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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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La Belgique autorise les mineurs à choisir l'euthanasie
Alors que le cas Vincent Lambert continue de diviser en France, la Belgique vient de faire un pas de plus dans ses lois encadrant la fin de vie.
Cette fois, ce sont les enfants atteints d'une maladie incurable en Belgique qui vont pouvoir, comme les adultes, choisir l'euthanasie pour abréger leurs souffrance, malgré l'opposition de certains pédiatres et de la hiérarchie catholique.
La loi, déjà votée en décembre par le Sénat, a été approuvée ce jeudi par les députés à une majorité de 86 «pour», 44 «contre» et 12 abstentions.
L'Eglise catholique belge opposée au texte Trente-quatre médecins, des spécialistes, des juristes et des associations de tous bords ont été auditionnés par les sénateurs, qui ont finalement écarté pour les mineurs les souffrances psychiques, qui sont prises en compte pour les adultes.
Alors que le choix de la Belgique a un retentissement mondial et que l'euthanasie provoque des débats passionnés en France, notamment autour du cas du tétraplégique Vincent Lambert, en état végétatif chronique, les discussions sont restées feutrées dans le royaume. Selon un sondage paru en octobre, 73% des Belges sont en faveur de l'extension aux mineurs du droit à l'euthanasie.
L'Eglise catholique belge, après avoir réaffirmé son opposition à l'euthanasie aux côtés des représentants des religions musulmane et juive, a organisé au début du mois, en guise de baroud d'honneur, des «journées de jeûne et de prière» pour «réveiller les consciences». «Si un enfant est euthanasié, quel sera le message pour les autres enfants malades?
On est en train de leur dire que leur vie n'a plus de valeur, qu'ils sont un poids pour la société ou pour leur famille et qu'ils doivent mourir», a déclaré une opposante ayant pris part à l'unique manifestation des «antis», qui a rassemblé quelque 300 personnes à Bruxelles. 1500 personnes choisissent l'euthanasie chaque année «Il n'est pas question d'imposer l'euthanasie à qui que ce soit, à aucun enfant, à aucune famille, mais de permettre le choix de l'enfant de ne pas s'éterniser dans la souffrance», a martelé mercredi la députée socialiste Karine Lalieux.
«Le droit d'aborder la vie et la mort ne peut être réservé aux adultes», a abondé le libéral Daniel Bacquelaine, pour qui «l'âge mental n'est pas l'âge légal». Les partisans du texte insistent sur les «conditions strictes» prévues par la loi: le mineur devra se «trouver dans une situation médicale sans issue entraînant le décès à brève échéance», être confronté à une «souffrance physique constante et insupportable qui ne peut être apaisée et qui résulte d'une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable».
La capacité de l'enfant à comprendre le «côté irréversible de la mort», selon les mots d'une députée, sera estimée au cas par cas par l'équipe médicale et par un psychiatre ou un psychologue indépendant. Et si l'initiative de demander l'euthanasie devra venir de l'enfant, les parents devront donner leur consentement.
Le gouvernement, où partisans et opposant au texte se côtoient, est resté extrêmement discret, laissant une totale liberté de vote aux parlementaires. Au final, seules les formations centristes d'inspiration chrétienne, ainsi que l'extrême droite flamande du Vlaams Belang et quelques députés libéraux, voteront contre le texte. La loi, qui ne devrait concerner qu'une poignée de mineurs par an, entrera en vigueur dans les prochaines semaines.
Selon les statistiques officielles, quelque 1500 adultes choisissent
Bangkok : elle se suicide en se jetant dans la fosse aux crocodiles
Une Thaïlandaise de 65 ans s'est tuée en se jetant dans un bassin rempli de crocodiles dans une ferme-zoo de la région de Bangkok
Une Thaïlandaise de 65 ans s'est tuée en se jetant dans un bassin rempli de crocodiles dans une ferme-zoo de la région de Bangkok
«Sa soeur a dit que la victime souffrait de stress et de dépression ces derniers jours», a expliqué un responsable de la police de la région de Samut Prakan, le colonel Preecha Iam-nui. Le drame s'est produit vendredi après-midi dans la ferme aux crocodiles de Samut Prakan, attraction dominicale familiale populaire, à moins d'une heure de Bangkok. Le clou de cette ferme-zoo est un show de crocodiles où des dresseurs mettent leur bras ou leur tête dans la gueule des animaux, avant de les saisir dans leurs bras, lors d'un spectacle intitulé "Crocodile Wrestling Show".
La désespérée s'est jetée dans un grand bassin avoisinant, contenant plusieurs centaines de crocodiles, surmonté d'une promenade depuis laquelle les visiteurs peuvent nourrir les crocodiles de carcasses de poulets accrochées au bout de cannes à pêche. Le directeur du zoo, Charron Yongprapakorn, a assuré que ses employés avaient prévenu la police dès l'incident survenu.
«Nous avons fait notre possible en installant de hautes barrières, un système de télésurveillance et une patrouille de sécurité», a assuré le responsable à la télévision thaïlandaise, alors que la promenade au-dessus du bassin n'est équipée que d'une palissade de bois d'environ un mètre de haut. Les normes de sécurité, dans les parcs animaliers comme sur les ferries, ne sont que rarement respectées en Thaïlande, où sont organisées des séances-photo pour les visiteurs avec des tigres ou des crocodiles.
Poitiers : les parents d'un grand prématuré refusent les soins pour leur bébé
Les parents d'un bébé grand prématuré, soigné par le CHU de Poitiers, réclament de mettre fin aux soins prodigués à leur enfant. Famille et médecins se font face. Les parents d'un bébé grand prématuré, soigné par le CHU de Poitiers, réclament de mettre fin aux soins prodigués à leur enfant et attendent une décision d'un groupe d'éthique sollicité par l'équipe de néonatologie.
«Depuis plus d'une semaine, on a pris cette décision. S'il y a des familles qui le souhaitent, nous, nous ne le souhaitons pas», explique le couple de trentenaires originaire de Charente-Maritime, près de Saintes, qui souhaite alerter l'opinion sur cette question.
«On ne nous assurera jamais qu'il pourra vivre par la suite. Nous savons qu'il a de graves séquelles, mais ils veulent le maintenir en vie. On l'a vu pleurer, il s'agite et on nous dit "Ne vous inquiétez pas, il ne souffre pas". C'est très difficile», ajoutent les parents.
Les médecins veulent du temps pour évaluer les séquelles Le petit garçon, prénommé Titouan, est né le 31 août, près de quatre mois avant la date du terme.
A sa naissance, il ne pesait que 900 grammes, mais surtout, selon les parents, le bébé a fait une hémorragie interne cérébrale et il est impossible pour les médecins, pour l'instant, de prédire le degré de son handicap.
«Il faut toujours prendre du recul pour savoir quelle est la situation de l'enfant. Nous ne sommes pas dans un acharnement, mais dans un accompagnement le temps de l'évaluation, pour être certains d'apporter les meilleures informations possibles», a réagi le Professeur Fabrice Pierre, du service gynécologie-obstétrique du CHU de Poitiers, sur France Bleu.
«Pour être sûr de pouvoir appréhender le type de séquelles, on ne peut pas le faire de façon précipitée. Il faut quelques semaines pour l'évaluer», a-t-il ajouté. Face à la demande répétée des parents, l'équipe de néonatalogie du CHU de Poitiers a sollicité l'avis d'un groupe d'éthique de l'Assistance publique
- Hôpitaux de Paris (AP-HP).
Un camion chargé d’une quinzaine de serpents et d’oiseaux se renverse sur l’A25
Vers 18 h 30, un camion de livraison s’est échoué dans le fossé sur l’A25 en direction de Lille à cause de l’éclatement d’un pneu.
L’accident s’est produit au niveau de la bretelle d’accès de La Chapelle-d’Armentières.
La nature de la cargaison avait quoi effrayer les premiers secours arrivés sur place, à hauteur de la sortie La Chapelle-d’Armentières : une quinzaine de serpents, autant d’oiseaux, destinés à être livrés au CRT de Lesquin.
Il s’avère que les reptiles ne sont ni venimeux, ni dangereux. Aucun ne s’est échappé. Les animaux, indemnes d’après les premières constatations, sont en cours d’acheminement vers leur destination. Le chauffeur, choqué, n’a pas souhaité être hospitalisé.
L’accident a entraîné environ deux kilomètres de bouchons jusqu’à ce que le véhicule soit enlevé, vers 19 h 40.
Berck : elle reçoit la corde avec laquelle son mari s'est pendu au travail
Un double choc. La veuve d'un ouvrier qui s'était suicidé en février sur son lieu de travail ne pouvait imaginer que son combat pour faire reconnaître ce drame comme «accident du travail» allait lui valoir un second choc.
Quelque quatre mois après le décès de son époux, elle a reçu un colis contenant... la corde avec laquelle celui-ci s'était pendu, révèle le quotidien lillois «la Voix du Nord».
Jean-Michel, 49 ans, avait été retrouvé par ses collègues, pendu dans le hangar dans lequel il travaillait, deux heures après sa prise de service. Selon son épouse, il était depuis longtemps «harcelé par un de ses collègues» de cette entreprise de fabrication de fibres textiles de Berck (Pas-de-Calais) et avait d'ailleurs déposé une plainte pour cela.
Depuis la mort de son mari, Lysiane se bat pour faire reconnaître ces faits de harcèlement et voir cette mort classée en «accident du travail», ce qui lui permettrait de percevoir 60% du salaire de son mari et une rente éducation pour leur fils.
Ses démarches l'ont amenée à multiplier les courriers auprès du directeur de l'entreprise de son mari, dans lesquels elle insistait également pour récupérer ses effets personnels. Effets qu'elle a donc fini par recevoir, quatre mois plus tard, par livreur dans un colis de 8 kilos. «Il y avait un tee-shirt, des chaussettes, une trousse de crayons… et une corde.
Vous imaginez le choc », témoigne-t-elle dans le quotidien régional. «Une énorme maladresse» Interrogé, le directeur de l'usine reconnaît «cette erreur regrettable» pour laquelle il a présenté, oralement puis par écrit, ses excuses à la veuve. Et il se défend de toute «intention malveillante, même si une telle maladresse ne peut évidemment laisser indifférent. »
« Le casier de M. Reboul a été ouvert le matin même, en présence de la police, explique-t-il. Les enquêteurs voulaient vérifier s’il n’avait pas laissé un mot dans son casier. Ils n’ont rien trouvé.
Ils nous ont ensuite demandé de garder les effets personnels de M. Reboul et les objets ayant trait au drame, pour pouvoir les mettre à la disposition des enquêteurs en cas de besoin. Notamment la sangle. » Lorsque l'entreprise a accédé à la demande de Lysiane, «nous avons expédié le colis préparé sans en vérifier le contenu», se défend-il, reconnaissant là «une énorme maladresse».
Quant aux tensions entre ses salariés, le directeur estime qu'elles avaient «été réglées depuis longtemps» et dit n'avoir jamais eu connaissance d'une plainte pour harcèlement.
Sans convaincre la veuve, qui voit dans l'envoi du colis «une intimidation» semblable à celles que subissait, selon elle, son défunt mari.
C'est la grande nouveauté de la saison 2014, qui remplit d'espoir les milieux agricoles et à l'inverse indigne les associations naturalistes: 1.500 chasseurs ont été récemment formés dans les Alpes-Maritimes à tirer le loup.
Sous certaines conditions dans 34 communes, ils peuvent tuer un ou plusieurs prédateurs. L'an dernier, ces volontaires avaient prêté main-forte aux gardes de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage. Sous leur autorité, ils avaient abattu lors de battues trois loups.
Cette année, un arrêté ministériel, décliné vendredi au plan départemental, leur permet également d'agir à l'affût ou à l'approche. Un dangereux concurrent Relativement indifférents au prédateur lors de son implantation dans les années 1990, les chasseurs l'ont vite perçu comme un dangereux concurrent, susceptible d'abaisser les populations de gibier et par voie de conséquence leurs propres prélèvements. Nul doute que beaucoup rêvent d'accrocher à leur tableau la peau d'un «canis lupus».
Qu'il soit ou non directement responsable d'attaques de moutons. « Sensibles à la détresse des éleveurs, les chasseurs vont participer à une mission de service public », avance Bernard Baudin. Il espère que ses troupes vont se montrer performantes et aptes à relayer les services de l'État pour «réguler» l'espèce.
Associations révoltées « Le plafond pour la saison à venir est de 36 prédateurs à éliminer sur l'ensemble de la France», rappelle-t-il. «L'idéal serait d'approcher ce quota... »
Plusieurs associations naturalistes, dont France Nature environnement, Férus, la Ligue de protection des oiseaux ou encore l'ASPAS, se disent révoltées par cette évolution. Début septembre, elles ont attaqué devant le conseil d'État l'arrêté ministériel qui autorise cette « généralisation de la chasse au loup ».
Yvelines : une adolescente de 13 ans tuée dans un accident de manège
Une adolescente de 13 ans, originaire de Bouaffle (Yvelines), est décédée, ce dimanche après-midi, sur un manège, lors de la fête des associations de Flins-sur-Seine (Yvelines).
D'après les premiers éléments de l'enquête, confiée au commissariat des Mureaux, la victime, collégienne à Ecquevilly, se serait levée sur le manège (une chenille vétuste appartenant à un forain de Limay). Happée par la force centrifuge, elle s'est retrouvée coincée sous le manège.
Victime de blessures au thorax et à la tête, elle était dans un état désespéré quand les secours l'ont prise en charge.
Son décès a été prononcé à 17h30, une heure après l'accident. L'une de ses camarades a été sévèrement blessée au bras.
Les parents de la jeune victime ont été pris en charge par une cellule psychologique, en mairie de Flins.
Les femmes aux grosses fesses seraient plus intelligentes
Ne complexez plus sur votre tour de hanches ! Une étude américaine a révélé que les femmes ayant de grosses fesses étaient plus intelligentes que les autres.
En plus d’être un véritable atout corporel, les grosses fesses seraient également un atout mental.
Selon une étude réalisée par une équipe de chercheurs de l’Université d’Oxford, sur 16 000 femmes , celles ayant les plus grosses fesses seraient plus intelligentes que les autres.
Aussi étonnante que surprenante, cette découverte est pourtant tout à fait sérieuse.
En effet, la graisse des fesses provoque un excès d’Oméga 3 dans l’organisme et donc une plus grosse quantité d’acides gras reconnus notamment pour leurs bienfaits sur le développement du cerveau.
Groix : explosion mortelle sur une plage
Une personne est morte, une autre grièvement blessée
Feu de camp mortel sur l'île de Groix (Morbihan).
Un jeune homme est décédé et un autre a été gravement blessé dans une explosion qui pourrait être due à un explosif oublié de la Seconde Guerre mondiale, situé sous le feu de camp.
Ces deux jeunes, accompagnés de huit autres, tous âgés d'une vingtaine d'années, étaient arrivés samedi par bateau sur l'île de Groix.
Ils avaient prévu de camper sur la plage des Sables rouges. Ils s'apprêtaient à aller se coucher lorsque l'explosion s'est produite, vers 2h du matin dimanche.
"Un homme âgé de 26 ans est décédé sur place" tandis qu'un autre de 25 ans a été transporté par hélicoptère à l'hôpital de Nantes, selon la gendarmerie.
Son pronostic vital, un temps engagé, ne l'était plus dimanche en fin d'après-midi. Les huit autres jeunes, choqués, ont été transportés vers l'hôpital de Lorient, selon les gendarmes qui précisent que "les victimes sont originaires de Lorient ou de communes voisines".
Enquête en cours pour déterminer les causes de l'explosion L'une des hypothèses évoquées pour expliquer l'explosion est la présence sous le feu de camp d'une munition oubliée de la Seconde Guerre mondiale, a expliqué le substitut du procureur de la République de Lorient, Pauline Boulestreau.
Cette thèse a été renforcée par la découverte sur les lieux dimanche par les enquêteurs de la gendarmerie et les techniciens en investigations criminelles de Vannes d'un "morceau de munition".
"Des analyses scientifiques auront lieu pour déterminer l'origine de ce morceau métallique", ont indiqué les gendarmes.
"L'enquête se poursuit pour connaître les raisons de la présence de cette munition à proximité du feu : auditions des témoins, des victimes", expliquent les gendarmes.
L'audition des premiers jeunes par les enquêteurs de la gendarmerie a commencé dimanche après-midi à Lorient, afin d'éclaircir les circonstances de l'accident, a précisé Pauline Boulestreau.
Un périmètre de sécurité autour de la plage Sur la petite plage des Sables rouges, située à flanc de falaise, un périmètre de sécurité a été installé là où les jeunes faisaient du camping sauvage, ainsi qu'en mer. Les traces de l'explosion y étaient à peine visibles, le sable étant juste un peu creusé au niveau du feu de camp, selon le parquet.
Outre des sapeurs-pompiers et une vingtaine de gendarmes, le groupe plongeurs-démineurs de Brest, ainsi que le GRID (démineurs de la sécurité civile) ont été appelés sur place dimanche matin. Le parquet de Lorient, qui s'est aussi rendu sur place, a diligenté une enquête pour homicide involontaire.
"L'enquête s'oriente vers un accident, même si aucune hypothèse n'est écartée en l'état actuel des investigations", selon la gendarmerie.
Cap-d'Agde : le père Guy Gilbert bénit les "sans-dents"... sans son dentier !
Le père Guy Gilbert, le dentier à la main pour saluer les "sans-dents" !
C 'est une tradition au Cap d'Agde : le père Guy Gilbert, le curé des loubards, bénit chaque année la foule des Brescoudos et de leurs motos. Connu pour son franc parler, il s'en est pris à l'ex-couple présidentiel dans un discours "mordant".
"Merci pour ce moment", a-t-il débuté. "Si vous divorcez ou vous vous séparez de votre mec, ne faites pas un roman de cela !" Avant de conclure : "Moi, je suis un sans-dents, la preuve, regardez !" Et il a enlevé son dentier. "Le temps perdu ne se rattrape jamais" Il a ensuite recommandé : "Pensez d'abord à votre famille, n'abandonnez pas vos enfants, occupez-vous d'eux et surtout pensez que le temps perdu ne se rattrape jamais".
Le père Guy Gilbert a ajouté " Je suis un sans-dents mais je ne suis pas vieux : le 12 septembre, je fêterai mes 79 ans. C'est sous une ovation qu'il a quitté le podium de Midi-Libre.