Vous dites, c'est fatigant de fréquenter les enfants. Vous avez raison. Vous ajoutez : parce qu'il faut se mettre à leur niveau, se baisser, s'incliner, se courber, se faire petit. Là vous avez tort. Ce n'est pas cela qui fatigue le plus. C'est plutôt le fait d'être obligé de s'élever jusqu'à la hauteur de leurs sentiments. De se hisser sur la pointe des pieds, pour ne pas les blesser.

Honte à celui-ci qui dédaigne toute nourriture. Honte à elle ou à lui.

Je n'aime pas les haricots verts.

Je n'aime pas les féculents ça fait grossir.

je n'aime pas les pommes de terre. l'ail. Le lait et le gruyère...

Je continue ? Mange !

Si tu n'aimes ce que l'on te donne, tu n'auras rien d'autre. Combien de fois cette phrase nous a été répétée par nos parents ?

Prenons-la pour nous, elle est encore en vigueur.

Il est tout à fait regrettable que nous ayons des caprices alimentaires (mis à part les régimes ordonnés par la médecine).

Je suis consterné par le gâchis et les abus de nourriture de bien des gens. Je suis ulcéré par les exigences de bien des personnes en ce qui concerne leur repas.

Prenons conscience juste au moment où nous nous mettons à table de la chance que nous avons d'avoir un toit, de la chaleur, du pain et à boire. Il n'est point besoin de prière ni de bénédicité, un peu de dignité suffira. Si nous savions, je dis bien savions, parce que beaucoup ne savent plus, prendre un peu de recul sur nos manières de vivre et de respecter les choses qui nous entourent.

Le pain se trouve dans l'assiette, fermez les yeux et remerciez, rendez grâce au fond de votre ♥, à Dieu, à l'Amour, à vos grands-parents, à ceux qui ne sont plus à vos côtés.

Encore une chose : prenez votre temps...Si non il vous mangera plus tôt que prévu.

Reste devant la porte si tu veux qu'on te l'ouvre, ne quitte pas la voie si tu veux qu'on te guide.

Nous sous-estimons souvent le pouvoir d’un contact, d’un sourire, d’un mot gentil, d’une oreille attentive, d’un compliment sincère ou de la moindre attention : ils ont tous le pouvoir de changer une vie

L'ignorance et le refoulement des blessures de l'enfance provoquent des états dépressifs dus à certains blocages chroniques. L'âme humaine est pratiquement indestructible; et ses chances de renaître demeurent tant que le corps vit.

Elle offrait sa main et jamais ne la retirait en premier. Un geste, une leçon. Sa main c'est mon ♥, ma fraternité, ma confiance. Garde la, garde les... Je serai là, tant que tu le seras.

Laissez-vous être silencieusement attiré par la force de ce que vous aimez vraiment.

Il y a des moments dans la vie où l'on grandit. Malgré soi. Une tuile. Un deuil. Une trahison. Quelque chose qui vous arrache à l'enfance et vous montre que la vie n'est pas ce que vous croyiez, que les gens ne sont pas ceux que vous pensiez qu'ils étaient.

Grandir, c’est sans doute aussi savoir pardonner les blessures qui vous sont faites par inadvertance et dont on est le seul à pouvoir mesurer la profondeur..

Si ton cœur bat pendant qu'il pense à moi, si mon cœur bat pendant qu'il pense à toi, alors en cet instant où nos pensées se rejoignent, que nos cœurs battent à l’unisson, assurément ... Il est un lien entre ton cœur et le mien.