Je regarde impuissante le temps qui passe .Ca me rend joyeuse mais aussi parfois triste. Le temps qui passe nous montre que nos enfants grandissent,ca nous met en joie car on les voient profiter de la vie. Ont attend avec impatience de les voir fonder leur propre famille, les voir heureux . Mais le temps qui passe nous rend aussi nostalgique. Nous rappelles que nous vieillissons. Qu'ils faut aller de l'avant et pas se retourner sur sont passé. Le temps qui passe nous jouent parfois des tours,car ont ne le vois pas s'écouler. Il stagne, il nous fait languir, On râle car il ne veut pas passer .Ont s' ennuies quand il joue avec nos nerfs.Les temps qui passe trop vite. Ainsi vas la vie que ca nous plaise ou non

Triste émotion, quelques mots posés sur du papier sans avoir aucune idées, juste envie de pleurer pour ne pas crier, refuser de rêver pour ne pas sombrer ,éteindre ses émotions, fermer son cœur pour ne plus avoir de douleurs ,et se taire sans crier misère, oublier les sentiments et faire semblant ,ce n'est pas marrant ne peux faire autrement ,se murer dans le silence et fermer sa conscience pour oublier l'adieu, y croire encore un peu...

Même les plus sages et les plus grands de ce monde connaissent le chagrin et l’échec ; mais contrairement à nous , ils ont appris qu’il n’est pas de repos sans effort , pas de joie sans chagrin , pas de victoire sans combat et que c’est le prix qu’il nous faut payer pour vivre .

Les lois sont des toiles d'araignées sur lesquelles restent les petites mouches. Mais vous pouvez être sûr qu'il y a des grosses mouches qui les traversent.

Si je devais mourir demain, j'aimerais que l'on retienne de moi le peu de bien que j'ai tenté de répandre autour de moi. Que l'on dise à ma mère qu'elle n'a rien à regretter et que je n'ai jamais manqué de rien. À mes frères qu'au pays des adultes, le manque est une torture.

Je veux mourir, cesser de voir mon ♥ se briser, toutes mes souffrances, je veux les oublier, je n'ai plus l'espoir d'un jour de guérir. Je veux mourir cesser de souffrir je veux périr, pour oublier ce monde qui délire .Je veux mourir simplement pour partir, sans ne jamais revenir, quitter ce monde où je n'ai ni place, ni avenir. Je veux mourir pour cesser d'exister, pour que le néant puisse me saisir, pour ne plus jamais pleurer. Je veux mourir, car c'est la vie qui me tue chaque jour, je n'ai plus qu'une envie, partir pour tout oublier pour toujours.

NOVEMBRE

Novembre au fond de mon lit.L’hiver froid dans mon ventre , ma mémoire abolie .Voile de mélancolie vivace je me traîne , je me tasse et le temps qui passe , les saisons qui me chassent . Je ne trouve plus ma place nulle part dans mon espace .Je me perd , je m’efface et le temps morose m’écrase .La synchronie de mes envies,la neihe se fond dans l’oubli . La tête à l’envers , à l’envers de la vie je voudrai partir , je m’enfuie. Mes rêves maudits et mes non dits. Le ciel est bas et j’étouffe ,lasse Le temps qui passe me terrasse . Que restera t’il demain du temps passé ? Du déjà vu , du délavé. Couleurs sépia , hiver,repli de soi , trop à l’étroit dans un corps perdu , tremblant et froid . Mon cœur gèle plein d’effroi , le printemps reviendra t’il encore une fois ?

Un jour s’en va,un autre s’en vient qui en passant par là trace son chemin,qui à chaque fois transforme des destins pourtant tracés tout droit,bifurque d’un geste de la main et quand il vient à mourir,que la nuit le remplace,elle nous donne à réfléchir pour pas perdre nos traces. Et quand au petit jour, au matin que le soleil pointe enfin,il faut reprendre son baluchon,reprendre sa route avec obstination,tout en sachant que quand arrivera le soir on pourras rêver avec un peu d’espoir. Un jour s’en va,un autre s’en vient qui en passant par là nous fait déjà réfléchir à demain

Tendez l’oreille et écoutez votre vie. Songez au mystère insondable qu’elle représente. Au milieu de l’ennui et de la douleur, pas moins que dans l’excitation et la joie : touchez, goûtez, humez jusqu’à son cœur sacré et secret, car, en analyse finale, chaque instant est un instant clef et la vie elle-même est un état de grâce

On se moque des gens qui rêvent, on les gronde, on les fustige, on leur remet le nez dans la réalité, on leur dit que la vie est moche, qu'elle est triste, qu'il n'y a pas d'avenir, pas de place pour l'espérance. Et on leur tape sur la tête pour être sûr qu'ils retiennent la leçon. On leur invente des besoins dont ils n'ont pas besoin et on leur prend tous leurs sous. On les maintient prisonniers. On les enferme à double tour. On leur interdit de rêver. De s'agrandir, de se redresser... Et pourtant... Et pourtant... Si on n'a pas de rêves, on n'est rien que des pauvres humains avec des bras sans force, des jambes qui courent sans but, une bouche qui avale de l'air, des yeux vides. Le rêve, c'est ce qui nous rapproche de Dieu, des étoiles, ce qui nous rend plus grand, plus beau, unique au monde... C'est si petit, un homme sans rêves... Si petit, si inutile... Un homme qui n'a que le quotidien, que la réalité du quotidien, cela fait peine à voir. C'est comme un arbre sans feuilles. Il faut mettre des feuilles sur les arbres. Leur coller plein de feuilles pour que ça fasse un grand et bel arbre. Et tant pis s'il y a des feuilles qui tombent, on en remet d'autres. Encore et encore, sans se décourager... C'est dans le rêve que respirent les âmes. Dans le rêve que se glisse la grandeur de l'homme. Aujourd'hui, on ne respire plus, on suffoque. Le rêve, on l'a supprimé, comme on a supprimé l'âme et le Ciel...