Larmes sur l'oreiller,qui coulent sans s'arrêter,le seul endroit où je me réfugie,c'est au fond de mon lit.Quand j'ai de la peine à outrance,que mon désespoir est immense,que je ne sent que le vide dans mon coeur,je reste caché sous les draps en pleurs.Je pleure ainsi,dans la solitude de la nuit,le visage enfoui,ne faisant pas de bruit .Parfois des sanglots plus forts me réveille quand je m'endort, le cœur prêt a exploser,et le visage tout mouillé.Quand le vide est trop grand,que l'être aimé est absent,j'ai jusqu'au petit matin,pour éponger mon chagrin.Il me reste plus qu'à espérer,qu'à mon dernier jour, la mort viendra à jamais sécher mes larmes sur l'oreiller...

Il n'y a plus de lumière dans mes yeux,les rayons se perdrent dans d'autre lieux.Mes larmes coulent sans arrêt comme le débit de la rivière, à tout jamais. Mon sourire tremble sur mes lèvres comme mon souffle le fait sans trêve. Les failles de mon coeur s'agrandissent à travers les journées qui s'assombrissent. Les étoiles scintillent comme mes larmes sur mes joue brillent. Toute cette souffrance s'est accumulée depuis que tu m'as quittée.Le temps garde si précieusement mon amour inconditionnel qu'un jour, nous nous retrouverons dans les voies du ciel. Tu as ouvert la porte de mon coeur et tu faisais mon bonheur

Toi mon ange qui survole le ciel a notre recherche,pour nous aimer et nous protéger,tu es dans la colombe si blanche et si pure,tu es dans les rayons du soleil qui nous réchauffent tout les jours,tu es aussi dans la pluie lorsqu'elle tombe.Toi mon ange tu es toujours près de moi.Une brise légère et c'est toi,un doux parfum et c'est toujours toi.Tu es dans la fleur qui s'ouvre.Toi mon ange reste avec moi.J'ai besoin de toi.Et le soir quand je m'endors,je t'envoie un baiser et je sais que tu me regardes,et que je m'endormirais après cette dure journée sans toi. Et demain à mon lever comme d'habitude je me forcerais a donner le meilleur de moi,même si au fond de moi il fait toujours froid.J'espère mon ange que de là haut tu sait que je t'aimerais toujours jusqu'à mon dernier souffle

Les mots que je couche au long des jours sur une feuille de papier ou plutôt sur mon blog,témoins de mes émotions et de mon amour,le meilleur moyen pour moi de vider mon coeur,de montrer ma peine et d'exprimer ma douleur devant une chose trop dure à vivre pour moi. Quand les sentiments qui me hantent jour et nuit sont plus forts que des paroles que je ne dis,car je ne peux les exprimer à haute voix,il me reste cette ultime solution des mots pour te faire comprendre et t'avouer combien il m'est dur d'avancer et de lutter.Quand les mots refusent de sortir de ma bouche,je ne peux que difficilement m'empêcher encore et toujours de les écrire,ici mes doutes, mes peines, mes souffrances pour essayer en vain de combler ce vide causé en moi,par mon manque de toi mon ange.Le temps passe,les heures tournent et je suis seule,si seule sans toi sans ta présence.

Je ne sais pas quoi penser de tout ce qui est entrain de m'arrive.La vie défile entre mes doigts,et toi tu es loin de moi.Je gère mes émotions comme je peux,mais trop de larmes coulent de mes yeux,quand je revois ton visage dans ce beau paysage.La vie, l'amour et la joie ne font plus partis de moi.J'ai perdu tout sens de l'orientation depuis que je me pose toutes ces questions. Je sais bien que c'est la vie,que pour moi rien est encore fini.Mais j'arrive pas à voir un avenir depuis que je t'ai vu partir, loin de toi tout me semble étrange,car j'ai perdu mon ange

Mon coeur a saigner,tu m'as quitté,laissant un immense vide.Voyage qui n'a pas duré assez longtemps,on ne nous a pas laissé assez de temps.Ta mort me plonge dans l'enfer,je ne sais pas comment faire pour continuer sans to,j'ai l'impression de t'avoir abandonnée.Pendant que la mort t'emportait,moi je m'écroulais.Je t'aime tant mon coeur,qu'ils sont longs mes jours sans toi,chaque jour est un combat.Moi ici, toi là-bas

Tu as refermé le livre,enfermant nos souvenirs,d'un souffle, d'un soupir. Comment ne pas hurler l'inacceptable, alors que cette douleur infernale me dévaste sans cesse,effaçant toute ta tendresse. Comment regarder en face ton absence,alors que résonne ton silence,dans un ciel d'éternité,où un dieu a refusé de te voir exister.

Comment accepter de vivre,alors que tu as refermé le livre,enfermant nos souvenirs,d'un souffle, d'un soupir. Comment ne pas hurler l'inacceptable,alors que cette douleur infernale me dévaste sans cesse,effaçant toute ta tendresse.Comment regarder en face ton absence,alors que résonne ton silence,dans un ciel d'éternité,ou un dieu a refusé de te voir exister

 Franck

 Franck est généralement bel homme, mince, grand et musclé, qui se rapproche beaucoup plus d'Apollon du Belvédère que d'Hercule. La chevelure est abondante, le front haut, les yeux toujours grands ouverts et qui reflètent une lueur de malice. La voix grave et vibrante donne au natif un charme irrésistible. Il se tient toujours très droit comme s'il voulait profiter au maximum de sa taille ; il préfère d'ailleurs être debout qu'assis. Lorsqu'il marche, il allonge bien ses jambes et bombe son torse, prêt à affronter vents et marées.

Franck est féru de rêves de grandeur. Il veut être partout le premier, le plus grand, le plus célèbre. Il a besoin d'être applaudi, respecté, vénéré. On peut facilement le manipuler pour peu qu'on flatte son amour-propre. Il cadrerait bien avec ce que disait Pascal : "La douceur de la gloire est si grande, qu'à quelque chose qu'on l'attache, même à la mort, on l'aime."

 En amour comme en ménage, Franck veut toujours commander, imposer ses goûts, ses habitudes, son rythme. La femme qui l'aime doit être capable de s'effacer si elle ne veut pas que leur vie commune soit une lutte perpétuelle. S'il y a lieu de faire des concessions, ce ne sera sûrement pas lui qui les fera, à moins que la femme n'ait l'habileté de le porter aux nues, de confirmer son sentiment de supériorité, enfin de le traiter comme un demi-dieu.

 Ayant le culte de la richesse et de la puissance, Franck est constamment obsédé par la réussite. Loin de lui l'idée que "ni l'or ni la grandeur ne nous rendent heureux" (La Fontaine). Il veut la réussite à tout prix. Sa course effrénée le prédispose à la dépression nerveuse et aux maladies cardio-vasculaires, et l'entraîne vers la sécheresse de cœur. Voici l'avertissement de Jésus à son intention : "Que sert à un homme de gagner le monde entier s'il vient à perdre son âme ?"

On ne voit jamais Franck débraillé. Persuadé que l'apparence physique est un atout important de la réussite, il est toujours impeccable de la tête aux pieds. Il s'habille avec recherche mais aussi avec goût. S'il a tendance à se nourrir de façon déplorable, il n'hésite pas à réserver d'importantes sommes pour aménager et décorer sa maison : il aime impressionner ses visiteurs.

On est souvent agacé par son attitude de supériorité, son air de suffisance et le ton péremptoire de ses propos. Mais ce natif hautain est aussi capable de franchise et de dévouement pourvu qu'on fasse appel à sa fierté.

Il serait excessif de dire que Franck est misogyne. Il faut pourtant reconnaître qu'il s'intéresse peu aux femmes. Il ne souffre pratiquement jamais du mal d'amour. Cet amant est excellent au lit mais ne se fait pas de réputation ailleurs. Il fait toujours comprendre aux femmes qu'il aime, de façon explicite ou implicite, qu'il s'abaisse vers elles et que son amour est une faveur qu'il leur accorde. Toute femme qui se respecte ne peut évidemment accepter une telle situation. Pourtant les femmes qui s'accrochent à ce natif sont légion. C'est peut-être ce phénomène étrange qui a fait dire à Érasme: "Les femmes courent après les fous ; elles fuient les sages comme des animaux venimeux." C'est peut-être aussi parce que "celui qui réussit avec les femmes est celui qui sait s'en passer" (Ambrose Bierce).

Comme le sable entre mes doigts,le temps s'est écoulé, et maintenant je perds la foi,de redevenir un jour celle que j'étais.Je repense à tout ce que j'ai vécu, avec lui,et doucement, je ne sais pourquoi la nostalgie me tue, m'enveloppant dans cet éternel feu.Aujourd'hui, étrangement, je demeure écoeurée, ma vie semble un désert sans fin,où seule, avec mes regrets je ne puis qu'errer,dans l'espoir d'apercevoir un jour une frontière