Ici, se tenait au début de la guerre une cathédrale près de la Marne. Sur cette photographie prise en 1918 des soldats français y combattent sous le commandement du Général Gouraud

Départ d'un régiment pour le front à Paris, place de la Concorde, en 1915

Comme le cheval, la bicyclette était encore très utilisée pendant la Grande Guerre. Ici, un régiment français cycliste en 1914

La bataille de Verdun de 1916 est celle qui a compté le plus de pertes : 380 000 morts côté français et 340 000 côté allemand. La peur était omniprésente, comme sur le visage de ce soldat français dans une tranchée en première ligne

Autre moment précieux du quotidien sur le front : la toilette. Un peigne, un seau d'eau, un mirroir : les ustensiles, plutôt rudimentaires, sont encore un reflet de la dureté de la vie dans les tranchées

CITATION

Cette carte postale de 1916 montre un convoi de militaires français dans un wagon. On est loin de l'euphorie des convois de 1914 emmenant des soldats sûrs de leur victoire sur le front

1918. La guerre touche à sa fin, mais la bataille de Picardie, de mars à septembre, fait rage. Des troupes en train de monter en ligne

Georges Clemenceau en visite sur le front de Picardie. Jusqu'à la fin de la guerre, les autorités françaises feront tout pour maintenir le moral des troupes, de la lourde répression des déserteurs aux visites des hommes d'Etat sur le front

Un soldat français endormi dans une église en ruines. Peu importe le lieu, chaque moment de repos devait être utilisé à bon escient sur le front