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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Kate Barry (à droite), photographe et fille de Jane Birkin (à gauche), est décédée mercredi en tombant du 4e étage d'un immeuble parisien. Ici, en octobre 2012, lors d'un vernissage à Dinard (Ille-et-Vilaine)
Kate Barry, photographe renommée et fille de la chanteuse Jane Birkin, est décédée ce mercredi en fin d'après-midi.
Comme l'a révélé le site internet du quotidien Metro, elle est tombée du 4e étage d'un immeuble du XVIe arrondissement de Paris vers 18h30.
Selon nos informations, Kate Barry était seule dans l'appartement au moment des faits, la porte étant fermée de l'intérieur. D'après les enquêteurs, les premières constatations accréditent la thèse du suicide.
Des antidépresseurs auraient notamment été retrouvés dans l'appartement. Demi-sœur des comédiennes Charlotte Gainsbourg et Lou Doillon, Kate Barry était également la fille de John Barry, auteur, notamment, de bandes originales dont celle James Bond et décédé en janvier 2011.
Elle exposait actuellement son travail dans une galerie du centre de Paris. Elle avait un fils, né en 1987.
Elle avait fondé un centre pour les toxicomanes dans l'Aisne Discrète, réservée, Kate Barry est née à Londres le 8 avril 1967.
Jane Birkin et John Barry se séparent l'année de sa naissance. Le nouveau compagnon de Jane Birkin, Serge Gainsbourg, l'élève jusqu'à l'âge de 13 ans.
Puis c'est Jacques Doillon qui prend le relais. Au départ, Kate Barry est plutôt intéressée par la mode. Elle suit des cours pour devenir styliste. Puis elle traverse une période difficile marquée par la consommation d'alcool et drogue.
Cela la conduit a créer un centre pour les toxicomanes près de Soissons (Aisne), dans lequel elle s'engage activement. Elle arrive assez tard à la photographie.
«A 28 ans, j'étais trop vieille pour qu'on m'accepte. J'ai pris des cours du soir avec Serge Picard, qui a fait des portraits pour Libération», avait déclaré Kate Barry dans un entretien à Paris-Match en 2005. «J'avais besoin de me sentir à l'aise techniquement».
«Mais j'ai commencé enfant avec le Polaroid de Serge. Il était très maniaque, mais on avait le droit d'y toucher. Pour moi, il y avait quelque chose de miraculeux, l'image apparaissait presque tout de suite. Longtemps, je n'ai pas compris que la photographie était un métier, cela restait de l'ordre du jeu», expliquait-elle.
Sa première commande est venue de France Gall pour son premier album sans Michel Berger. Kate Barry aimait photographier les femmes, souvent en noir et blanc.
Elle travaillait pour divers magazines (Elle, Paris-Match...).
«C'était aussi une femme engagée et généreuse», a déclaré mercredi soir à l'AFP Franck Chaumont, ancien responsable de la communication de l'association Ni Putes Ni Soumises et actuellement au cabinet de la ministre de la Culture Aurélie Filippetti.
Kate Barry avait réalisé gracieusement la photographie emblème de l'association créée en 2003. «Elle venait aux réunions de quartiers. Elle a participé activement aux débuts de l'association», a-t-il ajouté.
L'Afrique du Sud est orpheline : Nelson Mandela est mort.
Icône de la lutte anti-apartheid, l'ancien président sud-africain "s'est éteint" à l'âge de 95 ans à son domicile de Johannesburg, a annoncé jeudi soir (5 décembre 2013) l'actuel président Jacob Zuma en direct à la télévision publique.
"Notre cher Madiba aura des funérailles d'Etat", a-t-il ajouté, annonçant que les drapeaux seraient en berne à partir de vendredi et jusqu'aux obsèques.
Depuis des mois, et son hospitalisation le 8 juin après une rechute de son infection pulmonaire, Nelson Mandela se trouvait dans un état critique, et tout le peuple sud-africain ainsi que son entourage se préparaient à sa disparition mais sans vouloir se résoudre à l'accepter : "Intellectuellement, je sais qu'il est en train de mourir.
Mais émotionnellement, je ne suis pas prête", confiait le week-end dernier à ce titre Zindzi, sa plus jeune fille, au New York Times. Pendant tout ce temps, c'est un dernier combat exemplaire que "Madiba" a mené, brave, sous le regard inquiet et fier de ses compatriotes, défiant la mort : "Tata (Père) est toujours avec nous, très fort, (...) très courageux, même faute d'une meilleure expression sur son lit de mort, déclarait mardi Makaziwe, l'aînée de ses enfants encore en vie.
Je crois qu'il nous donne toujours des leçons : des leçons de patience, des leçons d'amour, des leçons de tolérance (...) Chaque moment, chaque minute avec Tata me stupéfie. Il y a des moments où je dois me pincer pour voir que je descends bien de cet homme qui est si fort, qui est un battant (...)
Il y a des moments où vous pouvez voir qu'il lutte (contre la mort), mais il a toujours l'esprit de combat." L'épilogue funeste de cette lutte perdue d'avance s'est dessinée jeudi : plusieurs membres de la famille de Nelson Mandela et proches se sont rassemblés jeudi à son domicile médicalisé de Johannesburg, où l'ancien président sud-africain continuer d'être en soins et de réagir aux traitements, selon son dernier bulletin médical, en date du 18 novembre.
Deux petites-filles de Mandela et un proche de la famille, l'homme politique Bantu Holomisa, ont été aperçus en train d'entrer dans la maison devant laquelle plusieurs dizaines de voitures sont venues déposer des visiteurs et des militaires, a constaté une journaliste de l'AFP.
Des visites massives, 48 heures après que Makaziwe avait évoqué le "lit de mort" de son icône de père, qui s'avéraient hélas très significatives.
Comme un passage de témoin entre histoire et legs, le décès de Nelson Mandela intervient alors qu'est sorti en salles le film tiré de son autobiographie.
Mandela: Un long chemin vers la liberté, film produit et réalisé en Afrique du Sud avec des acteurs locaux et britanniques, a pris la tête du box-office en Afrique du Sud quelques jours après sa sortie, réalisant une recette historique.
Une projection VIP avait en amont été organisée pour la famille et diverses personnalités. Toute la vie et l'oeuvre de Nelson Mandela ont été reliés dans un gros volume nommé Opus Mandela - un carré de 50 cm de côté, pour 37 kilos, la moitié du contenu étant inédite, souligne l'AFP. Très affaibli, "Madiba", de son nom de clan, avait été hospitalisé le 8 juin pour la énième fois à cause d'une infection pulmonaire puis placé sous assistance respiratoire.
Entre la vie et la mort pendant plusieurs jours, l'icône s'était retrouvée dans un "état végétatif" et sa famille avait même envisagé de débrancher les appareils maintenants l'ancien président en vie. Depuis la matinée du samedi 8 juin, date à laquelle Nelson Mandela avait été admis à l'hôpital de Pretoria dans un état "grave" mais "stable", le peuple sud-africain retenait son souffle.
Apparu le visage figé fin avril après avoir multiplié les hospitalisations durant les mois précédents, l'ancien-président honoré par la Ville de Paris inquiétait de plus en plus.
Toujours pour cette infection pulmonaire qui le poursuivait depuis de très nombreuses années, le Prix Nobel de la Paix 1993 avait déjà été hospitalisé en décembre 2012 pendant dix-neuf jours, puis en mars dernier après une rechute.
L'infection pulmonaire de Nelson Mandela provenait d'une tuberculose qu'il avait contractée durant son séjour sur l'île-prison de Robben Island, où il a passé dix-huit de ses vingt-sept années de détention, avant de devenir, en 1994, le tout premier président noir d'Afrique du Sud.
Depuis la finale de la Coupe du Monde 2010 à Johannesbourg, où il s'était montré avec son épouse, Madiba n'apparaissait quasiment plus en public. Mardi 25 juin, la famille de Nelson Mandela se préparait déjà à l'inévitable et s'était réunie à Qunu, le village d'enfance de l'ancien président sud-africain qui était alors toujours dans un état "critique", afin d'évoquer le lieu où il devait être enterré. Officiellement, c'est à Qunu que l'ex-chef d'État devrait reposer en paix : "Ma famille est ici et je voudrais être enterré ici, à la maison", avait-il déclaré en 2003 dans un documentaire.
Certains proches, eux, souhaiteraient qu'il repose plutôt dans le village de Mvezo, où il est né. La famille de Nelson Mandela, qui s'est récemment déchirée pour une sordide affaire de sépultures déplacées, conseillée par des médecins, avait envisagé selon un document de justice de "débrancher" le prix Nobel de la Paix 1993, avant d'écarter cette option quelques jours plus tard.
Les médecins de l'ex-président avait alors exclu de débrancher les appareils qui le maintenaient en vie tant qu'il n'y avait pas de "réelle défaillance des organes" vitaux. "Icône mondiale de la réconciliation", comme l'avait décrit Desmond Tutu, Nelson Mandela laisse derrière lui trois enfants encore vivants sur les six qu'il a eus en tout. Makaziwe (60 ans), née de son mariage avec Evelyn Ntoko Mase, Zenani (55 ans) et Zindziswa (57 ans), toutes deux nées de son deuxième mariage avec Winnie Madikizela-Mandela, ainsi que dix-sept petits-enfants et douze arrière-petits-enfants. Madiba s'était remarié une troisième fois le jour de ses 80 ans, en 1998, avec Graça Machel, la veuve de l'ancien président mozambicain Samora Machel.
ELLE ETAIT DES NOTRES !!! MILITAIRES PARTAGEZ !!!
En France il vaut mieux être immigré, maghrébin, rom, illégal, politique, journaliste etc etc ....
Rendons donc hommage à notre manière !!! Décès d'une championne,à voir !! silence des médias !!
Une fois de plus la honte pour les médias!! Ils vont nous "souler" avec Léonarda mais des françaises courageuses, remarquables et talentueuses ! les journaleux n'en diront pas un mot !!! Où est le bel exemple !!!! On ne glorifie plus les français brillants qui sont l'honneur de notre pays....
Décès totalement occulté d'une championne.... c'était une militaire....
Personne n'en parle on l'ignore ! Décès de l’adjudant Blandine Perroud qui n'était pas n'importe qui - elle on ne lui a fait ni obsèques officielles ni remise de décoration !... (Adjudant para féminin qui avait sauté en parachute lors du 14 juillet à Paris) a fait l'admiration anonyme à Paris....
Comme on n'en parlera pas ou peu dans les médias, je vous transmets cette information ci-dessous .
L’adjudant Blandine Perroud, monitrice-chef à l’Ecole des troupes aéroportées (ETAP) de Pau et membre de l’équipe de France militaire de parachutisme, est décédée jeudi 3 octobre 2013 des suites de ses blessures. (soit en service).
Elle s’entrainait à Gap pour les championnats du monde militaires, lorsqu’un accident de saut est survenu, mercredi 2 octobre. Âgée de 36 ans, l’adjudant Perroud était championne du monde de skysurf, vice-championne d’Europe en précision d’atterrissage et en voltige.
Elle avait été choisie pour sauter au-dessus de la place de la Concorde à Paris pour les cérémonies du 14 juillet 2013. L’armée de Terre partage pleinement la douleur des proches de l’adjudant Blandine Perroud.
Georges Lautner (né le 24 janvier 1926 à Nice1,2 et mort le 22 novembre 2013 à Paris) est un réalisateur et scénariste français.
Attiré dès ses débuts vers la comédie, Lautner est surtout connu pour avoir mis en image les plus fameuses répliques de Michel Audiard (leur collaboration la plus célèbre restant Les Tontons flingueurs).
Ses incursions dans les autres genres (dont Le Professionnel en 1981 ou La Maison assassinée en 1988) connurent également un succès auprès du public.
Cet artisan prolifique n'en demeure pas moins une figure incontournable de la comédie française de l'après-guerre (avec Gérard Oury).
Georges Lautner est le fils de Léopold Lautner (1893-1938), joaillier d'origine viennoise et aviateur qui participe à des meetings aériens (il sera pilote de chasse pendant la Première Guerre mondiale), et de la comédienne Marie-Louise Vittore (qui apparaît sous le nom de Renée Saint-Cyr dans onze des films de son fils).
En 1933, après avoir passé une partir de son enfance dans le midi, il monte à Paris avec sa mère qui va commencer sa carrière cinématographique cette même année et connaître un succès avec Les Deux orphelines. C'est à cette occasion qu'il découvre le cinéma et fréquente les salles obscures, mais cette période joyeuse sera ternie par le décès de son père, le 17 juillet 1938, dans un accident d'avion.
Durant la Seconde Guerre mondiale, il est scolarisé au lycée Janson-de-Sailly, à Paris. Malgré cette période difficile, il essaie de préserver une jeunesse fêtarde, puis se sentant concerné par ce qui se passe en France, il n'hésite pas à venir observer de plus près les événements dans la capitale, ce qui ne manque pas de développer son sens critique.
Après la Libération de Paris, Lautner, après avoir obtenu un Bac philo-sciences, se tourne vers le cinéma, notamment en faisant de petits boulots. Ses débuts au cinéma se font en 1945 comme décorateur dans La Route du bagne, de Léon Mathot.
En 1947, il est contraint de cesser ses petits boulots pour aller faire son service militaire en Autriche et va faire un stage de projectionniste 16 mm. Puis il est envoyé au service cinématographique des armées (SCA) de Paris, côtoyant Claude Lecomte et Marcel Bluwal. Georges Lautner en 1966.
Georges Lautner lors de l'hommage à Jean-Paul Belmondo au festival de Cannes 2011.
Sorti de l'armée, son expérience en matière de pellicule lui vaut de devenir en 1949 le second assistant-réalisateur de Sacha Guitry pour Le Trésor de Cantenac.
Durant les années 1950, il continue d'être assistant réalisateur (Les Chiffonniers d'Emmaüs, rencontrant sur le tournage le cascadeur Henri Cogan, devenu son fidèle collaborateur et ami, Courte tête), puis fait des apparitions dans des films comme Capitaine Ardant.
Alors qu'il avait pour ambition de devenir comédien, qu'il dut abandonner car il était trop timide pour jouer sur scène et n'avait pas les dons nécessaires, il préfère rester derrière la caméra.
À travers les différents plateaux qu'il fréquente, il apprend très vite à user du système D qui lui confère une efficacité à toute épreuve dès qu'il s'agit de pallier les imprévus.
Grâce à un bon relationnel, il a pour habitude d'aller discuter avec les seconds rôles et les figurants durant les tournages, ce qui lui donne le goût de devenir réalisateur, sachant mettre à l'aise les comédiens.
En 1958, le directeur de production Maurice Juven le remarque et lui confie la réalisation de La Môme aux boutons, tourné en un mois avec des acteurs de boulevard.
Malheureusement, le premier long-métrage de Lautner est un échec commercial. Après ce premier essai, le cinéaste se voit confier par Juven la réalisation de Marche ou crève. Cette adaptation d'un roman de Jack Murray, que le réalisateur signe avec Pierre Laroche (qui collabora sur cinq films du réalisateur), Lautner la considère comme sa première vraie réalisation.
Le film amortit l'échec du précédent, lui permettant de réaliser avec son équipe Arrêtez les tambours. Ce film marque le début de sa collaboration avec le chef-opérateur Maurice Fellous. Mais c'est en 1961 qu'il va se faire connaître du grand public avec Le Monocle noir. Adapté d'un roman du Colonel Rémy, cette comédie policière, avec Paul Meurisse dans le rôle du « Monocle », agent secret français, est un succès commercial et aura deux suites.
En 1962, il tourne Le Septième Juré, drame psychologique avec Bernard Blier. Sa façon de tourner — usage du champ/contre-champ qui permet de jouer avec la profondeur et d'orchestrer ainsi une composition visuelle particulière devient une de ses marques de fabrique, avec les gros plans, de manière à mettre en valeur les comédiens et le dialogue — lui vaut d'être recommandé par Bernard Blier et Michel Audiard (qui va collaborer avec Lautner pour une dizaine de films) à Alain Poiré, patron de Gaumont International, une filiale de la Gaumont chargée des productions de films, une société qui a un palmarès très important de grands succès populaires, en particulier dans le domaine de la comédie.
Poiré a la réputation de savoir dénicher les talents. En 1963, Poiré lui offre la réalisation des Tontons flingueurs. Avec Lino Ventura (qui remplace Jean Gabin après un désaccord avec Lautner), Bernard Blier, Jean Lefebvre, et Francis Blanche dans la distribution et Michel Audiard aux dialogues.
Le film, sommet de la parodie de film policier, est un succès et devient un classique du cinéma français. Il rencontre à la même époque Mireille Darc et la fait tourner dans une dizaine de films (Des pissenlits par la racine, Les Barbouzes, nouvel opus du groupe Audiard-Lautner-Blier-Ventura-Blanche, Galia, film sur la libération sexuelle, Ne nous fâchons pas et La Grande Sauterelle entre autres).
En 1968, il réalise le film policier Le Pacha, dialogué par Audiard, avec Jean Gabin, qui devait tourner dans Les tontons flingueurs. Au début du tournage, l'atmosphère est lourde. Gabin se retrouve désarçonné par le style Lautner : des gros plans à répétition, de nombreuses coupes… de plus, le réalisateur, timide par nature, est très impressionné par le comédien.
Mais quand les premières rushes sont montés, mis en musique et projetés, Gabin comprend alors le style et le ton du film. Cela le décide à faire confiance à son réalisateur pour le reste du tournage, et la suite s'est bien passée.
Après quelques problèmes avec la censure, le film sort et connaît un succès public et critique. Après l'échec de son long-métrage américain La Route de Salina, il tourne la comédie Laisse aller, c'est une valse, avec Jean Yanne.
Ce film marque les débuts de Coluche au cinéma. Les années 1970 seront prolifiques pour Lautner, qui connaît succès sur succès avec Il était une fois un flic, quelques messieurs trop tranquilles, La Valise, Les Seins de glace, on aura tout vu et Mort d'un pourri, et tournant avec des acteurs confirmés comme Jean-Pierre Marielle, Alain Delon et Pierre Richard et des acteurs débutants comme Gérard Lanvin et Miou-Miou. Après une collaboration — difficile — avec Delon (Les Seins de glace et Mort d'un pourri), Georges Lautner fait tourner Jean-Paul Belmondo à partir de 1979 dans Flic ou Voyou.
Devenus amis, Belmondo et Lautner vont signer trois films ensemble comme Le Guignolo, Le Professionnel, énorme succès en 1981 et Joyeuses Pâques. La seconde moitié des années 1980 marque la fin de sa collaboration avec Michel Audiard (qui décède en juillet 1985) et oscille entre succès (La Maison assassinée, avec Patrick Bruel) et échecs commerciaux.
En 1992, il tourne son dernier film pour le cinéma, L'Inconnu dans la maison (avec Belmondo), qui ne connaît pas le succès escompté. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Georges Lautner fait partie des cinéastes populaires, peu appréciés par la critique de l'époque.
En 1963, lorsque sort Les Tontons Flingueurs, le film est éreinté par la critique, le trouvant trop caricatural et à peine divertissant, mais rencontre toutefois un succès auprès du public, puisqu'il totalise 3 321 121 entrées en France5. Aujourd'hui, Les Tontons Flingueurs est considéré comme un film culte4,6,7 et rencontre un succès d'audience à chaque diffusion à la télévision.
Au cours de sa carrière, les films qu'il a réalisé ont totalisé 60,5 millions d'entrées
On l'a appris hier soir : Georges Lautner (en haut à gauche de l'image), le réalisateur des «Tontons flingueurs», est décédé
Retour sur son incroyable carrière et ses films devenus cultes avec des
EXTRAITS VIDÉOS : http://bit.ly/IaUiqR
DIAPORAMA : Georges Lautner, photographié avec les acteurs de ses films : http://bit.ly/1iDEWsq
Séquence souvenirs : Inoubliables «Tontons flingueurs» : http://bit.ly/1aG7bmY
LE CHANT DES DEESSES13
Il y eut l’esclavage, puis il y eut la ségrégation, et même après que ces malédictions furent vaincues, il demeura encore le préjugé. Et pourtant, elles triomphèrent de tout cela, sans armée mais non sans arme, car elles en possédaient une d’une incroyable efficacité, qui était capable d’atteindre même l’adversaire le plus résolu et de lui ouvrir tout grand son âme, afin qu’elles puissent en faire la conquête et par là, le subjuguer.
Et, c’est en nous abreuvant du conte de leur histoire que nous apprenons que, même dans les situations qui nous semblent les plus compromises et où comme en ce moment, nous sentons sombrer notre société, il ne faut jamais désespérer de notre espèce humaine. Car, il y aura toujours, et même s’il vient de loin et qu’il se sera fait longuement attendre, quelque chose de bien qui s’en viendra finalement vaincre le mauvais, même si cette victoire ne sera jamais définitive et que plus tard d’autres combats seront encore à mener.
Car, la force d’espérance et la confiance peuvent conduire par des parcours vertigineux depuis les abysses jusqu’aux sommets, à de merveilleuses “rédemption”, et tel fut le parcours de ces femmes exceptionnelles dites “déesses” (divas), dont les ancêtres à seulement deux ou trois générations d’elles, étaient des esclaves, hommes ramenés au niveau de la bête, et dont la première d’entre elles, le fut elle-même. Ces ancêtres hagards, courbés sous la contrainte de la servitude, dont l’idée d’excellence avait déserté leur existence humiliée et à l’horizon bouché, et dans laquelle il ne pouvait y avoir de répit que celui qu’offrait la mort, ont ils pu imaginer un seul instant que leurs descendantes deviendraient les objets d’un véritable culte ?
Ont-ils pu imaginer cette ironie extraordinaire et magnifique selon laquelle ceux qui se sont si longtemps mépris sur eux, allaient seulement quelques décennies plus tard, se vêtir élégamment pour se rendre dans de grandioses salles de spectacle où il est convenu de l’être, et où il avaient retenu de longue date des places au meilleurs endroits pour être certains de ne rien manquer, et qui une fois le rideau ouvert sur l’entrée irréelle d’une “déesse” noire, sitôt fortement acclamée sous la lumière d’un soleil bleu, allaient lui offrir leurs âmes à conquérir ?
C’est alors qu’à la descente d’une baguette magique retentissent les premières notes de l’odyssée musicale, et que sis au fond de leur siège comme Ulysse attaché au mât du navire, ils s’abandonnent volontiers à l’invasion de l’émotion désireux qu’ils sont d’en faire le plein, et le charme opérant, il leur arrive parfois même d’en pleurer autant que d’en sourire. Puis ayant vécu, c’est par un tonnerre d’applaudissements qu’ils saluent le dernier “la” poussé en un point d’orgue au-delà des nues, en le ponctuant ça et là de quelques tonitruants “bravos”. Et, ne se résignant pas à voir la déesse s’en retourner dans son paradis auquel ils n’ont pas accès, certains tentent d’obtenir la complicité d’un saint Pierre pour pouvoir accéder à la loge, d’autres pour arracher à tout prix un autographe, ceux de bonnes manières avaient quant à eux déjà prévus le bouquet de fleurs, en se réjouissant à l’idée que la carte qui l’accompagne serait lue, seule façon pour eux d’obtenir une éphémère installation, au coin d’une divine affection.
Pour ces amoureux de l’art lyrique, quelles sont belles et quelles leur sont chères ces cantatrices, et peu leur importe d’ailleurs de se souvenir d’où elles viennent, mais justement, comment ces descendantes d’esclaves sont-elles parvenues à s’installer jusque dans les cieux, pour que l’instant d’un concert elles puissent avoir ainsi le monde à leurs pieds ?
C’est parce qu’elles possèdent le don de mettre en oeuvre cet heureux allié du “bien”, lequel chez les humains s’accompli par raison ou par devoir, ce qui se révèle être hélas parfois insuffisant, et qui, en adjoignant à ce bien la formidable force de la “séduction”, lui permet de vaincre le “mal”. Il s’agit alors en ce secours des bonnes causes, de ce que nous reconnaissons comme étant le “beau”.
Ainsi la beauté dont elles enivrent tous ceux qui ont la fortune de leur prêter l’oreille, renvoie-t-elle dans ses enfers le mal qui toujours sous-jacent, tendrait à les faire mépriser elles et leur semblables, pour leur couleur en laquelle certains veulent obstinément voir la marque de l’infériorité. Et, en les voyant produire devant un public succombant à leur charme, mais constitué presque exclusivement d’amateurs blancs, comme pour leur éviter qu’en cas d’une reconnaissance par les leurs qui viendrait tant les combler, elles ne perdent leur contrôle par excès de bonheur, on songe à cette expression de la bien-aimée du cantique des cantiques :
“ Je suis noire, mais je suis belle, filles de Jérusalem...”
On se dit alors qu’en certains instants des acclamations et des félicitations, elles n’ont pas du manquer face à l’un de ces amoureux parmi les plus épris, et en songeant en un film accéléré au long chemin parcouru depuis les champs de coton ou de canne à sucre :
“ Vois, toi qui nous a si longtemps cru incapables d’être tes égaux, vois comme je suis parvenue à te rejoindre dans ta propre culture, et vois comme je suis même capable de devenir le meilleur de toi...”
Il s’agit en ces “déesses” présentées ici sur l’illustration, de gauche à droite et de haut en bas, d’Elisabeth Taylor Greenfield, Maria Anderson, Leontyne Price, Grace Bumbry, Shirley Verett, Christiane Eda Pierre, Jessye Norman, Barbara Hendricks, et Kathleen Battle.
Je ne peux évidemment pas vous les conter toutes ici selon la grande richesse de leurs différentes carrières, mais disons cependant quant à la première, Elisabeth Taylor Greenfield, qu’elle naquit esclave en 1824, mais fut adoptée par un couple de “quakers”, ces adeptes d’un mouvement dissident de l’église anglicane pour lesquels, loin de toute structure hiérarchisée telle que celle d’une église, la croyance ne doit être l’expression que de ce qu’ils nomment la “lumière intérieure”.
Constatant son don, ils lui firent faire des études de musique, et à partir de son premier concert en 1851, elle parvint rapidement à gagner de la notoriété.
En 1853 elle fit un concert au Metropolitan Hall de New York en recueillant un auditoire de 4000 personnes toutes exclusivement blanches. Mais après ce concert, pour marquer son regret du fait que les siens n’aient pu y assister, elle se produira dans une maison de retraite pour personnes de couleur.
La même année, elle se rend en Angleterre et en 1854, elle se produira au palais de Buckingham devant la reine Victoria. Retournée aux Etats Unis, elle créera en 1860 une troupe d’opéra, dont elle prendra la direction.
Quant à la dernière de l’illustration, qui donc parmi tous ceux qui ont eu la chance de le suivre, dans le cadre du “Concert du nouvel an”, cet événement mondial qui se produit à Vienne tous les premiers de l’an, n’a gardé un souvenir mémorable de ce magnifique concert de 1987 ? Celui où, accompagnée de l’orchestre philarmonique de Vienne sous la direction de l’illustre chef Herbert von Karajan, la belle Kathleen Battle interpréta si sublimement cette œuvre “Voix du printemps”, du compositeur Johan Strauss, et dont un commentateur si plein d’enthousiasme alla jusqu’à dire qu’on pouvait mourir pour pouvoir entendre cela.
Tout au long du morceau, ce bel aryen visiblement également tombé sous le charme, et qui semblait presque en oublier sa direction d’orchestre, n’eut de cesse de jeter des regards pleins de tendresse sur cette femme noire, telle qu’elle était si resplendissante dans une tenue qui l’avantageait encore, et telle qu’elle su rendre magique les échos de ce chant.
Entre les deux nous trouvons à la 7eme place de l'illustration, l’immense Jessye Norman dont on se souvient comment en 1989, à l’occasion des célébrations du bicentenaire de la révolution française, on la vit surgir sous les projecteurs toute de tricolore vêtue, par devant l’obélisque de Louxor pour entamer une marseillaise si vibrante qu’elle aurait probablement fait tressaillir Rouget de l’Isle lui-même. Et ce, sous les regards à la fois émus et pleins de fierté, du président des Etats Unis d’Amérique et de son épouse, invités pour l’occasion au balcon de l’hôtel de Crillon. Et c’est donc cette femme noire qui fut choisie pour célébrer au plus haut point en ces instants du souvenir de sa fondation, la république française...
Quelque temps plus tard, en 1992, c’est dans cet autre haut lieu de la nation française s’il en est, que constitue la cathédrale Notre-Dame de Paris, et dans une atmosphère d’une telle ferveur que même un non croyant ne pouvait douter que d’évidence, Dieu lui-même avait pris place en l’endroit, que la grande Jessye Norman qui constitue l’archétype même de ce que nous concevons comme étant une “diva”, interprétera d’une façon troublante le fameux “Sanctus” de la messe solennelle de Charles Gounod.
Sur le parvis, des milliers de parisiens n’ayant pu trouver place dans la cathédrale, et ne voulant rien manquer de l’événement, suivaient le concert sur un écran géant.
Il y a des gens avec qui l’on passe une grande partie de sa vie et qui ne vous apportent rien. Qui ne vous éclairent pas, ne vous nourrissent pas, ne vous donnent pas d’élan. Encore heureux qu’ils ne vous détruisent pas à petit feu en s’accrochant à vos basques et en vous suçant le sang. Et puis… Il y a ceux que l’on croise, que l’on connaît à peine, qui vous disent un mot, une phrase, vous accordent une minute, une demie-heure et changent le cours de votre vie.
IL FUT UN TEMPS OU IL Y AVAIT EN FRANCE, UNE " CONSCIENCE "...
Ceux-là n'avaient de cesse de rappeler que nous n'étions fondés sur cette Terre, qu'à condition de nous y établir selon les meilleurs arrangements entre nous, lesquels sous le mot " Fraternité ", impliquaient, l'amitié, l'équité, la générosité, et la solidarité...
Mais ceux-là ne sont plus, et leur exigence morale non plus et aujourd'hui, tout un peuple se laisse conquérir par les délices de la perversité, emporté par le chant des sirènes de l'égoïsme, de la défiance, de l'injustice, de la convoitise, de l'individualisme, du narcissisme, du bellicisme et du racisme...
Qui leur a donc fait croire qu'il existait un paradis par là...?
Ils en reviendront, mais non sans que le rêve pervers n'ait bientôt tourné au cauchemar...
On ne contrevient pas à la loi du cosmos, et rien, absolument rien de toute l'histoire de notre humanité, où il s'en est tant passé et où les exemples ne manquent pas, ne peut laisser supposer ni espérer un seul instant que ce qui se passe en France en ce moment, pourrait manquer de tôt ou tard très mal se terminer...
Il y a urgence à se ressaisir...!
Pensée aux familles qui se diront "Il y a 12 ans... Mon fils(ma fille),mon mari(ma femme) était encore en vie".
Merci à l'équipe "Aidons-les" !!
Le samedi 24 aout, l’équipe de Marjorie et de ses bénévoles « Aidons les » nous ont accueillis avec nos adoptants et toutes les personnes qui nous soutiennent pour passer un moment convivial entre amoureux de lévriers.
Cette journée a laissé place à une très belle balade sur Estinnes entre quelques gouttes de pluie puis s’en est suivi un super barbecue.
La touche finale a été donnée par Marie Christine qui a réalisé les desserts.
Cette journée était consacrée à aider le refuge P, qui est en grande difficulté financière.
Ainsi 802 € ont été récoltés par l’équipe Aidons les, quelques dons matériels comme des paniers, coussins, croquettes et 204 € de vente de la boutique.
Nous nous faisons porte paroles pour notre refuge et tous les chiens et lévriers qui attendent une famille là bas pour remercier Marjorie et toute son équipe du fond du coeur pour cette super journée, pour votre mobilisation et pour votre aide.
L’intégralité récoltée sera reversée au refuge P pour effacer encore un peu la dette qui pèse sur leurs épaules.
Céline et l’équipe Terre des Lévriers