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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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saisie de 4.000 pieds de cannabis

Publié à 17:15 par fandeloup Tags : 2010 mer france
saisie de 4.000 pieds de cannabis

Belgique: saisie de 4.000 pieds de cannabis, 14 personnes écrouées.

Près de 4.000 pieds de cannabis ont été saisis dans huit plantations en Belgique. Ces plantations sont destinées à approvisionner notamment la région de Boulogne-sur-Mer (Nord).

Après ce coup de filet, quatorze personnes ont été écrouées en France et en Belgique, a-t-on appris lundi de source proche du dossier.

Il s'agit d'une «saisie tout à fait exceptionnelle en nombre de pieds de cannabis», selon cette source précisant que sa valeur est estimée à environ 600. 000 euros.

Une vaste opération, menée le 10 juin conjointement par la section de recherches de la gendarmerie de Lille et la police judiciaire fédérale de Liège, a conduit à l'arrestation de sept personnes en France et une quinzaine en Belgique.

Elles sont soupçonnées de participer à ce réseau de production et d'exportation de cannabis en salle. Une information judiciaire avait été ouverte en juillet 2013. Puis des enquêteurs belges et français se sont unis en mars 2014 pour traquer les trafiquants.

«Les deux principaux instigateurs de ce réseau demeuraient à Boulogne-sur-Mer et en Belgique» précisent les gendarmes français. Lors des perquisitions, les enquêteurs belges ont également saisi des armes, des stupéfiants, un brouilleur d'ondes, 20.000 euros en espèces et plusieurs véhicules, a-t-on poursuivi de même source.

France Les forces de l'ordre assistent à une montée en puissance du nombre de plantations «indoors» (cultivées en appartement), notamment dans le Nord et le Sud-Ouest. En 2013, 141 000 pieds de cannabis ont été arrachés sur près de 50 sites contre 55.000 en 2010, selon l'Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS).



ivre, il poignarde trois personnes

Publié à 15:38 par fandeloup Tags : air vie homme mort
 ivre, il poignarde trois personnes

Dunkerque : ivre, il poignarde trois personnes au hasard et tue l'une d'elles.

Un homme de 25 ans, en état d'ébriété, a poignardé trois personnes à Dunkerque (Nord), lundi en fin d'après-midi, provoquant la mort de l'une d'entre elles.

Selon «La Voix du Nord», qui a révélé le drame, l'homme a d'abord poignardé un SDF âgé d'une quarantaine d'années.

«Il y a eu une rixe entre le mis en cause et au moins un SDF près des bains dunkerquois. Il a sorti un couteau et il a porté quatre coups de couteau au SDF dans l'abdomen», a déclaré le procureur de la République Eric Fouard.

La victime, transportée entre la vie et la mort à l'hôpital est décédée des suites de ses blessures.

Avant d'être interpellé, le suspect a continué son parcours meurtrier, frappant «a priori sans raison» deux autres personnes dans la rue.

Selon la quotidien régional, un sexagénaire habitant le quartier a reçu un coup au thorax, mais ses jours ne sont pas en danger.

A quelques mètres de là, une autre victime a été attaquée qui souffre, selon le procureur, d'une égratignure sur le torse.

«Tout cela reste à préciser» a encore dit M. Fouard, soulignant que les victimes étaient en cours d'identification.

Sur son site, «La Voix du Nord» explique que le jeune homme s'est débarrassé du couteau et a tenté de s'enfuir quand il a vu des policiers.

Finalement arrêté, le mis en causee, très alcoolisé au moment des faits (0,70 mg d'alcool par litre d'air expiré soit 1,40 g d'alcool dans le sang), a été placé en garde à vue.

Mardi matin, sa garde à vue a été requalifiée «du chef d'homicide volontaire», a indiqué le procureur.



Avant de mourir, je veux…

Publié à 17:44 par fandeloup Tags : chez message
Avant de mourir, je veux…

Les associations Prévention Routière et Assureurs Prévention ont lancé une nouvelle campagne de sensibilisation

«Avant de mourir, je veux…».

Inspirée du concept « Before I die » de l’artiste Candy Chang, cette nouvelle campagne s’adresse aux jeunes avec un message fort : « Chaque année l’alcool au volant empêche plus de 1500 jeune de réaliser leurs rêves, leurs projets, leurs folies… Alors, avant de sortir, n’oublie pas de désigner un SAM ».

Cette campagne s’appuie sur un dispositif collaboratif novateur où les jeunes sont invités à exprimer leurs rêves en complétant la phrase « Avant de mourir, je veux... » .

Les étudiants de Paris 8, à Saint-Denis, ont d’ailleurs pu inscrire à la craie, sur un mur géant en ardoise installé dans leur campus, leurs souhaits les plus chers et délirants. Un site interactif et participatif avantdemourir.com, a aussi été mis en place pour permettre à chacun de formuler son propre vœu.

En parallèle de ces actions, des kits de prévention contenant des posters de la campagne, badges, éthylotests, etc, ont également été distribués aux bureaux des étudiants (BDE) pour leur permettre de mener des actions de prévention lors de soirées et événements étudiants.

La campagne se fonde sur les résultats d’une étude menée par les associations Prévention Routière et Assureurs Prévention auprès de jeunes conducteurs de 18 à 24 ans :

« Les jeunes conducteurs, l’alcool et SAM, le capitaine de soirée ».

L’étude a révélé que 84% des jeunes interrogés déclarent désigner un SAM durant leur soirée. Malgré ce résultat positif, les jeunes sont encore trop nombreux à prendre des risques. En effet, près de 30% disent avoir conduit en ayant dépassé le seuil légal de 0,5g/l d’alcool dans le sang.

Par ailleurs, rappelons que la 1ère cause de mortalité routière chez les 18-24 ans reste l’alcool au volant.

Découvrez ci-dessus la vidéo de la campagne et, à votre tour, formulez votre vœu sur le site dédié avantdemourir.com.



Elle saute du 4e étage

Publié à 10:27 par fandeloup Tags : rose fille
Elle saute du 4e étage

Elle saute du 4e étage pour échapper à un incendie, trois adolescents la rattrapent

Bloquée dans sa chambre par le feu, l'adolescente est passée dimanche par la fenêtre de son appartement situé à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).

Elle se trouvait seule, à son domicile, lorsque le feu a pris dans sa chambre. Une adolescente a été grièvement brûlée dimanche 15 juin vers 15 heures, dans un incendie à la cité de la Rose-des-Vents, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), rapporte Le Parisien.

Bloquée dans sa chambre située au quatrième étage, la jeune fille a décidé de sauter par la fenêtre, avant l'arrivée des pompiers.

"Incroyable courage" Pour amortir sa chute, trois adolescents du quartier se sont placés en contrebas, avant d'encourager la jeune fille à sauter."

Sous le choc, l'un d'entre eux a été sérieusement blessé, les deux autres souffrent de diverses commotions et traumatismes", précise Le Parisien. La première maire-adjointe (UMP) Séverine Maroun a rendu hommage à leur "incroyable courage".

L'adolescente a été, de son côté, conduite à l'hôpital par les pompiers, qui sont rapidement venus à bout de l'incendie, avant que celui-ci ne se propage à d'autres appartements.



Une fillette a été mise à la porte d’un restaurant

Publié à 16:49 par fandeloup Tags : fille rose
Une fillette a été mise à la porte d’un restaurant

Une fillette chassée d'un restaurant "pour ne pas faire peur aux clients"

Est ce que cette petite fille de 3 ans vous fait peur ?

C'est pourtant "pour ne pas effrayer la clientèle" que Victoria et sa famille ont été priées de quitter un KFC de Jackson, Mississipi, révèle le site suisse de 20 minutes.

Scandalisés les parents de la fillette ont ouvert une page Facebook et appelle au boycott de la marque. Un pansement rose cache une blessure à l'oeil, infligée par l'attaque de trois pitbulls.

De nombreuses cicatrices ont laissé les traces indélébiles du drame. d'appeler au boycott de la chaîne de fast-food :

"Personnellement je le commanderai plus jamais dans un KFC et je vais écrire au président du groupe".

Réagissant à ce scandale, le groupe KFC a annoncé l'ouverture d'une enquête sur ce dossier. Et présenté ses "sincères excuses" par la voix d'un porte-parole.

Sur sa page Facebook intitulée "Les victoires de Victoria", la petite fille a déjà reçu le soutien de plus de 60.000 internautes.



Des dispositifs anti-SDF

Publié à 13:35 par fandeloup Tags : femme france société photos travail solidarité
Des dispositifs anti-SDF

Paris: Des dispositifs anti-SDF qui «mettent mal à l’aise»

Des pics installés devant une banque parisienne dans 2ème arrondissement de Paris.

- Une polémique, née à Londres cette semaine, remet un coup de projecteur sur ce mobilier urbain qui fleurit à Paris…

«C’est contre les pigeons?» Angélique n’en revient pas, alors qu’elle découvre les pics installés devant cette banque parisienne (2ème arrondissement de Paris).

La jeune femme a du mal à croire qu’ils ont été mis là pour éloigner les SDF. Un autre passant a lieu aussi un peu de mal à comprendre. «Nous sommes dans une société où ce n’est pas acceptable d’avoir ce genre de choses.

Dans un pays riche comme la France, ça fait bizarre de voir un tel truc de fakir en pleine rue», lâche Vincent. Et pourtant, le phénomène n’est pas nouveau. Présent à Paris depuis une dizaine d’années, ce type de mobilier urbain servant à faire fuir les sans-abri vient de se rappeler aux bons souvenirs des passants alors qu’il, depuis une semaine, est au cœur d’une polémique venue de Londres, en Angleterre.

«C’est assez choquant»

Si ces pratiques ont fait réagir sur Facebook et Twitter, où de nombreuses photos ont été publiées, elles sont également dénoncées en France par des associations comme la fondation Abbé Pierre.

«C’est assez choquant, au lieu de chercher des solutions pour lutter contre la pauvreté, on est dans l’illusion de se débarrasser de ces personnes qui n’ont pas d’autres logements, il y a une forme d’hypocrisie», dénonce Christophe Robert, délégué général adjoint de la Fondation.

Avec Emmaüs, ils ont lancé en octobre dernier une campagne d’interpellation.Visant à lutter contre la stigmatisation des pauvres et de la pauvreté, cette opération tenait également à responsabiliser les maires, qui avaient mis en place des arrêtés pénalisant la mendicité ou le glanage par exemple.

Mais pour Christophe Robert: «On se trompe de problème, c’est presque inhumain et très inquiétant. On se doit de sensibiliser les acteurs et adopter une posture pédagogique».

La Mairie de Paris mobilisée Du côté de la municipalité parisienne, si on explique n’avoir «aucune influence juridique sur ces pratiques», on détaille que «seul le législateur peut intervenir pour les interdire.»

Déplorant ces tendances, Dominique Versini, adjointe à la Mairie de Paris en charge de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion, invite pourtant à «aller de l’avant».

Alors que la nouvelle maire Anne Hidalgo avait fait de la lutte contre la grande exclusion la cause principale de la mandature, son adjointe insiste:

«Il vaut mieux trouver du travail pour les SDF et les héberger, que d’installer ce genre de dispositifs». Mais pour Angélique et Antoine, en vacances à Paris, le système parisien serait plus agressif que ceux qu’ils connaissent à Nice.

Et si d’après-eux le but reste le même: «mettre les passants mal à l’aise», à Nice il a simplement permis de «déplacer le problème dans les rues adjacentes».



Enfin une baisse du budget automobile

Publié à 10:52 par fandeloup Tags : voiture france
Enfin une baisse du budget automobile

Enfin une baisse du budget automobile

 

Après quatre ans de hausse, le budget automobile des Français a diminué en 2013. Alors que l'on a davantage roulé l'an dernier qu'en 2012, la dépense annuelle pour une voiture diesel a chuté de 3.8%, celle d'une essence de 5.7%, selon les chiffres publiés par l'Automobile club association.

L'an dernier, à la même époque, l'Automobile club association (ACA) rendait publique une énième hausse du budget des automobilistes. Rien de tout cela cette année, avec une baisse de la dépense annuelle aussi bien pour le conducteur d'un véhicule essence (5 705 euros, -5.7%) que diesel (7 687 euros, -3.8%).

« On le doit essentiellement aux efforts faits par les constructeurs pour proposer des prix tirés vers la bas et des véhicules qui, réellement novateurs, permettent à l’automobiliste d’économiser en matière de carburant, explique Christian Scholly, directeur général adjoint de l'ACA. Il faut aussi prendre en compte un prix moyen des carburants sur l’année 2013 plutôt orienté à la baisse ».

En moyenne, l'an dernier, le prix du litre de sans plomb 95 a baissé de 1.90% (à 1,53 euro/litre), celui du gazole de 3.3% (à 1,35 euros/litre).

L'an dernier, les Français ont donc dépensé moins tout en roulant plus, avec une hausse de 1.7% de la distance parcourue (8 900 kilomètres en moyenne) par les conducteurs de véhicules essence et un chiffre stable pour les automobilistes roulant au diesel (15 271 kilomètres).

De bon augure, sachant que la voiture reste le moyen de transport le plus coûteux au kilomètre.Dans le détail, pour l'essence, les postes "achat-reprise" et "carburant" sont en baisse, et les coûts d'entretien stables. Pour le diesel, le poste "achat-reprise" a chuté de 6.6% l'an dernier.

Seuls les coûts d'entretien ont augmenté de 2%. Mauvais point pour le low cost, bon point pour l'hybride L'association a également épluché le budget annuel du conducteur d'une Toyota Prius hybride. Lequel est supérieur de 14% (8 782 euros par an) à celui d'une 308 diesel. Une différence qui s'explique, selon les responsables du rapport, par « un prix de départ plus élevé mais avec une technologie nouvelle ».

Le prix de vente de la voiture hybride de Toyota est en effet supérieur de 22% (après déduction du bonus de 2 860 euros) à celui de la 308. Un investissement qui s'amortirait sur la durée, confirme-t-on du coté de l'ACA.

>>Voir [VIDEO]

La voiture hybride est-elle vraiment rentable ? Pour la deuxième année consécutive, le rapport fait état d'un coût à l'usage pas si avantageux qu'espéré pour une voiture low cost. « Il y a un gain à l’achat, certes, mais à l’usage, notamment à cause du poids des taxes, ce type de véhicule n’est pas du tout low-cost, affirme Christian Scholly. Par an, il y a au final un delta de 16% (en faveur du low cost, ndlr) mais c’est relativement peu ».

En raison notamment de dépenses en carburant 12% plus élevées pour une Dacia Logan diesel que pour un modèle diesel non-low cost. Le rapport révèle enfin que le prix des péages a connu une hausse de 2% l'an dernier, nettement supérieure à l'inflation (0.7%). En France, selon l'ACA, huit déplacements sur dix se font en voiture , qui pèserait pour 15% des finances des ménages.



contrat de travail

Publié à 09:07 par fandeloup Tags : éléments travail mode
contrat de travail

Votre patron va pouvoir modifier votre contrat de travail 

La Cour de cassation considère désormais qu'un salarié ne peut plus refuser toute modification de son contrat voulue par l'employeur. Y compris une baisse de salaire, si elle reste mineure. Un salarié ne peut plus refuser toute modification de son contrat de travail décidée par son patron, a jugé la Cour de cassation dans un arrêt du 12 juin 2014.

Un salarié ne peut plus refuser toute modification de son contrat de travail décidée unilatéralement par son patron.  Alors qu'elle l'excluait formellement depuis de nombreuses années, elle juge désormais qu'un employé peut se voir imposer une modification de son contrat, à condition qu'elle n'empêche pas, objectivement, sa poursuite, et donc qu'elle soit mineure.

Pour comprendre les règles qui prévalaient jusque là, lire aussi: L'employeur peut-il baisser les salaires en temps de crire? Il s'agit, de la part du juge, de l'introduction d'une certaine souplesse dans les relations employeur-employé, qui était absolument exclue jusqu'à présent.

La Cour jugeait invariablement que ce qui avait fait l'objet d'un contrat signé ne pouvait en aucun cas être modifié par une partie sans l'accord de l'autre. Elle admettait seulement que la modification refusée, si elle était nécessaire, puisse justifier un licenciement, mais avec indemnités.

Cette modification mineure, que le salarié doit désormais accepter, peut même porter sur des éléments essentiels, comme le montant de la rémunération. Ce que les juges considéraient jusque-là comme absolument intangible, sauf accord des deux parties pour la modifier.

La Cour de cassation n'admettait même pas que le mode ou le montant de la rémunération prévus au contrat soient modifiés dans un sens favorable au salarié, sans l'accord exprès de celui-ci. Le salarié ne peut plus s'estimer licencié

Si le changement n'est pas un obstacle à la poursuite des relations de travail dans des conditions normales, le salarié ne peut plus s'estimer licencié, ni demander aux prud'hommes de constater la résiliation de son contrat aux torts de son entreprise.

Ceci lui donnait droit à des indemnités de licenciement et dommages-intérêts pour licenciement abusif. "Il ne peut plus sauter sur l'occasion pour quitter l'entreprise avec indemnités", résume un magistrat. La Cour de cassation vient en l'espèce d'admettre qu'un patron impose à son salarié une baisse de son taux de rémunération, parce que cette baisse "représentait une faible partie de la rémunération".



Les services sanitaires craignent des épidémies

Publié à 19:53 par fandeloup Tags : noel homme mer france fleurs
Les services sanitaires craignent des épidémies

Les services sanitaires craignent des épidémies de dengue et de chikungunya cet été

Le moustique tigre est désormais implanté dans tous les départements du Languedoc-Roussillon, sauf en Lozère. Il peut véhiculer le chikungunya, s'il pique un porteur du virus puis une personne saine. Depuis le début de l'année, 13 cas de chikungunya et 1 de dengue ont été recensés dans la région.Depuis le début du mois de mai, l'agence régionale de santé a mis en place une surveillance renforcée en raison de l'épidémie de chikungunya qui sévit en outre-mer.

4 opérations de démoustication ont été réalisées dans la région après des cas de chikungunya, 3 dans l'Hérault et 1 dans les Pyrénées-Orientales. Insecte "agressif" pour l'homme, ayant colonisé progressivement l'Europe méridionale, le moustique tigre figure parmi les risques sanitaires car c'est le principal "vecteur" (ou transmetteur) de deux maladies virales, la dengue et le chikungunya, explique le médecin spécialiste de l'Invs (Institut de veille sanitaire ), Harold Noel.

L'ARS craint des cas autochtones et fait de la prévention Partout où il y a de l'eau, les larves de moustiques prolifèrent. Le plus dangereux pour l'homme, le moustique tigre, se développe ainsi dans les jardins en zone urbaine, même aux endroits où l'on s'y attend le moins. Jouets, pots de fleurs et soucoupes, doivent être régulièrement vidés, car le moustique tigre, peut transmettre des maladies invalidantes.

Depuis début mai, 25 voyageurs en provenance des Antilles notamment, ont déclaré des symptômes suspects en Languedoc-Roussillon. 1 cas de dengue et 13 cas de chikungunya ont été recensés.

Or seul le moustique tigre peut transmettre ces virus d'un homme à un autre. Jusqu'à fin novembre, l'agence régionale de santé va veiller pour prévenir la propagation de la maladie. Eliminer les eaux stagnantes, couvrir les réservoir de moustiquaires sont des gestes à multiplier.

Autre moyens de prévention : les répulsifs anti-moustiques tout simplement, sachant que le moustique tigre est malheureusement actif toute la journée.

La dengue et le chikungunya Ces deux maladies proches, caractérisées par de fortes fièvres, des douleurs articulaires et qui peuvent être fatales pour les personnes faibles, touchent surtout les zones tropicales où ces moustiques pullulent.

Mais pas seulement. La forte implantation du moustique tigre en Italie a conduit à une mini-épidémie de chikungunya en 2006/2007 avec 300 cas dans le nord-est de ce pays, rappelle le Dr Noel. En France , 121 cas "suspects" de dengue ou chikungunya ont été rapportés depuis mai dans les 18 départements infectés par le moustique tigre, selon cet épidémiologiste.

Les tests au laboratoire ont pu confirmer qu'environ la moitié de ces cas étaient effectivement dus au virus du chikungunya (47 cas) ou de la dengue (15 cas). Il s'agissait essentiellement de cas "importés" de voyageurs et non pas de cas "autochtones", à savoir véhiculés par des moustiques tigres vivant localement, explique l'épidémiologiste. "Il s'agissait dans 95% de personnes qui revenaient des Antilles", précise le Dr Noel.

Une épidémie sévit actuellement en Martinique et en Guadeloupe. Le virus du chikungunya a touché 8% de la population en Martinique, (31.720 cas, selon un décompte fait entre début décembre et le 1er juin) et 7% en Guadeloupe (28.320 cas). Directeur scientifique à l'Invs, Jean-Claude Desenclos s'attend à ce que le nombre des malades progressent encore. "L'épidémie est encore devant nous", dit-il.



piscine dans un appartement HLM vacant

Publié à 17:46 par fandeloup Tags : coeur nuit bleu humour fond
piscine dans un appartement HLM vacant

Nancy : des squatteurs créent une piscine dans un appartement HLM vacant..

Des appartements de HLM squattés, c'est presque banal... Mais l'ouverture d'une vraie piscine clandestine dans un appartement laissé vacant, ça l'est moins.

C'est pourtant ce qui a été fait dans la cité des Provinces, à Laxou, près de Nancy (Meurthe et Moselle), rapporte l'Est Républicain, décrivant non sans humour que l'installation est «originale, sauvage, aérienne, éphémère.

Et plutôt gonflée...»

La piscine

– une structure gonflable donc avec fond bleu, imitation carrelage

– a été installée dans un appartement libre, au 5e étage d'un bâtiment de cette cité située au coeur d'un quartier classé en zone de sécurité prioritaire (ZSP), où prospère le trafic de stupéfiants. Et personne, à part les voisins, n'a eu vent de l'existence ce bassin très prisé par temps chaud. Jusqu'à ce qu'il y ait des fuites...

Remplie à ras bord et d’une capacité estimée à 6 m³, soit 6 000 litres, la piscine trônant dans le salon a en effet commencé à perdre de l'eau le week-end de Pentecôte.

Suffisamment pour que le locataire du dessous se plaigne d'infiltrations auprès du bailleur, Bâtigère. Appelés en renfort, les sapeurs-pompiers ont alors découvert qu'il ne s'agissait pas d'un problème de tuyauterie....

Pour vidanger la structure, ils ont dû utiliser une motopompe afin d’assurer la « sécurité des biens et des personnes ».

Car avec un tel volume, la dalle aurait pu céder sous le poids de l'eau. Le lundi de Pentecôte, le logement avait été sécurisé mais la piscine, elle, avait été disparu durant la nuit, selon le bailleur.



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