un bébé expulsé du ventre de sa mère lors d'un accident de la route ?

 Un nouveau-né a été retrouvé à quelques mètres du corps de sa mère après un accident de la route à Xiamen.

Selon des témoins du drame, le bébé aurait été expulsé du ventre de sa mère sous la violence du choc.

Le "bébé miracle" fait la une des médias chinois.

Les médias chinois le surnomment le "bébé miracle". Les conditions de son entrée dans la vie n'auraient pu être plus tragiques.

Xiao Zhao, un nouveau-né de 4,2 kilos, a en effet été retrouvé en sang par la police sur une route de Xiamen (sud-est de la Chine), à trois mètres du cadavre de sa mère...

Celle-ci venait de succomber à un terrible accident. Alors que la future maman était sur le point d’accoucher, son époux avait en effet décidé de l’emmener en urgence à la maternité en moto, relatent nos confrères britanniques de metro.uk

Mais sur le trajet, le couple a été violemment percuté par un camion et n'a pas survécu. Des pleurs de bébé au milieu des débris Néanmoins, au moment du drame, c'est un événement incroyable qui se serait déroulé.

Des témoins affirment que, sous la violence du choc, le bébé a été éjecté du ventre de sa mère. Certains nuancent en expliquant que celle-ci aurait réussi à accoucher juste avant de mourir.

Pour l'heure, les médecins n'ont pu confirmer scientifiquement l'une ou l'autre des hypothèses, mais ils parlent bel et bien d'un miraculé. Les cas de bébés qui survivent à une "expulsion" hors du corps de la mère lors d'un accident traumatique étant très rares.

Le chauffeur impliqué dans l'accident a été arrêté et l'enfant hospitalisé.

Touchés par ce drame qui a fait la une des journaux, de nombreux Chinois ont organisé une collecte de fonds en faveur du petit orphelin. Comme son frère et sa sœur, Xiao Zhao devrait être prochainement confié à des membres de sa famille proche.

Une ruche de 180 000 abeilles dans leur plafond!

 Un couple d’Ontariens dont le plafond avait commencé à craquer et d’où s’écoulait du miel a eu la surprise de sa vie en y découvrant une immense ruche d’environ 180 000 abeilles.

«On ne les a pas entendu bourdonner, c’est seulement les craques dans le plafond qui nous ont alertés. Puis, j’ai eu du miel qui m’a coulé dans les cheveux alors que j’étais à la cuisine», a raconté Loretta Yates.

Le couple a alors fait l’étonnante découverte de la ruche, qui se trouve dans le plafond au-dessus du rez-de-chaussée, sous le 2e étage, surplombant la cuisine et le salon.

C’était il y a deux semaines. Un apiculteur, David Schuit, a alors été appelé à la rescousse. Il a détecté plus de 900 kilos (2000 livres) de miel et évalue la colonie à 180 000 abeilles.

Les Yates, qui vivent dans la maison avec leur garçon de 22 mois, ne dorment plus très depuis, craignant que le plafond ne s’effondre et que les abeilles s’infiltrent à l’intérieur de la maison. Lundi matin, l’apiculteur et son équipe vont démolir le plafond et recueillir le miel. Ils vont fouiller les deux ruches, séparées par une cloison, en vue de trouver les deux reines et de les mettre dans deux boîtes de bois.

«Si leur reine quitte la ruche, les abeilles vont la suivre», a indiqué l’apiculteur. Le couple devra payer de sa poche pour tous ces travaux, leur compagnie d’assurance leur ayant indiqué qu’ils n’étaient pas couverts en cas «d’invasion d’abeilles».

Il leur en coûtera au minimum quelque 3000$ en frais de travaux, peut-être bien plus.

Après la mère qui " entraînait " sa fille à boire depuis ses 3 ans, ces parents qui faisaient conduire leur fille de 8 ans...découvrez une bonne ribambelle de parents inconscients.... À travers des actes aussi ahurissants que dangereux, ces adultes irresponsables mettent le vie de leurs minots en péril.

En savoir plus sur http://www.letribunaldunet.fr/insolite/ces-enfants-ont-les-pires-parents-du-monde.html#cesIR1HogwKgp30A.99

Une jeune femme de 30 ans était jugée ce lundi pour avoir laissé son fils de 9 ans seul, pendant de très longues heures, pour aller rejoindre un ami.

 L’ambivalence de cette jeune Rwandaise de 30 ans était tantôt inquiétante, tantôt pathétique dans son discours face à un tribunal et une salle attentifs.

La question revenait sans cesse : comment une mère peut-elle en arriver à abandonner ainsi son enfant de 9 ans ?

« Un enfant transparent »

Car ce fait divers avait ému le 14 juillet 2013. La police est alertée vers 4 heures du matin par un résident. Le fils de sa voisine est venu se réfugier chez lui il y a quelques heures et celle-ci n’est toujours pas réapparue depuis 15 heures la veille.

Elle sera finalement de retour après que l’enfant fut placé au foyer d’Ahuy et qu’une enquête fut déclenchée. Elle avait tout simplement rejoint un ami et laissé son fils à la maison, l’informant qu’il pouvait monter chez le voisin si besoin.

Aujourd’hui, elle est poursuivie pour s’être soustraite à ses obligations de parent. Et, comme bien souvent dans ce type de dossier sensible, c’est sur elle que se focalisent les regards et les interrogations. Mais, comme le souligna avec beaucoup d’humanité et de psychologie Me Klepping, chargée des intérêts du petit garçon par le conseil général :

« Et l’enfant dans tout ça ? Se préoccupe-t-on des dégâts qu’il a subis ?De cette angoisse de l’abandon ?Le temps est tellement long quand on attend sa maman. »

Elle donna de lui une image évocatrice :

« Un enfant transparent. » « Une grande immaturité » La procureure Roux-Morizot était, elle aussi, tout en retenue « dans ce genre d’affaire humainement difficile, dans ce rôle sanctifié de la mère, où l’on a du mal à croire ce qui est arrivé.Imaginons un seul instant la peur et l’angoisse de ce gamin qui n’a rien demandé à personne. Elle a montré une grande immaturité et une forme d’incapacité à être une mère protectrice. C’est très inquiétant. »

Face à ces questionnements, Me Blache releva le défi de ne pas évoquer le propre passé meurtri de cette jeune mère rwandaise « qui n’a certes pas été parfaite. Elle a momentanément fui ses obligations pour penser un peu à elle.

C’était irresponsable et elle a honte. Aujourd’hui, elle a totalement changé, tant dans son comportement que dans sa vie. Elle travaille et est très fière de son évolution. Son fils est à ses côtés et est très équilibré. »

Le tribunal l’a condamnée à 6 mois de prison, assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve durant 2 ans.

Montpellier : la douane saisit près de 300 kilos de cannabis

C’est un véritable coup d’arrêt à une présumée filière qui approvisionnait en stupéfiants la région marseillaise.

Au terme d'un contrôle routier anodin, les douaniers de Montpellier ont mis la main la semaine passée sur près de 300 kilos de cannabis ainsi que sur des armes automatiques, saisis au domicile d’un homme qui aurait avoué être une « petite main » d’une filière qui approvisionnait la cité phocéenne en cannabis depuis l’Espagne.

 Le 18 mars dernier peu après minuit, deux agents de la brigade de surveillance intérieure (BSI) de Montpellier contrôlent un automobiliste à proximité du péage de Saint Jean-de-Védas (Hérault).

Intrigués par le comportement de ce dernier, les agents de la douane décident de fouiller intégralement la berline.

Au bout de quelques minutes, ils mettent à jour une cache aménagée à hauteur de la banquette arrière, et découvrent alors plus de 272 kilos de cannabis conditionnés en bloc d’un kilo.

Une petite « main » Interrogé, le conducteur avoue alors assurer ce transport pour le compte d’une filière, en échange de quelques milliers d’euros.

Lors d’une perquisition à son domicile, les douaniers découvrent quatre armes à feu, dont deux fusils, ainsi que près de 100 grammes de cocaïne.

Le suspect est remis aux policiers marseillais chargés de la lutte contre le trafic de stupéfiant, tandis qu’une enquête est confiée à la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Marseille.

Selon une source judiciaire, trois véhicules – qui auraient pu assurer un transport de cannabis depuis Malaga vers la région Marseillaise – ont été interceptés deux jours plus tard à Montpellier.

Selon la même source, cette filière aurait eu comme objectif d’approvisionner en résine de cannabis plusieurs quartiers de la cité phocéenne.

La Medina County SPCA démolit les chambres à gaz utilisées pour euthanasier les animaux! Bravo à eux !

Pas-de-Calais : un père de famille écrase sa fille de trois ans C

L’homme qui partait au travail avec sa camionnette, ce mardi matin à Nieurlet dans le Pas-de-Calais, n’a pas pu apercevoir sa fillette.Celle-ci était venue lui dire au revoir.

Un accident tragique. Une fillette de 3 ans a été mortellement écrasée par une camionnette conduite par son père ce mardi matin, à Nieurlet, près de Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais.

Le père de famille s’est mis au volant de son véhicule, vers 8 heures, pour se rendre vers son lieu de travail. Mais alors qu’il commence à peine à démarrer, sa fille surgit devant lui, avant de passer sous les roues de la camionnette.

Selon les premiers éléments de l’enquête, le champ de vison était malheureusement situé trop haut pour pouvoir apercevoir la petite victime. Un hélicoptère dépêché sur place .Selon France3 Nord-Pas-de-Calais, celle-ci s’était précipitée pour saluer une dernière fois le départ de son papa.

Elle n’a pas pu être ranimée par une équipe du SMUR de Saint-Omer dépêchée sur place. Un hélicoptère avait également été appelé de Lille, en vain. En état de choc, le père de famille a été pris en charge par les services médicaux.

Sarthe : il remplace son ami en prison pendant trois mois

 Un homme s'est délibérement fait mettre en prison pendant trois mois au centre de détention d'Argentan (Orne) pour remplacer son ami d'enfance.

C'est une histoire absolument à peine croyable : un homme s'est délibérement fait mettre en prison pendant trois mois, raconte le journal Le Maine Libre ce mardi matin.

Objectif ?

Remplacer son ami d'enfance derrière les barreaux. Les raisons invoquées par les deux compères devant le tribunal correctionnel du Mans (Sarthe) pour expliquer leur comportement restent floues, selon les quotidiens Ouest-france et Le Maine-Libre qui relatent l'affaire. Les faits remontent à novembre 2012.

Ni vu ni connu, Yssa, 28 ans, prend la place de son ami d'enfance Abdelkader, qui s'était évadé du centre de détention d'Argentan (Orne). Le pot au rose n'est découvert que trois mois plus tard, lorsque l'administration s'aperçoit effectivement qu'il y a erreur sur l'identité du détenu....

Lors de la comparution des deux hommes, la présidente du Tribunal est incrédule :

«Comment est-il possible d'être incarcéré à la place de quelqu'un ?», questionne-t-elle.

«J'ai fait ça pour pouvoir rester avec ma mère qui était malade, rétorque Abdelkader. On a monté cette histoire un soir où on avait bu.»

Yssa évoque lui une somme d'argent. L'histoire n'a pas fait rire les magistrats qui se sont montrés sans pitié. Déjà plusieurs fois condamné, Abdelkader écope de 18 mois supplémentaires en prison. Son ami d'enfance, Yssa, passera quant à lui six mois derrière les barreaux.

Dijon : un détenu se suicide à la maison d'arrêt

 Un homme s'est suicidé dans la nuit de lundi à mardi à la maison d'arrêt de Dijon située rue d'Auxonne.

Les policiers dijonnais se sont rendus sur les lieux à 7 heures ce mardi matin et ont pu constater le décès de l'individu.

Il s'agirait d'un homme de 40 ans originaire de la Loire. L’homme se trouvait en quartier d’isolement quand il a été retrouvé pendu près des toilettes de sa cellule tôt lundi matin, a précisé une source syndicale.

« Il s’est probablement pendu entre deux rondes » durant la nuit, a déclaré cette source, précisant que le détenu, incarcéré pour des affaires de cambriolage, n’avait pas été repéré comme ayant des tendances suicidaires.

 BELGIQUE.

Un pompier sauve sa propre fille victime d'un grave accident BELGIQUE.

 Un pompier qui intervenait samedi sur un accident de la route est tombée sur sa propre fille, qu'il a dû extraire du véhicule.

Stupeur pour un pompier de la ville belge d'Ypres. Appelé en urgence samedi 23 mars sur les lieux d'un accident de la route à Voomezele, il a constaté que sa propre fille était la victime, rapporte la presse belge.

Elle et son petit ami se trouvaient prisonniers de leur voiture qui venait de percuter un arbre de plein fouet.

Le pompier a alors demandé de l'aide à ses collègues. La jeune fille a pu être libérée de la carcasse.

Les secours ont eu plus de difficultés à sauver son petit ami. Il se trouve toujours dans un état critique à l'heure actuelle