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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Ses flocons scintillent et virevoltent, sa douceur est une émotion pure. La neige a inspiré les lecteurs les plus romantiques et amoureux de nature sauvage. Nature féerique, Québec
Un homme marchait dans le désert.
Une voix lui dit : « Ramasse quelques cailloux, mets-les dans ta poche, demain tu seras à la fois content et triste. »
L'homme obéit.
Le lendemain, il retira de sa poche des diamants, des rubis, des émeraudes, et il fut à la fois content et triste.
Content d'avoir pris les cailloux, triste de ne pas en avoir pris plus. Ainsi en va-t-il de la vie…
La pointe d’une craie jaune, mes yeux se sont envolés au- dessus d’une île métisse, bordée de plage qui traverse les montagnes et la mer ,dans un grand vent marin a l’eau turquoise d’un sable rose,prés un soleil volcanique de ses bras nus à la peau bronzée pour effleurer les rayures au soleil doré sous un ciel vanillé d’un lagon bleu aux cookies de ses nuages sucrés,dans une pluie fine et torride a l’écume chaude puis d’un désir au zeste de passion
Sur ma route se croisent divers chemins .Sur ma route s’y démêlent joie et chagrin .Sur ma route pas solitude . Sur ma route des incertitudes. Sur ma route aussi des certitudes .Sur ma route des ennemi(e)s. Sur ma route bien des ami(e)s .Sur ma route je vous ai croisé(e)s et avec vous j’ai plaisir à bavarder ! Faisons donc un bout de chemin ensemble sur nos routes croisées
Sur son matelas en multitude mousses humides, la forêt de chênes lentement se réveille, certains arbres de loin les plus timides, agitent les bouts de leurs branches en tendant l'oreille. Les chênes parlent fort en soupirant dans leur sommeil, les autres,les grands,les intrépides, soufflent leurs accents pointus dans leurs cimes au soleil. Avec cette voix organique mais splendide, qui n'effraie plus du tout , coucous et corneilles.
Moi qui me suis égaré dans le brouillard ,dans cette montagne profonde, loin de tout chemin qui me conduirait à l'orée des tourments, comme un vagabond qui erre dans cette nuit folle sans vent, a guetter la moindre clarté dans l'espoir d'un autre monde. Cela fait longtemps que les jours heureux ont perdu la partie, encore plus de faussaires et de simagrées dans le brouillard, d'un hiver chaud à ce long automne triste sans fard, quelle fleur d'amour pourrai bien y survivre qui soit pas une ortie? Les éboueurs de l'oubli ont mal fait leur travail, partout des vies brisées et sur ce chemin trop d'âmes mortes, même le grand vent du nord ne balaie plus devant ma porte, mais crée un chapelet d'air en s'engouffrant dans le soupirail. On me dit que les saisons préfacent la douceur de l'automne, quand je repense aux précipices qui ont jonché le chemin de cet automne , quelle sera donc la couleur des rigueurs des années a venirs?
BROUILLARD
A l'aube d'un matin brumeux, le ciel a bien l'air soucieux. L'horizon se perd dans les nuages .A-t-il plié bagages ? On dirait que la terre ressemble à une tartine beurrée .Percez donc rayons lumineux ! Ouvrez une brèche dans les cieux ! Otez donc cette purée de pois ! Soleil.....Montre toi !
Si tous ces grands arbres de la forêt pouvaient marcher, en se libérant de l'éternel joug qui pèse sur leurs racines, ils dévaleraient sur un pied, la douce pente de la colline, pour venir en ce jour , voir fleurir enfin le petit rosier.
Mais hélas les arbres ont toujours leurs grandes racines, qui les enchaînent à leur sol natal , cela les chagrinent, ils sont finalement prisonniers, malgré eux dans leurs collines, et des roses, ils n'en connaîtront que le parfum des épines.