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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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La véritable histoire de Kiki le vrai
Le 26 janvier 1974, Koïchi Sekiguchi créait à Tokyo, Monchichi, un drôle de petit singe tellement sympathique qu’il a fait le tour de la planète. En France, c’est la société Ajena qui, à partir de 1979 fabrique et distribue sous licence Sekiguchi cette adorable peluche.
Pour lui donner un nom français et le différencier ainsi de ses congénères d’autres pays, la société Ajena acquiert en 1978 la marque Kiki. La marque Kiki avait été déposée à l’INPI le 29 octobre 1968 par Claude Ehrlich, également propriétaire de la marque Alfa Paris.
Je ne sais pas encore quels jouets étaient vendus sous cette première marque Kiki.
Claude Ehrlich renouvelle la marque Kiki le 12 octobre 1978 auprès de l’INPI et la transmet à la société Ajena qui l’a exploitée pour ce mignon petit singe créé au Japon mais qui pendant quelques années fut fabriqué en France, dans les ateliers de Luché-Pringé dans la Sarthe.
Les premiers Kiki mesurent 19 cm (18 ou 20 pour certains catalogues), ont des taches de rousseur, les yeux bleus, le nez noir et ont dans la main droite une sucette ; ils sont vendus un peu moins de 30 F, soit environ 13 € au 27 mars 2019.
Leurs visages sont peints à la main et de petites différences peuvent apparaître dans le tracé des yeux, des tâches de rousseur ou celui des pommettes comme le montrent les photos ci-dessous ; c’est un peu ce qui fait « la personnalité » de chaque Kiki. Il semblerait que parmi les maquilleuses de nos petits amis figuraient des détenues de la maison d’arrêt de Rennes. Trois Kiki du début des années 80 Au catalogue Euromarché de Noël 1980, le singe Kiki est présenté comme « un drôle d’ami tout petit – 19 cm – peluche, tête, pieds et mains en vinyle – Ajena ».
Des yeux peints à la main
Très vite une douzaine de tenues vendues séparément en boîtes carton sont proposées en magasin ainsi que du mobilier, une tente et un sac de couchage composant le petit monde de Kiki. Des Kiki sportifs Le catalogue 1980-81 d’Ajena propose en plus du Kiki classique de 19 cm : « un drôle d’ami tout petit« , un grand Kiki de 45 cm : « un drôle d’ami qui a grandi« . Ce grand Kiki porte un bandana rouge autour du cou et suce son pouce. Une garde robe a été spécialement conçue pour lui. Kiki est alors vendu en boîte carton avec fenêtre.
Dans ce catalogue on trouve également des Kikikit, des petits bricolages, présentés comme nouveautés. Voici une demoiselle Kiki de 45 cm, du début des années 80, de fabrication française tout droit sortie des ateliers sarthois d’Ajena : Demoiselle Kiki du début des années 80 aux pieds lisses dans une robe vraisemblablement Raynal L’étiquette d’un Kiki du début des années 1980.
A partir de 1981, la gamme se développe encore, les prix augmentent sensiblement et sont très variables d’une enseigne à l’autre. On peut désormais acheter Kiki en coffrets divers.
Dans le coffret Kiki star vendu de 125 à 140 F (soit de 48 à 54 € au 27 mars 2019) on trouve un Kiki, une tenue de star, des accessoires et le disque de la chanson de Kikis. Cette année-là, Petit Kiki entre en scène, il mesure 14 cm, il est vendu 43,50 F (soit 17 € au 27 mars 2019) alors que son frère de 19 cm est vendu 54,50 F (soit 21 €) et celui de 45 cm 195 F (soit 75 €). A partir de 1982, le tout petit Kiki a aussi son petit monde. La famille Kiki s’agrandit à nouveau au catalogue 1981-82 d’Ajena avec Kiki géant qui mesure 75 cm (80 cm pour d’autres catalogues).
Une tirelire et une lampe de chevet complètent la collection. Kiki junior Pour Noël 1981, Kiki junior, qui nous indique sur sa boîte en carton être un vrai Kiki, rejoint la famille ; il mesure 28 cm. Comme son frère, plus grand, il suce son pouce. La marque Coqueval propose en 1983 des dînettes en plastique à l’effigie du désormais célèbre petit singe.
A Noël 1983, la famille s’agrandit. Kiki a retrouvé son papi et sa mamie avec quelques poils blancs comme il se doit. Vendus séparément 125 F pièce, soit 39 € à la fin mars 2019, Papi et Mamie étaient vendus habillés en boîtes carton à fenêtre.
En 1984 la gamme s’étoffe encore avec la série des cousins de Kiki, de drôles de petits animaux en peluche au visage en vinyle, des jeux de société de toutes sortes, des livres, des sweats et tee-shirts en taille enfant ; la garde-robe de nos petits amis est elle aussi plus complète. Une grande variété de costumes A partir de 1985, Kiki se fait plus discret ; on le rencontre moins souvent dans les catalogues de jouets.
En 1986 il arbore un nouveau slogan : » le Kiki de tous les Kiki » et nous présente ses frères aux tons pastel ou vifs, les Colori. Nos petits amis ont encore les yeux bleus mais vraisemblablement plus pour très longtemps. La famille bleu presque au complet Kiki Colori A partir de la fin des années 80, Kiki est fabriqué en Chine. Les étiquettes cousues au corps des petits singes indiquent au recto Ajena made in China et au verso CE AJena F Luché Pringé – lavable 30 ° – Washable 30° ©1974 Sekiguchi – Kiki ®.
Le 10 octobre 1988, Ajena renouvelle auprès de l’INPI la marque Kiki. Quelques mois plus tard, en janvier 1989, la société bretonne Nounours rachète la société Ajena.
En 1998, la marque Kiki est renouvelée auprès de l’INPI. Jusqu’à son rachat par le Groupe César en 2005, Nounours a continué de produire Kiki. Trois Kiki aux yeux marrons de la fin des années 90 Au début des années 90 Kiki était encore vendu sous la marque Ajena, et un peu plus tard directement sous la marque Nounours même si sur l’étiquette cousue à son corps figurait toujours la marque Ajena. , L’étiquette d’un Kiki de 1998.
La collection se renouvelle avec des Kiki que l’on peut acheter tout habillés ou même déguisés en animaux en peluche. Pour Noël 1990, Kiki est vendu chez Jouets et compagnie 99 F, soit 23 €.
Pour le Noël suivant au BHV, son prix a baissé, il ne coûte pus que 69,90 F, soit 14 € ; en 28 cm il est vendu 105 F (21 €) et 290 F (59 €) en taille 45 . Habillé, Kiki coûte 99 F (20 €).
Un très beau Kiki de 1998 fabriqué en Chine et issu des rayons du BHV Un Kiki géant aux yeux marrons de 75 à 80 cm est commercialisé au milieu des années 2000. Ce petit singe tellement attendrissant a été copié à de nombreuses reprises.
En 1988, Kiki a même gagné devant la Cour de Cassation contre un imposteur qui cherchait à tromper le public. Face à cette situation, Ajena a trouvé la parade à partir du milieu des années 80 en gravant le pied gauche de Kiki jusque là tout lisse du slogan « Kiki le vrai« , un peu comme jadis les peluches Alfa-Paris. Son pied droit est resté lisse. Le pied gauche de Kiki en 1998 Depuis quelques années déjà, Kiki a disparu des vitrines des magasins de jouets pour rejoindre celles des collectionneurs. Il a été remplacé par Monchhichi, mais comme dirait Titus le petit lion, ça c’est une autre histoire !
Face cachée du Ramadan : faux jeûne, business, orgies de nourriture, indigestions massives, gaspillage, dégâts sociaux
Le terme « jeûne » n’est pas forcément adapté pour désigner les pratiques islamiques du ramadan… qu’on ne peut plus rater en France. Certes, le fait de ne pas avoir le droit de boire de l’eau pendant tout le jour est dur, voire inhumain quand il fait chaud (quelle idée bizarre…).
Pour le reste, certains parlent du « mois de la nourriture » !
En Algérie, en 2010, le nombre de personnes admises aux services des urgences médicales après l’Iftar (repas de rupture du « jeûne ») durant les 10 premiers jours du « mois sacré » avoisinait les 10 000.
« La quasi-totalité des cas personnes souffrant de troubles digestifs, d’hypertension et de troubles de diabète ont été enregistrés au niveau des hôpitaux du nord du pays », a indiqué à Echorouk le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (Forem), le professeur Mustapha Khiati.
Au Qatar, dès le soir du premier jour du ramadan, les hôpitaux ont reçu en 2013 des dizaines de patients souffrant de douleurs. Douleurs non pas dues un manque de nourriture ou d’eau, mais à l’inverse dues à un excès. En effet, les patients, qui se sont suralimentés au cours de l’iftar, se sont plaints principalement de brûlures d’estomac, et de vomissements répétés. Tout au long du ramadan, les hôpitaux qataris reçoivent régulièrement des patients ayant trop mangé.
En 2015, une centaine de personnes ont été admises au service des urgences au cours de la première nuit du ramadan. Le ramadan est aussi l’occasion d’un formidable gaspillage de nourriture : « Les musulmans jettent plus de 40 % des plats préparés chaque jour pendant le Ramadan. » C’est le constat d’une étude réalisée par Mohammed Aman, un écologiste du Bahreïn spécialiste de l’environnement et des déchets. « Les gens ont tendance à multiplier par trois la quantité de nourriture qu’ils consomment durant l’Iftar », ajoute-t-il.
Par ailleurs, en Algérie, femmes et enfants battus au sein du foyer durant le ramadan : +120% ; rixes et disputes causant des blessures : +400% ; voies de fait, agressions : +320% ; vols de voitures, escroqueries, faux et usage de faux : +180% ; rendements dans les entreprises : -62% ; nombre de sinistres : +410% ; nombre de blessés : +214% ; nombre de décès : +80%.
Ces chiffres ne sont pas le fait d’islamophobes rabiques, mais résultent d’une enquête menée par l’institut algérien Abassa, dans 24 régions administratives d’Algérie, auprès d’un échantillon représentatif de 3.004 individus.
L’objectif de cet institut était d’identifier et de quantifier les principales conduites sociales individuelles et collectives durant le mois du Ramadan. On voit les résultats… Depuis, l’Institut Abassa a été démantelé par les autorités algériennes.
Retrouvez cet article et l'info alternative sur : http://www.contre-info.com
8 mai 1945, l'Allemagne capitule. C'est la fin de la seconde guerre mondiale en Europe.
On me demande de trier ce que l'on me force à acheter emballé.
On me demande d'acheter des ampoules basse consommation et d'éteindre ces ampoules qui ne consomment rien alors que je vois fleurir partout des écrans publicitaires lumineux, qui fonctionnent 24h/24 et consomment autant qu'une famille.
On m'interdit le glyphosate pour ma cour alors que des millions d'hectares en sont aspergés sur ma nourriture.
On met au rencard ma voiture fonctionnelle pour bosser parce qu'elle pollue un peu trop mais on agrandit les aéroports.
On me demande d'arrêter de boire de l'eau en bouteille mais l'eau à mon robinet est polluée, et Nestlé peut légalement assoiffer Vittel.
On me demande de limiter mes déplacements quand l'air est irrespirable, mais on autorise encore ce qui le sature de poisons.
On me demande d'arrêter le feu de bois pour ne plus émettre de particules fines, mais je vois passer des avions pleins de touristes survoler des champs recevant des engrais volatils.
On augmente le prix de mon carburant qui me sert à travailler ou déplacer mes enfants dont l'école est lointaine, mais les bateaux qui amènent les biens inutiles depuis la Chine le font avec un carburant détaxé en polluant à chaque voyage autant que le parc automobile mondial.
On me demande de comprendre qu'il est normal d'attendre aux urgences des infirmiers et médecins épuisés et rares car on n'a plus d'argent, et l'on déploie des forces de polices inouïes qui coûtent des millions pour juguler toute contestation sociale.
On me dit de ne pas boire trop d'alcool et de ne pas fumer parce que c'est cancérigène, mais on me vend encore alcool et cigarettes en prélevant des taxes dessus.
On me dit que je coûte trop cher à l'État quand je suis malade d'un cancer, mais on installe la 5 G, on n'a pas encore fait la liste des produits émis par l'industrie, on n'a pas encore testé la nocivité de 90% des ingrédients des produits ménagers et cosmétiques du quotidien.
On m'interdit de manger le poisson de la Seine parce qu'il est dangereusement pollué aux PCB, mais on vend partout celui pêché à son estuaire, où les mêmes polluants sont bien plus concentrés.
On me dit que mon élevage est non conforme aux normes de bien-être animal , alors qu'on m'a subventionné pour le construire ainsi et que je suis endetté pour une vie de l'avoir ainsi réalisé, conformément aux souhaits du législateur et de la chambre d'agriculture.
On m'accuse d'être un monstre parce que j'élève du bétail, mais on hurle dès qu'on coupe une haie ou que disparaît le bocage.
On me demande d'être à jour de mes cotisations sans retard, mais on en invente toujours plus, tout en rendant les aides auxquelles j'ai droit toujours plus difficiles à obtenir, en ne les distribuant qu'avec un retard parfois effarant.
On me demande de faire barrage à l'extrême-droite et de soutenir la démocratie, quand celle-ci tabasse ses manifestants et noie les migrants à ses frontières pour ne pas les voir arriver sur son sol.
On me demande d'obéir, alors que chaque jour je vois que les puissants ne le font pas.
On me demande de payer des impôts dont les plus grandes entreprises et ceux qui les détiennent parviennent à s'affranchir.
On demande à ma famille d'être un ensemble de consommateurs responsables, mais on l'assomme de messages publicitaires incessants pour l'inciter à acheter de la merde, des aliments mauvais, des marchandises inutiles ou destructrices.
On me demande d'être en règle sur tout, mais on m'a privé d'interlocuteurs en chair et en os pour y parvenir, en les remplaçant par des robots ou des algorithmes auxquels je ne comprends rien.
On me demande de vieillir sans emmerder personne et en continuant de consommer aussi tard que possible, mais on rend ma vieillesse terrible à force de dénuement, de peur d'un monde qui court et d'isolement.
On me demande d'être compétitif, mais on ne me dit pas en quoi j'en vivrai mieux, et je n'en profite pas.
On me demande de travailler à n'importe quel poste, pourvu que je puisse consommer, mais on ne punit pas les entreprises géantes qui détruisent les emplois tout en ayant touché aides et subventions, tout en ayant été affranchies des taxes locales que payent les petits entrepreneurs locaux qui, eux, créent plus d'emplois proportionnellement à leur chiffre d'affaires.
Dès lors, pourquoi ferais-je un quelconque effort?
Pourquoi changerais-je ma façon de faire tandis qu'on me méprise, qu'on ne m'écoute ni me comprend, tandis qu'on laisse faire à d'autres des choses dix fois pires que les pires que je pourrais commettre, et qu'on me rend la vie bien plus compliquée qu'à eux tout en continuant à les enrichir?
Peut-être par civisme, par conviction, par citoyenneté consciente. Parce que je ne veux pas laisser le déchet d'une vie dégueulasse pour avenir à ceux qui me suivent. Mais, nom de dieu, qu'il m'est insupportable de devoir tolérer que la rigueur et le civisme doivent être majoritairement supportés par le petit peuple, les classes moyennes et supérieures basses tandis que les tenants du reste de la puissance économique peuvent à ce point s'en affranchir. Qu'on se nappe de jaune fluo, de vert ou de rien du tout, l'enjeu social actuel pour lequel nous nous battons est celui-ci : établir ou rétablir l'équité. Et notre société n'est actuellement équitable ni face aux services publics, ni face aux enjeux environnementaux.
Téléphoner au volant pourrait bientôt vous coûter votre permis
Près d’un automobiliste sur deux conduit avec son smartphone en main. Un projet de loi veut que, demein , il ne puisse plus conduire. Briser la tendance. On vous l’annonçait déjà la semaine dernière : l’usage du smartphone au volant s’installe dans les mentalités avec des conséquences dramatiques : un accident sur dix incluant des dommages corporels découlerait de l’usage du téléphone portable au volant…
Pour dissuader les accros à FaceTime et aux SMS, le gouvernement s’apprête à montrer les dents. Un projet de loi du futur paquet sur les mobilités (dite « loi LOM ») sera bientôt discuté au Sénat pour suspendre le permis des contrevenants dans certains cas.
La loi prévoit des suspensions de permis allant jusqu’à six mois pour les responsables d’accidents. Descendez du véhicule. Deux situations pouvant entraîner un retrait sont envisagées par le Conseil d’État : en cas d’accident ayant coûté la vie ou créé des dommages corporels alors que le conducteur manipulait son smartphone, ou lorsqu’une seconde infraction est constatée en même temps que le fait d’utiliser son téléphone en conduisant (excès de vitesse, ébriété, feu grillé…).
La durée de suspension pourra aller jusqu’à six mois maximum. En cas de récidive, le retrait pourrait être définitif. Suspension Permis Alcool. suspension permis alcool visite ... Le smartphone, une drogue comme les autres. L’usage du smartphone devient donc une faute grave, puisque les retraits de permis ne sont prononcés que pour la conduite sous l’emprise de l’alcool ou de stupéfiants, les sens interdits et les excès de vitesse de plus de 40 km/h.
Jusqu’ici il ne coûtait « que » 3 points et 135 euros d’amende. Un changement qui n’est pas sans conséquence : le rapport remis aux sénateurs estime que la mesure pourrait coûter le permis à près de 6000 personnes par an.
À moins que les mentalités finissent par changer ?
Après beaucoup de recherches, je publie vérification faite auprès de l insee.
Nous sommes tous frères et sœurs... Nul n'est supérieur , l'animal , est égal a l'homme.....
foodwatch dévoile la présence de résidus d’animaux dans 12 produits alimentaires.
Si rien n'est fait, en 2050 il y aura plus de plastique que de poisson dans les océans... et ce n'est pas un poisson d'avril.
A tous ces déchets il existe des alternatives, quelles sont les vôtres?
Journée à la mémoire des victimes de la Shoah. Comment des Justes ont sauvé 200 femmes et enfants juifs à Chamonix ?
Le 2 mai marque la journée du souvenir de la Shoah. L’occasion de rendre hommage aux victimes de la barbarie nazie mais aussi aux Justes.
Comme Marinette Guy et Juliette Vidal qui ont recueilli et sauvé plus de 200 femmes et enfants juifs à Chamonix durant la guerre. Le 2 mai est dédié à la mémoire des victimes de la Shoah. Un hommage rendu partout dans le monde, aux 6 millions de Juifs victimes de la barbarie nazie durant la Seconde Guerre mondiale. Un hommage aussi à toutes celles et ceux qui leur ont tendu la main comme Marinette Guy et Juliette Vidal à Chamonix.
Les deux femmes font partie de ceux que l'on appelle "Les Justes". Leur belle-fille raconte aujourd'hui comment ces deux femmes qui avaient l'âme chrétienne chevillée au corps ont sauvé plus de 200 femmes et enfants juifs sans jamais leur imposer leur religion.
Tout s'est passé en plein coeur de Chamonix, au nez et à la barbe des Allemands. Marinette Guy et Juliette Vidal ont été reconnues "Justes parmi les Nations". Elles ont reçu de Yad Vashem un diplôme d'honneur ainsi qu'une médaille sur laquelle est gravée cette phrase du Talmud : "Quiconque sauve une vie sauve l'univers tout entier".
https://youtu.be/37AhTvBO8RE