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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Grenoble : le maire Eric Piolle teste les moutons en ville
La ville de Grenoble a installé mardi des moutons sur la colline de la Bastille dans le cadre d’une expérimentation vouée à "se développer à grande échelle", selon le maire (EELV) Eric Piolle.
Quatre brebis, un bélier et cinq agneaux ont commencé à brouter sur les pentes entourant le fort de la Bastille, à quelques pas du centre-ville. Décidée par la précédente municipalité socialiste, cette expérimentation doit durer trois mois avant d’être éventuellement étendue dans les autres parcs de la ville.
Elle a pour but "de maintenir la biodiversité, de lutter contre les risques d’incendie et de sensibiliser les visiteurs à la préservation de la nature en ville", selon un communiqué de la ville.
Installés à proximité d’une aire de promenade et d’un parcours d’accrobranche, les moutons appartiennent à une race rustique en voie de disparition (le mouton de Soay) qui s’adapte à tout type de terrain et se satisfait de faibles ressources en pâturage.
"C’est quelque chose qui a vocation à se développer à plus grande échelle. Tout ce qui contribue à ramener des animaux en ville est utile", a déclaré Eric Piolle, en évoquant aussi "l’agriculture urbaine".
La nouvelle municipalité, composée d’EELV du Parti de gauche et de collectifs citoyens, a promis de ramener des animaux en ville notamment en expérimentant "la collecte des ordures par traction animale, l’écopâturage et le fauchage tardif".
"Ces moutondeuses à gazon vont éviter le recours à une tonte humaine avec des machines thermiques. Si l’expérimentation marche bien, on verra si on peut les utiliser dans les autres parcs de Grenoble", a commenté Pierre Mériaux, conseiller municipal au tourisme et à la montagne.
Une mère de 40 ans enceinte de son propre fils s’apprête à l’épouser !
Betty-Mbereko Une mère de 40 ans est prête à épouser son propre fils.
La femme et son fils prétendent s’aimer vraiment. Et maintenant ils veulent conduire leur relation à un niveau supérieur en se mariant tout en sachant que la mère, Betty Mbereko est maintenant enceinte de six mois et attend un enfant de son fils qui sera son petit-enfant.
Mbereko, 40 ans, est veuve depuis 12 ans et vit avec son fils de 23 ans Farai Mbereko.
Elle confirme qu’elle est enceinte de six mois et qu’elle a décidé qu’il est préférable d’épouser son fils parce qu’elle ne veut pas se marier avec les jeunes frères de son défunt mari dont elle la convoitise.
Betty a sonné le tribunal des sages du village la semaine dernière quand elle a déclaré que l’affaire avec son fils avait commencé il y a plus de trois ans.
Elle a déclaré, qu’après avoir dépensé beaucoup d’argent pour envoyer Farai à l’école après la mort de son mari, elle a senti qu’elle avait le droit sur son argent qu’aucune autre femme.
Le chef du village ,Nathan Muputirwa, en apprenant la nouvelle a déclaré ceci: Nous ne pouvons pas permettre que cela arrive dans notre village, Mashura chaiwo aya, (Il s’agit en effet d’un mauvais présage).
Dans le passé, ils devaient être tués, mais aujourd’hui nous ne pouvons pas le faire parce que nous avons peur de la police. Il leur a ordonné de rompre immédiatement leur relation ou de quitter son village.
Ils ont choisi cette dernière option et ont depuis quitté le village pour une destination inconnue.
Nantes : fermeture de l'usine Gauloises, 327 emplois menacés
Les Gauloises blondes sont promises au même destin que les Gitanes brunes : la délocalisation en Pologne, explique «Le Figaro» lundi.
Le fabricant de cigarettes Seita, filiale du britannique Imperial Tobacco, devrait annoncer mardi, son projet de fermer l'usine de Nantes qui emploie 327 salariés, dans le cadre d'un plan de restructuration, affirme «Le Figaro» lundi.
«La Seita a convoqué mardi un comité central d'entreprise extraordinaire», annonce le quotidien. Selon ses informations, la Seita «devrait annoncer son projet de fermer la plus importante des deux dernières usines de cigarettes en France.
Située à Carquefou, dans la banlieue de Nantes, elle emploie 327 salariés et a produit l'an passé 12,2 milliards de cigarettes blondes : principalement des Gauloises et des Gitanes».
Hausse des prix, chute des ventes Propriétaire de la Seita, le groupe anglais Imperial Tobacco a lancé un plan d'économie de 385 millions d'euros d'ici à 2018, dont 72 millions cette année, explique le journal.
La restructuration annoncée mardi devrait comprendre également la cession du centre de R&D de Bergerac (30 salariés) et une réorganisation de la force de vente, «sans impact sur l'emploi», selon un représentant du personnel, écrit le quotidien.
Le centre de battage de tabac du Havre (100 salariés) et l'usine de Riom (200 salariés, 9 milliards de cigarettes) devraient être préservés, toujours de même source. La hausse de 20 centimes du paquet de cigarettes intervenue début janvier se fait fortement sentir.
Sur les trois premiers mois de l'année, les ventes chez les buralistes ont dégringolé de 8,9 % en volume et de 2,2 % en valeur, indique «Le Figaro». Déjà un millier d'emplois supprimés en 2008 La Seita, dont le siège est à Paris, emploie environ 1.150 salariés sur cinq sites en province :
deux usines de production de cigarettes, à Nantes et Riom (Puy-de-Dôme), une usine de traitement du tabac au Havre (Seine-Maritime), deux centres de recherche à Bergerac (Dordogne) et Fleury-les-Aubrais (Loiret), selon les données communiquées par l'entreprise.
Rebaptisée Altadis entre 1999 et 2008, après la fusion avec son homologue espagnole la Tabacalera, l'ex-régie publique française des tabacs fabrique les marques Gauloises, News et Gitanes. Elle a été reprise en 2008 par Imperial Tobacco, qui avait alors supprimé un millier d'emplois, la moitié des effectifs.
Un homme a été arrêté lundi 14 avril par la police pakistanaise pour avoir mangé avec son frère un bébé dont la tête a été retrouvée à leur domicile, dans le centre du Pakistan.
Les frères Mohammad Arif et Farman Ali avaient été incarcérés en 2011 pour une affaire similaire de cannibalisme, puis libérés l'an dernier.
A l'époque, ils exhumaient des cimetières des cadavres qu'ils dévoraient comme celui d'une jeune femme dont la dépouille avait été retrouvée amputée d'une jambe. Un haut responsable de la police du Pendjab avait alors déclaré :
C'est l'affaire la plus horrible de ma carrière. Au Pakistan, aucune loi n'interdit formellement le cannibalisme, une pratique d'ailleurs plus que rarissime dans le pays comme dans le reste du monde. Après deux années de prison, les frères avaient été libérés. Des odeurs nauséabondes Mais au cours des derniers jours, leurs voisins dans le village pendjabi de Darya Khan ont contacté la police après avoir senti des odeurs nauséabondes en provenance de leur domicile.
"Mohammad Arif a été arrêté après la découverte d'une tête de nourrisson. Il a avoué son crime", a déclaré Zafar Iqbal, le chef de la police du village. "Il a raconté que son frère avait ramené le bébé mort d'un cimetière situé à proximité, qu'ils l'avaient fait cuire, puis l'avaient consommé", a renchéri le chef de la police du district local de Bhakkar, Ameer Abdullah.
Il n'y a pas de loi spécifique interdisant le cannibalisme au Pakistan... nous avons donc engagé des charges contre M. Arif pour profanation d'une dépouille humaine", a-t-il ajouté. Les autorités ont par ailleurs lancé une chasse à l'homme pour retrouver le frère de Mohammad Arif. "Nous allons aussi procéder à des tests psychiatriques" pour évaluer la santé mentale du prévenu, a précisé Ameer Abdullah. Les deux frères, abandonnés par leur famille depuis des années, vivaient isolés dans leur petite maison du Pendjab, ont précisé les autorités locales, encore sous le choc à la suite de cette découverte macabre.
Sécurité. La police municipale d'Evry teste un véhicule équipé de caméras capables de lire les plaques d'immatriculation en un temps record.
Aucun angle de vue ne lui échappe.
PAS UNE PLAQUE d'immatriculation ne lui échappe.
Unique en France, une voiture qui compte 8 caméras implantées dans le gyrophare est testée depuis samedi dernier et durant un an par la police municipale (PM) d'Evry.
« Nous ne chercherons pas à faire du chiffre, mais à traquer les trafiquants de voitures ou les délinquants routiers », prévient d'emblée Philippe Poupeau, directeur de la PM dans la ville anciennement dirigée par Manuel Valls
Depuis l'ordinateur intégré, les plaques d'immatriculation repérées par les caméras sont analysées en une fraction de seconde.
« Si c'est un véhicule volé ou impliqué dans une procédure judiciaire, cela nous est signalé par un message en rouge. Nous le saurons immédiatement, ce qui est impossible humainement, car il faudrait passer un coup de fil à chaque plaque pour interroger les fichiers », relate celui qui dirige une cinquantaine d'agents sur Evry.
Dans ce cas, les municipaux préviennent les nationaux pour savoir la conduite à tenir. Conforme à la loi informatique et libertés, la voiture peut lire et afficher sur l'écran une plaque d'une voiture garée en épis, qui vient en sens inverse ou qui effectue un dépassement. Si certains véhicules de la police nationale possèdent déjà des caméras intégrées, aucune n'en a autant.
« Là, aucun angle de vue ne lui échappe, reprend Philippe Poupeau. C'est la voiture qu'il ne faudra pas croiser si on a quelque chose à se reprocher. »
L'attirail de surveillance et l'électronique coûtent près de 30 000 €. La PM n'a pas eu besoin de verser un centime à la société franco-suisse qui l'a créé. Elle versera en revanche un pourcentage des amendes dressées. « C'est donnant-donnant, nous la testons durant un an, ça leur sert bien et à nous aussi, sourit-il.
C'est un gain de temps. Et cela permet de redéployer nos effectifs sur d'autres missions. » Dans les parkings, la voiture analyse plus d'une plaque à la seconde. Et, dans les quartiers difficiles, plus besoin pour les fonctionnaires de mettre pied à terre pour les contrôles d'immatriculation.
« Ça révolutionne notre travail, applaudit Philippe Poupeau. Nous allons utiliser cette voiture avec discernement. Sans chercher à matraquer les gens. Ce serait détourner de son objectif cet outil destiné aux réels délinquants routiers. »
Car, pour sanctionner les infractions comme le stationnement gênant, il suffit de programmer la verbalisation via l'ordinateur.
« Si je dis par exemple que toutes les voitures stationnées à gauche sont mal garées, les plaques vont être lues et un PV électronique est dressé, détaille le patron de la PM. Malgré tout une validation est nécessaire pour éviter une erreur. »
Durant deux ans, les plaques enregistrées sont mémorisées.
« Et on sait où elles ont été vues avec précision exacte des coordonnées GPS, précise-t-il. En cas d'Alerte Enlèvement ou si nous recherchons quelqu'un, cela pourra peut-être servir rétroactivement. »
SRAS : l'Institut Pasteur à la recherche de tubes de virus égarés.
Il n'y a «aucun potentiel infectieux» assure l'Institut Pasteur. L'organisme de recherche a pourtant annoncé dimanche avoir perdu des tubes contenant des fragments du virus du SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère).
Dans un communiqué, l'Institut précise avoir constaté la perte de ces tubes «dans le cadre des procédures d'inventaire réglementaires habituelles». Il ne précise pas le nombre de tubes perdus mais indique que leur perte témoigne «d'un défaut de traçabilité sur certains échantillons».
Après «enquête approfondie», l'Institut a contacté l'agence du médicament (ANSM) qui a déclenché une enquête ayant donné lieu «à des investigations sur place, dans le laboratoire concerné, du 8 avril à ce jour».
Le virus avait tué 800 personnes en Chine en 2003 Les conclusions des experts indépendants saisis par les autorités sanitaires sont rassurantes : ils ont qualifié de «nul» le potentiel infectieux des tubes perdus «au regard des éléments disponibles et des éléments connus de la littérature sur la survie du virus SRAS».
En 2003, une pandémie de SRAS, partie de Chine, avait touché quelque 8000 individus et causé la mort de plus de 800 personnes, principalement en Asie. Les symptômes du SRAS ressemblent à ceux d'une pneumonie, avec une fièvre élevée et divers problèmes respiratoires.
L'an passé, une épidémie de coronavirus MERS très proche du SRAS, venue d'Arabie Saoudite, avait fait 58 morts à travers le monde, dont un en France.
Logement : les APL bientôt supprimées ?
Alors que l'Etat cherche rogner 11 milliards d'euros pour valider son objectif de 50 MdsE d'économies d'ici 2017, certaines rumeurs de presse ont évoqué cette semaine une possible suppression de l'Aide personnalisée au logement (APL), perçue par les étudiants mais aussi par certains retraités.
Cette décision irait dans le sens des recommandations de la Cour des Comptes, qui préconise qu'elles "ne soient plus versées aux étudiants non boursiers".
Cet arbitrage pourrait rapporter 800 millions à l'Etat alors que le versement global des APL coûte chaque année 5 MdsE sur un total de près de 40 MdsE dédiés à la politique du logement en France.
Jean-Marie Le Guen n'a pas démenti la possibilité d'une suppression des APL dans le cadre du pacte de stabilité des finances publiques. Le nouveau Secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement a tenté d'écraser la patate chaude dans la globalité du projet de Loi de finance rectificative, mais l'idée semble bien à l'ordre du jour alors qu'initialement le gel du montant des APL semblait la piste suivie.
Cet axe de réflexion pourrait être évoqué sous quinzaine lors de la réunion entre Christian Eckert (Secrétaire d'Etat au Budget) et les représentants des groupes parlementaires qui ont voté la confiance au gouvernement Valls. Quid de l'Allocation de logement sociale (ALS) et de l'Allocation de logement familiale (ALF), les deux autres composantes des allocations logement ?
Affaires à suivre...
Norvège: une mère torture à mort sa fille de 18 mois pour l’empêcher de devenir norvégienne
Yasmin Chaudhry, une mère musulmane norvégienne, a torturé à mort sa fillette de 18 mois pour lui apprendre le respect, et pour l’empêcher de ressembler plus tard aux norvégiennes, qui aspirent, selon elle, à être violées.
Des parents dégénérés, il en existe malheureusement aussi dans nos sociétés occidentales, mais leurs actes criminels ne sont pas motivés par un endoctrinement religieux.
Nous avions déjà évoqué le cas de cette mère musulmane britannique qui frappa son petit garçon à mort sous prétexte qu’il ne parvenait pas à mémoriser le coran, puis brûla son corps pour effacer toutes traces.
Dans la tradition musulmane, comme expliqué par le psychologue danois Nicolai Sennels, l’extrême violence et l’engourdissement de l’esprit par la répétition quotidienne de versets coraniques font partie de l’éducation des enfants.
Et les conséquences sont très souvent dramatiques : « La culture musulmane n’a tout simplement pas le même degré de compréhension du développement humain que les sociétés civilisées, et la douleur physique et les menaces sont donc souvent les outils privilégiés pour élever des enfants.
C’est pourquoi tant de jeunes filles musulmanes sont éduquées à accepter la violence dans leur mariage, et les garçons musulmans à apprendre que la violence est acceptable. Et c’est la raison principale pour laquelle sur un total de dix enfants retirés à leurs parents par les Autorités de Copenhague, neufs sont issus de familles immigrées musulmanes.
Utiliser la douleur et l’intimidation pour imposer la discipline aux enfants fait partie de la tradition musulmane, et cette méthode est largement appliquée dans les écoles musulmanes, même en Occident : elle explique également le blocage de l'intelligence et de la capacité créative généralisés dans les sociétés arabo-musulmanes.
Ces procédés, combinés avec des répétitions incessantes de versets coraniques dans les écoles islamiques et les familles, empêchent les enfants de se défendre contre l’endoctrinement coranique, même si ce dernier s’oppose aux lois laïques, à la logique, et à la compréhension de la compassion ».
Ce que nous avons entendu dans la salle 250 du Tribunal d’Oslo défie l’imagination : Yasmin Chaudhry, une mère de 28 ans est jugée pour le meurtre de sa fille de 18 mois : elle a noyé sa fillette en direct sur MSN, en plongeant sa tête dans un seau d’eau.
Chaudhry a reconnu avoir souvent frappé violemment le bébé avec la paume de la main, l’avoir douché à l’eau froide, et avoir fermé la bouche de la petite fille avec un ruban adhésif quand elle criait.
Elle l’obligeait à avaler du piment et la privait de sommeil. A plusieurs occasions, elle punissait la fillette en attachant les pieds de l’enfant à son hijab. Elle la forçait également à dormir sur le sol. Et régulièrement, elle tenait la tête du bébé sous le robinet d’eau froide, ou la plongeait dans une bassine, la tête la première.
Yasmin Chaudhry, apparemment, suivait les instructions de l’un de ses amis pakistanais de Londres, âgé de 35 ans, qui supervisait les punitions en direct via Skype et MSN. Ce dernier est accusé d’avoir contribué à la torture et à la mort de la fillette en fournissant les instructions à la mère pour discipliner l’enfant.
Mais il a plaidé non coupable. La mère, elle, nie le meurtre, mais admet les sévices infligés à son enfant et justifie ces violences par la nécessité « d’apprendre à sa fille de 18 mois à respecter les adultes » … Autrement, craignait-elle, elle aurait pu devenir comme ces filles norvégiennes, qui aspirent à être violées … On apprend également qu’elle a elle-même été plusieurs fois violée par des gangs de Musulmans.
Et d’après des enquêtes réalisées au Danemark, les femmes musulmanes sont souvent victimes de gangs de violeurs musulmans. Ces derniers agissent en toute impunité car ils savent que les femmes n’osent pas porter plainte par crainte du déshonneur. Yasmin Chaudhry est née et a grandi à Oslo.
Son père est d’origine pakistanaise et sa mère est une norvégienne de souche. Elle fut élevée, ainsi que ses trois sœurs, par le père, après le départ de leur mère. Enfance difficile, victime de brimades à l’école, violée la première fois à 14 ans, elle fut également abusée par les membres de plusieurs gangs pakistanais.
A 19 ans, elle se marie avec son cousin et part vivre au Pakistan. Comme elle le signala plusieurs fois au Tribunal, ce fut un mariage arrangé, mais non forcé. Elle voyait dans ce mariage une occasion de fuir la misère d’Oslo et de mener une vie meilleure au Pakistan. Le couple eut deux enfants, un fils et une fille, mais la vie au Pakistan ne correspondait pas à ses attentes.
Elle revint à Oslo avec ses deux enfants et demanda le divorce. Ce fut à cette période qu’elle rencontra son « ami » de Londres. Il était marié, mais souhaitait en faire sa deuxième épouse. D’après son témoignage, l’homme prit le contrôle de sa vie, notamment en ce qui concerne l’éducation de sa fille, qu’il supervisait de Londres par MSN. Il avait dit à la mère qu’il était très important d’enseigner à l’enfant le respect des adultes, si elle voulait avoir une belle vie plus tard.
Ce respect devait être enseigné par la violence et la force. Aujourd’hui, la mère dit qu’elle ne peut croire qu’elle se soit laissée manipuler de la sorte par cet « ami ».
Elle dit qu’elle souhaitait le meilleur pour sa fille, qu’elle ne voulait pas que sa fille grandisse de la même manière qu’elle. Elle fit alors aveuglement confiance à son « ami ». Aujourd’hui, elle le regrette amèrement.
C’est en tous cas ce qu’elle affirme au tribunal alors qu’elle a fait endurer l’enfer à répétition à ce bébé innocent. Son « ami » est aussi entendu par la justice norvégienne, et évidemment sa version des faits diffère : il agissait pour le bien de la fillette et les infidèles ne peuvent pas comprendre. Selon la chaîne NRK, Yasmin Chaudhry a plaidé non-coupable d’homicide, mais a reconnu les mauvais traitements infligés à sa petite fille.
Son ami, Ammaz Omer Qureshi, a rejeté les deux chefs d’accusation. ?En Norvège, l’homicide est passible de 21 ans de prison, et les mauvais traitements de 6 ans.
Mais les musulmans bénéficient de circonstances atténuantes car il ne faut pas les stigmatiser…
Italie : elle porte les jumeaux d'une autre par erreur
Une Italienne qui a bénéficié d'une fécondation in vitro porte depuis décembre les jumeaux d'une autre après un malencontreux échange d'embryons.
En Italie, une femme porte depuis décembre les jumeaux d'une autre après un malencontreux échange d'embryons dans le cadre d'un processus de fécondation assistée.
A Rome, le centre médical à l'origine de la terrible erreur est actuellement sous surveillance et l'activité puériculture y est suspendue.
Ce dimanche, le ministère de la Santé a envoyé des inspecteurs à l'hôpital Sandro Pertini afin de faire la lumière sur le cas, révélé par le journal La Stampa.
Le 4 décembre dernier, quatre couples ont été traités dans ce centre spécialisé pour une procréation médicalement assistée (PMA) par fécondation in vitro. Trois des femmes sont effectivement tombées enceintes après l'opération.
Or, sans que l'on connaisse encore exactement les circonstances, un échange irréparable s'est produit entre au moins deux patientes. Les médecins s'en sont rendu compte au moment de faire des tests sur les jumeaux que portent l'une des mères.
Ces derniers ne sont visiblement pas compatibles avec le profil génétique de leurs parents. Mais impossible désormais de revenir en arrière.
Des débats éthiques et juridiques à venir Ce cas suscite de nombreux débats en Italie, notamment sur les conséquences juridiques de cette dramatique erreur.
Qui sont véritablement les parents de ces jumeaux qui vont bientôt naître ?
Lundi, une commission d'enquête se réunira en urgence pour évoquer toutes les questions à régler avant la naissance des petits. Au centre Sandro Pertini, le directeur général Vitaliano De Salazar a d'ores et déjà fait savoir que les protocoles de contrôle et les procédures d'intervention seraient renforcés.
Répondant à une polémique grandissante, la ministre de la Santé Beatrice Lorenzin a assuré avoir appris ces informations par la presse. Les deux autres couples dont les femmes étaient également tombées enceintes doivent encore subir des tests pour comprendre d'où vient l'erreur et, surtout, vérifier qu'aucun autre échange n'a eu lieu. L'unité sanitaire romaine s'est voulue rassurante en indiquant que si l'erreur était confirmée, il s'agirait «probablement d'un cas isolé».
Irak: premier pays à légaliser la pédophilie?...
À quel âge le corps des jeunes filles est-il prêt pour avoir des relations sexuelles? Pour porter un enfant? Il semblerait que le gouvernement iraquien vient de statuer que dès 9 ans, il serait légal de marier les filles (et 15 ans pour les garçons) selon un nouveau projet de loi suivant les préceptes les plus strictes de la loi islamique, la Charia, écrite il a plusieurs siècles.
Pédophilie légalisée
En effet, en février dernier, la majorité du Conseil des ministres iraquien aurait voté en faveur d’un projet polémique qui légaliserait la pédophilie, le viol et la prostitution dans le cadre du mariage. À 9 ans, ce sont encore des enfants… Ces actes sexuels sont des viols, il n’y a pas d’autres noms et trop souvent, ça se termine par des complications médicales ou encore en meurtre comme pour cette petite fille au Yémen.
Polygamie, interdiction de travailler et etc.
De plus, ce projet de loi permettrait la polygamie sans restriction. Il octroierait au mari le droit d’avoir des relations sexuelles sans le consentement de l’épouse (ça s’appelle le droit de violer), il interdirait à la femme d’abandonner le domicile conjugal ou d’intégrer le marché de l’emploi sans le consentement de son époux et il établirait que le mari n’ait pas l’obligation de subvenir économiquement aux besoins de son épouse si celle-ci n’est pas en mesure de le satisfaire sexuellement…
On se croirait dans un mauvais film, c’est affreux!
Les défenseurs des droits de l’Homme et les leaders religieux internationaux ont fait part de leur grande indignation depuis fin mars. Comme il y a des élections à la fin avril, c’est peu probable que ce projet de loi passe vraiment, mais juste d’oser formuler qu’un homme de 55 ans pourrait abuser sexuellement et ce, en tout légalité, de sa femme de 9 ans m’écoeure au plus haut point. Je ne juge pas l’Irak ni l’Islam ni les musulmans d’ici ou d’ailleurs, mais bien un projet de loi basé sur la Charia écrite il y a plusieurs siècles dans un contexte bien différent. Ma fille a 9 ans, elle est toute menue, elle joue aux Barbies et n’a aucun signe de puberté. J’ai tellement mal en imaginant qu’une fillette de son âge soit violée et ce, en toute légitimité. Et ne venez pas me dire que c’est culturel, ça ne passe pas comme excuse chez moi. Alors qu’ici, on traque les pédophiles et qu’on publie même des cartes pour savoir dans quels quartiers ils habitent, on assiste dans certains pays (Liban, Yémen, Irak, Djibouti, Égypte, etc) à un recul des droits des femmes et des enfants, les mettant dans une case différente des humains…
C’est inacceptable! Qu’en pensez-vous? Est-ce que de légaliser la pédophilie rend celle-ci moins ignoble?