Un bébé indien naît avec le coeur hors du corps

Une jeune Indienne de 24 ans a été transférée en urgence à l’hôpital de Sultanpur où elle a donné naissance à un petit garçon.

Mais le bébé est né avec une grave et rarissime malformation: l’ectopie cardiaque.

Son coeur est en effet hors de sa poitrine.Les statistiques sont formelles: un bébé naissant avec une ectopie cardiaque a moins d’une chance sur un million de survivre.

En effet, 90% des enfants naissant avec cette malformation cardiaque congénitale – le coeur se développe alors totalement ou partiellement à l’extérieur du thorax – sont morts-nés ou décèdent endéans trois jours.

La plupart des décès surviennent après une infection, une hypoxémie ou une défaillance cardiaque.

Aujourd’hui âgé de six jours, le nourrisson est donc un vrai miracle local. Mais sans les soins nécessaires, dont des opérations hors de prix, il périra sous peu.

Impuissante, Priyanka Pal, sa mère, berce son enfant. Avec un revenu de 3,6 euros par jour, la famille n’est pas en mesure de prolonger indéfiniment l’hospitalisation du nourrisson.

Et encore moins de financer l’opération dont il a besoin, celle-ci devant être exécutée dans une clinique privée et l’hôpital de Sultanpur n’étant pas équipé pour une telle chirurgie.

Le bébé, qui n’a pas encore reçu de prénom, est le premier enfant du couple. Son père, un ouvrier de trente ans, confie: « Les médecins nous disent qu’il faut le transférer et l’opérer d’urgence. Mais je suis pauvre. J’ai déjà du mal à donner deux repas par jour à ma famille. Je ne sais pas quoi faire. Nous prions juste une aide du gouvernement et sommes désespérés ».

Innovation : caméra embarquée dans la voiture

Très populaire à l'étranger, la caméra embarquée dans sa voiture pour filmer la route est de plus en plus adoptée par les Français.

A Las Vegas, elle est même obligatoire dans les taxis et les véhicules de transports publics, notamment pour filmer les accidents.

Aujourd'hui en France, déjà près de 30 000 automobilistes s'en sont équipés.

Ce type d'appareil peut également avoir des effets bénéfique sur la conduite : le conducteur étant filmé, il a tendance à faire plus attention.

Les images capturées sont destinées à aider le conducteur. Une fois que la caméra est en place, la vidéo s'actionne dès que le véhicule démarre.

Lors d'une collision ou d'un freinage brutal, les clichés précédant le choc et lui succédant sont capturés durant 30 secondes, à chaque fois.

A ces informations s'ajoutent également des données de géolocalisation, d'heure, des précisions sur la vitesse et sur la conduite à adopter, via un logiciel et un capteur gyroscopique.

Cela permet de fournir un éclairage utile sur les circonstances d'un accident.

Une innovation qui va directement dans les pas de la fameuse boîte noire, qui pourrait un jour équiper systématiquement les véhicules.

Une fois la mémoire pleine, les images sont systématiquement écrasées.

Toutefois, le conducteur peut sauvegarder une séquence sur la route, au travers d'une carte mémoire de 4h dont il bascule ensuite les images sur un ordinateur.

L'automobiliste peut également se servir de la vidéo en cas de délit de fuite.

L’hybride mi-homme mi-animal : une catastrophe génétique

Les produits alimentaires génétiquement modifiés n’étonnent plus personne aujourd’hui. La situation est différente avec les hommes et les animaux génétiquement modifiés qui sont seulement en train d’émerger des laboratoires biologiques. Ces créatures risquent de modifier complètement le monde dans lequel nous vivons. De quoi sont capables ces chimères et présentent-elles une menace pour l’humanité ?

Pourquoi les scientifiques sont-ils en train se s’ingérer dans le code génétique des êtres vivants et le modifier ?

Le zoologiste Dmitri Issonkine livre son point de vue sur cette question dans un entretien accordé à La Voix de la Russie. « Il peut y avoir plusieurs réponses à cette question. D’abord, les chercheurs poursuivent leur intérêt scientifique pour mieux comprendre le processus de formation des embryons et des cellules, ainsi que la possibilité de lier deux codes génétiques différents entre eux. Deuxièmement, l’aspect médical n’est pas négligeable.

Les chercheurs désirent trouver un moyen de lutter contre les maladies incurables à l’aide des codes ADN des organismes étrangers qui sont résistants à telle ou telle maladie. Enfin, ce genre d’expériences pourrait être rentable du point de vue commercial à l’avenir, car les organes des animaux pourraient en principe être greffés et transplantés sur l’homme. »

Cependant, comme c’est le cas pour les produits issus des OGM, les organismes vivants génétiquement modifiés pourraient présenter une menace pour l’humanité. Toutes ces expériences menées dans l’ingénierie génétique devraient être soumises à des tests très longs pour comprendre les réactions de l’organisme d’un être vivant à la présence de cellules étrangères.

Et si toutes les expériences sont menées actuellement sur des souris en laboratoire, dont l’espérance de vie n’est pas très longue et sur lesquelles on peut observer des changements qualitatifs sur leur organisme pendant plusieurs générations, il est plus difficile d’effectuer ce genre d’observations sur des humains, dont l’espérance de vie est plus importante.

Selon la législation, toutes les « chimères hybrides » doivent être détruites au bout de deux semaines après leur naissance.

Mais comment pourra-t-on comprendre l’influence qu’ont les gènes modifiés sur les générations suivantes ?

Le gouvernement interdit donc délibérément de mener des études de fond sur le croisement entre les humains et les animaux . Cela n’existe probablement que sur le papier.

Qu’en est-il en réalité ?

On ne peut que faire des suppositions sur la manière de fonctionner des laboratoires fermés. Mais cela ne fait aucun doute que si ces laboratoires créent des hybrides issus du croisement de gènes, ils ne les détruisent pas au bout de deux semaines.

Pour les chercheurs, la partie intéressante des observations commence à la puberté, lorsque les caractéristiques de ces organismes changent. C’est à ce moment là qu’on peut observer le comportement de gènes à l’âge plus mûr, et tenter d’entreprendre un croisement entre deux hybrides.

Ces expériences de croisement des gènes sont aussi illégales que le clonage des êtres humains. Et ce genre d’expériences peut en effet aller très loin. Ainsi, le magazine Cell Research, publié par l’Institut de la biologie cellulaire de Shanghai et l’Académie des sciences de la Chine, a évoqué récemment un croisement réussi entre les gènes d’un homme et d’un lapin.

Pour réaliser cette expérience, les chercheurs ont libéré les ovules d’une femelle lapin de leur ADN en y introduisant le code génétique d’un humain. En tout, 400 embryons ont été obtenus de cette expérience, et les chercheurs ont extrait de ces embryons des cellules souches pour des expériences ultérieures. Les embryons ont été détruits par la suite.

Les chercheurs prévoient de construire à nouveau à l’avenir une série d’hybrides sur la base de l’ADN de l’homme et d’autres animaux. On ignore quel sera le résultat de ces expériences. On ignore aussi combien de temps durera l’interdiction sur ce genre de manipulations avec le code génétique des êtres vivants.

Car si ces expériences sont légalisées et que les créatures issues de ces expériences vivent parmi nous, notre monde changera de manière radicale. Et dans le bus que vous prendrez pour aller au travail, vous pourrez voir un homme-cochon, un homme-chèvre ou un homme-âne.

La Norvège reconduit son quota de baleines chassées pour 2014

La Norvège a fixé à 1 286, mardi 1er avril, le nombre des baleines susceptibles d'être harponnées dans ses eaux en 2014 entre le 1er avril et le 30 septembre.

Il s'agit d'un quota identique aux années précédentes, mais que les baleiniers norvégiens ne parviennent pas à remplir. « Cette année aussi, nous avons décidé d'un quota qui assure une continuité et un cadre satisfaisant pour le secteur de la chasse à la baleine », a déclaré la ministre de la pêche, Elisabeth Aspaker.

Ne s'estimant pas tenue par le moratoire international de 1986 auquel elle a formellement objecté, la Norvège est l'un des deux seuls pays au monde, avec l'Islande, à pratiquer la chasse commerciale à la baleine, Oslo et Reykjavik jugeant la population des espèces chassées suffisamment abondante.

Cette annonce survient au lendemain d'un important revers pour l'industrie de la chasse à la baleine : la Cour internationale de justice (CIJ) a ordonné lundi au Japon, un gros chasseur de rorquals communs – espèce beaucoup plus grosse que le petit rorqual (ou baleine de Minke) chassé par les Norvégiens –, de mettre fin à cette pratique.

La vie d'un bambin de 3 mois, c'est assez simple me direz-vous... On mange, on joue, on fait la sieste !

Même si le quotidien des enfants leur semble semé d'embuches, ils ont la douce vie ! Un papa a décidé de mettre un peu de piment à tout ça en faisant de la vie de ses enfants de véritables films d'actions !

Et lorsqu'on travaille dans les effets spéciaux...c'est tout de suite plus facile !

Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'avec Daniel Hashimoto comme papa, la vie du petit James n'est pas de tout repos !

En savoir plus sur http://www.letribunaldunet.fr/photos-2/un-papa-transforme-le-quotidien-de-son-fils-de-3-ans-en-veritables-scenes-de-films-dactions.html#pXO8C1H9vOvoq7hi.99

Franco, 86 ans, fait 170km chaque mois pour déposer des fleurs à l’endroit où il a rencontré sa femme décédée

Chaque mois, Franco Gorno, 86 ans, fait plus de 170 km de route pour se rendre à l’arrêt de bus où il a rencontré sa femme, aujourd’hui décédée.

Chaque mois, Franco Gorno, un veuf de 86 ans se rend à un arrêt de bus de Cardiff. C’est là qu’il a rencontré son épouse, Joan, aujourd’hui décédée.

Cet homme épris y dépose un bouquet de fleurs et un poème à l’attention de celle qu’il a rencontré il y a 64 ans. C’était en 1950, deux trois semaines avant Noël, que leurs regards se sont croisés à cet arrêt de bus de Cardiff.

Deux ans plus tard, ils se mariaient. Ensemble, ils ont eu quatre ans. Depuis son décès l’an dernier, Franco est en deuil. Chaque mois, il écrit dans ses poèmes à Joan, qu’il la retrouvera bientôt. Tout le village de Cardiff est ému par ce témoignage d’amour et a souhaité rencontré l’auteur de ses poèmes.

La mére et son compagnon enferment le fils de 4 ans 14 heures par jour dans une cage pour chien

Suzanne Satterfield (33 ans) et son compagnon Johnathon Lee (31 ans), le beau-père dela petite victime, ont été arrêtés pour maltraitance.

Les trois enfants, âgés de 4,7 et 14 ans, de la maison ont été confiés aux services sociaux.

La police de Chelsea (Oklahoma) a été prévenue par un travailleur social qui avait découvert le gamin, âgé de 4 ans, enfermé dans une cage pour chien.

Le beau-père a reconnu que c’était effectivement le cas. En fait, il agissait ainsi pour le bien du garçon. Le couple ne voulait pas qu’il touche les fils électriques dénudés dans sa chambre.

La cage était également utilisée pour lui inculquer la discipline. En moyenne, le garçon passait 14 heures par jour enfermé dans la cage. Son calvaire a duré trois semaines. La déposition de la fille aînée a permis de découvrir qu’elle était victime d’abus sexuels de la part de son beau-père.

Les trois enfants vivaient en permanence dans la peur.

Il donnait de l’héroïne à sa petite sœur (14 ans) pour lui en montrer les dangers dr

Les méthodes pédagogiques de Matthew Robbins (32 ans) l’ont conduit tout droit en prison.

Il voulait montrer à sa petite sœur (14 ans) combien c’était mauvais de consommer de la drogue.

Résultat, il lui en a donné –et pas une seule fois- dans l’espoir de la dégoûter pour plus tard.

L’enquête avait débuté à la fin du mois de janvier. Les responsables d’une école secondaire d’Edgemont (Pennsylvanie) avaient prévenu la police.

Deux élèves, âgées de 14 et de 16 ans, étaient complètement shootées. Les jeunes filles avaient été transférées à l’hôpital. Plus tard, la cadette avait avoué avoir sniffé de la drogue dans les toilettes et avoir jeté le paquet dans la cuvette avant de tirer la chasse.

Elle a également indiqué que son frère Matthew, un toxicomane notoire, lui avait fourni de l’héroïne à quatre reprises. Il lui avait donné également des stupéfiants à onze reprises.

Interrogé, il a expliqué ses motivations : la dissuader de s’adonner à la toxicomanie. On a retrouvé des paquets d’héroïne dans sa chambre.

Elle pense qu’elle est enfin enceinte: elle a un kyste ovarien de 30 kilos!

Lorna Fulton, 44 ans, pensait qu’elle était enfin tombée enceinte en voyant son ventre gonfler comme un ballon. Voyant que le test de grossesse est négatif, elle s’inquiète et consulte un médecin : elle a un kyste aux ovaires qui pèse… 30 kilos !

Lorna Fulton ne rentrait plus dans ses vêtements. Elle faisait une taille 54 ! Enfin, elle pensait qu’elle était enceinte.

Malheureusement, le test de grossesse est négatif. Lorna se rend chez le docteur et apprend qu’elle a un kyste ovarien. La masse pèse plus de 30 kilos.

Plus d’espoir pour Lorna, elle doit subir une hystérectomie et renoncer à son désir d’avoir des enfants pour toujours. « Mes médecins m’ont affirmé que si je ne le retirais pas immédiatement, je mourrais », raconte-t-elle au Daily Mirror. « Ils m’ont opéré au service de maternité, c’était horrible », explique-t-elle.

Depuis plusieurs années, Lorna et son époux Stewart tentent tant bien que mal d’avoir un enfant. Lorna avait même commencé un régime spécial qui lui aurait permis de tomber enceinte plus facilement.

Atteinte d’un cancer, elle épouse son amour de jeunesse et décède trois jours plus tard

Cela faisait 18 mois que Kate Wiggin, maman de deux enfants de 8 et 10 ans, ressentait de vives douleurs à l’estomac.

Les médecins avaient d’abord conclu à des calculs biliaires, avant de soupçonner une infection bactérienne. « Et puis des grosseurs sont apparues sur sa peau », explique la mère de Kate Wiggin au DailyMail. Les docteurs ont alors découvert le cancer, en phase terminale. Ils ont dit à la Britannique qu’il lui restait un mois à vivre. Kate Wiggin a alors décidé de ne pas perdre une seconde : elle voulait épouser Gary, son amour de jeunesse, âgé de 32 ans, avec qui elle est en couple depuis 13 ans.

 Le mariage a eu lieu le 6 mars, dans un charmant hôtel britannique, avec toute la famille réunie. « Elle était très faible », raconte la mère de Kate. « Elle ne pouvait pas marcher et luttait pour respirer, mais elle l’a fait. Kate était déterminée à prononcer ses voeux. ».

Elle ajoute : « C’était vraiment un beau mariage ». Une ambulance avait tout de même été dépêchée, au cas où Kate aurait un malaise. Elle est décédée trois jours après la cérémonie, le 9 mars, entourée de ses proches et écoutant « Who You Love » de Katy Perry et John Mayer.