aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
A 9 ans, Charly cultive une étrange passion......... NSOLITE Dans le Finistère, Charly, 9 ans, cultive une passion peu commune à son âge : le jardinage. Il passe en effet des heures, penché sur sa parcelle de terre, à cultiver légumes et fruits 100% bio. Pour son bonheur, et celui de sa famille. A son âge, les petits garçons passent plutôt leur temps devant la console, ou sur le terrain, à dribler avec un ballon, entre copains. Charly, lui, préfère biner sa parcelle de terre de 200 mètres carrés, et ses légumes et fruits 100% bio, qu'il cultive chaque jour avec amour.
A 9 ans, cet enfant du Finistère consacre tous ses week-ends à ses plantations. Carottes, tomates, poireaux... en tout, Charly fait pousser une vingtaine d'espèces dans son jardin, qu'il parcourt sur son petit tracteur en plastique. Mais attention, pas question pour le petit garçon d'employer des produits chimiques. Charly utilise son propre compost.
"Je n'aime pas les produits chimiques, ça pollue". Ce petit bonhomme a également quelques astuces, pour soigner ses légumes et ses fruits. "Faut pas mouiller les feuilles" explique par exemple le garçon au JT de 13h, "parce que ça fait des maladies sur les feuilles et après, ils meurent". Pouce vert "Cet été, il a nourri toute la famille" raconte sa mère, Véronique, très fière de son fils. "Il a quelque chose, je pense, d'exceptionnel. Il a un contact avec la nature et la terre". Mais Charly n'a pas seulement la main verte. Il est aussi généreux. Le petit garçon n'hésite pas, en effet, à partager ses récoltes avec ses voisins, totalement médusés : "Oh la la, tu as encore tout ça dans ton jardin ? Parce que tu sais chez nous, y'a plus grand-chose".
Algérie : l'otage français Hervé Gourdel a été exécuté par les jihadistes
Le Niçois de 55 ans Hervé Gourdel, enlevé dimanche en Algérie par un groupe jihadiste, était guide de haute montagne du parc national du Mercantour, au nord de Nice (Alpes-Maritimes).
Le Niçois de 55 ans Hervé Gourdel, enlevé dimanche en Algérie par un groupe jihadiste, était guide de haute montagne du parc national du Mercantour, au nord de Nice (Alpes-Maritimes).
Le groupe «Jund al-Khilafa», affilié à l'Etat islamique, a mis sa menace à exécution et a diffusé ce mercredi une vidéo mettant en scène la décapitation d'Hervé Gourdel, le guide de haute montagne niçois âgé de 55 ans, qui a été enlevé dimanche dernier au cœur du parc national du Djurdjura, en Algérie.
Cette vidéo, intitulée «Message de sang pour le gouvernement français», a été diffusée une quarantaine d'heures après l'ultimatum des terroristes exigeant la fin des frappes françaises en Irak contre l'EI. La vidéo débute par des images de François Hollande prises au cours de la conférence de presse durant laquelle il a annoncé la participation de la France à l'intervention en Irak, ainsi que des images d'avions de bombardement.
Elle montre ensuite Hervé Gourdel, agenouillé et les mains derrière le dos, entouré de quatre hommes armés aux visages dissimulés. Dans cette séquence d'un peu moins de 5 minutes, Hervé Gourdel s'exprime une dernière fois sous la contrainte :
«Hollande tu as suivi (...) Obama» déclare-t-il, avant d'adresser un message à sa famille et à ses proches. L'un des hommes lit ensuite un message dans lequel il dénonce l'intervention des «croisés criminels français» contre les musulmans en Algérie, au Mali et en Irak notamment. Le groupe jihadiste algérien «Jund al-Khilafa» («Les soldats du califat») avait revendiqué cet enlèvement dans une vidéo diffusée lundi.
Assis par terre, appareil photo encore au cou, l'otage demandait à François Hollande de favoriser sa libération. Un peu avant, à l'Assemblée Nationale, le Premier ministre Manuel Valls ne confirmait pas la mort de l'otage mais assurait avoir eu «des informations ce midi», soit avant son discours sur l'intervention militaire en Irak. Le Premier ministre commentait alors : «Le pire est a attendre».
PMA : la Cour de cassation valide l'adoption d'un enfant par sa deuxième maman..
La Cour de cassation vient de rendre sa décision : une femme a le droit d'adopter l'enfant de sa compagne ou épouse, conçu par procréation médicalement assistée (PMA) à l'étranger.
Voilà qui devrait soulager un certain nombre de familles homoparentales, qui se heurtent quotidiennement aux difficultés administratives opposées à deux papas ou deux mamans.
La Cour de cassation a considéré que «le recours à l'assistance médicale à la procréation, sous la forme d'une insémination artificielle avec donneur anonyme à l'étranger, ne fait pas obstacle au prononcé de l'adoption, par l'épouse de la mère, de l'enfant né de cette procréation, dès lors que les conditions légales de l'adoption sont réunies et qu'elle est conforme à l'intérêt de l'enfant», explique l'avis rendu public ce mardi en fin de matinée.
La plus haute juridiction de l'ordre judiciaire a écarté notamment la notion de «fraude à la loi», invoquée par certains tribunaux pour rejeter l'adoption par des couples de même sexe d'un enfant né à l'étranger sous PMA, même si la plupart autorisent la procédure, alors que théoriquement, cette pratique n'est autorisée en France qu'aux couples hétérosexuels notablement infertiles.
L'avis de la Cour de cassation non contraignant L'affaire a été portée par une femme, appelée madame Y, mère d'un enfant né le 18 novembre 2009 à Avignon, d'une insémination artificielle sans donneur connu en Espagne. Madame Y a épousé Madame X quatre ans plus tard, le 16 septembre 2013.
Le 18 février 2014, madame X a déposé une requête en adoption plénière de l'enfant. C'était la plus «libérale» des trois décisions que pouvait prendre la Cour de cassation : dire oui, dire qu'il y a fraude, créant ainsi une disparité entre les affaires déjà tranchées en première instance ou en appel et les autres dossiers, ou, déclarer qu'il n'y avait pas de question de droit nouvelle à trancher.
Les défenseurs de la cause homosexuelle s'attendaient à cette troisième position. La décision devrait d'autant plus faire jurisprudence.
La Cour de cassation s'est prononcée sur le droit. «L’intérêt de l’enfant, notion de fait, relève du pouvoir souverain d’appréciation des juges du fond», estime le conseiller référendaire de la Cour dans son rapport préalable. Dans un communiqué, l'Association de défense des familles homoparentales (ADFH) se réjouit de cet avis «qui ne vise que l'intérêt supérieur de l'enfant à être protégé et reconnu par ses parents, quel que soit son mode de conception. Bien que cet avis ne soit pas contraignant, l'ADFH enjoint tous les magistrats à le suivre, y compris ceux qui par convictions personnelles ou par interprétations aléatoires de la loi ouvrant l'adoption aux couples homosexuels, avaient jusqu'à présent refusé de prononcer ces adoptions».
«La justice confirme son encouragement à contourner la législation française. C'est hallucinant», s'est ainsi indignée Ludovine de la Rochère, présidente de la Manif pour Tous.
Un flot de réactions sur les réseaux sociaux PMA n'est pas GPA. Mais le débat devrait rapidement s'étendre à toutes les formes d'aide médicale à la parentalité avec, en ligne d'horizon, la nouvelle mobilisation de la Manif pour tous le 5 octobre prochain.
Quelques minutes après l'annonce de l'avis de la Cour, le débat n'a pas manqué de se réenflammer sur la toile. Aux personnes satisfaites de la décision se répondent les mécontents. Député de la Drôme, Hervé Mariton (UMP) s'est empressé de réagir :
«L'avis de la Cour de cassation rend hypocrite le refus de la PMA».
«La filiation va avec le mariage et la Cour a dit que la PMA va avec», a ensuite déclaré à l'AFP le député de la Drôme, qui prône l'abrogation de la loi Taubira.
Grande-Bretagne : une star de foot aurait fait don de 10 000 £ à un refuge
Le joueur italien Mario Balotelli aurait offert unaprès e somme importante à un refuge canin de Manchester, en Grande-Bretagne, l’incendie de ce dernier. 30millionsdamis.fr revient sur le parcours de ce sportif connu pour son amour des chiens. 10 000 livres sterling, soit près de 13 000 euros : c’est la somme versée par un mystérieux donateur au Manchester and Cheshire Dogs’ Home après l’incendie dont ce refuge - le plus grand de Manchester (Royaume-Uni) - a été victime, le 11 septembre dernier.
Le généreux sympathisant ne serait autre que Mario Balotelli, joueur italien évoluant à Liverpool en Premier League - l’équivalent de la Ligue 1 en France- d’après les informations dévoilées par le Daily Mirror (18/9/2014).
Jane Smith, porte-parole du refuge de Manchester, a en effet déclaré au tabloïd anglais : « Mario vient régulièrement promener les chiens du refuge et cette hypothèse, que je ne suis toutefois pas en mesure de confirmer, est logique ».
Connu pour ses frasques, l’attaquant de Liverpool - qui ne s’est pas exprimé à ce sujet - fait aujourd’hui l’objet de nombreuses rumeurs, relayées par les réseaux sociaux et les défenseurs des animaux, ravis pour ce soutien présumé.
BÉNÉVOLE AU REFUGE DE MANCHESTER
« Super Mario », comme le surnomment médias et supporters, fait régulièrement les choux gras des journaux : accidents de voiture, bagarres, feux d’artifices et pétards illégalement tirés, sans oublier les multiples cartons jaunes et rouges qu’il récolte sur les terrains de football.
Mais l’enfant terrible et talentueux du football italien, âgé de 24 ans, est aussi célèbre pour l’amour qu’il porte à son compagnon à poils, Lucky, un labrador qui dispose même de son propre compte Twitter. L’animal « fait la joie et la fierté de Mario » selon le Sun.
En 2011, à son arrivée en Angleterre, le footballeur avait dû attendre six mois pour que Lucky puisse le rejoindre en raison des restrictions de quarantaine au Royaume-Uni.
Alors joueur au club de Manchester City, il avait pris l’habitude de se rendre régulièrement au refuge de la ville pour s’occuper de ses pensionnaires en tant que bénévole. FORMIDABLE ÉLAN DE SOLIDARITÉ Après le ravage des locaux dans un incendie, le Manchester and Cheshire Dogs’ Home avait lancé un appel aux dons.
Si 150 chiens avaient échappé aux flammes, 53 animaux avaient péri dans ce drame. L’enquête est toujours en cours, mais les premiers éléments indiquent que l’origine est criminelle. Grâce aux réseaux sociaux, un formidable élan de solidarité avait permis de récolter plus de 850 000 livres sterling en quelques heures (soit plus de un million d'euros, NDLR) alors que l'objectif du refuge ne s'élevait qu’à 5 000 livres.
La somme collectée s’élève à ce jour à plus d’un million et demi de livres, soit près de deux millions d’euros.
Ecole : le redoublement en sursis
La ministre de l'Education Nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a démenti mercredi vouloir abandonner le redoublement à la rentrée 2015.
La ministre de l'Education Nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a démenti mercredi vouloir abandonner le redoublement à la rentrée 2015.
Selon la radio, qui maintient ses informations, le ministère de l'Education va demander aux directeurs d'établissements de laisser aux élèves et à leurs familles l'initiative du redoublement.
Dans un communiqué, Najat Vallaud-Belkacem «dément les informations selon lesquelles le redoublement serait abandonné à la rentrée prochaine».
«En déplacement hier à Sedan, Najat Vallaud-Belkacem a rappelé que le redoublement devait être l'exception, et qu'il fallait poursuivre les méthodes alternatives de soutien aux élèves», explique le démenti.
Le ministère rappelle que la loi du 8 juillet 2013 sur la refondation de l'Ecole «a fait du redoublement une procédure exceptionnelle».
«Le législateur n’a pas souhaité supprimer le redoublement mais le limiter à certaines circonstances particulières qui le justifient absolument», précise-t-il.
Un coup de couteau pour un "mauvais regard"
GRENOBLE
Tout est parti d’un mauvais regard, selon les informations de France 3 Alpes. Un homme d’une quarantaine d’année a reçu un coup de couteau à l’arrêt de tram Gustave Rivet samedi à Grenoble. Peu avant 16h30, l’auteur de l’agression aurait demandé à sa victime de sortir du tram pour s’expliquer suite à une première altercation à bord de la rame. C’est là, devant l’arrêt, qu’il lui aurait ensuite porté un coup de couteau au niveau des côtes.
La victime est légèrement blessée, elle a été secourue par les pompiers et conduite à l’hôpital de Grenoble, l’auteur de l’agression est en fuite.
Fillette décédée en Vendée : des douches brûlantes données "par punition"
Fillette décédée en Vendée : des douches brûlantes données "par punition"
La fillette de 4 ans a été retrouvée morte dans la maison où elle résidait, à Saint-Georges-de-Pointindoux. Son corps portait des "traces évocatrices de violence". Le père de la fillette de 4 ans décédée en Vendée, dont la mère a été mise en examen pour meurtre et actes de torture, avait alerté en 2010 les services sociaux du Val-de-Marne qui n'ont jamais soupçonné la maltraitance.
Un bouquet de fleurs , deux roses blanches et un ours en peluche étaient posés jeudi matin au pied de la porte de la petite maison en pierre à Saint-Georges-de-Pointindoux (Val-de-Marne).
La maison où vivait Angèle, fillette de 4 ans, qui a subi des actes de tortures pendant 7 jours avant de décéder dimanche. Des douches brûlantes données "par punition"
La mère a reconnu en garde à vue avoir étranglé sa fille, mais "elle réfute cependant avoir voulu (lui) donner la mort", indique le procureur dans son communiqué.
L'autopsie a aussi mis en évidence "de nombreuses traces de coups" en divers points du corps et des morsures, "au vu des traces très marquées qui subsistent".
Des cheveux ont été arrachés en plusieurs endroits et ces violences ont été commises sur une durée d'environ sept jours, a précisé le procureur. "Les coups sont reconnus par la mère et son compagnon qui les justifient par la turbulence et les désobéissances multiples de la fillette", selon M. Lollic, qui ajoute qu'ils "se rejettent la responsabilité des brûlures, provenant selon eux, de douches brûlantes données par punition".
La mère a également reconnu avoir puni sa fille en la mordant... La mère de l'enfant et son compagnon (qui n'est pas le père de l'enfant, ndlr) ont été mis en examen pourmeurtre et actes de tortures ou barbarie sur mineur de 15 ans et placée en détention provisoire.
Le père de la fillette avait alerté les services sociaux en 2010 Le père de la fillette, qui demeure en Charente-Maritime, a indiqué au parquet que la mère l'avait quitté quand l'enfant avait 18 mois.
Depuis, il avait du mal à la voir régulièrement. Et il avait déjà alerté les services sociaux. "Le papa nous avait alerté dans le cadre d'une séparation de couple", a indiqué Michèle Créoff, directrice générale adjointe du conseil général du Val-de-Marne, chargée de la famille et l'enfance.
La situation de la fillette en 2010, alors accueillie dans une crèche de Limeil-Brévannes, avait "été évaluée" par les services de protection maternelle et infantile, a-t-elle expliqué.
"Rien ne pouvait laisser supposer une maltraitance", a-t-elle assuré. Agée de 18 mois, "l'enfant se développait bien" et la mère "avait de bons réflexes", a-t-elle dit.
"Nous n'avions aucune inquiétude, ni sur le plan physique, ni sur le plan psychique", a répété Mme Créoff.
Un jihadiste «manqué» par la police : «Ça nous a étonnés. Personne n'est venu» Plusieurs sources à l'Intérieur avaient annoncé mardi l'arrestation, à Orly, de trois jihadistes présumés, transférés depuis la Turquie. Leurs avocats ont révélé qu'ils avaient atterri par un autre avion, à Marseille, et sans être interpellés, à leur grande surprise. Le ministère, «pas prévenu» de ce changement de destination, a finalement reconnu mardi soir les avoir manqués.
Enorme cafouillage mardi place Beauvau : il n'y a finalement pas eu d'interpellations de jihadistes présumés à l'aéroport d'Orly, contrairement à ce que plusieurs sources au ministère de l'Intérieur affirmaient en début d'après-midi.
Si trois suspects arrêtés fin août en Turquie, dont le mari de Souad Merah, devaient effectivement être transférés et ensuite interpellés mardi à leur arrivée en France, ils n'ont finalement pas pu embarquer dans leur avion à Istanbul, selon une source policière, confirmant une information d'Europe 1
Résultat : selon nos informations, après avoir pris un second vol, ils ont finalement atterri dans la soirée à Marseille, mais n'ont pas été interpellés, alors qu'ils sont tous les trois fichés comme personnes recherchées. Vers 21h30, mardi, le ministère de l'Intérieur a fini par réagir, confirmant avoir manqué leur retour de Turquie parce qu'il n'avait pas été informé à temps du changement de destination de leur vol. «Les services français ont été informés par leurs homologues turcs de ce changement de vol après l'arrivée sur le sol français des trois ressortissants expulsés», explique le communiqué de la place Bauveau.
Le commandant de bord a refusé de les embarquer Plusieurs sources proches du dossier avaient annoncé leur interpellation à Orly mardi en début d'après-midi. Une annonce un peu rapide, puisque le commandant de bord de l'avion qui devait les ramener en France a refusé leur présence à bord en l'absence de documents administratifs que devaient fournir les autorités turques. «La police turque devait remettre au commandant de bord une copie de documents pour qu'ils quittent le territoire, mais ça n'a pas été fait», a ajouté une source. L'avion dans lequel ils étaient censés se trouver «a été intercepté sur le tarmac» à son arrivée à Orly mais les trois jihadistes présumés «ne se trouvaient pas à l'intérieur».
Dans la nature, mais prêts à répondre aux convocations Finalement, les trois hommes ont donc pu prendre un vol suivant à destination de l'aéroport de Marseille dont ils sont ressortis sans être inquiétés. «Le ministère de l'Intérieur a, à mon avis, dégainé un peu trop vite en annonçant leur arrestation. Ils n'ont pas du tout été arrêtés. Ils sont dans la nature, prêts à s'expliquer, à être interrogés», a déclaré l'un de leurs avocats Me Legros-Gimbert. L'avocat s'est montré surpris que le passeport de son client et ceux des deux autres jihadistes présumés n'aient pas déclenché de signal dans l'aéroport d'arrivée.
Me Pierre Dunac a confirmé cette version: «Aussi incroyable que cela puisse paraître, c'est la réalité». «Ils ont voyagé avec leur passeport. Ils n'ont pas été inquiétés à leur arrivée», a-t-il déclaré, certifiant avoir été en contact téléphonique avec son client depuis son arrivée en France mardi en début d'après-midi. D'après leurs défenseurs, les trois jihadistes sont disposés à être entendus : «Leur position aujourd'hui, c'est de dire on n'est pas en fuite», a indiqué Me Dunac. On ignorait mardi soir s'ils se présenteraient d'eux mêmes aux enquêteurs, une possibilité qu'un des avocats interrogés n'a pas écartée.
Me Pierre Dunac a confirmé cette version: «Aussi incroyable que cela puisse paraître, c'est la réalité». «Ils ont voyagé avec leur passeport. Ils n'ont pas été inquiétés à leur arrivée», a-t-il déclaré, certifiant avoir été en contact téléphonique avec son client depuis son arrivée en France mardi en début d'après-midi. D'après leurs défenseurs, les trois jihadistes sont disposés à être entendus : «Leur position aujourd'hui, c'est de dire on n'est pas en fuite», a indiqué Me Dunac. On ignorait mardi soir s'ils se présenteraient d'eux mêmes aux enquêteurs, une possibilité qu'un des avocats interrogés n'a pas écartée.Ce mercredi, le ministre de la Défense a critiqué l'attitude de la Turquie dans cette affaire. «Il y a un cafouillage lié à l'absence de collaboration avec les autorités turques. Leur initiative de changer d'avion a été malheureuse. Il faut renforcer la collaboration avec elles», a déclaré Jean-Yves Le Drian sur France info. Il a toutefois tenu à préciser «que, depuis plusieurs jours, on arrête des individus suspectés d'être dans ces filières jihadistes, puis qui sont judiciarisés, incarcérés».
Trois hommes, gravitant dans la sphère de Merah Les trois hommes, arrêtés fin août en Turquie à leur retour de Syrie, devaient être transférés mardi vers la France, afin d'être placés en garde à vue dans les locaux de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Ils étaient partis en Syrie début 2014 réussissant à déjouer la surveillance des services de renseignement qui les avaient dans leur «ligne de mire».
Trois hommes, gravitant dans la sphère de Merah Les trois hommes, arrêtés fin août en Turquie à leur retour de Syrie, devaient être transférés mardi vers la France, afin d'être placés en garde à vue dans les locaux de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Ils étaient partis en Syrie début 2014 réussissant à déjouer la surveillance des services de renseignement qui les avaient dans leur «ligne de mire».
Un autre interpellé, âgé de 27 ans, avait déjà été arrêté en 2007 puis condamné l'année suivante dans une affaire à caractère terroriste pour avoir appartenu à une filière jihadiste en Irak, dite filière d'Artigat, du nom d'un village d'Ariège présumé être la base de repli de l'équipe, toujours selon les services de renseignement. Il était «très lié» avec Mohamed Merah et a grandi dans le même quartier que lui à Toulouse, celui dit des Izards, selon ces sources.
Le troisième était domicilié à Albi où une autre filière jihadiste, dans laquelle gravitaient également d'anciens proches du tueur de Toulouse, a été démantelée cet été, a dit l'une des sources proches du dossier.
Selon Me Legros-Gimbert et un autre avocat toulousain en contact récemment avec le mari de Souad Merah alors que ce dernier se trouvait en «rétention» en Turquie, les trois hommes auraient fui la Syrie et se seraient livrés, il y a trois semaines, aux autorités turques, sachant qu'ils seraient ensuite transférés en France et placés en garde à vue.
Le fait divers du jour : mineure, elle est forcée à coucher avec 1800 hommes
PAYS DE GALLES – Une jeune fille, qui a servi pendant des années d'objet sexuel dans une secte sataniste prônant les relations les plus perverses avec des enfants, raconte son calvaire dans un livre.
DR Metronews a fait le tour de la presse internationale et vous livre le fait divers du jour "J'allais à l'école le jour et j'étais une esclave sexuelle la nuit. A un moment donné, j'ai pensé à me suicider." Annabelle Forest (un nom d'emprunt), âgée aujourd'hui d'une vingtaine d'années, raconte sa terrible histoire dans un livre qui vient de paraître en Grande-Bretagne (The Devil on the Doorstep : My Escape From a Satanic Sex Cult).
Un sommet dans l'horreur, rapporte le Daily Mail. "On n'osait même pas le regarder dans les yeux" A 7 ans, elle a été initiée au culte de la secte Kidwelly, du nom du petit village du Pays de Galles où le gourou Colin Batley, son beau-père, se livrait à des rituels sataniques : celui-ci l'a alors forcée à assister à ses relations sexuelles avec sa maman. A 11 ans, le même homme l'a violée à deux reprises.
Trois ans plus tard, c'est sa propre mère qui l'agressera lors d'une orgie sexuelle. Selon la jeune femme, à 18 ans, elle avait couché avec 1800 hommes après avoir été obligée de se prostituer pour récolter des fonds pour la secte. Annabelle Forest, qui affirme qu'elle "ne pardonnera jamais à sa mère", était sous l'emprise de son bourreau. "On n'osait même pas le regarder dans les yeux. Tout le monde devait faire ce qu'il disait.
Il me demandait souvent si j'aimais bien avoir eu de relations sexuelles avec lui. J'étais obligée de répondre oui, sinon il pouvait me tuer." Tombée enceinte à l'âge de 17 ans, elle parviendra finalement à s'enfuir un an après la naissance de son enfant, avec son bébé. Colin Batley et sa mère sont quant à eux toujours derrière les barreaux.
Lors de leur procès en 2011, ils avaient été condamnés à respectivement 11 ans et 12 ans de prison pour avoir agressé des enfants durant des décennies.
Le Mée-sur-Seine : elle se jette dans le vide avec son enfant Gisèle
Le drame s'est produit vers 2 heures du matin, ce mardi, au Mée-sur-Seine (Seine-et-Marne). Une femme, dont on ignore encore l'âge et l'identité, s'est jetée dans le vide avec son enfant depuis le cinquième étage d'un immeuble d'habitation.
Elle est morte sur le coup.
L'enfant, dans un état critique, a été transféré à l'hôpital Necker, à Paris. Une enquête a été ouvert