les moines Shaolin font des figures incroyables !
Le photographe polonais Tomasz Gudzowaty nous dévoile le secret des moines Shaolin à travers des photos sublimes. Situés dans la province de Henan, à Dengfeng, en Chine, ces moines subissent le plus dur des entraînements.
On tombe souvent sous leur charme en les voyants si léger et souple qu'on croirait à des montages parfois. Tomasz a fait un travail remarquable en nous montrant le cœur de l'univers Shaolin: là où les techniques tournent autour de l'équilibre, la force, l'endurance et la légitime défense. Ce qui a fait de lui l'heureux gagnant des prix de
Des photographies saisissantes qui montrent l'envers du décor des mines d'or au Burkina Faso
Il y a 5 jours par Corentin C'est tout un paradoxe : le Burkina Faso est l'un des pays les plus pauvres du monde et pourtant, il se classait au quatrième rang des pays d'Afrique producteur d'or en 2012. Le photographe Matjaz Krivic est allé voir l'envers du décor de cette production faramineuse, à la rencontre des mineurs et de ceux qui travaillent dans l'ombre pour déterrer le précieux métal.
Une grande partie de l'or provient de relativement petites mines, dans lesquelles les enfants travaillent aux côtés de leurs parents de l'aurore jusqu'au crépuscule, parfois plus. Ils ne sont payés qu'en fonction de la quantité d'or qu'ils sont capables de trouver, et parfois cela peut prendre plusieurs semaines, plusieurs mois ; sans recevoir de rémunération.
Les conditions de travail sont extrêmement dangereuses, comme dans de nombreuses mines à travers le monde : les mines s'effondrent fréquemment, l'environnement de travail est totalement pollué par des produits chimiques dangereux tels que le mercure, utilisé pour extraire l'or. La demeure d'un chercheur d'or. Des mineurs viennent des quatre coins du Burkina Faso pour travailler sur des sites comme celui de Djuga, où ils vivent dans des boîtes de paille, sans aucune infrastructure.
Objets inutilisés ?
Matjaz nous raconte l'histoire de Yakuba, un jeune garçon de seize ans, qui a passé quatorze heures épuisantes dans un tunnel profond de 50 mètres. Il raconte également que l'année précédente, son oncle et deux de ses amis sont morts après qu'une des mines avoisinantes s'est effondrée sur eux.
Ce jour-là, Yakuba et ses collègues de fortune n'ont pas réussi à trouver d'or. Parfois, cela peut prendre jusqu'à deux semaines rien que pour récolter la quantité d'or nécessaire pour un seul smartphone.
Des milliers de Burkinabés, le plus souvent des jeunes, travaillent dans des mines partout dans le pays. Peu nombreux sont ceux qui ont pu aller à l'école au moins une fois. Un fonctionnaire gouvernemental vient pour localiser un nouveau filon d'or près de la surface. Son détecteur peur repérer de l'or jusqu'à un mètre de profondeur. Il est payé par les mineurs mais n'est pas vraiment bon marché.
Habituellement, ce sont les femmes qui creusent à la surface tandis que les hommes s'engouffrent sous terre dans les mines. Les femmes, les enfants comme les hommes doivent creuser le sol avec leurs propres mains. Bien qu'il y ait des seaux et des cordes pour transporter le minerai des mines jusqu'à la surface, il n'y a pas toujours de cordes pour permettre aux jeunes de remonter eux aussi. Il n'est pas facile de trouver prise à même la roche et le moindre faux-pas peut être fatal.
L'Organisation internationale du travail considère l'exploitation minière comme étant l'une des pires formes de travail d'enfants dans le monde, notamment pour les risques immédiats sur leur vie mais aussi pour les problèmes de santé à long-terme qu'ils peuvent contracter avec l'exposition à la poussière, aux produits toxiques ou aux métaux lourds.
Des milliers de jeunes vivent et travaillent sur ces sites. Ils sont les enfants des mines. La plupart n'a jamais été à l'école et pour beaucoup d'entre eux, les mines sont leur seules maisons. L'Organisation internationale du travail considère l'exploitation minière comme étant l'une des pires formes de travail d'enfants dans le monde.
Matjaz raconte également l'histoire de Nuru, un jeune garçon de treize ans qui ne peut pas se souvenir depuis combien de temps il travaille à la mine. Il n'a jamais été à l'école et ne sait pas comment lire ou écrire. Il pense tout de même que faire le mineur est un meilleur sort que de travailler dans les champs de là il est originaire parce que là "tu cultives la terre mais tu ne gagnes rien du tout".
Les mines, certaines profondes de 50 mètres, sont creusées à la main. Il y a toujours des cordes pour remonter les seaux de minerais jusqu'à la surface mais il n'y a pas toujours de cordes pour les jeunes, qui doivent tâtonner pour monter et descendre dans les trous, chercher des prises dans le noir.
Le moindre faux-pas peut être fatal. Suleyman, 51 ans, et son équipe ont passé les deux dernières semaines à creuser une nouvelle mine. A six heures du matin, ils étaient en train de faire un tunnel lorsqu'ils ont frappé un filon d'or.
Tous ces trous deviennent impraticables lors de la saison des pluies car le sol est dangereusement fragile. Yakuba, 16 ans, travaille dans la mine avec son père. Son "bureau" est un tunnel étroit et dangereux, profond de cinquante mètres. L'air y est lourd, chaud et humide, rempli de poussière omniprésente qui rend ses bras noirs et son visage blanc.
Il porte une lampe-torche sur sa tête tandis qu'il pilonne du minerai depuis les murs d'un endroit dans lequel il peut à peine s'asseoir. On peut à peine respirer là-dedans mais, en guise de pause, Yakuba s'allume une cigarette. "Ici, le sol est solide mais parfois, la terre est très fragile.
Des fissures apparaissent dans le trou et ça fait peur", explique Arzuma, 24 ans, alors qu'il soulève un lourd sac rempli de rocailles hors de ce trou profond de 20 mètres. Nobila, 16 ans, vient d'un village Jalgo à seulement 26 kilomètres des mines de Djuga. Il y travaille seul depuis trois ans. Dès qu'il reçoit un peu d'argent, il le ramène toujours chez lui, pour sa famille.
Il est 19h. Assis au bord d'un conduit de la mine, Nobila prépare la fragile lampe en plastique attachée à son front avec un élastique, alors qu'il se prépare à descendre dans les ténèbres pour une nouvelle garde de nuit.
Nuru, 13 ans, ne se souvient pas depuis combien de temps il travaille là. Il n'a jamais été à l'école et ne sait pas comment lire ou écrire. Il est contrarié car son frère, avec qui il travaille, est en colère contre lui pour ne pas avoir traité suffisamment de matériau via une machine qu'ils sont obligés de louer quotidiennement.
Cependant, travailler dans une mine est un meilleur job que de travailler dans les champs dans son village. A midi, les mineurs se rassemblent pour le déjeuner. Habituellement c'est un bol de riz cuit avec un peu d'huile et quelques morceaux de poisson, mangés à la main à partir d'un pot commun.
Après une courte pause, le forage continue jusqu'à ce que la nuit tombe. Dans un champ d'or aussi bien reconnu, les trous sont creusés toujours plus près les uns et des autres. Parfois, les forages excessifs créent des faiblesses dans la terre, causant ainsi l'effondrement des murs.
L'année dernière, quatre mineurs sont morts lors qu'une ligne de puits trop près les uns des autres s'est effondrée, enterrant les mineurs. Des jeunes filles épuisées attendent sous la chaleur brûlante à l'entrée de la mine.
Ce sera leur cinquième charge de pierres ce jour-là. Chacune des filles porte une charge pesant approximativement 25 kilos sur une distance d'environ deux kilomètres comportant une descente de 300 mètres vers le village temporaire de Djuga.
Lorsqu'il n'y a pas assez d'argent pour louer un pulvériseur afin d'écraser la roche, les hommes le font à la main, frappant les pierres avec des bâtons durs pour les rendre plus petites. Les femmes creusent à la surface où elles séparent de façon répétée les particules les plus lourdes de la poussière qu'elles tamiseront ensuite pour trouver de l'or.
On a demandé à Nuru, 13 ans, de travailler avec le pulvérisateur. "Tout ce que mon frère et moi gagnons, nous le ramenons à nos parents." Isa, 26 ans, et son équipe tamisent le sol pour trouver de l'or sur un site près de Gangaol.
Abdul, 14 ans, fait partie des centaines d'enfants travaillant aux mines de Djuga. Lors de la saison des pluies, il y a de l'eau pour se laver le corps et se débarrasser de la poussière après une longue journée. Lors de la saison sèche, l'eau disparaît.
Les enfants , qui sont au travail depuis le lever du soleil, dorment littéralement dans la saleté à côté du trou dans lequel ils travaillent. Nuru, 13 ans, et Kongo, 15 ans, ne sont couverts que d'une couverture et dorment l'un collé à l'autre pour se tenir chaud pendant la nuit.
Suleyman, 51 ans, dans sa mine près de Gangaol, montre un morceau d'or qu'il essayera de vendre à un marchand local venant de Bani. "C'est le temps des vacances" dit-il, "je vais m'acheter une nouvelle chemise pour bien paraître au Ramadan". De petites paillettes d'or sur une vieille balance, prêtes à être vendues légalement à un marchand approuvé par le gouvernement au prix officiel.
Ils feront certainement la sourde oreille à tous ces enfants des mines qui souffrent et meurent rêvant de leur propre "El Dorado", tout ça pour que nos smarphones fonctionnent.
Hygiène et sodomie dans le mariage chiite musulman
Il n’est pas permis d’absorber les excréments d’animaux ou leurs sécrétions nasales. Mais mélangés dans une proportion infime aux autres aliments leur consommation n’est pas défendue.
La viande de cheval, de mulet et d’âne n’est pas recommandée. Elle est strictement défendue si l’animal a été sodomisé de son vivant par un homme. Dans ce cas, il faut emmener l’animal hors de la ville et le vendre.
Si on commet un acte de sodomie avec le bœuf, le mouton ou le chameau, leur urine et leurs excréments deviennent impurs, et leur lait même n’est plus consommable. Il faut alors tuer l’animal au plus vite et le brûler, et en faire payer le prix au propriétaire par celui qui l’a sodomisé. (…)
Pendant les menstrues de la femme, il vaut mieux que l’homme évite le coït, même s’il ne pénètre qu’incomplètement — c’est-à-dire jusqu’à l’anneau de circoncision —, et même s’il n’éjacule pas. Il est également hautement déconseillé de la sodomiser.
Si on divise le nombre de jours de menstrues de la femme par trois, le mari qui fait le coït pendant les deux premiers jours doit payer l’équivalent de 18 « nokhod » (3 g) d’or aux pauvres; s’il le fait pendant les troisième et quatrième jours, l’équivalent de 9 « nokhod » ; et s’il le fait les deux derniers jours, l’équivalent de 4 1/2 « nokhod ».
Sodomiser une femme menstruée ne nécessite pas ce paiement. 16. Si l’homme fait le coït avec sa femme au cours des trois périodes, il doit payer l’équivalent en or de 3 1 1/2 « nokhod ». Si le prix de l’or a changé entre le moment du coït et celui du paiement, c’est le prix au jour du paiement qui doit être choisi.
Si l’homme s’aperçoit pendant le coït que la femme vient d’avoir ses règles, il doit se retirer; s’il ne le fait pas il doit faire la charité aux pauvres. (…)
La mère, la sœur et la fille d’un homme qui a été sodomisé par un autre homme ne peuvent pas épouser ce dernier, même si les deux hommes ou l’un des deux étaient impubères ; mais si celui qui a subi l’acte ne peut pas le prouver, sa mère, sa sœur ou sa fille pourront épouser l’autre homme.
Si un homme qui a épousé une fille impubère la possède avant ses neuf ans révolus et provoque chez elle des traumatismes, il n’a pas le droit de répéter l’acte avec celle-ci.
Si l’homme sodomise le fils, le frère, ou le père de sa femme après son mariage, ce mariage reste valide. (…)
Il est recommandé de ne pas se retenir d’uriner ou de déféquer, surtout si ça peut faire mal.
II est recommandé d’uriner avant les prières, avant de se coucher, avant le coït et après l’éjaculation.
Après avoir uriné il faut tout d’abord laver l’anus s’il a été souillé par l’urine; on doit ensuite presser par trois fois avec le majeur de la main gauche la partie comprise entre l’anus et le bout de la verge; puis il faut mettre le pouce sur la partie supérieure de la verge et l’index sur sa partie inférieure, et tirer par trois fois le capuchon jusqu’à l’anneau de circoncision; et ensuite presser par trois fois l’extrémité de la verge.
La femme n’a pas d’instructions spéciales à suivre après avoir uriné; et si elle remarque une humidité à l’orifice vaginal dont elle ne sait pas si elle est pure ou impure, l’humidité en question reste pure et ne gêne en rien ses ablutions ou sa prière. (…)
La femme mariée temporairement, par exemple pour un mois ou un an, voit son mariage annulé automatiquement à l’issue de cette période, ou à n’importe quel moment si le mari la dispense du reste de son engagement. Il n’est pas pour cela nécessaire d’avoir des témoins, ou que la femme ait ses règles.
La femme dont les neuf ans ne sont pas révolus, et la femme ménopausée, peuvent se remarier tout de suite après le divorce, sans attendre les cent jours habituellement obligatoires.
La femme qui a neuf ans révolus, ou qui n’est pas encore ménopausée, doit attendre trois périodes de règles après son divorce pour pouvoir se remarier.
Si la femme qui n’a pas neuf ans révolus, ou qui n’est pas ménopausée, se marie temporairement, elle doit à la fin du contrat ou quand le mari l’en a exemptée d’une partie attendre deux périodes de règles ou quarante-cinq jours pour se remarier.
La Chine, grande puissance économique, pays le plus peuplé sur Terre mais aussi un pays avec des faits assez insolites inscrits dans la culture chinoise. Une chose est sûre, vous ne verrez plus les Chinois de la même façon ! L'expression "Ils sont fous ces Chinois va prendre tous son sens".