Je contemple le néant qu'est devenue ma vie par la fenêtre .J'attends impatiemment de partir sans un bruit. Bientôt je ne sentirai plus la douleur qui ne cesse de s'étendre. Plus les jours passent, plus je perds la notion du temps. Mes rêves sont loin derrière et je ne puis avancer C'est comme si mes jambes étaient clouées a cette chaise sur laquelle je passe mes journées .Il y a longtemps que je n'ai pas ri. Je n'ai plus de raisons pour le faire

Tout bonheur est fragile, et ne doit être touché qu'avec la plus grande attention.

Il est temps que je bouge, je sens monter une envie de mouvement... Pourvu que ce vœu soit exaucé, et qu'une nouvelle page je puisse tourner. Certains resteront derrière ; A eux, je leur souhaite du bonheur. D'autres, ancrés dans mon cœur, continueront de graver notre pierre.

J'écoute la nuit qui tombe.Je m'approche de la fenêtre et je vois une ombre. Tout à coup une lumière apparaît, elle m'éblouit .J'ai l'impression que cette ombre vient à moi. Qu'elle vient m'emporter pour visiter le haut-delà et tous les traquas, les problèmes seront terminés .C'est comme si j'allais prendre un nouveau départ .Je vais enfin pouvoir écrire une nouvelle histoire. Pouvoir faire tout ce que je veux. Changer de vie, changer de lieu. Mais voilà que je me suis réveillé .Je me souvenais de tout .Ce n'était qu'un rêve, et non la réalité. Serais-je devenu folle ?

Quand je serai grand dit le petit vent ,j'abattrai la forêt et donnerai du bois a tous ceux qui ont froid. Quand je serai grand dit le petit pain,je nourrirai tous ceux qui ont le ventre creux. Là-dessus s'en vient La petite pluie qui n'a l'air de rien. Abattre le vent. Détremper le pain. Et tout comme avant les pauvres ont froid .Les pauvres ont faim. Mais mon histoire n'est pas à croire: Si le pain manque et s'il fait froid sur Terre ce n'est pas la fautre à la pluie. Mais à l'homme qui à le coeur beaucoup trop petit.

Rien vraiment ne meurt tout à fait. Avec juste une étincelle on rallume tout ce qu'un jour on promet,et l'amour est éternel tu sais. Rien ne s'éteint à tout jamais. Il suffit qu'on se rappelle pour que reviennent des images, des reflets,mais tous les miroirs se ferment. L'amour est plus fort, bien plus fort que la mort. Il s'apprête à renaître de ses cendres sans attendre, nos rêves se lèvent et la nuit s'efface. Nos rêves s'élèvent et nous laissent une trace. Nos rêves se lèvent sur le temps qui passe. Il suffirait seulement d'y croire pour écrire une autre histoire. Rien vraiment ne meurt à la fin. Après l'ombre et la lumière de nos faiblesses on fait de grands destins .De nos ennemis des frères, l'amour est plus fort, bien plus fort que la mort .Je garde sur mes lèvres de la place dans mes rêves et je garderai la fièvre en attendant que l'amour m'emmène .

Des rêves en l’air. Des mots en l’air. Des vers en l’ai.r Des paroles en l'air Des promesses en l’air .Tout à l’air de prendre l’air. Sans en avoir l’air .Et même l’air, à l’air de prendre l’air .Quel air ça donne tout cet air?

L'homme qui aime sa terre en connaît les légendes. L'homme au cœur ouvert sait la passion,sait le pardon .Il saura les désert,le froid,les obstacles. Il donnera ses mots ,son sourire,son repos .L'homme qui pardonne est un homme de courage. Devant lui un enfant est un cadeau. L'homme tolérant est un ami sociable,fidèle,courageux .L'homme travailleur ,vigoureux,raisonnable restera sur la terre ,saura la protéger

Dans mes rêves, un imaginaire en désordre prend naissance. J'y perds ma pudeur, je refoule mes désirs. Complexité. Ils échappent à l'intimité de ma conscience et de mon influence. Mes rêves existent réellement hors de mon imagination éconduite. Mes rêves ne sont pas prémonitoires, ils sont magiques. Relativité. Mes angoisses peuvent prendre vie dans mes rêves cauchemardesques. Mes songes les plus ressentis, les plus étranges restent le jour en activité. Je me sens tellement bien dans certains, que le réveil est indigeste. Mes rêves, bien qu'en apparence décousus ont parfois un sens de concordance. Et pourtant des interrogations me viennent à l'esprit ; au conditionnel. Est-ce que les rêves de plusieurs personnes peuvent se rejoindre dans l'absolu ? Peut-on ,à un niveau supérieur, maîtriser nos rêves par l'intelligence de l'imaginaire ? Les rêves sont-ils l'antichambre d'un univers parallèle et convenu ? Pourront nous un jour expliquer la nature profonde de cet onirique mystère?

La solitude ... la douleur du passé, quand personne n'est là en cas de besoin, pour quelque chose ou pour rien. Forgeons nous un "deuxième" nous même; pour survivre à ce que l'on nous sème.