Il photographie quelque chose de tellement rare que personne ne le verra jamais en vrai !

Tout le monde le sait: les loups vivent en meute, alors que les ours sont plutôt des animaux solitaires.

Mais le photographe Lassi Rautiainen a croisé un loup blanc femelle se balader aux côtés d'un ours mâle. Il a alors décidé de les suivre pour voir ce qu'il se trame entre ces deux-là.

Très vite, il a compris que ce qu'il était en train de voir était quelque chose d'exceptionnel. Pendant une dizaine de jours, il a suivi les deux animaux et pris des photographies incroyables.

Non seulement, l'ours et la louve restaient ensemble, mais ils se partageaient aussi la nourriture.

Une chose très rare pour des prédateurs d'espèces différentes. Il semble même que les autres ours ont accepté la louve comme l'une des leurs.

Petit coup de gueule ca fait longtemps... Un ours tué a cause d'un boulet en mal d'éclipse.... Avait il besoin pour voir l'éclipse d'aller sur le territoire de l'ours?? Cela fait 2 jours que les médias nous bassinent avec cette éclipse... Dommage qu'ils n'en font pas autant pour nous parler du réchauffement climatique et de notre empreinte catastrophique sur la terre...Idem pour les gens, ils mettraient autant de ferveur pour protéger la terre et changer leur mode de vie que pour voir une éclipse, Gaïa s'en porterait mieux... RIP petit ours, victime de la bêtise humaine....

Norvège : un touriste «chasseur d’éclipses» attaqué par un ours polaire

Ce touriste tchèque s’était rendu en Norvège, sur l’île de Spitzberg située en plein cœur de l’Arctique, pour observer l’éclipse solaire totale qui doit avoir lieu ce vendredi.

Mais l’homme a été attaqué ce jeudi par un ours polaire. Si l’individu n’a été blessé que légèrement, l’animal a quant à lui été abattu par la police. Cette attaque est survenue à la veille d’une éclipse solaire totale qui ne peut être observée sur Terre que depuis le Svalbard, un groupe d’îles dont fait partie le Spitzberg, et depuis les îles Feroé, territoire danois autonome de l’Atlantique Nord.

Ce fait-divers illustre les dangers encourus par les « chasseurs d’éclipses » qui ont accouru des quatre coins du monde pour observer l’évènement astronomique qui plongera les lieux dans une obscurité totale. « Une personne a été légèrement blessée dans une attaque d'ours polaire.

Elle faisait partie, semble-t-il, d'une expédition de touristes tchèques. L’ours a été abattu », a déclaré Sidsel Svarstad, une inspectrice de la police. Selon elle, les touristes tchèques participaient à une randonnée à pied et à ski à environ 50 km de Longyearbyen, le chef-lieu de l'archipel. Il est interdit, selon la réglementation locale en vigueur, de sortir des zones habitées sans être accompagné d’un guide local ou sans être armé d’un fusil.

Cinq attaques mortelles d’ours polaires ont été recensées durant ces quarante dernières années.

Brésil : première naissance d'un lion blanc, rejeté par sa mère Un lion blanc est né pour la première fois en Amérique du Sud, il y a deux mois. Mais il a été rejeté par sa mère.

Santa Catarina (Brésil), janvier. Ce lionceau blanc est élevé par des dresseurs après avoir été rejeté par sa mère. Santa Catarina (Brésil), janvier.

Ce lionceau blanc est élevé par des dresseurs après avoir été rejeté par sa mère. C'est une première au Brésil, et même en Amérique du Sud. Un lion blanc est né en captivité dans un zoo de Santa Caratina, au sud du pays, au mois de janvier. Une vidéo de ce lionceau vient d'être rendue publique.

Ce sont des dresseurs qui en prennent soin, rapporte le journal brésilien «Globo», sa mère l'ayant rejeté. Le fait qu'un lion soit blanc résulte d'une mutation génétique.

Contrairement aux albinos, ses yeux sont pigmentés. Environ 300 lions de cette couleur sont répertoriés dans le monde. Ce n'est pas forcément cette blancheur qui a fait que le lionceau de Santa Catarina a été rejeté par sa mère.

Il s'agit d'un comportement relativement fréquent en captivité, notamment pour une première naissance, les mères trouvant dangereux d'élever leur progéniture en captivité. Pour l'instant, le lionceau, qui est une femelle appelée Clara, est nourri au biberon plusieurs fois par jour. Elle s'alimente avec du lait de chèvre couplé à des vitamines.

Elle est isolée des autres lions, mais les dresseurs espèrent la placer parmi eux quand elle aura six mois environ. Les parents du lionceau blanc de Santa Caratina sont arrivés d'Afrique du Sud en 2011.

Les chances de survie en liberté des lions blancs sont minimes pour deux raisons : leur couleur les empêche de se camoufler et les rend très vulnérables aux prédateurs ; leur rareté en fait un trophée de chasse très prisé.

Echouage à Helling, Hollande. Un cachalot de 50 tonnes, 14 mètre et, 20 kg de plastique dans le ventre! Pour la plupart, il s'agissait de bâches en plastique utilisées pour couvrir les serres dans lesquelles on pratique la culture industrielle des tomates en Hollande qui sont ensuite vendues sur le marché européen. Des faits qui ne sont pas nouveaux puisqu'en mars de cette même année une autre baleine s'était échouée sur les côtes de l'Andalousie. Morte dans les mêmes circonstances avec dans l'estomac des plastiques provenant d'Almería et Granada.

Philippines : un buffle sème la panique dans les rues de Manille

L'animal a encorné deux bouchers dans un abattoir avant de terroriser des centaines de personnes dans les rues de la capitale.

Cette bufflonne a pu être arrêtée pour être reconduite à l'abattoir.

Cette bufflonne de trois ans et de près d'une demi-tonne s'est échappé de l'abattoir pour semer la panique dans les rues de la capitale pendant deux heures.

Le buffle était épris de liberté. L'animal a pris la fuite alors qu'il arrivait par camion dans un abattoir du centre de Manille. Cette bufflonne de trois ans et de près d'une demi-tonne a encorné deux bouchers avant de se lancer dans une course effrénée dans les rues de la capitale des Philippines, terrorisant des centaines de personnes.

Trois personnes ont été blessées par ses cornes lors de cette virée. L'animal a galopé à travers les rues les plus fréquentées, encornant une passante avant d'atteindre Cubao, le quartier des affaires après avoir parcouru plus d'un kilomètre.

Puis, a indiqué le policier James Bagay, il est entré dans le hall d'un hôtel et a renversé des meubles avant de pénétrer dans un centre d'appel. Il a cassé quelques panneaux de verre à la réception, mais n'a blessé personne.

Les quelque 200 salariés du centre d'appels ont été obligés d'évacuer les lieux. «J'ai couru, mais le buffle allait plus vite que moi. Il m'a fait voltiger dans les airs avec ses cornes et quand je me suis réveillé, j'étais à l'hôpital où l'on m'a fait des points de suture», a déclaré l'un des bouchers, Jonet Rufino, qui fut la première victime de l'énorme bovin.

«En 14 ans de travail , c'est la première fois que je suis attaqué par un animal», a confié l'homme de 35 ans, qui a 14 points de suture sur son postérieur. L'animal a été freiné dans sa course au bout de deux heures, et selon James Bagay, il devrait être reconduit à l'abattoir.

Pour 380 euros, ce bœuf hors norme a été vendu aux enchères.

Les vendeurs jurent que l’animal est en bonne santé et que c’est un animal de première qualité. Le commissaire priseur, qui fait ce métier depuis 17 ans, affirme ne jamais avoir vu un tel bœuf.

« Two Face », c’est le nom, pas très original, de ce bœuf. L’animal semble avoir deux museaux superposés l’un sur l’autre avec un œil, une dent et des narines. Les négociants assurent que l’animal, malgré ce « léger » défaut est en bonne santé. Le bœuf a été vendu pour 380 euros.

Si l’animal est exceptionnel et en bonne santé, sa vie risque d’être de courte durée.

Two face a été acheté par un abattoir.

Deux bébés dromadaires volés à Feignies, en danger de mort car elles ne sont pas encore sevrées

Les deux petites femelles de 2 mois ont été volées dans la nuit de dimanche à lundi à la société animalière JACO de Feignies près de Maubeuge.

Si dans les 48 heures elles ne sont pas retrouvées, elles risquent de mourir. 

 Certains malfaiteurs ne manquent pas d'imagination, à Feignies près de Maubeuge, ils ont volé dans la nuit de dimanche deux bébés dromadaires femelles de 2 mois !

Elles appartenaient à la société JACO spécialisée dans l'élevage et la vente d'animaux "insolites" et qui avait aussi à l'époque prêté des animaux à l'émission la Ferme célébrités. Du jamais vu en 10 ans d'existence !

Un chevreuil blessé sauvé par des chasseurs

Grâce à cette poignée de volontaires, le jeune chevreuil a été remis sur pied.

Voué à une mort certaine, un jeune chevreuil, probablement percuté par une voiture, est aujourd’hui hors de danger grâce à la mobilisation de plusieurs personnes.

Cette belle histoire a débuté il y a environ trois semaines lorsque des automobilistes ont signalé la présence d’un chevrillard (chevreuil de moins d’un an) gisant sur la route de Montchavin-les-Coches, à Bellentre.

Se rendant sur les lieux, Bernard Richermoz, président de l’Association communale de chasse agréée, accompagné d’un membre du bureau, ont trouvé l’animal dans un triste état : avec une patte blessée et de multiples contusions, il avait très peu de chances de survivre.

Malgré tout, le chevreuil a été transporté dans le bâtiment d’un agriculteur ayant plusieurs fois recueilli des animaux. « À cause du manque de nourriture en hiver, ils sont souvent très affaiblis et ne résistent pas plus de 24 heures », témoignait ce dernier, Pascal Broche.

Le petit” rescapé” est resté dans un état stationnaire pendant une quinzaine de jours. Il fallait remettre en état sa patte sur laquelle il avait des difficultés à prendre appui.

Grâce à des massages quotidiens et à une nourriture composée de pommes, croquettes de betteraves et de foin, le petit chevreuil est à ce jour rétabli. Il sera relâché dans la nature dans le courant de la semaine.

Angleterre : deuxième d'un concours, un chien belge meurt empoisonné

«Jagger» avait terminé deuxième d'un concours canin jeudi dernier en Angleterre.

Mais quelques heures plus tard, à son retour en Belgique, le setter irlandais est mort, empoisonné selon ses propriétaires.

Un setter irlandais, dont les propriétaires sont Belges, est mort à son retour d'un concours canin britannique vendredi dernier.

Lundi, les propriétaires expliquent qu'il a été empoisonné.

Scarff «Jagger» a été empoisonné, cela ne fait aucun doute pour ses propriétaires. Ce setter irlandais, qui a terminé jeudi deuxième de sa catégorie aux Crufts à Birmingham (centre ouest de l'Angleterre), la plus grande et plus vieille exposition canine du monde, est mort à son retour en Belgique, 26 heures après le concours.

«Quand la vétérinaire a ouvert son estomac, elle a trouvé des cubes de viande, un genre de steak de bœuf, truffés avec du poison», a déclaré lundi Jeremy Bott, copropriétaire du chien, sur la BBC. «Il y avait peut-être deux ou trois poisons différents.

Je crois que (la vétérinaire) en a identifié un comme étant un produit anti-limaces. J'imagine que l'autre se révèlera être de la mort au rat ou je ne sais quel poison industriel», a-t-il ajouté, amer.

Un empoisonnement serait tout sauf une surprise tant la compétition attise les rivalités. L'histoire des Crufts regorge de coups tordus entre éleveurs. «Meurtre au Crufts», titre «The Sun» En 2004, un doberman est ainsi tombé malade juste avant son show parce que quelqu'un avait mélangé un sédatif à sa viande, selon son propriétaire.

D'autres techniques consistent à coller du chewing-gum dans les poils du chien ou à mettre un laxatif dans sa gamelle, d'après la presse britannique, dont de nombreux titres affichaient lundi en une la photo de «Jagger». «Le Kennel Club est profondément choqué et attristé», a déclaré Caroline Kisko, une responsable de l'organisation de ce concours créé en 1886 et qui attire 22 000 chiens du monde entier. «Pendant le spectacle, il y a des gens partout qui marchent.

C'est relativement facile de nourrir un chien si vous voulez l'empoisonner», a souligné le propriétaire du chien, âgé de 3 ans. Pour autant, il se refuse à croire qu'il puisse s'agir d'un canicide ciblé. «On a peut-être affaire à quelqu'un qui a une dent contre les chiens en général, ou contre les Crufts» suppose-t-il.

Quant à retrouver l'auteur du crime, Jérémy Bott n'y croit guère, même en utilisant les vidéos enregistrées par les caméras de surveillance. «Je ne crois pas qu'ils réussiront à retrouver qui que ce soit. C'est un peu comme dans le cas d'attentats terroristes. Ils n'ont aucune information», conclut-il.

Il dépense plus de 14 000 euros pour retrouver celui qui a tué le chaton de sa fille

Puisque la police n'a rien fait pour retrouver celui qui a tué le chaton de sa fille, Neil Tregarthen, un homme d'affaires originaire du comté de Devon en Angleterre, a décidé de prendre les choses en main. Il a fait appel à un détective privé, afin que soit retrouvée et punie la personne qui a tué sur le pauvre animal.

L'homme âgé de 55 ans a dépensé quelque 10 000 £ (14 000 €) pour faire le travail de la police qu'il dit "impuissante".

Tué à coups de carabine Le petit chat noir, Farah, avait seulement quatorze mois quand on lui a tiré dessus avec une carabine à air comprimé.

Le pauvre animal a réussi à ramper jusqu'à sa maison, où sa maîtresse l'a retrouvé gisant dans une mare de sang. La famille a dépensé quelque 3500 £ (4 800€) pour couvrir les frais vétérinaires du chaton.

Mais il a succombé à ses blessures le 27 septembre 2014.

"Sa mort fut longue et douloureuse" raconte Neil Tregarthen. Etudiante à Exeter, Aylish Tregarthen confie ne plus laisser sortir ses autres chats de peur qu'il leur arrive la même chose, et regretter que la police ne fasse rien pour dissuader ceux qui ont tué Farah de recommencer.

Le détective engagé par Neil Tregarthen a identifié quatre suspects, plusieurs membres d'un gang local à l'origine notamment de pages Facebook invitant à maltraiter les animaux.

L'un d'eux aurait déjà été arrêté pour des infractions liées à l'utilisation d'une carabine à air comprimé.

"Je serais prêt à dépenser deux fois plus"

La famille a distribué des centaines d'affiches et mis en place une ligne téléphonique spéciale pour les appels concernant Farah. Une récompense de 1000 £ a été promise pour toute information, et un dossier de quelque 14 pages avec toutes les pistes réunies a été compilé.

Mais la police n'en fera rien. "Nous avons étudié ce crime scrupuleusement. J'ai examiné le dossier de M. Tregarthen mais il ne s'agit que de rumeurs et de spéculations" affirme Steve Parson, de la police du Devon et des Cournouailles.

Quand a la RSPCA, l'équivalent britannique de la SPA, elle a elle aussi estimé manquer de preuves.

"Je serais prêt à dépenser deux fois plus si je pensais que cela mettrait fin à ce genre de comportement. Je sais que j'ai de la chance de pouvoir le faire, mais je pense que c'est de l'argent bien dépensé" explique-t-il.