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Dérèglement climatique

Publié à 13:40 par fandeloup Tags : sur vie monde france mer nature
Dérèglement climatique

Dérèglement climatique: le rapport choc du Giec

Le candidat d'extrême droite Jair Bolsonaro arrive en tête du premier tour de la présidentielle au Brésil avec 48,12% des voix le 7 octobre 2018.Brésil: le candidat d’extrême droite en tête au 1er tour Michel Onfray se justifie sur sa lettre jugée homophobeMichel Onfray se justifie sur sa lettre jugée homophobe Le Giec publie ce lundi un rapport fondamental sur le climat.

Il en revient désormais aux gouvernements de se l'approprier et d'entamer une transition écologique. La question du réchauffement climatique est sur le devant de la scène et, avec elle, la nécessaire implication des Etats pour endiguer la hausse des températures.

Le Giec (Groupe des experts du climat) a publié ce lundi un rapport, avec une conclusion sans appel : pour éviter des impacts majeurs sur l’humanité, le réchauffement climatique doit être contenu à +1,5 °C au maximum. Dans ce cas, le monde sera certes déréglé, soulignent les scientifiques, mais vivable et viable pour l'humanité.

En revanche, une hausse de plus de 2°C pourrait avoir des effets irréversibles pour la vie sur Terre. Élévation du niveau de la mer, désertification, perte d'habitats naturels et d'espèces, diminution des calottes glaciaires, rythmeraient un quotidien moribond. Dérèglement climatique: le rapport choc du Giec© Mario Hoppmann-AFP Dérèglement climatique: le rapport choc du Giec "Big bang écologique" Plus qu'un constat, le rapport du Giec est un appel urgent lancé aux dirigeants des Etats.

Ils doivent, sans plus tarder, enclencher une transition écologique à travers, notamment, une décarbonation des secteurs clés de l’énergie, des transports et de l'agriculture "Nous avons besoin d’un big bang écologique pour assurer un avenir à l’humanité et à la nature. Nous savons quelles sont les solutions pour y parvenir, il faut maintenant changer d’échelle et faire de la transition écologique une priorité au niveau national et international. En France, cela doit passer par des décisions à la hauteur dans les domaines de l’énergie, du bâtiment, des transports et de l’agriculture et par une reconnaissance de la dette écologique au même niveau que la dette financière”, avertit Pascal Canfin, directeur général du WWF France, dans un communiqué.

 Des actions concrètes d'ici 2020 195 Etats ont approuvé ce rapport réclamé au moment de la COP21, à Paris. Reste qu’ "ils doivent tenir compte de la science pour éviter les conséquences irréversibles du changement climatique. Nous ne pouvons plus procrastiner l’action climatique au niveau mondial", prévient Manuel Pulgar Vidal, directeur international Climat & Énergie au WWF.

Et d’ajouter: "La différence entre possible et impossible, c’est la volonté politique. Pour parvenir à relever le défi qui nous attend, nous avons besoin d’un leadership et d’engagements politiques forts, à compter de la COP24 en décembre, concrétisés ensuite par des plans d’action nationaux plus solides d’ici 2020." La balle est désormais dans le camp des décideurs politiques.

tortue

tortue

La hausse des températures fait changer de sexe les tortues marines

La colonie de tortues vertes la plus importante de l'océan Pacifique est en train de connaître une crise, vraisemblablement due à la hausse des températures. C

e problème pourrait-il se propager à l'échelle planétaire ?

 Sexe et chaleur peuplaient l'imaginaire des spécialistes des tortues lorsqu'ils sont arrivés sur l'île Ingram, en Australie. Les tortues vertes du Pacifique passent des années à naviguer dans les eaux de cette aire d'alimentation du nord de l'Australie.

Elles s'y nourrissent d'algues marines avant de rejoindre des zones de nidification, où elles se reproduisent et pondent leurs œufs. Une question taraudait les scientifiques : ils souhaitaient distinguer les reptiles mâles des reptiles femelles.

Observer une tortue marine ne suffit pas toujours à déterminer son sexe ; les chercheurs se sont donc lancés dans un « rodéo de tortues ». Debout sur des esquifs, ils se sont précipités sur des tortues qui flottaient dans les eaux, s'élançant comme des taureaux sur la carapace des animaux.

Après avoir amené en douceur chaque tortue sur la berge, ils ont prélevé des échantillons ADN et sanguins et réalisé de minuscules incisions afin d'examiner les gonades des tortues. Le sexe d'une tortue de mer étant déterminé par la chaleur du sable qui couve les œufs, les scientifiques s'attendaient à constater un nombre de femelles légèrement plus important.

En effet, le réchauffement climatique a engendré une hausse des températures de l'air et de la mer qui se traduit chez ces créatures par un plus grand nombre de progénitures femelles. Ils ont alors découvert que les tortues marines femelles issues de la colonie des tortues vertes la plus importante de l'océan Pacifique étaient plus nombreuses que les mâles, avec au moins 116 femelles pour un mâle.

« Ces résultats sont extrêmes, dans tous les sens du terme », rapporte Camryn Allen, spécialiste des tortues auprès de la National Oceanic and Atmospheric Administration d'Hawaï.

« Il est question d'une poignée de mâles, face à des centaines et des centaines de femelles. Ces résultats nous ont laissés sans voix. »

La nouvelle étude publiée dans Current Biology début janvier par Camryn Allen et ses collègues ne fait que s'ajouter à la liste des études suggérant le lien entre hausse des températures et accroissement des femelles chez les populations de tortues marines. Elle constitue toutefois la recherche la plus détaillée à ce jour, qui montre l'ampleur du problème et soulève de nouvelles questions sur les menaces pesant sur les tortues marines à l'échelle mondiale (mais aussi sur les espèces tributaires des températures, des alligators aux iguanes en passant par les capucettes béryl, un poisson essentiel pour de nombreux cours d'eau et estuaires.

« Lorsque vous étudiez l'une des plus grandes populations de tortues au monde, tout le monde tend à penser que c'est bon signe, que tout va bien », explique Michael Jensen, biologiste marin, auteur principal de cette nouvelle étude et chercheur auprès du Southwest Fisheries Science Center de la NOAA à La Jolla, en Californie.

« Mais que se passera-t-il dans 20 ans, lorsqu'il n'y aura plus aucun mâle adulte ? Y en a-t-il suffisamment pour maintenir la population en vie ? »

« Les résultats étaient bien pires que ce que nous imaginions » Les tortues vertes de l'est australien, dont le poids peut atteindre 227 kilos et les carapaces en forme de cœur plus d'1,20 mètre de diamètre, font leur nid essentiellement dans deux lieux : un chapelet d'îles situé près de Brisbane, le long de la Grande Barrière de corail, ainsi que sur l'île de Raine, une goutte de sable et d'herbes enclavée située à 1 200 kilomètres au nord. Davantage d'études doivent être menées afin d'évaluer l'ampleur du changement de sexe chez les tortues vertes d'autres régions du monde, à l'image de ce reptile évoluant dans les îles Galápagos.

 Quelques années après l'éclosion des œufs dans l'un de ces deux lieux, les tortues se mêlent les unes aux autres et nagent dans les eaux peu profondes de la mer de Corail. Elles peuvent y prospérer pendant 25 ans voire plus, avant de retourner s'accoupler dans l'une des deux régions. Elles reviennent ensuite dans les mêmes aires d'alimentation pendant des décennies. Le biologiste et auteur de l'étude souhaitait savoir si le réchauffement climatique avait d'ores et déjà altéré le ratio des naissances des mâles par rapport à celles des femelles.

Au moyen de tests génétiques, il avait été en mesure de relier des tortues de tous âges d'une zone d'alimentation donnée à des aires de nidification précises. Mais ces données démographiques ne tenaient pas compte d'un détail essentiel : le sexe. Ce n'est qu'une fois qu'une tortue a atteint l'âge adulte que son apparence permet de définir son sexe, les mâles adultes ayant des queues légèrement plus longues.

Pour arriver à ce stade, les tortues peuvent être âgées de plusieurs décennies. Les scientifiques ont donc souvent recours à la laparoscopie, une méthode qui consiste à insérer un tube fin dans chaque animal afin de visualiser ses organes. Cette technique est toutefois intrusive, peu pratique si l'on souhaite ausculter des centaines de créatures et laissait Michael Jensen perplexe. Lors d'une conférence dédiée aux tortues au Mexique, il fait la rencontre de Camryn Allen, ancienne chercheuse spécialiste des koalas.

Elle utilisait les niveaux de testostérone pour suivre les grossesses de ces marsupiaux amoureux des arbres et a développé des méthodes lui permettant de déterminer le sexe des espèces marines à partir de leur niveau d'hormones. Il ne lui fallait que quelques gouttes de sang. Le duo s'est joint à d'autres chercheurs, dont le spécialiste des tortues australien Ian Bell, et a prélevé du sang sur des tortues de la Grande Barrière de corail.

Les chercheurs ont également réalisé quelques laparoscopies afin de confirmer et d'appuyer les méthodes d'Allen. Ils ont comparé leurs résultats aux températures des zones de nidification et examiné des tortues de tous âges.

Les résultats les ont pris de court. « Nous nous sommes immédiatement écrié : "Bon sang !" », se souvient Allen. « Les résultats étaient bien pires que ce que nous imaginions. » Il apparaît que l'île de Raine ne voit naître presque exclusivement que des tortues femelles depuis au moins 20 ans. L'île de 32 hectares et ses bancs de corail voisins abritent l'une des plus grandes colonies de tortues vertes au monde, avec plus de 200 000 tortues qui viennent y faire leur nid.

À la haute saison, jusqu'à 18 000 tortues peuvent y séjourner en même temps, et nous ne parlons là que des femelles. Les scientifiques sont également parvenus à déterminer l'âge approximatif des tortues examinées, ce qui les a amenés à une autre découverte. Le long de la partie nord de la Grande Barrière de corail, où la hausse des températures s'est accompagnée d'un blanchissement des coraux critique ces dernières années, la proportion de femelles face aux mâles s'est accentuée au fil du temps.

Si les tortues ayant éclos dans cette région dans les années 1970 et 1980 étaient à majorité des femelles, le ratio n'était que d'une femelle pour six mâles. « Nous sommes face à une étude révolutionnaire », affirme Brendan Godley, spécialiste des tortues marines et professeur en sciences de la conservation à l'université d'Exeter, qui n'a pas participé à l'étude. Selon lui, le périmètre étudié — qui englobe toute la longueur de la Grande Barrière de corail — ainsi que l'approche multidisciplinaire rendent cette recherche extrêmement pertinente.

Les découvertes réalisées plus au sud par Jensen et Allen sont tout aussi importantes. Les tortues qui éclosent dans le récif sud, à proximité de Brisbane — où les températures ont augmenté dans une moindre mesure et où les coraux sont encore en bonne santé — s'en sortent bien mieux. Les tortues femelles y sont certes plus nombreuses, mais le ratio est seulement de deux femelles pour un mâle.

« Cette découverte associée à des modélisations précises démontre que les plages plus fraîches du sud voient encore naître des mâles, alors que dans le nord où le climat est tropical, seules des femelles, ou presque, voient le jour », explique Brendan Godley. « Ces résultats indiquent de façon patente que le réchauffement climatique est en train de modifier de nombreux aspects de la biologie des espèces sauvages. »

Mais quelle est l'ampleur de ce phénomène et à quel point est-il répandu ?

« Les températures évoluent à une vitesse incroyable » Pour l'heure, nous l'ignorons. Les tortues marines mâles s'accouplant généralement avec plus d'une femelle et se reproduisant plus fréquemment, une légère différence en faveur des femelles peut avoir ses avantages. Le passage en revue récent de 75 colonies de tortues marines à travers le monde a montré un ratio d'environ trois femelles pour un mâle. En effet, certaines populations de tortues donnaient naissance à davantage de femelles que de mâles il y a un siècle déjà.

La véritable question consiste à savoir à quel point cela a-t-il évolué et à quel stade est-ce inquiétant. Les tortues marines existent depuis 100 millions d'années, au cours desquelles les températures ont augmenté et diminué. Après des décennies de déclin des populations dû à la chasse, au braconnage, à la pollution, aux maladies, au développement urbain, à la perte d'habitat et aux prises accessoires favorisées par la pêche commerciale, de nombreuses populations à travers le monde ont récemment présenté des signes d'amélioration.

« Cependant, les températures évoluent aujourd'hui à une vitesse incroyable », alerte Jensen. « De nombreuses générations sont nécessaires à l'adaptation des animaux. Or, nous parlons ici d'espèces qui vivent 50 ans voire plus, et les conditions changent de manière drastique rien qu'au cours de leur vie. »

Une tortue de mer éclot dans le sable. Rien que sur l'île de Raine, par exemple, la hausse du niveau de la mer a submergé les zones de nidification et noyé les œufs. L'érosion des plages façonne de petites falaises, à cause desquelles les tortues vertes adultes tombent sur leur carapace et meurent, incapables de se redresser. Les autorités australiennes investissent des millions de dollars dans la restauration de l'île et dans le but d'améliorer les conditions de vie des tortues.

Pourtant, les scientifiques prédisent depuis au moins 35 ans que l'équilibre entre mâles et femelles des sept espèces de tortues marines (tortue verte, caouanne, luth, caret, à dos plat, olivâtre et de Kemp) serait extrêmement vulnérable au réchauffement climatique. Les reptiles sont si sensibles à la température qu'une faible hausse de quelques degrés Celsius pourrait se traduire par la naissance de tortues exclusivement femelles dans de nombreuses régions, entraînant la disparition de populations entières.

Une hausse excessive des températures pourrait donner lieu à un scénario pire encore : les œufs cuiraient littéralement dans leur nid. Avant cette nouvelle recherche, la plupart des études laissaient entendre qu'une féminisation excessive des tortues ne poserait problème qu'à la fin du 21e siècle. Rares étaient les recherches se penchant sur la situation actuelle. Il y a deux ans, un travail d'observation sur une petite population de tortues vertes à San Diego révèle à Allen que 65 % des tortues sont des femelles.

Chez les jeunes tortues, ce chiffre s'élève même à 78 %. En parallèle, des populations de tortues luths au Costa Rica ainsi que de tortues caouannes en Floride et dans d'autres régions, notamment en Afrique de l'Ouest, ont révélé une augmentation de femelles. Cependant, aucune de ces recherches n'avait jusqu'ici analysé des populations sur une échelle semblable à celle de l'étude de Jensen et d'Allen. Il reste toutefois difficile de déterminer le stade à partir duquel le nombre de mâles est trop faible. Non seulement la réponse varie selon l'espèce et la région, mais l'élément déterminant le sexe d'une tortue, à savoir la température, peut être lui-même influencé par des facteurs locaux.

Dans l'archipel des Chagos, situé dans l'ouest de l'océan Indien, les longues périodes de pluies torrentielles, l'ombre des arbres côtiers et les plages étroites contraignant les carets à faire leur nid près de l'eau contribuent au maintien d'un taux raisonnable de naissances de mâles. Dans les Caraïbes, la situation des tortues marines inquiète les scientifiques : l'exploitation forestière réduit l'ombre qui contribue à la fraîcheur des plages, fraîcheur nécessaire à la naissance de mâles. Un bébé tortue caouanne nage à la surface.

« Ce qui m'inquiète vraiment » Selon le spécialiste des tortues marines Nicolas Pilcher, qui n'a pas participé à l'étude, tous ces éléments donnent d'autant plus de sens à la recherche sur la Grande Barrière de corail. La majorité des plages de la région n'étant pas ombragées, la corrélation entre conditions climatiques et proportion des sexes est évidente et le nombre de tortues touchées par le phénomène doit avoisiner les centaines de milliers. Aucune étude n'avait pu démontrer le taux aussi disproportionné de cette région cruciale pour l'espèce (probablement car personne jusqu'ici ne savait comment l'évaluer).

« Cette étude est unique car la population de l'île de Raine est si importante que l'impact causé par un déclin (potentiel) sera considérable. Par ailleurs, les auteurs ont retracé les données en montrant que la répartition des sexes était autrefois plus équilibrée », indique le spécialiste. Camryn Allen s'inquiète des conclusions de son étude pour les milliers de populations de tortues marines aux quatre coins du globe, qui restent à être étudiées avec cette nouvelle méthode. La chercheuse et son collègue Michael Jensen ont l'intention d'appliquer leurs techniques dans de nouvelles zones de nidification. Ils ont d'ores et déjà prélevé des échantillons sur les îles de Guam, d'Hawaï et de Saipan. « Le nord de la Grande Barrière de corail abrite l'une des plus grandes populations différentes sur le plan génétique au monde », explique la chercheuse.

« Ce qui m'inquiète vraiment, c'est d'appliquer ce problème à des populations dont les chiffres sont d'ores et déjà extrêmement faibles. »

manchots

Publié à 10:17 par fandeloup
manchots

Dans la "mer" de ses semblables, un petit ne doit jamais s'éloigner de son parent ...

manchot

Publié à 07:41 par fandeloup Tags : monde
manchot

Le monde est un spectacle à regarder et non un problème à résoudre.

poissons clown.

Publié à 14:55 par fandeloup Tags : animaux chez sur
poissons clown.

Du rôle des rayures chez les poissons clown. poisson clown dans une anémone$

 Ce qui frappe nos yeux lorsque l’on plonge sur un récif corallien, c’est la diversité des couleurs et des formes revêtues par les animaux. L’un des héros ce cet écosystème est sans nul doute le poisson clown.

Il en existe plus de trente espèces dont le corps jaune clair à orangé est barré d’aucune ou d’une à trois rayures de coloris varié. Le rôle de ces motifs restait totalement mystérieux jusqu’à ce que des chercheurs se plongent dans cette énigme de l’évolution.

Les rayures apparaissent l’une après l’autre lors de la croissance du poisson, la première se dessinant toujours le plus proche de la tête. Certaines peuvent ensuite disparaissent en grandissant, partant de la queue.

Ce sont de véritables cartes d’identité permettant à un individu de reconnaître les autres membres de son espèce. En effet, au sein d’une anémone, plusieurs types de poissons clowns peuvent se côtoyer et lorsqu’un jeune cherche un logis où s’installer, il est essentiel de sa voir quels sont les autres locataires.

poisson

Publié à 10:21 par fandeloup Tags : nature
poisson

Fascinante Nature | Un poisson chauve-souris à lèvres rouges.

espace

Publié à 14:59 par fandeloup Tags : pensée
espace

Vois grand , ne limite pas ta pensée , tu es ta propre limite !

tortue

Publié à 18:54 par fandeloup Tags : rouge monde
tortue

Connaissez-vous l’animal le plus doué en apnée?

 Aujourd’hui, on vous emmène au cœur des océans à la rencontre de l’animal le plus doué en apnée.

Avez-vous deviné ?

La grande championne est la tortue verte. Cette grande nageuse possède des poumons qui lui permettent de rester 3 heures sous l’eau sans remonter à la surface. Le record du monde pour un humain est lui de 12 minutes !! Cette appellation de tortue verte lui vient de de la couleur de sa graisse, lié aux algues qu’elle consomme.

Chassée pour sa chair et ses œufs, elle est aujourd’hui protégée par des conventions internationales (liste rouge de l’UICN).

manchots

Publié à 14:26 par fandeloup Tags : sur oiseaux place mer
manchots

Les jeunes manchots royaux regroupés en immenses crèches

E Des bandes de manchots royaux se rassemblent chaque matin sur les larges plages sablonneuses des îles Malouines, avant de plonger dans la mer glacée. Ces grands oiseaux , proches de l’Empereur, mais plus petits en taille, regagnent l’océan durant l’hiver austral, tandis que leurs petits, tout juste nés, restent à terre et attendent leur retour.

Contrairement à d’autres espèces de manchots, les royaux ne se reproduisent pas sur la glace. Ils ont besoin de terres, en particulier de larges plages de sable comme celles de cet archipel éloigné de l’Atlantique Sud, pour pondre leurs œufs et élever leurs petits.

Dès son premier mois, le nouveau-né est placé en crèche, laissant le temps à ses parents de partir en quête de krill, ou de calmars pour le nourrir. Le jeune manchot trouve sa place au sein de la colonie, et des quelques milliers de jeunes de son âge. Ensemble ils apprennent à se regrouper en mini tortue afin de se tenir chaud !

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Publié à 11:16 par fandeloup Tags : coup
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Un mot pour ce superbe coup