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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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cas d'Ebola à Cergy

Publié à 18:51 par fandeloup Tags : article texte chien monde homme france mort jeune afrique
cas d'Ebola à Cergy

Le préfet du Val d'Oise «lève la suspicion» de cas d'Ebola à Cergy

Un bâtiment de la DDASS de Cergy-Pontoise (Val-d'Oise) avait été boulé ce jeudi après-midi par les autorités en raison d'un cas suspect d'Ebola. La suspicion a été levée en début de soirée.

 Les locaux des services sociaux à Cergy (Val-d'Oise) ont été bouclés en raison de cas suspects d'Ebola pendant une heure et demi. Les autorités avaient mis en place un périmètre de sécurité et enfermé soixante personnes, dont certaines étaient passées par la Guinée.

Le préfet du Val d'Oise a précisé dans un premier temps qu'il s'agissait d'une «simple mesure de précaution» avant de lever toute suspicion en début de soirée. «La suspicion est levée, les personnes sont ressorties», a assuré Jean-Luc Nevache, le préfet. Les personnes confinées à l'intérieur du bâtiment ont toutes été évacuées. Aucune n'a été gardée en observation.

Quatre personnes d'origine africaines, étaient suspectés d'avoir été contaminés par le virus Ebola. Parmi les quatre personnes, l'une d'entre-elles fait un malaise. C'est un jeune homme africain, arrivé en France et passé par la Guinée. Il était accompagné de trois autres personnes elles aussi africaines, dont l'une au moins présentait également des symptômes grippaux.

Selon le conseil général du Val-d'Oise, ces quatre mineurs étrangers étaient venus en fin d'après-midi pour un suivi auprès des services sociaux. Dès les premiers symptômes, ils avaient été isolés, en compagnie de sept autres personnes qui avaient été contact avec eux: des personnels de l'accueil et des pompiers intervenus sur place. toutes les personnes qui auraient été en contact plus ou moins proche avec les malades potentiels ont été également isolé.

Ce sont finalement les médecins qui ont permis de lever le doute en procédant à des examens médicaux. L'équipe du Samu qui s'était rendue sur place était équipée pour les prendre en charge. L'épidémie du virus Ebola a déjà tué 3.900 personnes, pour la quasi-totalité dans des pays africains (Guinée, Liberia, Sierra Leone notamment).

Le premier malade à avoir été diagnostiqué hors d'Afrique, un Libérien, est mort mercredi à Dallas (Etats-Unis) où il était hospitalisé. En Espagne, l'état de santé de la première personne contaminée hors du continent africain, une aide-soignante espagnole, s'est dégradé. L'inquiétude a grandi jeudi en Europe et dans le monde sur les risques de propagation d'Ebola.

Les contrôles aux frontières ont notamment commencé à être renforcés en Amérique du Nord. En France, la ministre de la Santé Marisol Touraine a déclaré qu'elle travaillait aussi «avec les autorités des pays concernés - qui sont des autorités souveraines - pour voir dans quelles conditions nous pourrions renforcer les contrôles au départ». À l'heure actuelle, aucun cas autochtone d'Ebola n'a été détecté en France.

Des parents devant la justice

Publié à 15:45 par fandeloup Tags : photo france enfants fille
Des parents devant la justice

Des parents devant la justice faute d’avoir fait vacciner leur fille

Le refus de faire vacciner leur fille de trois ans contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP) vaut à des parents de l’Yonne de comparaître jeudi après-midi pour maltraitance devant le tribunal correctionnel d’Auxerre.

«Ils ne font pas dans l’anti-vaccin primaire, ils n’appartiennent à aucune structure, aucune secte. Les vaccins, d’accord, mais sans adjuvants», explique Me Emmanuel Ludot, leur avocat, qui posera une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) à l’audience.

«Je vais très certainement obtenir la saisine du Conseil constitutionnel pour savoir si l’on peut imposer un vaccin», a-t-il ajouté.

Pour l’heure, les parents sont convoqués en justice après un signalement au parquet du conseil général de l’Yonne. Leurs deux enfants, une fillette de trois ans et un nourrisson de quinze mois, n’ont pas eu de vaccin, notamment l’anti-DTP, qui est obligatoire.

«Si l’on va devant les tribunaux, ce n’est pas que pour nous, c’est évidemment pour faire évoluer cette loi (...) Il n’y a pas d’obligation thérapeutique en France, on est couvert par la loi Kouchner de 2002», fait valoir le père, Marc Larere.

Les gens du voyage

Publié à 11:14 par fandeloup Tags : voyage
 Les gens du voyage

GENS DU VOYAGE: DES AIDES DE LA CAF POUR L’ACHAT DE CARAVANES

La CAF de Saône-et-Loire » accorde des aides pour l’achat de caravane exclusivement réservées aux gens du voyage .

le mariage arrangé d'une fillette de 12 ans

Publié à 18:41 par fandeloup Tags : chevaux rose enfant nuit photos homme monde moi blog image
le mariage arrangé d'une fillette de 12 ans

En Norvège, le mariage arrangé d'une fillette de 12 ans fait scandale ..

Les internautes norvégiens n'en ont pas cru leurs yeux lorsque le blog de la petite Thea, 12 ans, a été créé en vue de son mariage, arrangé par sa famille, avec un homme de 37 ans samedi prochain. Comment le pays et la communauté internationale ont-ils pu laisser faire cela ?! Thea est Norvégienne.

Elle a 12 ans et comme beaucoup de petites filles de son âge elle aime le rose, les paillettes, les chevaux, les One Direction, les princesses et les contes de fées. Un conte de fées, elle pense justement qu'elle va bientôt en vivre un car le 11 octobre prochain, à 14h, la fillette va être conduite à l'église où elle épousera celui que ses parents lui ont destiné il y a quelques semaines, Geir, 37 ans, qu'elle ne connait pas.

En vu de cet événement exceptionnel à bien des niveaux, elle a créé il y a un mois un blog où elle décrit les préparatifs de la cérémonie, ses essayages, ses états d'âme d'enfant et de future épouse et potentiellement de future maman. "Lorsque j'ai parlé à maman du lit que j'aurai dans ma future maison, je n'avais pas réalisé que Geir et moi allions devoir dormir ensemble. Est-ce que cela veut dire que qu'on va avoir des rapports sexuels ?! C'est dégoûtant !

Mais j'ai lu qu'il fallait essayer d'être sexy pour sa nuit de noces...", écrit notamment Thea dans un post accompagné de photos de lingerie blanche alors qu'elle n'a même pas encore de poitrine.A peine mis en ligne, son site a été l'un des plus consultés en une journée dans le pays et a déclenché un véritable tollé sur la Toile où les internautes ont dénoncé ce mariage précoce et ont été nombreux à également contacter la police et les services de protection de l'enfance pour stopper cette cérémonie et sortir la petite Thea de cet enfer dont elle ne réalise pas la gravité.

Une campagne choc Pari réussi donc, pour la campagne Stopp Bryllupet qui, à l'occasion de la journée internationale des filles le 11 octobre prochain, vise à sensibiliser l'opinion à la question du mariage précoce et forcé qui concerne environ 39 000 jeunes filles tous les jours dans le monde !

Car, bien évidemment, le mariage de Thea n'aura pas vraiment lieu et le fameux Geir n'existe même pas (son image a été artificiellement créée), contrairement à la fillette, brillamment interprétée par une jeune Norvégienne. Ce genre d'union n'est effectivement pas autorisée par la loi en Norvège, malheureusement elle l'est ailleurs. En faisant réagir les internautes à la situation de Thea, les auteurs de la campagne ont voulu attirer leur attention sur les autres victimes de cette pratique.

Le premier mariage arrangé officiellement dans le pays a ainsi été organisé pour qu'il n'y en ait pas d'autres grâce à la mobilisation du public. Ceux souhaitant soutenir cette cause peuvent en effet participer à la campagne en faisant un don en répondant à l'invitation de Thea à assister à ses noces.

Pipi au travail

Publié à 16:29 par fandeloup Tags : papier moi monde chez travail automne femmes
Pipi au travail

Pipi au travail : mais comment font-ils ?..

Caissières, ouvriers à la chaîne, kiosquiers, chauffeurs routiers ou encore enseignants… pour certaines professions, s’absenter pour uriner pendant les heures de travail n’est pas une évidence.

 

LES KIOSQUIERS.

– Didier Pean, qui passe environ douze heures par jour seul dans son kiosque à journaux du Ve arrondissement de Paris, doit recourir au système D. « J’ai des clients que je connais très bien à qui je peux sans problème confier la caisse pendant cinq minutes, le temps d’aller au café d’en face », confie-t-il.

Mais « si personne ne passe, je fais comme pas mal de mes collègues plus isolés que moi dans leur kiosque : on pisse dans une bouteille et on attend la fin de la journée pour la balancer. » Il relève que les routiers, eux, jettent souvent la bouteille par la fenêtre.

 

LES INSTITS.

Pour les enseignants, avoir une petite vessie peut aussi être problématique. En primaire, « la règle est simple : nous sommes toujours responsables des élèves, de l’entrée dans l’école à la sortie ! », donc « jamais on ne laisserait une classe seule », explique une institutrice des Hauts-de-Seine. « Comme, parfois, une envie pressante peut arriver, on utilise "la porte ouverte"» vers la classe d’à côté, et « on chuchote à un collègue » que l’on doit s’absenter…

En lycée technologique à Paris, une prof d’atelier explique que « les cours durent au minimum trois heures ». Résultat, dit-elle, en cas d’envie, « on est obligé d’utiliser un prétexte bidon comme d’aller voir la direction » et de laisser les étudiants seuls.

 

LES CAISSIÈRES.

– Comme les téléconseillers, qui doivent demander l’autorisation de quitter leur poste, les caissières peuvent aussi se trouver en difficulté. Claudette Montoya, représentante de la CGT chez Carrefour, explique qu’elles « ne peuvent quitter la caisse sans autorisation. Et quand les clients sont là, le responsable refuse », déplore-t-elle.

 

LES OUVRIERS À LA CHAÎNE.

— Chez PSA à Sochaux, Benjamin Barra, qui travaille sur une chaîne de montage, relève de même que « c’est devenu très compliqué pour les salariés de pouvoir aller aux toilettes en dehors des pauses ». « Avant, on avait un moniteur qui avait le temps de remplacer au cas où. Maintenant, il manque du monde, il y a de plus en plus d’absentéisme […] et le moniteur se retrouve de plus en plus souvent en poste », regrette le syndicaliste CGT.

Le sujet des toilettes n’est pas des plus glamour, mais est clairement abordé dans le code du travail : l’employeur doit prévoir au moins un cabinet et un urinoir pour 20 hommes et 2 cabinets pour 20 femmes, ceux-ci devant être « aménagés de manière à ne dégager aucune odeur » et être « équipés de chasse d’eau et pourvus de papier hygiénique ». Il doit aussi faire procéder « au nettoyage et à la désinfection » des toilettes « au moins une fois par jour ».

En cas de manquement, il peut être puni d’une amende de 3 750€, multipliée par le nombre de salariés concernés. L’expérience des toilettes au travail peut tout de même être déplaisante. Selon une enquête d’Initial (loueur d’articles d’hygiène) en automne 2013, un tiers des salariés français n’étaient pas satisfaits de leur dernière visite aux toilettes au travail. Parmi eux, 45 % se plaignaient de la saleté et 41 % de l’odeur.

Des migrants refusent un repas

Publié à 14:16 par fandeloup Tags : concours bretagne
Des migrants refusent un repas

Calais : Des migrants refusent un repas

- un associatif se met en colère..

Une distribution de repas a été annulée lundi soir après le refus de certains migrants de manger un plat qu'ils estimaient pas assez épicé. Un caprice, s'énerve le président de Salam, une association d'aide aux migrants. Voilà des mois que l'association Salam distribue chaque soir au moins 700 repas aux migrants de Calais.

Mais l'opération a tourné court lundi soir, quand quelques migrants ont refusé de manger le plat qu'ils estimaient pas assez épicé. «Des ‘meneurs' ont voulu faire un coup de force.

Mais on leur a montré que ce comportement n'avait pas sa place sur le lieu de distribution, qui est un lieu de paix», explique au Figaro Jean-Claude Lenoir, président de l'association Salam qui vient en aide aux migrants.

«C'était certes pas très épicé, mais ce n'est pas une raison pour refuser de manger et gâcher toute cette nourriture. C'est inacceptable», poursuit-il. Le repas chaud de lundi soir comprenait de la viande, des légumes et du riz assaisonné de jus de citron frais, avec du pain et une banane.

«Habituellement, on met un tas d'épices qui coûtent très cher, mais ils doivent garder les pieds sur terre. Beaucoup de Calaisiens ne mangent pas aussi bien tous les jours», estime Jean-Claude Lenoir. «Je trouve qu'ils sont tout de même un peu trop chouchoutés par moment.»

«Dédramatiser» Le président de l'association Salam s'attache cependant à dédramatiser la portée de l'incident. Les meneurs n'étaient pas plus d'une vingtaine, observe-t-il. L'annulation s'est faite sur un «mauvais concours de circonstance».

Les réfractaires ont bloqué la file, il pleuvait, et les autres se sont laissés entraîner, raconte-t-il. Mais il n'y a eu aucun débordement. Beaucoup d'entre eux sont venus s'excuser auprès des volontaires, ajoute Jean-Claude Lenoir.

«Cela fait quinze ans que je les aide, donc je peux me permettre de les recadrer quand il le faut», estime-t-il avant de conclure: «Je suis certain que la distribution de ce soir se passera sans aucun problème.»

Entre 1400 et 1500 migrants clandestins, essentiellement des Erythréens et des Soudanais se trouvent actuellement à Calais dans l'espoir de passer en Grande Bretagne. Chaque soir, les associations Salam ou Auberge des migrants distribuent entre 600 et 850 repas. «Dans ces conditions, un rien peut générer des tensions», reconnaît Jean-Claude Lenoir

acketté et torturé

Publié à 11:07 par fandeloup Tags : article texte homme argent
acketté et torturé

Ain : racketté et torturé, il a dû être amputé de deux doigts

Les enquêteurs de la police judiciaire de Lyon (Rhône) ont été chargés des investigations.

 Un homme de 24 ans a été victime d’actes de torture, le 2 octobre dernier, après avoir été enlevé en pleine rue dans la commune de Billiat (Ain) par plusieurs inconnus, encagoulés et munis d’armes de poing.

Selon nos informations, la victime a été frappée par ses ravisseurs avant que ces derniers ne lui réclament la somme de 3 millions d'euros en échange de sa liberté. Après avoir reçu plusieurs décharges de pistolet à impulsion électrique, le jeune homme a contacté un membre de sa famille afin d’organiser la remise d’une avance de 10 000 € sur la rançon exigée.

Malgré le versement de cet argent, les deux racketteurs se sont acharnés sur leur victime en le frappant à coups de marteau sur une main. Ils ont ensuite tenté de lui arracher deux doigts. Libéré quelques heures après son enlèvement, le jeune garçon a été hospitalisé en urgence avant de se voir amputer de ses deux doigts très abîmés par les sévices infligés.

Les enquêteurs de la police judiciaire de Lyon (Rhône) ont été chargés des investigations.

Accident dans un abattoir

Publié à 09:36 par fandeloup Tags : travail homme france mort animaux
Accident dans un abattoir

Accident dans un abattoir : décès d’un employé

Un employé des abattoirs de Pontarlier, dans le Doubs, est mort ce matin au cours d’un accident, survenu pendant qu’il était en train d’abattre des cochons.

Un homme de 57 ans, travaillant aux abattoirs de Pontarlier a été retrouvé mort ce matin à 6h20 par deux de ses collègues, a-t-on appris de source policière.

Malgré l’intervention rapide des pompiers, le pontissalien n’a pas pu être réanimé. Electrocuté, comme les cochons Au moment de son décès, la victime, qui venait d’entamer son service, était en train d’abattre des cochons « sur une chaîne », selon France 3.

L’homme était en arrêt cardiaque au moment de sa découverte, et des traces de la pince électrique (sorte de pistolet utilisé pour étourdir les bêtes avant de les « saigner »), ainsi que des marques d’électrocution, étaient visibles sur son corps.

Les forces de l’ordre supposent que l’homme a été électrocuté par l’appareil servant à tuer les cochons, succombant ainsi à un accident de travail. Une enquête a été ouverte afin de faire la lumière sur les circonstances du drame.

Le corps sera autopsié lundi. Brûlé par un « ami » des animaux Pour rappel, les abattoirs de Pontarlier avaient été fermés en mai 2013 pendant plusieurs semaines, suite à un incendie criminel provoqué par un homme qui disait appartenir au « front de libération des animaux ».

supprimer la moitié du capital décès

Publié à 17:47 par fandeloup Tags : mode cadre cadres
supprimer la moitié du capital décès

Le gouvernement veut supprimer la moitié du capital décès des Français..

 

Dans le cadre du budget 2015 de la Sécurité sociale, le gouvernement entend presque diviser par deux le budget alloué au capital décès. Ce dispositif permet aux familles des ayants droit décédés de toucher un versement ponctuel de la part de l'Assurance-maladie, pour faire face notamment aux frais d'obsèques. Pour les salariés et les fonctionnaires, le montant s'échelonnait jusqu'à présent entre 375 et 9387 euros.

Il pouvait atteindre 7509 euros au plus pour les commerçants et 12.389 euros pour les artisans. Grâce à cette réforme, l'exécutif espère réaliser 160 millions d'euros d'économies. Soit «moins de la moitié du budget total alloué au dispositif par les caisses d'assurance-maladie», assure-t-on au ministère des Affaires sociales.

Bien sûr, la réforme du capital décès n'est pas présentée, dans le budget de la Sécurité sociale, comme une source d'économies mais comme une mesure d'équité. «Le capital décès étant déterminé en fonction des salaires du défunt, le dispositif ne permet pas, pour les assurés les plus précaires, de faire face aux frais immédiats occasionnés par le décès, notamment les frais d'obsèques», est-il expliqué dans l'exposé des motifs.

Le gouvernement entend donc réformer drastiquement le mode de calcul. Jusqu'à présent, le versement dépendait du salaire du défunt. À partir de 2015, le capital «sera fixé par référence au smic». Par conséquent, tous ceux qui touchent moins que le salaire minimum - les chômeurs et les temps partiels - y gagneront, tandis que ceux qui gagnent plus y perdront.

Toutefois, justifie le gouvernement, les cadres et salariés les mieux rémunérés sont couverts par une protection complémentaire obligatoire. De plus, de nombreux accords de branche ou d'entreprise comprennent une assurance-décès spécifique. Quoi qu'il en soit, l'opposition aura beau jeu d'accuser la majorité de s'en prendre «à la veuve et à l'orphelin», lors des débats parlementaires qui s'annoncent mouvementés.

chomage

Publié à 14:42 par fandeloup Tags : france travail cadres
chomage

Jean-Marie Le Guen s'interroge sur le montant des allocations chômage..

Le sujet est explosif. Jean-Marie Le Guen, secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement, a affirmé mardi que la question du montant des allocations chômage pendant la période d'indemnisation ferait partie du débat lors de la renégociation de la convention assurance-chômage prévue en 2016.

A l'heure actuelle, le montant perçu en France est le même pendant toute la période d'indemnisation. «Nous trouvons, et je pense que beaucoup de Français trouvent, qu'il y a par exemple tout un système de montants de rémunération maintenus quelles que soient les conditions, qui pose un certain nombre de questions», a-t-il déclaré lors de l'émission «Preuves par trois» «Ça sera dans le débat, y compris dans le débat social dans les mois qui viennent, puisqu'il y aura une renégociation dans les mois qui viennent de l'assurance-chômage», a-t-il ajouté.

Il confirme les propos de Valls Le système actuel est-il un frein à la reprise du travail? «Oui par certains aspects, il l'est, parce qu'il y aussi, on le sait, des gens qui ont un certain niveau de rémunération de substitution», a répondu Jean-Marie Le Guen. Pense-t-il aux cadres ? «Par exemple, pour lequel ils peuvent se dire légitimement dans le système actuel, je peux attendre six mois un an avant de rechercher un travail», a estimé le secrétaire d'Etat. «On essaie de poser raisonnablement les choses sans défaire le modèle social», a-t-il ajouté.

Cette sortie du secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement confirmerait les propos prêtés à Manuel Valls, le Premier ministre, lors de son déplacement à Londres lundi. Selon «Le Monde», le locataire de Matignon aurait assuré à des journalistes britanniques que la question de l’assurance-chômage «doit être reposée» tant sur le plan du montant de l’indemnisation que de sa durée. En France, «des dizaines de milliers d’emplois ne sont pas pourvus. On doit inciter davantage au retour à l’emploi», a affirmé Manuel Valls devant la presse française.

Début septembre, François Rebsamen, le ministre du travail, s'était lui prononcé en faveur d'un renforcement du contrôle des chômeurs. «Je demande à Pôle Emploi de renforcer les contrôles pour être sûr que les gens cherchent bien un emploi», avait-il lancé. Si ce n'est pas le cas, «il faut qu'il y ait, à un moment, une sanction», avait-il dit. En effet, «c'est négatif, pour ceux qui recherchent des emplois, d'être à côté de personnes qui ne cherchent pas d'emploi», avait-il ajouté avant de tenter d'éteindre la polémique suscitée par ses propos. Contrôle, montant d'indemnisation, durée : le gouvernement s'est donc décidé à lancer un vaste débat sur les allocations chômage.