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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Une nouvelle vie pour les singes mendiants de Jakarta (vidéos)
Ils dansent, portent des masques et font rire les passants qui les récompensent par quelques pièces, mais les singes mendiants d’Indonésie vivent en réalité un enfer entre les mains de leurs propriétaires.
Une vie de misère qui sera bientôt de l’histoire ancienne : les défenseurs des droits des animaux ont obtenu leur interdiction dans les rues de Jakarta. Le gouverneur de la capitale indonésienne, Joko Widodo, a récemment déclaré qu’il se donnait un an avant que ce business autour des singes, appelé "topeng monyet", ne disparaisse de la ville.
Début novembre, les autorités municipales ont commencé à rassembler les petits primates, principalement des macaques crabiers, qui font ensuite l’objet d’un bilan de santé. Les propriétaires touchent en échange une compensation de 56 euros. Une opération couronnée de succès puisque selon des activistes locaux, il n’y a quasiment plus de singes qui dansent dans la capitale.
VIDÉO http://www.youtube.com/watch?v=JQFrMDJe0jY
"Pour leur apprendre à tenir debout, ils étaient suspendus par le cou pendant plusieurs heures" Femke den Haas est co-fondatrice de la Jakarta Animal Aid network, une ONG crée en 2008.
Originaire des Pays-Bas, elle vit actuellement à Jakarta. Les singes danseurs existent en Indonésie depuis très longtemps, mais c’est à partir de 2009 que cette pratique est devenue un vrai business. D’un coup, on en a vu à tous les coins de rue de Jakarta.
Et les passants qui leur donnaient de temps en temps de l’argent ne réalisaient pas à quel point ils souffraient. En enquêtant, nous avons réalisé qu’ils étaient arrachés à l’état sauvage quand ils étaient encore bébés, ce qui impliquait généralement que la mère ou d’autres membres du groupe avaient été tués.
En effet, les macaques crabiers se déplacent en groupes et font tout pour protéger les plus jeunes. Ils étaient ensuite vendus sur des marchés. Une poignée de personnes à Jakarta s’occupaient d’acheter des centaines de singes, qu’elles louaient ensuite à des musiciens de rues, qui bien souvent s’endettaient auprès du propriétaire.
VIDÉO http://www.youtube.com/watch?v=57K2zjLq2o8
Les macaques étaient d’abord dressés. Pour leur apprendre à tenir debout, ils étaient suspendus par le cou pendant plusieurs heures, leurs pattes arrière touchant à peine le sol. On leur enlevait aussi leurs dents pour qu’ils ne mordent pas. Et pour les forcer à mettre un masque, ce qu’ils détestent, ils étaient tout simplement battus. Ils étaient manquaient également de nourriture. Et pendant leurs spectacles de rue, durant lesquels ils étaient toujours enchaînés, beaucoup ont eu la queue cassée par leur dresseur.
Au delà de ça, les singes étaient de vrais nids à microbes. Rarement vaccinés, ils étaient porteurs de toutes sortes de maladies dont certaines peuvent être transmises à l’homme, comme la tuberculose.
Déclaration Universelle des Droits de l’Animal (vidéo) Aidez nous à la faire appliquer, pour que tout cela ne reste pas que des mots couchés sur du papier rangé dans les tiroirs de la bureaucratie… La Déclaration Universelle des Droits de l’Animal proclamée solennellement à Paris, le 15 octobre 1978, à la Maison de l’Unesco. Son texte révisé par la Ligue Internationale des Droits de l’Animal en 1989, a été rendu public en 1990.
Habituellement, les animaux sont tués derrière les murs des abattoirs à l’abri des regards. Au moment de l’Aïd, l’abattage est rendu visible et il donne l’occasion de réfléchir au sens des mots, que l’on soit ou non croyant. Le respect des animaux est-il compatible avec leur mise à mort ? Les images que nous dévoilons, tournées au cours de l’Aïd 2012, montrent clairement que non, comme toutes les images tournées dans les abattoirs.
La vidéo peut heurter la sensibilité de certains de 0:53 m à 1:00 m.
Sinon nous pouvons constater le bonheur des animaux lorsqu'il trouve enfin la liberté
Merci à toutes les personnes qui ont réalisées cette vidéo
L'opération de Gravita en vidéo..le chien dont la mâchoire avait été coupée avec un hache....par des barbares.....ce chien va s'en sortir!!!!!! une victoire sur ces barbares !!!!! vidéo pas du tout choquante à regarder pour ceux qui veulent.....
Sauvetage de 6 chiens maltraités, retirés d'un camp de rom (59)
UN GRAND BRAVO ET MERCI A Cause Animale Nord:
Les 6 chiens ont été adoptés! Merci à tous! Le C.A.N a toujours besoin d'aide pour la chimio d'Espoir, et Volcan présente une boiterie à soigner, en effet, une vingtaine de billes de plomb ont été trouvées à travers la radiographie. N'oublions pas les nombreux autres loulous à sauver, chiens, chats, nac, et l'âne Martin retiré pour maltraitance! Merci!
Special investigation
Chasse le pouvoir du fusil
Un cerf agonisant, cette image que la Société de vénerie veut cacher (vidéo) LE PLUS.
Le 16 septembre, l'émission "Spécial Investigation" diffusait un reportage intitulé "Chasse : le pouvoir du fusil" sur la chasse à courre.
Trois jours après, la Société de Vènerie vilipendait cette "propagande anti-chasse", notamment parce qu'elle reprenait des images d'un cerf rendant l'âme fournies par l'association Droits des animaux, laquelle lui répond par la voix de son vice-président, David Chauvet.
La Société de vènerie, par la voix de M. de Boisguilbert, chargé de communication de la Fédération de chasse, a récemment mis en cause sur son site internet les auteurs d’une émission du programme "Spécial Investigation" intitulée "Chasse, la loi du fusil" (Canal Plus, le 16 septembre 2013) en observant que "des images d’archives utilisées sont créditées et fournies par les plus acharnés de nos opposants, le groupuscule Droits des animaux".
Cela signifie que les images de l’association que j’anime ne pouvaient, selon lui, être utilisées par les journalistes sans que cela constitue un manquement à la déontologie de la profession.
De cette manière curieuse, M. de Boisguilbert met en cause le droit des médias d’utiliser nos images, et par conséquent notre légitimité à informer le public en fournissant aux médias les images que nous tournons, en l’espèce des images de chasse à courre.
Une charge certes assez dénuée de sens, mais y répondre nous fournit l’occasion d’informer le public des stratégies utilisées à son encontre par le monde de la vènerie.
Elles visent à faire accepter ce type de chasse, interdit dans la plupart des pays, en s’efforçant d’en camoufler certains aspects peu reluisants.
Cerf transpercé Passons sur la prétendue violation "des plus élémentaires règles déontologiques" dénoncée par la Société de vènerie, qui fait sourire quand on sait que cette même Société n’avait pas hésité, de son propre aveu sur son site internet, à initier une série de reportages complaisants à l’égard de la chasse sur France 2 (novembre 2010) et à mener avec les journalistes "la réflexion stratégique qui a conduit au choix des thèmes [...] permettant d’espérer de bonnes retombées pour l’image de la chasse".
Les images de chasseurs en balade bucolique ou de concerts de cor de chasse sont certainement moins choquantes que celles que nous avons tournées. Voir un cerf se faire transpercer par la lance d’un "piqueux" installé dans une barque au milieu d’un étang n’a rien d’un spectacle anodin et aurait plutôt de quoi révolter, nous le concédons.
Mais faut-il en vouloir à des journalistes d’avoir montré à quoi ressemble la chasse à courre, dès lors qu’il en était question dans le reportage ? Belle image de la vènerie M. de Boisguilbert s’offusque du fait qu’ils ont retenu nos images plutôt que celles qu’il leur proposait aimablement de filmer lors d’une chasse à laquelle il les avait conviés, "en toute transparence", précise-t-il. Il faut dire qu’aucun animal n’a été pris ce jour-là. C’est pas de chance mais ça arrive, répondront les chasseurs... Pour autant, était-ce vraiment le fruit du hasard ? Pourquoi M. de Boisguilbert n’a-t-il pas mentionné, lors du reportage, que la Société de vènerie interdit systématiquement aux "suiveurs" (leur public) de diffuser certaines images de chasse à courre ?
"Autant certaines images participent à véhiculer une belle image de la vènerie, autant d’autres peuvent nous nuire", explique-t-on dans sa revue interne, puisque "l’usage d’Internet et de ses réseaux sociaux sont redoutables : en quelques heures, une vidéo, plus ou moins compromettante, peut faire la une du journal télévisé". Aussi, le "code du suiveur" exige-t-il de "demander l’autorisation du maître d’équipage" pour la diffusion de photos et vidéos, qui sont une "réelle préoccupation".
M. de Boisguilbert confondrait-il les journalistes de Canal Plus avec les suiveurs ? Liberté de la presse Inviter des journalistes de Canal Plus à une chasse et prétendre assumer le risque qu’ils filment des images violentes, mais demander aux suiveurs de ne pas diffuser de telles vidéos sur internet de peur qu’elles passent à la télévision... Nous ne doutons pas que M. de Boisguilbert, expert en communication, trouvera une explication lumineuse à ce paradoxe.
Qu’il en profite pour nous expliquer sa conception très personnelle de la liberté de la presse, qui devrait selon lui se soumettre à l’approbation d’une clientèle : "La Société de vènerie ne manquera pas de s’étonner auprès de la direction de la chaîne d’une telle propagande anti-chasse, venant de surcroît d’un groupe qui ne répugne pas à tenir une partie de ses ressources de Seasons, première chaîne de télévisions pour les chasseurs !" Si M. de Boisguilbert envisageait de s’expatrier, nous lui suggérerions la Russie, ou bien la Syrie : il y trouverait une conception de la liberté d’informer plus en accord avec la sienne.
PÉTITION
Arrêtez de manger des singes Des restaurants à Hong Kong et en Chine, la spécialité est le cerveau de singe "de la vie".
Ils forcent un jeune singe à boire de l'alcool et le mettent dans une boîte spéciale.
Cette boîte où ce trouve l'animal est placé sous la table et il a un trou qui est fait au centre de la table pour laisser passer la tête du singe.
Alors, les gens mangent directement à la cuillère le cerveau, le singe est toujours en vie quand ils le mangent!
C'est si terrible et horrible à voir et à penser à la douleur que l'animal peut ressentir!
Le pire est à regarder et de voir l'être humain le faire sans culpabilité.
Les lois doivent être faits là-bas!
Aucun animal ne devrait jamais avoir à souffrir comme cela pour une raison quelconque!
Cette brutalité doit être punie à la mesure de la loi!
Nous, les humains ont le devoir d'être une voix pour les animaux!
Vidéo http://youtu.be/srbGW3fy4kE
Pétition http://www.gopetition.com/petitions/stop-eating-monkey-brains/sign.html
Après trois jours de déchaînement médiatique, notamment sur les réseaux sociaux, Antoine Beaufour, le responsable de la fourrière de Luçon, sort de son silence. Il estime n'avoir rien à se reprocher. La mairie de son côté suit l'affaire de près et attend les conclusions de l'enquête
Vidéo sur la Déclaration Universelle des Droits de l'Animal proclamée solennellement à Paris, le 15 octobre 1978, à la Maison de l'Unesco. Son texte révisé par la Ligue Internationale des Droits de l'Animal en 1989, a été rendu public en 1990.