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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
La méduse immortelle Méduse immortelle
Cette méduse ne mesure que quatre à cinq millimètres, mais malgré sa taillme liliputienne, elle a la carrure d’une géante.
En effet, ce petit être gélatineux nourrit l’un des plus anciens fantasmes humains : l’immortalité. Comme beaucoup de ses cousines, elle débute sa vie sous forme de polype, solidement accrochée à un rocher. Là, cramponnée, elle filtre l’eau qui passe près d’elle en extrayant le placton. Puis, ce polype bourgeonne pour donner naissance à des méduses qui vont assurer la reproduction de l’espèce et se disséminer dans le grand bleu.
Mais cette belle demoiselle translucide peut rajeunir et reprendre sa forme ‘enfantine’ de polype. Un cas unique qui la rend potentiellement immortelle.
Survivrons-nous à ce monde plongé dans l'indifférence, supporterons-nous la démence qui chaque jour nous inonde?
Les renards sont très doués pour chasser de petits rongeurs. Une fois leurs proies attrapées, ils les rangent dans des glaciaires naturels pour les conserver.
L’incroyable mémoire des éponges
Mer des Caraïbes
Ne vous avisez plus de penser qu’une éponge, parce qu’elle est percée de trous et aussi molle qu’un chamallow n’a pas de mémoire. Les chercheurs viennent en effet de faire une découverte des plus surprenantes. Souvent confondue avec un végétal, l’éponge est en réalité un animal au même titre que l’anémone de mer ou le petit -poisson clown qui l’habite.
Et ces créatures qui semblent aussi réactives qu’une botte de poireaux ont une fabuleuse mémoire. Elles gardent en effet trace de toutes les espèces qui sont passées près d’elles. Pourtant, elles sont privées d’yeux. Mais, en filtrant plus de 10 000 litres d’eau par jour, un record, elles retiennent d’infimes traces gorgées d’ADN laissées dans leur sillage par diverses espèces, des crabes aux manchots en passant par les phoques ou les sardines et les mérous.
Et, en analysant la colonne d’eau ou encore l’estomac des éponges, on peut retrouver, comme dans un livre, tous les animaux qui ont lui ont rendu visite. Cet ADN environnemental est une formidable source d’information qui permet d’évaluer la biodiversité d’un site.
Des bulles d’humeur pour les bélugas
Sous l’eau, les bélugas font des bulles. Cet étrange comportement du plus discret des cétacés intriguait depuis longtemps les chercheurs. En effet, l’oxygène est précieux lorsqu’on vit sous l’eau et à fortiori dans le grand nord où chaque mouvement engage une importante dépense d’énergie. Pourtant, tous les individus et particulièrement les femelles et les jeunes émettent des bulles. De plusieurs types, produites par l’évent et parfois par la bouche, elles reflètent l’humeur de l’animal. Joueur, surpris ou agressif, à chaque situation sa forme de bulle. Et, comme pour le bâillement, les chercheurs ont montré l’existence d’un effet de contagion : lorsqu’un individu commence à émettre des bulles, beaucoup se mettent à l’imiter pour lui répondre
Changement de nourriture pour les mammifères marins d’Arctique !
L’océan Arctique regorge d’animaux marins. Autour des banquises, ou des icebergs, on peut apercevoir le phoque annelé, ce petit animal tacheté ou encore le beluga, cette belle baleine blanche qui sourit. Ces deux espèces vivent près des glaces de l’Arctique.
Le phoque y trouve sa nourriture favorite la morue. Quant au beluga, il en a besoin pour se protéger des prédateurs. Tous les deux ont pour habitude de chasser dans les zones glaciaires et plus particulièrement sur ce qu’on appelle « le front glaciaire », là où les glaciers rencontrent l’océan.
Malheureusement, le réchauffement climatique semble provoquer un changement alimentaire pour certaines espèces. En effet, le beluga et le phoque annelé tout comme d’autres, sont obligés de s’adapter à ces changements de température. Auparavant, le phoque ne passait que la moitié de son temps à chasser près des fronts glaciaires.
Aujourd’hui, la nourriture se faisant rare, chasser est devenue son activité principale pour survivre. Le beluga, lui a décidé d’aller se nourrir ailleurs. Il a quitté les fronts glaciaires et a rejoint les fjords près de la Norvège. Dans ces eaux, il trouve de nouvelles espèces de poissons qui eux aussi ont migré vers le nord suite au réchauffement climatique.
Le dugong est une espèce menacée de mammifère marin herbivore au corps fuselé, vivant sur les littoraux de l'océan Indien et de l'océan Pacifique ouest.
Appelé aussi vache marine, il fait partie, avec les trois espèces de lamantins, de l'ordre des siréniens.
Le dugong vit seul ou en petits groupes. Il émet de petits sifflements, on dit qu’il chante, comme le lamantin. Les dugongs broutent la végétation se trouvant sur les fonds peu profonds et généralement très près des côtes où ils vivent. Ce faisant, ils contribuent directement à l'épanouissement des fonds marins car la végétation prospère plus rapidement après leur passage. Ils contribuent aussi au brassage des fonds marins ce qui favorise également le développement de la faune locale. Plus encore que le lamantin,cette espèce est menacée.
Elle est fréquemment blessée par les hélices des embarcations à moteur et parfois chassée pour sa viande. Ses habitats côtiers sont en réduction, en particulier du fait du tourisme, de la pollution et de l'urbanisation des côtes. Le taux de reproduction est bas — un petit tous les quatre ou cinq ans — et la maturité sexuelle tardive : vers 10 ans.
Le dugong est officiellement intégralement protégé , mais les populations mondiales sont en chute rapide.
https://youtu.be/aAcVD_TtlFI
Peuples qui doivent s'éloigner de là où ils sont nés pour simplement survivre trouver où se nourrir. . . Car le désert avance. Sécheresse de l'abondance. Réchauffement climatique