Les chansons anciennes qui ont bercé ma vie,  soudain me reviennent comme un matin de pluie,  ritournelles incontournables, une goutte de miel sur mes larmes, nostalgie d'un temps où l'amour était célébré,  soleil noyé de gris d'un chagrin oublié, de refrains joyeux en complaintes diffuses, de doucereux câlins que l'on infuse,  elles résonnent à ma mémoire symphonique, et frissonnent d'une langueur mélancolique a tous les étages de ma vie, elles ont souligné mes fautes, dans les naufrages de mes nuits, elles étaient mes hôtes, je m'y suis trop souvent reconnu et identifié,les voix perdues de mes rêves étoilés, la musique adoucit les moeurs dit-on,son côté magique se meurt au creux de nos frissons

Ma vie en pièce (ou en morceaux) J’ai mis du temps à comprendre. Mais c’est bon maintenant. Grands j’ai ouvert les yeux. Tout n’est qu’illusion. Mensonges et trahisons font partie du décor. Les acteurs ont le bon rôle. Et moi qui suis-je? Sur cette scène, où est ma place. Suis-je le plancher que l’on piétine. Sur lequel on frappe les trois coups. Le rideau qui s’ouvre et se referme. A chaque acte de la pièce qui se joue. Le souffleur lorsque la mémoire vous fait défaut. Ou tout simplement suis-je le fantôme du théâtre. Et de ma vie vous avez fait une pièce. Où j’ai le plus mauvais rôle. Celui qui n’a pas de dialogue. Qui ne nécessite pas ma présence. L’absente, l’oubliée, la rejetée, celle que l’on a effacée. Alors jouez, jouez, et soyez applaudis. Je vous laisse sous les feux de la rampe. Et à vous tous je dis merci. Car j’ai enfin compris, où est désormais ma place. Je préfère rester dans l’ombre. Je n’ai pas besoin d’un auditoire. Rien à prouver ni à faire voir. En amour comme en amitié, je suis. Une personne qui est sincère et fidèle. Et çà dommage que vous ne l’ayiez apprécié. Je ne vous pas tire ma révérence. Et ne vous salue pas, de mon chapeau bas. Je pars là bas où je dois. Où il n’est pas besoin de faire valoir. Où on n’a pas besoin d’espoir

Ne ferme pas ta porte, laisse entrer ces mots  de douceur, de bonheur. je t'apporte l'amitié, avec beaucoup de douceur, sincérité et simplicité, Je viens te souhaiter une magnifique nuit

Ses yeux sont des tours de lumières sous le front de sa nudité. À fleurs de transparence.  Les retours de pensées annulent les mots qui sont sourds. Elle efface toutes les images .Elle éblouie l’amour et ses ombres rétives.  Elle aime — elle aime à s’oublier.

Quand tu ne fais pas d'efforts pour changer ne t'étonnes pas si la vie ne fait pas d'efforts pour t'aider

Le sauvage n'est pas celui qui vit dans la nature. Le sauvage est celui qui la détruit

Tout ce que nous voyons ou croyons N’est qu’un rêve dans un rêve

Nos rêves sont nos plus belle échappatoire à la réalité, ils nous permettent de nous evader aussi loin que notre âme pourrait nous porter, tout est possible en ses lieux, aucune barrière qui puissent nous retenir, rien de plus que nôtres imaginations porter par notre ♥ et nos émotions, il est si doux de pouvoir rêver, alors profitons de ses moments de liberté pour nous forger un monde magnifique tel un sublime jardin secret ou chaque soir l'impossible laisse alors place au possible dans le vaste monde des songes

La vie nous relient tous par un fil invisible c'est pourquoi parfois je vacille, surplus d'émotion qui défilent besoin de libérer mon âme et d'écouter mon ♥ ou que j'aille

Il est de ses heures ou toutes les pensées s’entrelacent dans mon esprit, un duel sans merci entre mon cœur et ma raison qui veulent me conseiller tous deux à leurs façon, l’un me clame de ne suivre que les appels de mon âme, l’autre s’exclame et me tanne de garder les pieds sur terre, ça me donne un drôle de vertige de les entendrent sans cesse se chamailler, le cœur, la raison ? la raison, le cœur ce duel incessant qui torture mon corps et mon âme jours après jours, j’aimerais trouver l’apaisement, le silence enfin, mais rien ni fait et ses deux la continue inlassablement d’essayer de me diriger vers la voie que l’un comme l’autre voudraient bien me voir emprunter et moi je reste là à les écouter sans savoir vraiment de quelle coté je vais basculer