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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Les images d'un chat jeté en pâture aux crocodiles provoquent un tollé
Un chat est utilisé pour nourrir les crocodiles au Pérou.
Les appels d'associations de défense des animaux pour une condamnation se multiplient sur internet.
Des images d'un chat jeté dans une mare péruvienne infestée de crocodiles circulent depuis plusieurs jours sur les réseaux sociaux.
Filmée à Iquitos, au nord du Pérou, la scène montre deux hommes hilares lorsqu'ils jettent l'animal en pâture à des caïmans blancs affamés. Amis des animaux et âmes sensibles, passez votre chemin.
VIDEO. Un chat est jété dans une mare infestée de crocodiles
Le chat parvient à échapper une première fois aux reptiles mais un crocodile le saisit du bout de la mâchoire et le ramène dans l'eau. Le félin lutte et sort de l'eau à nouveau quelques instants avant d'être attaqué par le reste de la meute.
Il n'a pas survécu et n'est pas réapparu à la surface. D'après les journaux locaux, le propriétaire de cette ferme aux crocodiles est vivement soupçonné par les autorités péruviennes de nourrir parfois ses bêtes avec des animaux domestiques.
Pour la Nouvelle-Zélande, les animaux sont sensibles
Les Néo-Zélandais ont récemment adopté une loi qui reconnaît la sensibilité de tous les animaux.
La Fondation 30 Millions d’Amis salue cette formidable avancée. La Nouvelle-Zélande aime les animaux et le prouve.
En mai 2015, le pays a voté la révision d’une loi de 1999 sur le bien-être animal proclamant que tous les animaux sont dotés de sensibilité.
Ce faisant, la Nouvelle-Zélande emboite le pas à la France qui, en février 2015, a reconnu le "caractère vivant et sensible" de l’animal dans le Code civil (nouvel art. 515-14) sous l’impulsion de la Fondation 30 Millions d’Amis.
C’est un véritable tournant historique qui fait de notre pays une des nations les plus avancées en matière de droit civil. Mais l’animal restant considéré par le droit français uniquement sous l’angle de la propriété, l’évolution du statut de l’animal ne concerne pour l’instant que les animaux ayant un propriétaire : les animaux de compagnie ainsi que les animaux sauvages apprivoisés ou tenus en captivité (animaux de ferme, de cirque…).
Les animaux sauvages vivant à l’état de liberté restent considérés comme des « choses sans maître » échappant donc à toute protection juridique contre les actes de cruauté.
Sur ce point, la loi néo-zélandaise va plus loin puisqu’elle ne fait pas de distinction entre les animaux , les abus et négligences perpétrés à leur encontre seront donc désormais jugés plus sévèrement qu’auparavant. Toutefois, cette avancée exclut la chasse, la pêche et les pratiques antiparasitaires. Quant aux propriétaires d’animaux domestiques, il leur est demandé d’assurer leur « bien-être ».
UN MODÈLE À SUIVRE
Le nouveau texte de loi inclut également l’interdiction de tester les cosmétiques et leurs ingrédients sur les animaux . Pour les autres expériences scientifiques, le gouvernement a exigé des preuves qu’il n’y ait pas d’autres alternatives pour chaque projet. La Fondation 30 Millions d’Amis se réjouit de cette belle avancée et espère que la Nouvelle-Zélande deviendra un modèle à suivre !
Néanmoins, la France n’est pas à la traîne comme le souligne très justement le Professeur Jean-Pierre Marguénaud*, spécialiste du droit animalier :
« En reconnaissant que les animaux sont des êtres vivants doués de sensibilité sans se référer, comme l’article L.214-1 du Code rural toujours en vigueur, à leurs propriétaires et à la nécessité de les placer dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques, l'article 515-14 du Code civil reconnaît aussi la sensibilité des animaux sauvages en sorte que la moindre des exigences de cohérence […] est de leur étendre, à la première occasion [..] la protection pénale contre les actes de cruauté et les sévices graves ».
EN FRANCE, RESTONS MOBILISÉS
Pour Reha Hutin, Présidente de la Fondation 30 Millions d'Amis : "Les animaux sauvages sont bien évidemment des êtres sensibles et il est important que le Code pénal prenne en compte cette dimension en pénalisant les maltraitances sur animaux sauvages comme il le fait déjà pour les animaux domestiques".
La bataille n’est donc pas terminée et la Fondation 30 Millions d’Amis continue de se mobiliser pour faire progresser les droits de l’animal. Aujourd’hui, la Fondation estime qu’il est choquant que le droit refuse la nature d’être sensible à un animal sauvage vivant à l’état de liberté alors qu’elle est accordée à un animal de la même espèce apprivoisé ou tenu en captivité.
Canada : la vidéo d'un homme chevauchant un orignal sauvage provoque la colère des autorités
POLEMIQUE - Le ministère de l'Environnement de la province de Colombie-Britannique a ouvert une enquête après la diffusion, sur Youtube, d'une vidéo montrant un homme sautant sur le dos d'un orignal sauvage.
Une vidéo qui fait hurler les défenseurs de la nature. La vidéo fait le tour du web depuis cinq jours. Et vient de prendre une tournure judiciaire. Lundi, le ministère de l’Environnement de la Colombie-Britannique (ouest du Canada) a ouvert une enquête après la publication sur internet d’une vidéo montrant un homme chevauchant un orignal sauvage.
Une vidéo qui a semé la controverse sur Youtube et est rapidement devenue virale, atteignant le million de vues en quelques jours à peine.
Que montre la vidéo ?
Plusieurs hommes en bateau sur un lac de Colombie-Britannique – a priori un lac près de Fort Saint-John – à la poursuite de l’animal sauvage, surpris par le groupe en train de traverser le lac.
Arrivé à hauteur de l’orignal, le bateau s’immobilise et un homme, après quelques secondes d’hésitation, se décide à sauter sur son dos comme si c’était un cheval.
Apeurée, la bête s’agite et tente, en vain, de faire tomber l’homme sur son dos. Une scène qui, visiblement, amuse beaucoup les amis du "cascadeur". Une amende très salée "Je suis très choqué par ce comportement.
C'est très pénible de regarder un animal subir ce genre de stress", tempête auprès de metronews Canada Doug Forsdick, agent du service de la protection de la nature.
Le fonctionnaire souligne par ailleurs l’inconscience du groupe d’amis : "Ces animaux sont très forts et lorsqu'ils ont peur, ils peuvent constituer un danger".
Une enquête a été ouverte. Et le groupe d’amis risque gros. Ils pourraient, d’après les lois canadiennes, être accusés de harcèlement envers un animal et encourent une amende salée : de 345… à 100.000 dollars.
Révélation internationale de PETA US : des moutons tués, frappés, piétinés et entaillés pour de la laine Vous n'avez jamais rien vu de tel.
Ces vidéos vont vous faire réfléchir à deux fois avant d'acheter un pull ou une écharpe en laine.
Des enquêtes choquantes de PETA US réalisées sur le terrain, les premières de ce genre, montrent des employés qui, battent, piétinent, rouent de coups de pieds, mutilent et projettent des moutons au sol pendant la tonte, en Australie, le premier exportateur de laine au monde, ainsi qu'aux États-Unis.
Viendrez-vous en aide à ces animaux ?
Paralysés par la peur ..Comme vous pouvez le voir dans ces séquences vidéo sans précédent, des tondeurs de moutons donnent de violents coups de poings au visage de ces animaux inoffensifs, les battent et les frappent à la tête avec des cisailles en métal tranchantes et même avec un marteau.
Ces agressions laissent souvent ces moutons pétrifiés par la peur saigner des yeux, du nez et de la bouche. Un tondeur tord et plie le cou d'une brebis à plusieurs reprises, le lui brisant. Après que le tondeur l'a projetée la tête la première avec un coup de pied, l'enquêteur de PETA États-Unis l'a retrouvée morte.
Le tondeur s'est penché, replié, et pesé de tout son poids sur le cou et les pattes avant de dizaines de moutons et leur a enfoncé ses doigts dans les yeux.
Les séquences vidéo de PETA US ne mettent en lumière qu’une partie de la cruauté observée dans les 19 lieux de tonte visités par les enquêteurs. Ceux-ci ont observé que 70 travailleurs employés par neuf entreprises de tonte en sous-traitance qui maltraitaient des moutons à Victoria et à New South Wales – les plus gros états d'Australie producteurs de laine – et dans le sud de l'Australie.
Chaque année, les employés de ces sous-traitants peuvent tondre un total de plus de 4 millions de moutons. Aux États-Unis, l'enquêteur de PETA US a enregistré la maltraitance et la négligence des employés à l'encontre des moutons dans 14 ranchs à travers le Wyoming – le deuxième producteur de laine du pays – ainsi que dans le Colorado et le Nebraska.
En 2013, 3,7 millions de moutons ont été tondus aux États-Unis. Les moutons sont privés de nourriture et d'eau avant d'être tondus, notamment pour qu'ils se sentent faibles et n'opposent qu'une résistance minimale. Comme l'a expliqué un tondeur,
« Imaginez que l'on vous agresse après […] vous avoir été affamé pendant 24 heures, vous ne seriez pas vraiment en mesure de lutter. »
Mais lorsque ces animaux de proies paniquent, terrifiés à l'idée d'être attachés, on voit les tondeurs qui les piétinent et qui se tiennent debout sur leurs têtes et leurs nuques.
Les employés projettent les moutons apeurés au sol et écrasent leur tête et leur corps contre le plancher dur. Rien de plus qu'une vulgaire marchandise
Les tondeurs sont souvent rémunérés au volume, et non à l'heure, ce qui encourage un travail violent et à la va-vite et qui peut causer de graves coupures sur les corps des moutons, comme cela a même été constaté sur le pénis d'un mouton au moins. De larges pans de peau ont été coupés ou arrachés des corps de nombreux moutons par les tondeurs.
Lors de leur première tonte, une expérience extrêmement stressante, les agneaux poussent des cris et pleurent très fort parce que, selon l'un des employés, « Ils ont été séparés de leurs mamans et ils les appellent. […]
Ils crient "Maman ! Maman !" » Lorsqu'il est arrivé qu'une agnelle a hurlé durant la tonte, un employé s'est écrié « Retire-la ! […] [Tu] lui fais mal », une plaisanterie grossière faisant allusion au fait que le tondeur était en train de violer l'agnelle.
Les employés appellent les moutons « cons foutus » et « putains de cons » et un éleveur se vantait d'avoir « "carte blanche" pour tabasser et réduire les putains de moutons en poussière ». Un autre éleveur a dit d'un animal, « Je veux étrangler cette brebis. L'étouffer ». Un tondeur s'est même servi du corps d'un mouton pour essuyer l'urine de ce même mouton sur le plancher.
Une souffrance systématique Les employés n'ont donné aucun antidouleur aux moutons avant de leur planter des aiguilles dans la peau, afin de recoudre les grosses coupures et les blessures sanglantes provoquées par la tonte.
À aucun moment les enquêteurs n'ont vu un vétérinaire administrer des soins vétérinaires aux moutons blessés. Un tondeur a coupé une partie de l'oreille d'un mouton sans le moindre antidouleur. Dans un autre ranch, les employés ont transporté un bélier boiteux mourant, à bout de souffle, dans une remorque pour être tondu.
Le bélier a été laissé dans la remorque toute la nuit, apparemment sans soins, et retrouvé mort le lendemain matin. Les éleveurs ont mis des anneaux serrés sur le scrotum de certains agneaux, sans anesthésiant, pour les castrer. Lorsque leurs testicules ne tombaient pas comme prévu, les tondeurs se sont contentés de couper le scrotum et les testicules de l'agneau avec leurs cisailles de tonte.
Les moutons blessés et peu rentables sont abattus par balle sous les yeux des autres moutons et même découpés en pièces de boucherie. Chaque année, des millions de moutons, y compris ceux dont on ne veut plus pour leur laine, sont expédiés d'Australie vers le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord sur des bateaux à plusieurs étages pleins à craquer.
Certains meurent en route, et ceux qui survivent au voyage sont massacrés en se faisant égorger tandis qu'ils sont encore conscients. Vous pouvez aider à arrêter cela ! La meilleure chose que vous puissiez faire pour les moutons est de refuser d'acheter de la laine ! Il est facile de regarder une étiquette lorsqu'on fait du shopping. Si elle indique « laine », reposez l'article.
Demandez aux principales enseignes vendant de la laine, J.Crew et Ralph Lauren, de laisser tomber la laine immédiatement pour des matières qui n'ont nécessité aucune cruauté à l'égard des animaux.
Emprisonné depuis 13 ans dans une cage, ce lion retrouve sa liberté.. SA réaction? Incroyable!
Pendant 13 ans, un magnifique lion a été emprisonné dans un cirque, vivant dans une cage minuscule où il ne pouvait à peine bouger.
Lorsque ce lion, nommé Will, a été secouru et amené au « Rancho dos Gnomos Santuário » au Brésil, les caméras ont capté le moment où il a été enfin libre de la vie de cirque.
La vidéo démontre sa merveilleuse libération sur le terrain de sa nouvelle maison. En 2011, Will est mort de vieillesse. Dieu mercii, il a pu faire l’expérience de la liberté et de l’amour avant qu’il ne décède. S’il vous plaît, partagez ce moment incroyable avec vos amis sur Facebook!
Des animaux maltraités sauvés par une princesse
A Aman, la capitale jordanienne, les animaux maltraités peuvent compter sur l’engagement sans faille d’une femme : son Altesse Royale la Princesse Alia, fille du défunt roi Hussein de Jordanie.
Avec sa fondation, elle s’attaque à toutes les formes de maltraitances envers les animaux et consacre sa vie à les sauver, bien loin de son palais des Mille et Une nuits...
Le centre « New Hope » est le seul refuge pour animaux sauvages de tout le Moyen-Orient. L’objectif n’est pas seulement de secourir des animaux, mais aussi de sensibiliser les enfants à leur détresse...
Vidéo dure ! Vidéo vraie ! Vidéo de la réalité d’une perrera !! Regardez si vous le pouvez ces quelques images et vous comprendrez pourquoi mon engagement pour les chiens de perreras…
L'horreur de la tonte des moutons pour leur laine : une généralité ?
Image tirée de la vidéo de l'enquête de PETA US sur les dessous de la tonte de la laine © PETA US PETA US, la plus grande association de défense des animaux au monde dévoile les dessous de la tonte des moutons pour leur laine. La laine est synonyme de douceur , de qualité, de naturel et d'amour. Malheureusement, cette image est en contradiction totale avec certaines pratiques :
PETA US nous montre des moutons tués, frappés, piétinés et entaillés par des employés abrutis, et ce, dans de nombreux élevages en Australie et aux Etats-Unis.
L'Australie est le deuxième producteur de laine au monde (juste après la Chine), avec une production annuelle de 360 000 tonnes en 2012 pour un chiffre d'affaires de 700 millions de dollars, selon l'Organisation des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO). Sa laine de mérinos, connue pour être très fine et élastique, est très convoitée par l'industrie textile et exportée dans le monde entier.
Les Etats-Unis, de leur côté, produisent beaucoup moins de laine (5 000 tonnes). Pendant plus d'un an, de fin 2012 à mars 2014, trois militants de l'ONG américaine PETA US, qui milite pour une éthique dans le traitement des animaux, se sont faits passer pour des ouvriers dans 19 ateliers de tonte dans les Etats australiens de Victoria, Nouvelle Galles du Sud – les deux plus gros producteurs de laine du pays – et d'Australie-Méridionale.
Ils ont filmé en caméra cachée les maltraitances perpétrées par 70 employés sur les animaux. Cette enquête choquante révèle au grand public les dessous du marché de la laine avec des employés qui ont tué, battu, piétiné, rué de coups de pieds, mutilé et projeté des moutons au sol.
Des images choquantes
Les images contenues dans cette vidéo dépassent une nouvelle fois l'entendement, d'autant plus pour un produit aussi noble et multi-séculaire que la laine. PETA nous avertit : "vous n'avez jamais rien vu de tel." Les vidéos sont très violentes et déconseillées aux personnes les plus sensibles. En Australie Tonte de mouton dans des élevages en Australie Attention ! Les images de cette vidéo sont difficilement soutenables.
Aux Etats-Unis
Tonte de mouton dans des élevages aux Etats-Unis Attention ! Les images de cette vidéo sont difficilement soutenables. © PETA US Des moutons paralysés de peur qui subissent des violences insoutenables PETA France commente cette vidéo : "Comme vous pouvez le voir dans ces séquences vidéo exclusives, des tondeurs de moutons ont donné de violents coups de poings au visage de ces animaux inoffensifs, les ont battus et frappés à la tête avec des cisailles en métal bien aiguisées et même avec un marteau.
Ces agressions ont souvent laissé ces moutons pétrifiés saigner des yeux, du nez et de la bouche. Un tondeur a tordu et plié le cou d'une brebis à plusieurs reprises, le lui brisant. Après que le tondeur l'ait projetée la tête la première avec un coup de pied, l'enquêteur de PETA États-Unis l'a retrouvée morte.
Le tondeur s'est replié, entortillé, et balancé de tout son poids sur le cou et les pattes avant de dizaines de moutons et leur a enfoncé ses doigts dans les yeux. Les séquences vidéo de PETA US ne mettent en lumière qu'une partie de la cruauté observée dans les 19 lieux de tonte visités par les enquêteurs.
Ceux-ci ont observé 70 travailleurs employés par neuf entreprises sous-traitées de tonte qui ont maltraité des moutons à Victoria et à New South Wales – les plus gros états producteurs de laine d'Australie – et dans le sud de l'Australie. Chaque année, les employés de ces sous-traitants peuvent tondre un total de plus de 4 millions de moutons. Aux États-Unis, l'enquêteur de PETA US a documenté la maltraitance et la négligence de moutons par des employés dans 14 ranchs à travers Wyoming – le deuxième producteur de laine du pays – ainsi que dans le Colorado et le Nebraska.
En 2013, 3,7 millions de moutons ont été tondus aux États-Unis. Les moutons sont privés de nourriture et d'eau avant d'être tondus, notamment pour qu'ils se sentent faibles et ne présentent qu'une résistance minimale. Comme l'a expliqué un tondeur, « Imaginez que l'on vous agresse après... vous avoir affamé pendant 24 heures, vous ne seriez pas vraiment en mesure de lutter. »
Les employés n'ont donné aucun antidouleur aux moutons avant de leur planter des aiguilles dans la peau, afin de recoudre les grosses coupures et les blessures sanglantes provoquées par la tonte. À aucun moment les enquêteurs n'ont vu un vétérinaire administrer des soins vétérinaires aux moutons blessés. Un tondeur a coupé une partie de l'oreille d'un mouton sans le moindre antidouleur. Dans un autre ranch, les employés ont transporté un bélier boiteux mourant, à bout de souffle, dans une remorque pour être tondu.
Le bélier a été laissé dans la remorque toute la nuit, apparemment sans soins, et retrouvé mort le lendemain matin. Les éleveurs ont mis des anneaux serrés sur le scrotum de certains agneaux, sans anesthésiant, pour les castrer. Lorsque leurs testicules ne tombaient pas comme prévu, les tondeurs se sont contenté de couper le scrotum et les testicules de l'agneau avec leurs cisailles de tonte.
Les moutons blessés et peu rentables sont exécutés à mort sous les yeux des autres moutons et même découpés en pièces de boucherie. Chaque année, des millions de moutons, y compris ceux dont on ne veut plus pour leur laine, sont expédiés d'Australie vers le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord sur des bateaux à plusieurs étages pleins à craquer.
Certains meurent en route, et ceux qui survivent au voyage sont massacrés en se faisant égorger tandis qu'ils sont encore conscients." Les moutons ne sont rien de plus qu'une vulgaire marchandise Une nouvelle fois, le vivant est exploité de manière industrielle, sans aucune compassion, pour le profit, dans le cadre du grand marché de la mondialisation cher à nos décideurs.
En effet, les tondeurs sont souvent rémunérés au volume, et non à l'heure : plus on tond, plus on gagne, ce qui encourage un travail rapide et violent qui entraîne de graves blessures pour les moutons, traitées sans aucun ménagement. Lors de leur première tonte, une expérience extrêmement stressante, les agneaux poussent des cris et pleurent très fort parce que, selon l'un des employés, « Ils ont été séparés de leurs mamans et ils les appellent...Ils crient "Maman ! Maman ! »
Les employés, abrutis par un système insensé, se comportent comme la lie de l'humanité.
PETA témoigne : Lorsqu'un agneau a hurlé durant la tonte, un employé s'est écrié « Retire-la ! ... [Tu] lui fais mal », une plaisanterie grossière faisant allusion que le tondeur était en train de violer l'agnelle. Les employés appellent les moutons « putains de salopes » et « foutues salopes » et un éleveur se vantait d'avoir « la "totale autorisation" de tabasser et réduire les putains de moutons en poussière ». Un autre éleveur a dit d'un animal, « Je veux étouffer cette brebis. L'étouffer ».
La réaction des producteurs de laine "Nous sommes choqués et consternés par ces images", a déclaré Geoff Fisken, le président des producteurs de laine australiens (WoolProducers Australia), interrogé par l'agence Australian Associated Press. "Nous demandons à tous les producteurs de laine d'avoir une tolérance zéro pour les cas de maltraitance animale et de prendre les mesures nécessaires afin d'éviter que ce genre de comportements, rares, ne se reproduise." De son côté, une autre structure, l'Australian Wool Innovation (AWI), a déclaré qu'elle condamnait de "manière catégorique et sans équivoque" le mauvais traitement des animaux, tout en minimisant son importance. "AWI a investi 2,8 millions de dollars dans la formation des tondeurs.
Les producteurs de laine australiens prennent soin de la santé et du bien-être de leurs animaux", assure Michelle Lee, interrogée par NBC. Et pourtant, "ces cas de torture sont avérés et connus depuis longtemps", rétorque Isabelle Goetz, chargée de campagne chez PETA France. Que pouvons-nous faire ? PETA France nous conseille tout simplement de boycotter la laine : "la meilleure chose que vous puissiez faire pour les moutons est de refuser d'acheter de la laine !
C'est facile de regarder une étiquette lorsqu'on fait du shopping. Si elle mentionne « laine », reposez l'article." Malheureusement, PETA France indique "qu'il est quasiment impossible de connaître la provenance de la laine mais le plus probable est qu'elle vienne d'Australie.", rappelant également que les principales marques vendant de la laine sont J.Crew et Ralph Lauren.
Doit-on pour autant rejeter la laine, un produit d'origine naturelle qui ne devrait pas entraîner de souffrance pour les animaux ?
Alors que les textiles synthétiques, issus de l'industrie pétrolière se sont imposés sur le marché, avec une qualité très relative ?
Pour en savoir plus, nous avons enquêté sur un chantier de tonte en France. Quid de la tonte des moutons en France ?
Il n'existe plus que quelques troupeaux de moutons Mérinos en France, dont celui de la célèbre Bergerie Nationale de Rambouillet. Il a largement servi à l'amélioration de la production lainière d'autres races ovines en France et dans le monde entier comme en Australie.
Aujourd'hui, le troupeau compte environ 120 brebis et 25 béliers et produit de petites quantités de laine "artisanale" pour la vente directe aux particuliers sur la Bergerie. Lors d'une visite sur un chantier de tonte de moutons mérinos, début 2015, nous avons pu assister à la tonte de plusieurs dizaines de brebis et béliers.
Après plusieurs heures d'observation, notre conclusion est sans appel : la tonte des moutons s'effectue sans violence et sans souffrance , comme en témoigne notre reportage ci-dessous. Comment peut-on expliquer les scènes immondes enregistrées par PETA ? Les professionnels que nous avons interrogés sur le chantier de tonte de la Bergerie Nationale sont unanimes : les scènes filmées par PETA sont inacceptables et surprenantes.
Pour Alain Belliard, tondeur depuis plus de 30 ans, "elles ne correspondent pas à la réalité de la tonte, c'est du jamais vu". Les tondeurs français que nous avons suivi refusent pourtant d'opposer les pratiques provenant d'Australie, de Nouvelle-Zélande et de France, sans évoquer les Etats-Unis, plus méconnus.
Au final, ces scènes d'horreur existent bien mais seraient une exception que la profession a bien du mal à comprendre et à expliquer. Dans tous les cas, les vidéos de PETA, véritables lanceurs d'alerte, sont indispensables pour que la maltraitance animale cesse et que la filière redouble de vigilance : "Il est plus facile de garder intacte sa réputation que de la blanchir quand elle est ternie." disait l'intellectuel Thomas Paine.
Source : notre-planete.info, http://www.notre-planete.info/actualites/4067-tonte-moutons-laine-souffrance-animale
LA VIE DU GALGO EN ESPAGNE.
Chaque année, selon la tradition, ce sont des milliers de chiens (lévriers galgos et podencos) que les chasseurs espagnols torturent et massacrent.
En Espagne, il n’existe pas de loi visant la protection animale. Et c’est en toute impunité que les « galgueros » (chasseurs) torturent leurs chiens en justifiant leur comportement barbare au nom d’une ancienne tradition espagnole. Pour les chasseurs, le galgo n’a même pas le statut d’animal de compagnie.
C’est un « produit de consommation » dont on se débarrasse lorsqu’il n’a plus d’utilité… La vie du galgo en Espagne. Dès son plus jeune âge, le galgo sera soumis à la cruauté des hommes. Les chiennes, entassées dans des « fosses d’élevage », font leurs petits dans des conditions de malnutrition et d’hygiène déplorables.
Seules les plus fortes survivront … Dès qu’il sera entre les mains de son galguero, le jeune lévrier va être dressé par celui-ci : éducation par la violence, conditions sanitaires épouvantables et surtout un interminable entraînement ; soit courir des heures derrière une voiture afin de développer ses muscles et sa vitesse.
Des journées sans nourriture et sans eau forgeront, soi-disant, le caractère du galgo. Au début de la saison de chasse, le galguero engagera son lévrier dans des courses aux lapins, courses pour lesquelles les paris peuvent atteindre des sommes vertigineuses. Poussés par l’instinct et la faim, les chiens vont courir sans relâche afin de satisfaire la folie des chasseurs. Lorsque la fin de la saison de chasse s’annonce (mi février), le moment de liquider un galgo qui court et/ou chasse mal est venu.
Pareil pour les galgos « âgés » car 3 ans, c’est trop vieux pour faire un bon chasseur ! Le galguero va faire preuve d’une cruauté et d’une imagination sans borne. Pour la tradition, plus VOTRE galgo va souffrir en mourant, plus le chiot que vous allez acquérir sera bon !Et c’est la que le drame se déroule … Chien pendu avec les pattes arrières touchant le sol afin que celui-ci lutte pour sa survie.
L’épuisement fera que la mort par suffocation sera inévitable !!! Noyés avec une pierre attachée au cou, brulés vivants sous le regard amusé des chasseurs, membres cassés, empalés, égorgés, jetés vivant dans des puits, injections de produits chimiques dans le sang, …Hélas, la liste des tortures est longue et se renouvelle avec des phénomènes de mode chez les galgueros. Heureusement, face à cette cruauté, des associations de sauvetage se créent pour sauver de l’enfer les galgos destinés à la mort.
En Espagne, il y a aussi des amis des animaux qui mènent, au quotidien, un combat de titan pour que ces coutumes cruelles prennent fin. Ils se démènent pour sauver et assurer une belle fin de vie aux galgos qu’ils auront trop souvent arrachés à une mort certaine. Chaque année, c’est près de 50 000 de ces chiens magnifiques qui meurent dans d’atroces tortures.
L'Espagne, terre de mort pour les lévriers
Chaque année, 50 000 chiens de chasse seraient tués ou abandonnés, dans le sud du pays. Des associations se battent pour faire évoluer les mentalités. Avec sa silhouette menue et son sourire immense, elle lutte contre une drôle de machine de mort.
Chaque matin, à 7 h 30, avec son mari Albert, vétérinaire, Anna Clements recueille un ou deux lévriers arrivés du sud de l'Espagne. Ici, on les appelle les galgos. Ils sont en lambeaux. Sous-alimentation, fractures ouvertes, plaies, brûlures...
Certains sont si maigres que les os ont percé la peau. Il y a aussi ceux que l'on a voulu pendre et qui se sont échappés : il faut suturer la chair du cou, béante. La chasse au lévrier, qui se pratique sans fusil - le chien attrape, tue et rapporte le lièvre -, interdite en France depuis le XIXe siècle, est très pratiquée dans le sud de l'Espagne.
Difficile de connaître le nombre exact de chasseurs "galgueros" : la plupart ne sont pas fédérés. Si tous ne maltraitent pas leurs chiens, SOS Galgos, l'association fondée par Anna Clements, estime que 50 000 lévriers sont tués ou abandonnés chaque année dans les régions de Castille-la-Manche, Castille-et-Leon ou d'Andalousie.
Dans tous les villages de la région, les "corrals" de lévriers à ciel ouvert fleurissent : huit mois sur douze, hors saison de chasse, il y sont parqués, inactifs et nourris au pain sec. "Dans ces régions, le lévrier n'est généralement pas considéré comme un animal, mais comme un outil de chasse.
Quand il n'est plus bon, vers trois ou quatre ans, on s'en débarrasse : c'est la tradition", s'indigne Anna, d'origine anglaise, qui, à son arrivée en Espagne en 1991, a décidé de s'y installer pour consacrer sa vie à "réparer cette horreur". Longue agonie quand il est pendu, le chien "décevant" l'est parfois selon la "technique du pianiste" : le bout de ses pattes touche le sol, de façon à ce que son agonie soit longue. "Les chiens peuvent mettre trois jours à mourir.
C'est une façon de les punir d'avoir déshonoré leur maître", raconte Alberto, un chasseur à la retraite du village Ciruelos, à une heure de Madrid, dont le frère possédait une dizaine de galgos. S'ils ne les pendent pas, les galgueros peuvent les jeter vivants dans un puits. Ou les abandonner, après avoir arraché, pour éviter d'éventuelles poursuites, la puce électronique implantée dans leur dos.
Le code pénal espagnol punit en effet les actes de cruauté sur les animaux d'une peine de prison pouvant aller d'un mois à trois ans, explique Manuel Gómez Arevaldo, chargé de communication de la Saprona, la section dédiée à la protection de l'environnement de la gendarmerie de Tolède. À condition qu'il y ait flagrant délit. "Et cela n'arrive presque jamais, regrette le fonctionnaire.
Les galgueros qui violent la loi le font discrètement. Nous sommes une petite unité. La Mancha, c'est immense, la loi du silence y règne : personne ne dénonce personne. Qu'est-ce que vous voulez qu'on fasse ?" Situation dramatique Les chasseurs qui veulent se débarrasser d'un galgo sont toutefois de plus en plus nombreux à contacter les associations de sauvetage de lévriers.
Le meilleur moyen pour eux d'éviter d'éventuels ennuis avec la Saprona. "C'est toujours le même chantage, déplore Anna Clements. Ils nous appellent pour nous demander de prendre leurs chiens, qu'ils menacent de tuer." L'association, fondée en 1999, fait adopter environ 300 lévriers par an, en Espagne, en France et en Belgique. Mais ici, le lobby des chasseurs est très puissant.
Les Maires les députés et même le roi chassent. Difficile, dans ce cas, de les pousser à faire appliquer les lois qui punissent les abus commis par les galgueros", explique-t-elle. Une situation à laquelle s'est heurtée Michelle Striffler, députée européenne à Strasbourg, qui, révoltée par le sort des lévriers, a envoyé une circulaire à ses homologues espagnols... sans récolter la moindre signature. "Avec le nombre de galgueros que Ccompte l'Espagne, ils ont trop d'électeurs à perdre", analyse-t-elle.
D'autant que les chasseurs fédérés, plus fortunés, mieux organisés et traitant convenablement leurs chiens, souffrent de la mauvaise presse que leur font les galgueros non fédérés et violents. "Ils ont beaucoup plus d'argent que nous et paient des porte-parole aguerris pour décrédibiliser nos accusations", regrette Anna Clements. Son association se bat-elle contre des moulins à vent ? "
En 1999, quand, en France, la loi sur les maltraitances envers les animaux a été durcie, les gens nous ont ri au nez, se souvient Xavier Bacquet, avocat spécialisé dans le droit des animaux. Il a fallu lutter pour la faire appliquer, multiplier les courriers aux gendarmeries, à la police, aux juges". Un espoir pour l'Espagne ? "Sauf que si les protagonistes ne s'engagent pas à faire respecter les lois, rien ne bougera, estime l'avocat. Et dans ce pays où la situation des animaux est dramatique, le travail pour faire évoluer les mentalités est herculéen".