Des dizaines de millions d'animaux sont égorgés et massacrés en Chine chaque année, leur fourrure est recherchée dans le monde entier et les chinois fournissent la marchandise, ce qui n'est pas exporté à l'étranger finit généralement dans les assiettes. Le plus douloureux est de constater les souffrances indescriptibles auxquelles ces animaux sont soumis jusqu'à leur dernier souffle. Ils sont capturés dans les rues et transportés dans de petites cages. Ils sont engouffrés par dizaines dans une même cage, sans espace pour bouger. Les cages sont ensuite jetées des camions et retombent à terre comme de vulgaires objets, les animaux sont blessés par les barreaux et en conséquence de la promiscuité. Les cages sont alors empilées les unes sur les autres et commence le vrai cauchemar. L'employé sort l'animal de la cage avec brutalité et l'attache pour l'empêcher de résister, il le frappe sur la tête pour le paralyser mais le laisse en vie. Si l'animal n'est pas lourd, il est tenu par les pattes arrière, maintenu en l'air, la tête en bas. Lorsqu'il arrête de s'agiter, commence une nouvelle étape insupportable de l'horreur. L'employé entaille le postérieur de l'animal dont il arrache la peau de façon systématique, un processus qui dure une minute environ, jusqu'à ce que la peau soit complètement retirée du corps de l'animal, pendant tout le processus, celui-ci est maintenu en vie. L'argument étant que tant que l'animal est en vie et que le sang circule dans ses veines, l'opération est plus facile. Mais le cauchemar n'est pas terminé et lors de la dernière étape de ce processus insupportable, l'animal est jeté sur une pile d'animaux dénudés mais toujours en vie jusqu'à ce que petit à petit ils succombent, les uns après les autres, à la douleur insupportable. Dans d'autres cas, lorsque la fourrure de l'animal n'est pas recherchée, il s'agit souvent de chats, un certain nombre d'entre eux sont enfermés dans un sac introduit dans un baril rempli d'eau bouillante alors que les chats sont toujours vivants. Ce processus est difficile à imaginer cependant, nous voulons croire qu'il n'est pas le résultat de méchanceté pure, mais d'ignorance et d'absence de prise de conscience quant aux besoins de l'animal. Les auteurs de ces actes ne comprennent pas la nécessité de tuer l'animal avant le processus et sont inconscients de la douleur subie par l'animal. Notre devoir dans ce cas, consiste à ouvrir les yeux d'autrui. Il s'agit de notre devoir moral à l'égard de ces animaux. Fermer les yeux ne mettra pas fin au phénomène !

Plus de 200 ans après sa rédaction en 1804, notre Code civil n'a toujours pas évolué et considère encore les animaux comme des "biens meubles", au même titre qu'une armoire ou une chaise (art. 528). Il accuse donc un décalage certain avec la mentalité contemporaine ; décalage qu'il est grand temps de combler. Aujourd’hui, l'animal est devenu une préoccupation sociale suffisamment forte pour que le législateur s'interroge sur une nouvelle définition de son régime juridique, comme l'a déjà fait la plupart de nos voisins européens.

Je m'associe donc à la demande de la Fondation 30 Millions d'Amis de faire évoluer le régime juridique des animaux pour qu'ils soient enfin considérés comme des êtres vivants et sensibles.

Sur le plan juridique, la réforme la plus logique consisterait à sortir l'animal de la catégorie des biens en créant, à côté des "personnes" et des "biens", une catégorie à part pour les "animaux".

? Pétition à signer et à partager : www.30millionsdamis.fr/agi?r-pour-les-animaux/petitio?ns/signer-petition/pour-un?-nouveau-statut-juridique-?de-lanimal-22.html

En Chine, des ours à collier, élevés dans des fermes insalubres, sont maintenus en captivité toute leur vie durant afin d'extraire leur bile, utilisée depuis des siècles par la médecine chinoise. Un cathéter enfoncé dans leur vésicule biliaire, ces ours passent leur vie entravée, dans d'atroces souffrances. Agissons ensemble ! Merci de signer et diffuser pour que s'arrêtent ces horreurs !

!PETITIONS : 1. www.30millionsdamis.fr/agi?r-pour-les-animaux/petitio?ns/signer-petition/contre-?lenfer-des-ours-en-chine-m?utiles-pour-leur-bile-12.h?tml

2. www.thepetitionsite.com/ta?keaction/236/430/715/?z00m?=19946651

L'annexe 1 de l'arrêté du 25 octobre 1982 relatif aux conditions de garde, d'élevage et de parcage des animaux autorise ce mode de détention, le subordonnant toutefois à un certain nombre de conditions.

"3. Les propriétaires, gardiens ou détenteurs de tous chiens et chats, animaux de compagnie et assimilés doivent mettre à la disposition de ceux-ci une nourriture suffisamment équilibrée et abondante pour les maintenir en bon état de santé. Une réserve d'eau fraîche fréquemment renouvelée et protégée du gel en hiver doit être constamment tenue à leur disposition dans un récipient maintenu propre.

4. a) Il est interdit d'enfermer les animaux de compagnie et assimilés dans des conditions incompatibles avec leurs nécessités physiologiques et notamment dans un local sans aération ou sans lumière ou insuffisamment chauffé. b) Un espace suffisant et un abri contre les intempéries doivent leur être réservés en toutes circonstances, notamment pour les chiens laissés sur le balcon des appartements…

" Tout manquement aux conditions énoncées peut être qualifié de mauvais traitement au sens de l'article R.654-1 du nouveau Code Pénal, et puni d'une amende d'un montant maximum de 763 euros par animal maltraité.

Lorsque vous êtes témoin du fait qu'un chien est détenu sur un balcon, la solution la plus efficace est bien sûr le dialogue, afin de sensibiliser le propriétaire de l'animal aux souffrances qu'il fait subir à son compagnon. Si le dialogue n'est pas possible, il est conseillé de prévenir les associations de protection animale locales qui pourront peut-être lui faire entendre raison et, le cas échéant, engager toutes poursuites utiles.

« On n'a pas deux cœurs, l'un pour l'homme, l'autre pour l'animal… On a du cœur ou on n'en a pas ». Lamartine

Pour ne plus laisser croire que le meilleur Ami de l'homme est un ennemi

" Au travers de cet appel, il ne s’agit pas seulement de mettre un terme à la mise à l’index que subissent certains types de chiens (et leurs propriétaires !) mais aussi et surtout d’aboutir à la mise en œuvre d’une réelle politique de prévention des risques de morsures de chiens en france.

Cette politique NE PEUT PASSER QUE par une information à tous les niveaux:

- Au niveau des producteurs, pour la phase de socialisation du chiot;

- Au niveau des propriétaires des chiens, pour une bonne éducation du chien;

- Au niveau des victimes potentielles que sont statistiquement principalement les enfants;

- Au niveau du public en général.

Il ne s’agit donc pas d’une simple « pétition » en plus mais bien d’une démarche de demande collective visant à cette transformation de la politique actuelle, pour une meilleure (ré)intégration du chien dans la société. Plus elle sera signée, plus elle donnera de poids aux démarches que je relance auprès des parlementaires sur le sujet. Merci de prendre le temps d’expliquer cela à vos contacts, collègues, amis, clients, etc. et de les inviter à eux aussi signer.

BARBARIE !!! Ce genre de faits divers n'arrive pas qu'aux êtres humains. Un être vivant, un chien de race berger allemand, a été victime le 19 mars dernier à Thivencelle, d'actes de tortures et de barbaries. Il est environ 21 h 10 ce soir-là, quand le voisinage du propriétaire de l'animal a été alarmé par d'étranges bruits venant de l'habitation où se trouvait le chien. Une fois le commissariat de Condé-sur-l'Escaut prévenu, le berger a été retrouvé fortement blessé du sang tachant son poil. Des coups de bâtons à piques !!! Le maître de l'animal était ce soir-là avec un ami. Ils auraient, tous les deux, portéde nombreux coups avec des bâtons à piques sur l'animal. Ce dernier, âgé de dix ans ne pouvait pas trouver la force de se défendre. Une fois l'intervention des policiers dans la propriété, le chien a immédiatement été conduit chez le vétérinaire de la SPA de Marly. Paralysé à l'arrière-train !!! Le docteur Rosoux a constaté après l'examen de l'animal, une paralysie de son arrière-train. Le cjien, victime des coups, a perdu toute sensibilité. Le vétérinaire a également remarqué de multiples plaies sur la tête et au cou. « L'animal est maintenant hors de portée de son maître. Il est soigné au refuge », indique la directrice de la SPA. L'organisme de protection des animaux a été très vite contacté par le commissariat de Condé, afin de prendre en charge le chien. Celui-ci est donc toujours en vie mais ses jours sont comptés. Il se bat pour rester en vie en continuant à réserver une grande confiance à ceux qui le soignent. Les deux personnes mises en cause dans cette maltraitance gratuite ont été ce soir-là placés en garde à vue. La SPA a, quant à elle, porté plainte contre les auteurs de ces faits, pour blessures volontaires sur animal domestique. NOUS DEMANDONS UNE VRAIE JUSTICE ET UNE VRAIE PEINE ENVERS LES TORTIONNAIRES D'ANIMAUX !!!

GUERRE contre la VIVISECTION---------------

la semaine dernière, a annoncé l'armée américaine a enfin arrêter les expériences qui, jusqu'à ce moment, avaient effectué régulièrement sur plusieurs singes dans l'Aberdeen base Proving Ground, Maryland. Ces expériences ont été menées dans des cours spécialisés sur la prévention et la gestion des incidents chimiques. Les animaux sont injectés de  surdose de Physostigmine, un alcaloïde qui simule les effets de l'exposition à un agent neurotoxique, causant des violentes convulsions, vomissements et saisies, menant  certaines personnes à mort par arrêt respiratoire.

L’éléphanteau et sa mère ont barri de toutes leurs forces pour appeler le reste du troupeau afin qu’on les tire de la boue où ils s’enfonçaient inexorablement, le 2 novembre dernier. Leurs congénères se sont précipités vers eux et ont tenté l’impossible pour les sortir de là en les tirants avec leurs trompes. Mais ils n’y sont pas arrivés.

Heureusement, le raffut qu’ils ont fait a alerté le Centre de conservation de la faune de la vallée de Luanga, qui se trouvait près du lieu de l’accident située au cœur de la Zambie. Les employés du Centre se sont précipités pour aller porter secours aux pachydermes et leur travailn’a pas été facile.

Ils devaient agir vite, car la terre séchait rapidement, et si les éléphants n’étaient pas sortis de la boue à temps, ils auraient été impossibles de les extraire en raison de leurs poids et de la dureté du sol asséché. Les secouristes ont donc commencé par l’éléphanteau.

Ils ont réussi à lui passer une corde autour de la taille, et l’ont tiré hors de la boue. Mais à peine détaché, le bébé pachyderme est retourné auprès de sa maman. Il a ainsi fallu le ressortir une deuxième fois.

Pour la mère la tâche s’est avérée plus compliquée. Les hommes n’arrivaient pas à haler un animal de quelque 3 tonnes. Ils ont donc été chercher un tracteur qui l’a tiré en douceur. Au début, l’éléphante ne bougeait pas. Elle semblait résignée à son sort. Ce n’est qu’après un temps qui a semblé une éternité aux secouristes, qu’elle a commencé à remuer. Elle a dû sentir que le sol devenait plus dur sous ses pattes. L’éléphante a d’ailleurs fait les derniers pas seuls. C’est sans aide qu’elle s’est hissée sur la terre ferme. Et à peine sortie de la boue, elle s’est précipitée vers son petit qui l’attendait en brayant.

«Normalement nous n’intervenons pas pour sauver les animaux, a expliqué un membre de la société de conservation. Nous laissons la nature faire son travail, même quand elle se montre impitoyable. Mais cette fois, nous avons fait une exception en raison du jeune âge de l’éléphanteau.»

Voici comment  les éléphants de cirque sont traiter « formation » !  Phyllis Siefker, en les soumettant à des passages à tabac ! Que se passe-t-il dans l'image ,c'est que le début d'un avenir cousue de maltraitance... les temps d'attente pour une vie d'enfer : fers chauds sur la trompe, coups continuent sans délicatesse  et comme si cela ne suffisait pas, ils passent leur vie enfermée dans des camions malodorants ,jetés d'une ville à l'autre dans la solitude complète. CIRQUES BOYCOTTS AVEC DES ANIMAUX ! Ne donnent pas de moyen au Cirque de continuer à exploiter les animaux qui vivent grâce à l'argent que nous apportons dans leurs boîtes