aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Quand on dit ce qu'on ne devrait pas dire, on s'expose à entendre ce qu'on ne voudrait pas entendre
Des mots, du silence, des mots. Des ♥♥ ouverts et sincères. Mots miroir. Au delà des apparences. Un sentier où je vais me rencontrer.
Ne change pas ta nature ... . Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent. Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre lui que tu as mille raisons pour sourire. Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation. Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation c'est ce que les autres pensent de toi... et ce que les autres pensent de toi...c'est leur problème.
e suis un arc-en-ciel perdu,qui pleure pour toi toutes ses couleurs aterre. Sans fin me noyer dans tes traces, jusqu'à saigner mes nuits L'étoile ma crevée au ♥ et j'allume des cierges qui fondent sous mes pleurs. J'illumine en silence le cortège du temps qui m'arrache ta lumière,ton aura ,ton ombre m'entrelace, chagrine prisonnière du marbre, j'attends jusqu'à saigner mes nuits que mon âme se crashe, qu'elle se jette Par la fenêtre de ton absence, et qu'on enterre ses miettes au pied de ta montagne. Ce sera NOUS, sans fin... Je suis un arc-en-ciel perdu qui pleure pour toi
Le bonheur est éphémère, il passe sans s'arrêter, il s'attarde parfois, l'espace d'une illusion, mais rares sont ceux qui savent le retenir, le garder. Il est si fragile, si vulnérable, il suffit de trois fois rien pour l'effrayer, le voir fuir à tout jamais...
Une seule chose est nécessaire : la solitude. La grande solitude intérieure. Aller en soi-même, et ne rencontrer durant des heures personne, c'est à cela qu'il faut parvenir
Ça vient, c'est déjà reparti. Tu crois que c'est le temps, mais non. Autre chose. Comme une effervescence minuscule : tu fais un lit, tu marches dans une rue quelconque et c'est là. Comme une clarté au milieu du jour, mais sans lumière. Sans rien d’autre pour le dire que quelques mots, soudain, très simples — table, cri ou silence ou nuit… — et qui insistent. Alors, tu les prends : ils forment de petits organismes brefs, pareils à des coquillages que tu porterais à l'oreille pour écouter. (Tu crois que c'est le bruit de la mer, mais non). Ou des cristaux brûlant du même éclat multiplié, mais d'où venu? Tu regardes autour de toi : montée d’escalier, mur, visage, cuvette, matin sur la vitre. C'est comme une vague unique, silencieuse, invisible. Toutes les choses la reflètent et, en même temps, elles y brillent, s'y effacent. Ça vient, oui, mais c’est immobile. Ce n'est rien de ce que tu peux dire. Mais tu parles, malgré tout. Pour écouter entre les mots, comme dans le coquillage. Ce vide bruissant. Tu dis chut !, écoute. Mais ce n'est rien. Tu dis : c'est l'imperceptible.
Sois fidèle à toi-même et à tes sentiments. Ce sont les seules choses dans ta vie qui ne te mentiront pas