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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Le cougar, ou puma de l'Est américain, est une espèce éteinte. Combien devront suivre pour que l'on traite le sujet sérieusement ?
Le calao à casque rond, un étrange oiseau menacé d’extinction en Asie du Sud-Est
La survie de cet oiseau, à la tête rouge vif, coiffé d’une sorte de casque, est aujourd’hui en jeu.
En cause, un important trafic vers la Chine et la déforestation qui dévore son habitat.
Ce mâle va nourrir sa famille dans le nid avec des fruits de la forêt. Le calao à casque rond régurgite et défèque des graines d’arbres. Il aide ainsi à reconstituer des étendues de forêt, là où le déboisement pour l’huile de palme menace son habitat.
Un mètre d’envergure, une tête énorme, flanquée de deux yeux globuleux et d’une étrange coiffe, portée par un cou rouge plissé et nu… voilà le portrait robot du calao à casque rond.
En tout, il existe cinquante-sept espèces de calaos en Afrique et en Asie. Mais celle-ci n’habite que dans les forêts de basse altitude de Brunei, d’Indonésie, de Malaisie, du Myanmar et du sud de la Thaïlande. Elle se distingue des autres par son casque principalement solide.
Celui-ci comporte une épaisse couche de kératine, la même matière qui constitue nos ongles, nos cheveux et la corne de rhinocéros. Cette caractéristique singulière en fait la proie d’un intense trafic, la tête de l’animal étant transformée en bijoux ou en objets d’art vendus illégalement en Chine.
Casques de calao, tigres naturalisés et autres objets de trafic saisis par les autorités remplissent une pièce, à Jakarta, en Indonésie. Des gangs dirigés par des Chinois et spécialisés dans les parties de tigre et de pangolin, se sont diversifiés dans les casques de calao.
On ne comprend pas grand-chose au comportement des calaos à casque rond. On sait toutefois qu’ils se battent à coups de casque en plein vol – peut-être quand ils se disputent des sites de nidification ou des arbres fruitiers. Omnivores, ces oiseaux ont un faible pour le fruit du figuier étrangleur.
Cet arbre naît d’une graine retenue dans la canopée d’une essence hôte, puis envoie des racines vers le bas, étranglant peu à peu son support. Lors de la fructification, il devient le supermarché de la forêt tropicale, tant sont nombreux les animaux à se régaler des fruits mûrs, des tupaïas aux écureuils géants, des gibbons aux orangs-outans, sans compter près d’un millier d’espèces d’oiseaux.
Les calaos sont essentiels à la survie des forêts d’Asie du Sud-Est. Ils dispersent les graines en les régurgitant ou en les déféquant, ce qui aide à reconstituer des populations d’arbres sur des kilomètres carrés. Voilà une tâche cruciale à l’heure actuelle, vu les étendues de forêt primaire défrichées par des entreprises, notamment pour planter des palmiers à huile.
L’exploitation du bois à grande échelle réduit également l’habitat des espèces asiatiques de calaos, qui peinent de plus en plus à trouver où nicher.
Des membres s'auto-régénérant et d'autres découvertes incroyables
Ces découvertes scientifiques pourraient changer nos vies.
Ce sujet figure dans le numéro d'août 2018 du magazine National Geographic.
À l'Université du Minnesota, une créature capable de réparer et de régénérer organes et membres aide les scientifiques à comprendre pourquoi les humains sont incapables de faire de même.
L’axolotl, une espèce en danger critique d'extinction également connue sous le nom de salamandre du Mexique, partage avec l'Homme un type de cellule, la cellule gliale.
Ainsi, lorsqu'un axolotl présente des lésions de la moelle épinière, ses cellules gliales vont réparer les dommages nerveux et soigner la blessure. Chez les humains, ces cellules forment le tissu cicatriciel, qui empêche les voies nerveuses de se régénérer. Les scientifiques espèrent qu'en comprenant le processus qui permet aux axolotls de faire repousser leurs membres manquants, nous pourrions un jour faire de même.
Les tiques sont bien des parasites préhistoriques. Des scientifiques ont découvert des tiques dans de l'ambre birman vieux de 99 millions d'années. L'une d'entre elles (en haut, à gauche) était même gonflée de sang. Un autre fragment d'ambre, contenant une plume et un autre arachnide (centre) suggère que ces tiques se nourrissaient peut-être du sang de dinosaures à plumes qui vivaient à l'époque du Crétacé.
Espagne : découverte d'un mammifère datant du temps des dinosaures
Le fossile d'une nouvelle espèce de mammifère a été découverte en Espagne.
Doté de poils mais aussi d'épines, il vivait il y a 125 millions d'années, au temps des dinosaures. Des chercheurs ont découvert une nouvelle espèce de mammifère qui vivait il y a 125 millions d'années, au temps des dinosaures: doté de poils mais aussi d'épines, il avait la taille d'un rat et des pattes fouisseuses comme celles des tatous.
Spinolestes xenarthrosu, c'est le nom d'une nouvelle espèce de mammifère découverte par les chercheurs. Doté de poils mais aussi d'épines, cet animal avait la taille d'un rat et des pattes fouisseuses comme celles des tatous.
Il vivait il y a 125 millions d'années, du temps des dinosaures. Le fossile étudié était aussi affligé de la teigne, une mycose qui affecte le pelage et existe aujourd'hui encore, ont constaté les scientifiques. Parfaitement conservé, le fossile a été trouvé en 2011 à Las Hoyas, un gisement du Crétacé inférieur (-127 millions d'années) situé en Espagne près de la ville de Cuenca.
Cette «boule de poils» vient d'être décrite par une équipe internationale de paléontologues, dans une étude parue mercredi dans la revue britannique Nature. Ils ont conclu qu'il s'agissait d'une nouvelle espèce appartenant à l'ordre des eutriconodontes, une lignée de mammifères disparus à la fin de l'ère Mésozoïque (-252,2 à - 66,0 millions d'années).
Il était de la famille des gobiconodontes. Spinolestes xenarthrosus, qui se nourrissait d'insectes et de larves, mesurait 25 cm de long. Il avait des dents acérées, une colonne vertébrale, des pattes aptes à fouiller la terre comme celles des tatous, une crinière le long du dos et des petites épines similaires à celles du hérisson.
Une grande diversité de fossiles à Las Hoyas Si cet animal possédait les caractéristiques classiques de sa famille, comme sa fourrure, la présence d'épines bien particulières «le rend unique en son genre», souligne le CNRS (Centre national de la Recherche Scientifique) français, dont un chercheur à l'Université de Rennes, Romain Vullo, a participé à l'étude.
«Son évolution s'est faite indépendamment d'espèces à épines comme les hérissons». Le fossile possède encore des bronchioles pulmonaires et des restes du foie. «Il s'agit des plus anciens organes internes de mammifères jamais trouvés», souligne Thomas Martin, chercheur à l'Université de Bonn, l'un des auteurs de l'étude.
Les chercheurs ont délimité l'emplacement du diaphragme de l'animal, «une première preuve fossile que le système respiratoire unique des mammifères était bien fonctionnel dès le Mésozoïque», relève le CNRS.
Grâce à ce fossile, «nous avons des preuves concluantes que plusieurs caractéristiques fondamentales des mammifères étaient déjà bien établies il y a 125 millions d'années, au temps des dinosaures», indique Zhe-Xi Luo, chercheur à l'Université de Chicago, un des auteurs de l'étude. Las Hoyas, unique en Europe, est un dépôt sédimentaire qui contient une grande diversité de fossiles, emprisonnés dans un ancien environnement marécageux.
La population des tigres du Bengale diminue à un rythme alarmant au Bangladesh
Thomas Mangelsen Le nombre des grands félins baisse à un rythme inquiétant, selon les chiffres publiés dans une nouvelle étude scientifique. Les tigres du Bengale sont-ils menacés? Le nombre de ces grands félins diminue en effet à un rythme alarmant dans les Sundarbans, la plus vaste forêt de mangroves au monde, au Bangladesh, selon une étude détaillée lundi par des scientifiques.
Alors que 440 individus avaient été recensés en 2004 dans cet écosystème exceptionnel, inscrit au patrimoine mondial par l'Unesco, les grands félins ne sont en réalité qu'une centaine, affirme Tapan Kumar Dey, responsable de la protection de la faune et de la flore au gouvernement.
L'écart s'explique en partie par la méthodologie : au lieu de l'aléatoire comptage effectué à partir de relevés d'empreintes, les scientifiques utilisent désormais des appareils photos équipés de détecteurs de mouvement.
Après un an d'observation, ils en ont compté entre 83 et 130. "Nous avons donc une moyenne de 106 tigres dans cette partie des Sundarbans", auxquels il faut ajouter 74 "chats" précédemment identifiés côté indien, précise Tapan Kumar Dey à l'AFP.
La survie de l'espèce en question L'Inde abrite la plus importante population de tigres du Bengale avec 2226 individus connus. Le Bangladesh, le Népal, le Bhoutan, la Chine et la Birmanie se partagent le reste. Pour Monirul Khan, zoologue à l'université Jahangirnagar du Bangladesh et grand expert du tigre, les conclusions de l'enquête confirment les pires craintes concernant la survie de l'espèce.
"Il semble que la population ait décliné plus rapidement que ce à quoi nous nous attendions", regrette-t-il, dénonçant le braconnage et la destruction de l'habitat naturel de l'animal. Selon le Fonds mondial pour la nature (WWF), le nombre de tigres sauvages est tombé de 100 000 en 1900 à 3200 aujourd'hui. Le tigre du Bengale est classé au nombre des espèces menacées par l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN).
Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes.
A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux. Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.
L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques.
Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.
Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.
Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.
Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale.
Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.
L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques.
Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.
Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.
Comme la population humaine croît, la déforestation augmente. En conséquence, beaucoup d'animaux sont menacés d'extinction, en raison de la perte de leur habitat naturel. Si nous ne faisons pas quelque chose maintenant, cela pourrait être la fin de plusieurs espèces.
Comme la population humaine croît, la déforestation augmente. En conséquence, beaucoup d'animaux sont menacés d'extinction, en raison de la perte de leur habitat naturel. Si nous ne faisons pas quelque chose maintenant, cela pourrait être la fin de plusieurs espèces.
Comme la population humaine croît, la déforestation augmente. En conséquence, beaucoup d'animaux sont menacés d'extinction, en raison de la perte de leur habitat naturel. Si nous ne faisons pas quelque chose maintenant, cela pourrait être la fin de plusieurs espèces.