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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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horreur

Publié à 14:14 par fandeloup Tags : femme sur homme chez enfants animaux nuit fille air maison
horreur

Oise : le corps découvert calciné est celui d’une ado de 15 ans portée disparue

La jeune fille avait disparu du domicile familial vendredi. Son cadavre, retrouvé dimanche dans une cabane incendiée, a été identifié après une autopsie.

La cabane calcinée où a été retrouvé le cadavre servait de squat pour les jeunes du secteur. 

L'expertise génétique réalisée sur le corps découvert en partie calciné, dimanche, dans une cabane des jardins familiaux à Creil (Oise), a révélé ce mardi soir l'identité de la victime. « Il est confirmé qu'il s'agit d'une jeune femme née en août 2004 et dont la disparition avait été signalée par sa famille dans la journée de samedi, soit postérieurement à son décès. Les investigations policières, toujours diligentées par l'antenne creilloise de la police judiciaire de Lille (Nord), suivent activement leur cours. Aucune interpellation n'est intervenue à ce stade », commente Jean-Baptiste Bladier, procureur de la République de Senlis, s'interdisant de donner le nom de la jeune fille.

«Son téléphone n'a pas arrêté de sonner ce jour-là»

Le doute ne semble toutefois plus permis. Tout mène vers cette adolescente qui avait disparu vendredi du domicile familial, situé à 500 mètres d'où le corps a été retrouvé. Elle était sortie de chez elle au début de la nuit. « Son téléphone n'a pas arrêté de sonner ce jour-là. Nous ne savions pas pourquoi. A 21h58, elle a appelé une amie pour lui dire qu'elle allait dehors. Nous, nous étions en train de dormir », racontaient ses parents, lundi, sans vouloir répondre à nos sollicitations ce mardi soir. Ils se rendent compte de sa disparition au réveil, le samedi matin. « Son téléphone ne répondait pas. Ce n'était pas normal. Elle nous prévenait tout le temps, même quand son bus avait juste 5 minutes de retard. »

Son frère lance alors un avis de recherche sur les réseaux sociaux.

« Je ne voulais pas attendre les 48 heures de délais de la police. Je savais qu'il se passait quelque chose de grave. » Avec ses parents, ils sillonnent Creil dans tous les sens. Ses parents ont tout de suite fait le lien avec l'incendie Le dimanche, en début d'après-midi, des enfants découvrent un cadavre dans les décombres d'une cabane incendiée le vendredi, le long de la rue de Champrelle. Malgré l'espoir qui l'anime alors encore, la famille fait le lien.

« En tant que parents, on ressent ces choses-là. »

Céline, une riveraine, était à sa fenêtre quand le feu s'est déclaré. « Je fumais une cigarette dans ma cuisine. Il était 22h09 ou 22h10. J'ai entendu un gros boum et une lueur orange qui grandissait rapidement. J'ai appelé les pompiers. Je devais être la première à les prévenir car ils n'avaient pas l'air au courant. Quand j'étais en ligne, j'ai vu un homme, le visage recouvert d'une capuche, prendre la fuite. Je ne pourrais pas le reconnaître, il faisait sombre. » L’incendie de la cabane s’est déclaré peu après 22 heures ce vendredi

 Cette cabane servait de lieu de rendez-vous pour plusieurs jeunes habitants du secteur. « C'est une sorte de squat, poursuit Céline. Des voisins ont écrit au bailleur cet été pour se plaindre du bruit. Il y avait souvent des passages de scooters. Des barbecues ont été organisés. Des garçons et des filles s'y retrouvaient parfois ensemble. On entendait tout. » La police contacte pour la première fois les parents de l'adolescente dimanche, en fin de journée. « Ils nous ont demandé de venir le lendemain au commissariat avec des objets et des peignes de notre fille pour réaliser des analyses ADN. C'est atroce. Ce ne sont pas des humains qui ont fait ça, ce ne sont pas des animaux , c'est pire. »

L'adolescente était enceinte selon son frère

« Nous vivions en parfaite harmonie, elle n'aurait jamais fugué, confie sa maman. Je ne l'aurais jamais rejetée. C'était ma poupée, ma princesse. Elle n'était pas une délinquante. Elle n'était pas méchante. » Son frère signale que l'adolescente était enceinte - ce que ne confirme ni n'infirme le parquet de Senlis - et y voit là un possible début d'explication au drame.

« J'aurais pris soin de son bébé », déplore sa mère. En 2017, l'adolescente avait été agressée à Creil. « Nous l'avions scolarisée au lycée Cassini de Clermont pour l'éloigner du quartier. Je souhaitais l'inscrire en internat. Elle refusait. Elle voulait rester à la maison. Elle avait ses petites habitudes. On était bien. »

ÉTATS-UNIS

Publié à 11:14 par fandeloup Tags : sur chien maison
ÉTATS-UNIS

Un manoir terrifiant propose 20 000 dollars à ceux qui tiendront 10 heures dedans Partager cette info Près de 18 000 euros pour visiter un manoir hanté...

Le rêve ? Sauf que celui de Summertown, dans le Tennessee, propose une expérience particulièrement éprouvante. Une forte récompense pour une expérience extrême. Pour Halloween, le manoir McKamey de Summertown, dans le Tennessee (États-Unis), que son propriétaire présente comme une "maison hantée", propose 20 000 dollars (soit environ 18 000 euros) aux visiteurs qui tiendront dix heures à l'intérieur, rapporte le New York Post. Facile, penseront certains

. Sauf que l'expérience est particulièrement gore... La visite ultime proposée par le manoir, baptisée "Desolation tour", dure 10 heures, et personne n'a jusqu'ici réussi à tenir jusqu'au bout. Une décharge de 40 pages Une seule personne à la fois est autorisée à entrer dans le manoir, en échange d'un sac de nourriture pour chien. Pour participer au "Desolation tour", il faut avoir au moins 21 ans, être assuré, présenter un certificat médical et avoir passé des tests de dépistages de drogue.

Avant de commencer, les participants devront signer une décharge de 40 pages indiquant qu'ils autorisent par exemple l’arrachage de dents, le bris de doigt, le rasage de tête, mais aussi d'être immergés dans l'eau, giflés ou ligotés. Des acteurs s'occupent ensuite de "torturer" les visiteurs. "Chaque visiteur sera poussé à bout sur le plan psychologique et sur le plan physique", promet l'établissement.

Âmes sensibles s'abstenir, le propriétaire des lieux assure enregistrer chaque visite en vidéo, pour sa propre sécurité, dit-il. Les images des participants dans la maison hantée sont régulièrement diffusées en ligne... Un deuxième manoir McKamey propose la même expérience à Huntsville, en Alabama.

oups

Publié à 17:29 par fandeloup Tags : photo
oups

Elles avaient cueilli 400 kg de champignons, neuf personnes interpellées

 La valeur du butin récolté de manière illégale avoisinerait les 2 400 euros, selon les forces de l'ordre. Certains ont les yeux plus gros que le ventre...

Lundi, les gendarmes de Xertigny, alertés par un promeneur, ont arrêté neuf cueilleurs de champignons dans la forêt de la commune du Clerjus (Vosges), rapporte Vosges Matin.

Sept adultes et deux mineurs

Il s'agit de sept adultes et deux mineurs, qui avaient déjà eu le temps de cueillir environ 400 kg de champignons, soit l'équivalent de 2 400 euros de ces produits. Pour rappel, le code forestier prévoit qu’il est interdit de ramasser plus de cinq litres de champignons par personne, sous peine d'être passible d'une amende de 135 euros.

Au-delà de 10 litres, on risque 3 ans de prison.

heure

Publié à 16:26 par fandeloup Tags : hiver sur france place nuit automne pouvoir
heure

On change d’heure ce week-end… et ce ne sera pas la dernière fois

Le Parlement a bien adopté le principe de la fin du changement d’heure, mais cela ne s’appliquera pas avant 2021, au plus tôt. Il faudra reculer sa montre d’une heure ce week-end, dans la nuit de samedi à dimanche

. Il faudra reculer sa montre d’une heure ce week-end, dans la nuit de samedi à dimanche. LP/Olivier Boitet Par N.Be. Le 24 octobre 2019 à 15h14 À vos montres! La France s'apprête à changer d'heure dans la nuit de samedi à dimanche prochain. Comme chaque automne, lorsque le cadran affichera trois heures du matin, il sera en réalité deux heures.

Autrement dit, on va gagner une heure de sommeil. Il y a un peu plus d'un an, la Commission européenne avait proposé de supprimer ce changement d'heure à partir de cette année. Car la mesure, mise en place au niveau européen depuis 1980, est contestée pour son absence d'impact environnemental ou sur la santé.

Certains estiment que les gains espérés en économie d'énergie sont finalement – au mieux — assez limités, quand d'autres alertent sur le risque plus important d'accidents lorsqu'il fait encore nuit au moment où la majorité des gens vont travailler le matin. Heure d'été ou heure d'hiver permanente ? À l'automne 2018 donc, beaucoup avaient cru que c'en était fini de ce rituel biannuel, fin octobre puis fin mars. Sauf qu'il s'est avéré très compliqué d'harmoniser tous les créneaux horaires des différents pays de l'Union européenne, notamment entre ceux qui voulaient garder l'heure d'hiver et d'autres qui privilégiaient l'heure d'été.

On change d’heure ce week-end… et ce ne sera pas la dernière fois

Plusieurs secteurs, dont l'industrie aérienne, avaient aussi fait part de leurs craintes que cela ne perturbe leur organisation. La commission des Affaires européennes de l'Assemblée nationale avait organisé début mars dernier une consultation en ligne, ouverte à tous les citoyens. Deux millions de réponses avaient été reçues, et les participants s'étaient prononcés à près de 84 % en faveur de la fin du changement d'heure.

Une courte majorité (57 %) disait préférer garder l'heure d'été, espérant sans doute pouvoir continuer à profiter de longues soirées lumineuses. Ces militants de l’heure d’hiver ne veulent pas de l’heure d’été Finalement, le Parlement européen a voté en mars dernier la fin du changement d'heure, mais à partir de… 2021 seulement, et au plus tôt. On n'en a pas fini avec la traditionnelle question : « On perd ou gagne une heure de sommeil? »

aveux

Publié à 14:33 par fandeloup Tags : google enfants sur homme femme annonce
aveux

Mère de famille tuée à Bordeaux : le mari est passé aux aveux, enquête ouverte pour assassinat

Le mari a fini par reconnaître son implication durant sa garde à vue. La jeune femme a été tuée dans cet immeuble du nord de Bordeaux.

La jeune femme a été tuée dans cet immeuble du nord de Bordeaux.  Son épouse, Samia M., 32 ans, a été retrouvée sur le palier d'un étage, un couteau fiché dans le thorax. Le mari d e la jeune femme retrouvée morte lundi à Lormont, dans la banlieue de Bordeaux (Gironde), est passé aux aveux en garde à vue, annonce ce jeudi le procureur adjoint Jean-Luc Puyo, cité par Sud Ouest.

Arrêté mardi soir, cet Algérien de 41 ans « a reconnu avoir tué la victime pendant sa garde à vue », explique le magistrat. Ce dernier confie également qu'une information judiciaire pour assassinat, c'est-à-dire meurtre avec préméditation, a été ouverte. L'homme conteste cependant la préméditation et évoque une dispute qui aurait dégénéré.

Le suspect a été présenté à un juge ce jeudi soir. Séparés depuis 2017, une procédure de divorce en cours L'assassin présumé est le père des quatre enfants de la victime, elle aussi d'origine algérienne. Ces derniers, âgés de 2, 4, 9 et 11 ans, ont été placés.

Le couple était séparé depuis juillet 2017 et une procédure de divorce avait été lancée en mai dernier, informe le quotidien régional. En avril 2019, la mère de famille avait déposé une plainte contre son mari pour des violences conjugales. Selon Sud Ouest, le suspect devait comparaître en janvier prochain devant le tribunal correctionnel.

Samia M. a été tuée de plusieurs coups de couteau lundi après-midi. Son mari avait pris la fuite mais avait fini par être interpellé mercredi à Lormont, au domicile d'un ami qui l'hébergeait.

horreur

Publié à 14:50 par fandeloup Tags : voyage sur vie france homme coup place histoire argent air
horreur

39 corps dans le camion de l’horreur près de Londres : «J’aurais clairement pu être l’un d’eux»

Ce mercredi, 39 corps ont été découverts dans un camion en Angleterre. Lorsqu’il a appris le drame, Davoud, Iranien qui a réussi il y a deux ans à traverser la Manche dans un camion, s’est souvenu des pires années de sa vie.

 Le camion a été déplacé en fin d’après-midi afin de poursuivre les investigations et de récupérer les corps. AFP/Ben Stansall Par Louise Colcombet Le 23 octobre 2019 à 22h41 Il a connu tous les affres de la migration clandestine, ses espoirs déçus, ses dangers. En découvrant ce mercredi matin, à la une des médias anglais, le drame survenu dans la banlieue de Londres, Davoud (le prénom a été modifié) n'a pu que s'identifier à ces 39 personnes retrouvées mortes dans un camion frigorifique. « J'aurais clairement pu être l'un d'eux », lâche cet Iranien de 43 ans, pour qui les circonstances de cette tragédie ne laissent que peu de place au doute. Tout le renvoie en effet à ses propres tentatives pour rallier l'Angleterre, lors desquelles il s'est mis en danger en se cachant à l'arrière de poids lourds.

« Sept ou huit fois j'ai failli mourir asphyxié », lance-t-il. « Quand j'ai appris la nouvelle, j'étais au bord des larmes… J'ai eu l'impression de revivre cet épisode horrible de ma vie », témoigne l'homme.

Pendant deux ans et demi passés sur le littoral, de la pointe bretonne à la Belgique, il a tenté de franchir ce dernier rempart que constitue la Manche : Brest, Calais, Cherbourg, Le Havre, Dunkerque, les côtes belges…

L'homme a écumé les parkings et les aires de stationnements, avant finalement d'atteindre son but en 2017 sur « un coup de chance », dit-il. Les portables sont interdits « La seule façon de traverser, c'est en montant dans un camion. J'ai réussi à le faire une cinquantaine de fois, parfois en payant des passeurs, la plupart du temps tout seul, car je n'avais plus d'argent », raconte ainsi Davoud dont le périple depuis l'Iran lui aura coûté au total près de 40 000 euros, dont la moitié consacrée à cette ultime étape. Quand il était encore en fonds, lui aussi a eu recours au service des passeurs : 3500 euros le voyage , sans garantie de succès.

Les portables sont interdits et la promiscuité de mise -une bouteille en plastique vide est tolérée pour se soulager. « Les passeurs sont assez directs : avec un poids lourd classique, les chances de succès sont de 50 %, selon eux. Elles montent à 80 % avec un camion frigorifique et à 90 % pour une chambre froide de congélation car celles-ci ne sont jamais contrôlées. On me l'a proposé une fois. Quand le type a ouvert la porte et que j'ai vu l'air glacial et le givre, j'ai compris pourquoi… » raconte Davoud

Les camions réfrigérés, eux, sont très prisés. Leurs épaisses parois mettent plus facilement en échec les appareils des policiers, qui repèrent lors des contrôles la présence d'êtres humains grâce aux battements de cœur ou au gaz carbonique dégagé par la respiration. « Les passeurs nous disaient à chaque fois qu'il y aurait de l'air, de ne pas nous inquiéter…

Une fois, nous devions être près de 30 cachés dans ce frigo, mais très vite, au bout de deux ou trois heures, nous suffoquions déjà. Et comme les passeurs interdisent les téléphones pour ne pas se faire repérer, dans ces cas-là, il ne te reste plus qu'à frapper contre les parois en espérant que le conducteur ou un passant va venir t'ouvrir la porte… »

«Prendre un bus ou un train me rend malade» L'une de ces expériences a particulièrement marqué Davoud. « C'était encore un camion réfrigéré, nous étions peut-être 15, dont un bébé. On n'en pouvait plus, mais le conducteur du camion refusait de nous ouvrir, il a juste appelé la police. On était en train de s'asphyxier, on avait tous très peur pour ce bébé, c'est un miracle qu'il n'y ait pas eu de morts ce jour-là », soupire-t-il. Malgré tout, il continuera ses tentatives, conscient du danger. « Il n'y a pas d'autres moyens, dit-il, alors le risque pour ta vie, tu le prends. »

 Déplacé à Caen après la destruction du camp de Grande-Synthe, Davoud a finalement réussi à grimper avec un ami dans un camion laissé sans surveillance, il y a presque deux ans. « Je pensais qu'on se ferait sortir au bout de dix minutes, comme d'habitude. Mais nous n'avons été contrôlés ni en France ni à l'arrivée. Incroyable…! Le conducteur était fou furieux mais c'était le plus beau jour de ma vie. » Davoud, qui a obtenu l'asile au Royaume-Uni et un petit boulot, s'estime chanceux, mais n'est pas indemne. « Cela impacte ma vie au quotidien. Prendre un bus on un train me rend malade, ça m'oppresse. Cette histoire, c'est juste horrible. »

météo

Publié à 10:10 par fandeloup Tags : france sur image belle monde
météo

ALERTE METEO - Orages et fortes pluies : le programme des intempéries

 Plusieurs départements ont été placés en alerte orange aux orages et aux fortes pluies ce mercredi 23 octobre dès 6 heures du matin. Et la liste pourrait s'allonger au fil des heures. Découvrez le détail des intempéries prévues aujourd'hui.

La journée de ce mercredi 23 octobre ne sera pas belle pour tout le monde. En effet, si le quart nord-est sera au sec et profitera même de quelques éclaircies, ailleurs le temps sera beaucoup plus maussade, et même orageux localement.

Météo France a d’ailleurs placé plusieurs départements en alerte orange aux orages et pluie-inondation dès 6 heures ce matin : Bouches-du-Rhône, Var, Vaucluse, Andorre, Aude, Aveyron, Gard, Hérault, Pyrénées-Orientales et Tarn.

A noter : dans l’Hérault, une alerte orange aux vagues-submersion a également été lancée. "Chutes de grêle, et d'une forte activité électrique" "Dans les toutes prochaines heures, les fortes pluies orageuses concernent essentiellement l'Hérault et l'Aveyron, et l'est de l'Aude ; mais elles reprennent et progressent sur les Pyrénées Orientales, le Tarn, l'Aude dans l'intérieur et enfin le Gard, écrit l’agence dans son bulletin spécial.

Des lignes d'orages actifs circulent lentement, générant de très forts cumuls de pluie en quelques heures, de l'ordre de 50 à plus de 100 mm". 

Alors que les orages vont se déplacer dans la journée, allant des Pyrénées et de l’Aude vers la Provence et la Côte d’Azur, les prévisionnistes annoncent que ces éclairs pourront s’accompagner "de violentes rafales de vent, de chutes de grêle, et d'une forte activité électrique". Côté pluie, "les cumuls prévus sur l'ensemble de l'épisode sont de l'ordre de 100 à 150 mm généralisés, localement 200 à 300 mm" dans les Pyrénées-Orientales, l’Aude et l’Hérault. Dans l’Aveyron, le Tarn et le Gard, "les cumuls pourront atteindre 60 à 110 mm en plaine, et 150 à 200 mm sur le relief, ponctuellement plus" notent encore les spécialistes qui ajoutent que dans les Bouches du Rhône, le Var et le Vaucluse, l’épisode sera plus bref mais les pluies conséquentes, "de l'ordre de 50 à 80 mm, souvent en moins de 3 heures".

Aux orages et aux fortes pluies, s’ajouteront également des rafales de vent…

horreur

Publié à 15:57 par fandeloup Tags : carte sur chez enfants femme travail mort histoire
horreur

Toulouse : une femme jugée pour avoir tué sa collègue et découpé son corps en morceaux

Le procès de celle qui a été surnommée «la démembreuse du canal du Midi» s’ouvre lundi devant les assises de la Haute-Garonne.

Sophie Masala, 55 ans, conteste avoir voulu tuer la victime, morte en mai 2016.

Le 23 janvier 2018, à Toulouse, au domicile de la suspecte, lors de la reconstitution du meurtre de Maryline Planche, que sa collègue Sophie Masala est accusée d’avoir tuée puis démembrée en 2016.

 C'est tout autant le crime dont elle est accusée, le meurtre d'une collègue de travail, que la façon dont cette quinquagénaire s'est débarrassée du corps de la victime qui rend l'affaire hors norme.

Durant cinq jours, la cour d'assises de la Haute-Garonne va explorer la personnalité de Sophie Masala, 55 ans, mère de famille au passé exempt de violences, conseillère dans une structure associative pour handicapés. Et tenter de comprendre ce qui l'a conduit à tuer Maryline Planche, 53 ans, le 12 mai 2016 à Toulouse, avant de découper sa dépouille et d'en disperser ci et là les morceaux le long du canal du Midi – ce qui lui vaut ce surnom macabre de « démembreuse du canal du Midi ».

Quant à la tête de la victime, Sophie Masala révélera soudain, à la fin de son premier interrogatoire devant le juge, l'avoir enterrée dans un jardinet près de son balcon. «Une obsession haineuse» Pour l'accusation, Sophie Masala « a nourri pendant des semaines, avant de passer à l'acte, une obsession haineuse à l'égard de sa collègue Maryline Planche, dont elle jalousait la position. » Habitante de Montpellier (Hérault), mariée et mère de deux grands enfants,

Sophie Masala avait décroché un CDI au sein de la branche toulousaine de l'Association de gestion du fonds pour l'insertion des personnes handicapées (Agefiph), fin 2015. Très vite, a-t-elle admis, mais pour des motifs flous, ses relations avec Maryline Planche, conseillère et responsable de la logistique de la structure, se seraient dégradées.

Un différend perçu par d'autres employés, qui décrivent deux personnalités opposées : Sophie Masala, « bavarde, impulsive et désordonnée », mise en cause pour une histoire de vols de tickets-restaurants, n'hésitait pas à confier combien Maryline, « excellente professionnelle » au caractère « calme et discret », l'agaçait.

Ce 12 mai 2016, à son insu et en son absence, Sophie Masala s'introduit dans l'appartement de sa rivale, alors en arrêt maladie après une opération des yeux. L'enquête n'a pas permis d'établir la façon dont elle s'est procuré les clés. Après de multiples versions, elle explique qu'une fois Maryline Planche rentrée, une vive dispute les a opposées au sujet de dossiers qu'elle lui reprochait d'emporter chez elle pour travailler.

C'est au cours de cette violente altercation, pour se défendre, qu'elle aurait empoigné une bouteille de vin pleine pour frapper sa collègue plusieurs fois au visage et au crâne. Un scénario fragilisé par le témoignage d'un voisin : alerté ce jour-là par des cris, il avait aperçu Maryline Planche sur le palier, en culotte et tee-shirt, poursuivie par une femme qui l'avait ramenée dans l'appartement en la tirant par les cheveux. « Elle fait une crise de nerfs », lui aurait indiqué calmement l'inconnue. «Dépassée par une situation qui l'a effrayée»

Le comportement intriguant de Sophie Masala les jours qui ont suivi la mort de sa collègue sera au cœur des débats. Avant la découpe du corps à la scie à métaux, à laquelle elle ne procède que cinq jours après, elle part en week-end en famille à Montpellier (Hérault) ; s'approprie la carte bancaire et le téléphone de la victime ; fait savoir à qui veut l'entendre que Maryline Planche, qu'elle sait pourtant décédée, la harcèle sexuellement…

 Pour Me Laurent Boguet, avocat des proches de la défunte avec Me Georges Catala, ces éléments parachèvent le portrait « d'une personnalité glaçante ». « Elle fait preuve, après la mise à mort, d'une volonté de destruction morbide et de dépouillement, où la tête fait figure de trophée macabre », analyse-t-il, en soulignant à quel point ses clients ressentent « une crainte viscérale à être confrontés » à l'accusée.

L'avocat de Sophie Masala, Me Pierre Dunac, rappelle, lui, que sa cliente conteste « l'intention homicide » − il plaidera « les coups mortels ». Et propose une autre lecture de ce qui a suivi. « Elle explique, avec beaucoup de larmes et des souvenirs confus, qu'elle a été dépassée par une situation qui l'a effrayée.

Elle a paniqué et a voulu en dissimuler les conséquences. Elle sait que ses gestes sont perçus comme monstrueux et qu'elle est regardée comme une bête curieuse. Mais elle a l'intention de s'expliquer. » Sophie Masala encourt trente ans de réclusion criminelle.

horreur

Publié à 14:50 par fandeloup Tags : enfant cadre nuit sur centre
horreur

Creil : l’enfant de 4 ans décédé après une chute du 10e étage se trouvait seul dans l’appartement

Le drame a eu lieu samedi. La mère, qui pensait avoir pris les précautions nécessaires pour sécuriser son logement du 10e étage, n’a pas été placée en garde à vue. C’est d’un appartement de cet immeuble, situé rue Stéphane-Mallarmé, qu’un enfant de 4 ans a fait une chute mortelle ce samedi 19 octobre.

 Un élément révélé par les premières auditions menées dans le cadre de l'enquête. Et notamment celle de la mère de la jeune victime, entendue peu de temps après le drame, qui a reconnu s'être absentée brièvement. Cette dernière n'a pas été placée en garde à vue. « La maman a expliqué que l'enfant n'avait pas dormi de la nuit, indique une source proche de l'enquête. Elle a essayé de le réveiller à plusieurs reprises en fin de matinée, sans succès. Comme il n'y avait plus rien à manger, elle s'est résolue à partir faire des courses en laissant dormir le petit. »

Des meubles placés devant les fenêtres

La mère aurait alors pris la précaution de verrouiller l'appartement et « de placer des meubles devant les fenêtres » pour en empêcher l'accès. Elle aurait également débranché la cuisinière. Des mesures qui n'ont malheureusement pas été suffisantes. Les secours sont intervenus très rapidement après la chute et ont transporté le petit au centre hospitalier de Creil, où il est décédé à son arrivée. Le comportement de la mère, avec sa décision de laisser l'enfant seul, s'apparente « à un défaut de vigilance » pour le parquet de Senlis.

Pour autant, les précautions qu'elle a tenté de mettre en œuvre pourraient l'exonérer d'une responsabilité pénale dans ce terrible accident. L'enquête se poursuit encore, pour déterminer s'il y a lieu de reprocher à la mère de la jeune victime un manquement à une obligation de sécurité. Cette tragédie a bouleversé l'ensemble de la ville. Sur les réseaux sociaux, les hommages à la victime et des messages de soutien pour sa famille sont innombrables. Le maire (PS), Jean-Claude Villemain, a demandé dimanche à la conseillère municipale Yesim Sevas de rendre visite à la famille de l'enfant.

momifié

Publié à 17:17 par fandeloup Tags : homme saint mort chez amis femme
momifié

Hauts-de-Seine: le corps momifié d’une femme découvert chez elle cinq ans après sa mort

La retraitée, locataire de son appartement de Courbevoie depuis 1997, a été découverte par un huissier de justice mandaté par le bailleur social.

C’est au 4e étage de cet immeuble de la rue Armand-Silvestre que la dépouille de la locataire a été découverte. Courbevoie, ce lundi. C’est au 4e étage de cet immeuble de la rue Armand-Silvestre que la dépouille de la locataire a été découverte.

 Effroyable drame de la solitude à Courbevoie. Le cadavre momifié d'une septuagénaire a été découvert, ce vendredi, dans son logement, au 4e étage d'un immeuble de la rue Armand-Silvestre, au cœur du pourtant très dense quartier de Bécon.

Selon les premiers éléments de l'enquête, confiée au commissariat de Courbevoie, la femme , qui aurait 74 ans aujourd'hui, était vraisemblablement morte depuis près de 5 ans. Outre l'état de décomposition « très avancé » du cadavre, plusieurs indices laissent penser que le décès de la locataire remonte à plusieurs années.

Dans sa boîte aux lettres, des courriers datés de 2015 D'abord les dates de péremption des rares aliments retrouvés dans son réfrigérateur mais aussi le courrier − factures, lettres de relance et prospectus publicitaires − qui s'était entassé, au fil du temps, dans la boîte aux lettres.

«Cette boîte, elle était pleine à craquer, confie Élodie, la gardienne de l'immeuble, encore secouée par cette macabre découverte. Et d'après ce que j'ai pu voir, les lettres les plus anciennes datent bien de l'année 2015…»

La gardienne, pourtant en poste dans cette résidence de Courbevoie depuis 2014, confesse de toute façon n'avoir jamais croisé la malheureuse locataire. Ni dans les couloirs, ni dans le hall de cet ensemble HLM de 87 logements. «Elle ne recevait jamais personne» « Pour être honnête, je pensais même que cet appartement était inoccupé, glisse-t-elle. Quand on pense que personne ne s'est soucié du sort de cette pauvre femme pendant toutes ces années... Elle est morte seule, dans l'indifférence totale. C'est tout simplement affreux. »

Selon nos informations, la retraitée ne figurait pourtant pas parmi les nouveaux visages du quartier. C'est en effet en décembre 1997, il y a plus de 22 ans, qu'elle avait emménagé, seule, dans son F2 de la rue Armand-Sylvestre. Très discrète, elle n'avait manifestement pas d'amis et semblait avoir coupé les ponts avec l'ensemble de ses proches. « Elle ne recevait jamais personne et il lui restait, je crois, peu de famille, avance un voisin. Il me semble qu'elle avait encore sa mère et un demi-frère mais, apparemment, elle n'entretenait plus aucun rapport avec eux… »

Un loyer réglé par prélèvement automatique

C'est un huissier de justice, mandaté pour le bailleur 3 F Immobilier, qui a découvert sa dépouille momifiée, vendredi après-midi, peu avant 15 heures. « Le loyer était réglé sans problème par virement automatique mais nous ne parvenions pas à entrer en contact avec cette locataire, explique-t-on du côté du bailleur. Les courriers restaient tous sans réponse et personne ne répondait quand on envoyait quelqu'un frapper à sa porte. On a cru à un moment que ce logement était en réalité sous-loué et on a engagé une procédure de reprise du logement. » D'où le passage de l'huissier

 Mais avant cela, personne, pas même ses deux voisins de palier, ne s'était jamais inquiété de ne plus croiser la septuagénaire dans cette résidence HLM parfaitement entretenue. Même l'odeur pestilentielle du corps en décomposition n'a pas suffi à alerter ou éveiller les soupçons des autres locataires. Avec le recul, Élodie, elle, se souvient bel et bien d'une « odeur infecte » qui s'était soudainement propagée, il y a environ 4 ans, dans les parties communes de l'immeuble. Mais, à l'époque, la gardienne avait imaginé que le désagrément provenait, comme c'était parfois le cas, de « la colonne du vide-ordures ». « Je ne m'en remets pas, lâche-t-elle, dépitée. Si j'avais su que cette pauvre femme était là, je lui aurais tendu la main, j'aurais tenté de lui venir en aide… »