Tu peux fermer tes yeux aux choses que tu ne veux pas voir Mais tu ne peux fermer ton ♥ aux choses que tu ne veux pas sentir

Les rêveurs de grands chemins, les solitaires dont le visage est une flamme,marchent lentement dans le soir qui descend. Leur corps est déboîté du côté de l'âme, leurs bras sont grands ouverts et le vent les devance, faisant s'incliner les blés.Ils se nourrissent de rien, sinon de miettes hasardeuses, tombées du ciel ,de semis de lumière, oubliés dans l'épaisseur de l'encre : de quoi réjouir les cigales et charmer le silence.

Dans une enveloppe à son nom, elle a glissé ce qu'elle vient d'écrire, ces mots qu'on ne peut jamais dire à voix haute, même à ceux qu'on aime le plus. On ne peut que les écrire et s'enfuir au loin quand ils les lisent.

Petite rose noire fatale,tes pétales semblent de toute beauté,même si tes épines font mal,rien ne m'empêchera de t'apprécier ,puisque je vois chez toi ne serait-ce qu'un peu de lueurs. Ce que tu représentes ici bas ne peut m'apporter que du bonheur.Lorsque depuis ce jour ,j'ai osé t'approcher,je ne ferai plus demi-tour ne souhaitant juste que tonamitié  .Même si face à ces désarrois j'avais lentement oubliée tout espoir,peut-être que pourtant cette fois,je pourrais commencer à y croire

Ma plume a l'appétence d'écrire des milliers de mots mon cerveau cherche la bonne traduction mon âme est saccagé par mes émotions et aucune parole me convient d'une seule émotion je suis persuadée les sentiments d'avant n'étaient qu' une illusion de mes pensées ceci est la première fois que je savour l'amour m'emporter au septième ciel sur une douce balade d'un chanteur préféré le temps est là, mon amour, le temps d'aimer.

L'esprit apaisé et serein, je pars à la conquête des mots, à la recherche des émotions, qui sauront me transporter vers un ailleurs, vers un autre monde parsemé de délicates et profondes pensées

Pendant très longtemps, il me semblait que la vie allait commencer- la vraie vie. Mais il y avait toujours des obstacles le long du chemin, une épreuve à traverser, un travail à terminer, un temps à donner, une dette à payer, Puis la vie, commencerait... J'ai enfin compris que les obstacles étaient la vie.

J'ai révé de toi cette nuit. certes ca ne remplace pas ta présence, mais ca attenue ton absence

Une maison au milieu d'un champ où le temps s'est arrêté. Un endroit où la solitude est éternelle. Sur la table, un café chaud réveille ton âme. Sur les murs des photos me tiennent compagnies.Je regarde par une fenêtre. Le vent m'a emmené près de ta fenêtre, tes pensées m'y ont guidée. Je me tiens là à attendre que tu ouvres la porte... comme autrefois. Aujourd'hui, le vent m'a ramené vers toi, dans cette petite maison où tu m'as dit apprécier la solitude.Moi je ne l'aime pas, elle s'est emparée de moi. Je penses à nos beaux souvenirs? Dans ce grand champ de blé, dans cette petite maison perdue au milieu de nulle part, tu as fermé les rideaux et j'ai bien cru mourir. Aujourd'hui tu ouvres la porte doucement et m'invite à entrer. Un grand vent se lève, un homme accepte de croire à un rêve, au rêve d'une femme. Une seconde chance, un renouveau dans une vie. Rien n'est jamais terminé pour toujours. Dans un grand champ de blé une porte vient de se refermer. Qu'importe, je suis à l'intérieur.

Je traine ma peine comme une vieille rengaine, un ange que j'ai bien du mal à laisser derrière moi, le poids des années c'est accentuer, la souffrance que je garde à travers mon errance est devenue un fardeau bien trop lourd à porter, laisserai-je un jour le passé derrière moi, afin d'atténuer ce poids constant que je tire comme un fardeau depuis tous ce temps, le passé est un ami bien cruel parfois, qu'il faut savoir quitter définitivement, pour vivre sa destinée et ouvrir son regard à un futur peut-être pas des plus parfait, mais qui au moins ne laissera plus de place aux regrets...