Cette petite bête a choisi Dijon

Arnaud Manceau

Cette petite bête a choisi Dijon Découverte en mai dernier à la Combe Saint-Joseph à Dijon, cette espèce habituée du sud de l’Europe centrale n’avait jamais été observée dans notre partie du Vieux continent.

Ces espèces disparaîtront probablement au cours de cette génération Le monde a connu 5 grandes extinctions des espèces, toutes naturelles. Aujourd’hui, l’humanité assiste au début de la sixième extinction massive des espèces. Mais cette fois, ça n’a rien de naturel.

Voici une sélection arbitraire d'espèces qui, si nous ne faisons rien, disparaitront probablement dans l’espace d’une vie d’Homme. Sauf si nous empêchons ça. On estime que toutes les espèces ont diminué de 25% durant les 500 dernières années. En cause, l’activité humaine. Les chiffres ne mentent pas.

Le rythme de disparition est de 100 à 1 000 fois plus élevé que ne le veut le processus d’évolution naturel selon l’Union internationale pour la conservation de la nature. Parmi ces espèces en danger, certaines le sont plus que d’autres. Vous pourriez sans doute assister à leur extinction de votre vivant. Voici le « visage » de certaines d’entre elles.

On estime que toutes les espèces ont diminué de 25% durant les 500 dernières années. En cause, l’activité humaine. Les chiffres ne mentent pas. Le rythme de disparition est de 100 à 1 000 fois plus élevé que ne le veut le processus d’évolution naturel selon l’Union internationale pour la conservation de la nature. Parmi ces espèces en danger, certaines le sont plus que d’autres. Vous pourriez sans doute assister à leur extinction de votre vivant. Voici le « visage » de certaines d’entre elles.

Olm

Proche de l’Axolotl, cet amphibien est totalement aquatique. Il reste toujours dans l’eau généralement des grottes profondes et obscures. C’est la pollution de l’eau qui serait responsable de sa lente disparition.

On estime que toutes les espèces ont diminué de 25% durant les 500 dernières années. En cause, l’activité humaine. Les chiffres ne mentent pas. Le rythme de disparition est de 100 à 1 000 fois plus élevé que ne le veut le processus d’évolution naturel selon l’Union internationale pour la conservation de la nature. Parmi ces espèces en danger, certaines le sont plus que d’autres. Vous pourriez sans doute assister à leur extinction de votre vivant. Voici le « visage » de certaines d’entre elles.

Crabe de cocotier

Il fut longtemps chassé sur ses territoires jusqu’à devenir une espèce protégée. Crabe terrestre, il vit sur les îles du Pacifique mais ne va pas dans l’eau. Il est capable de fendre une noix de coco pour en manger le contenu. Muni de poumons, il peut grimper aux arbres et ses pinces suffisent largement à couper un doigt humain en une fraction de seconde.

On estime que toutes les espèces ont diminué de 25% durant les 500 dernières années. En cause, l’activité humaine. Les chiffres ne mentent pas. Le rythme de disparition est de 100 à 1 000 fois plus élevé que ne le veut le processus d’évolution naturel selon l’Union internationale pour la conservation de la nature. Parmi ces espèces en danger, certaines le sont plus que d’autres. Vous pourriez sans doute assister à leur extinction de votre vivant. Voici le « visage » de certaines d’entre elles.

Strigops kakapo

Le seul perroquet incapable de voler. Large et gros, il ne peut que marcher au sol de la forêt. Il fait partie d’une espèce de grands perroquets nocturnes endémique à la Nouvelle-Zélande. Il en resterait un peu plus de 200 sur l’île.

On estime que toutes les espèces ont diminué de 25% durant les 500 dernières années. En cause, l’activité humaine. Les chiffres ne mentent pas. Le rythme de disparition est de 100 à 1 000 fois plus élevé que ne le veut le processus d’évolution naturel selon l’Union internationale pour la conservation de la nature. Parmi ces espèces en danger, certaines le sont plus que d’autres. Vous pourriez sans doute assister à leur extinction de votre vivant. Voici le « visage » de certaines d’entre elles.

Nasalis larvatus Autre type de primate caractérisé par son nez, ici, proéminent. Vivant sur l’île de Bornéo, sa population a chuté de 50% suite à la déforestation.

On estime que toutes les espèces ont diminué de 25% durant les 500 dernières années. En cause, l’activité humaine. Les chiffres ne mentent pas. Le rythme de disparition est de 100 à 1 000 fois plus élevé que ne le veut le processus d’évolution naturel selon l’Union internationale pour la conservation de la nature. Parmi ces espèces en danger, certaines le sont plus que d’autres. Vous pourriez sans doute assister à leur extinction de votre vivant. Voici le « visage » de certaines d’entre elles.

Rhinopithecus En danger d’extinction en raison de la déforestation, c’est un mammifère et primate au nez qui semble amputé

On estime que toutes les espèces ont diminué de 25% durant les 500 dernières années. En cause, l’activité humaine. Les chiffres ne mentent pas. Le rythme de disparition est de 100 à 1 000 fois plus élevé que ne le veut le processus d’évolution naturel selon l’Union internationale pour la conservation de la nature. Parmi ces espèces en danger, certaines le sont plus que d’autres. Vous pourriez sans doute assister à leur extinction de votre vivant. Voici le « visage » de certaines d’entre elles.

La grouille clown (type de Atelopus varius)

Peu observée et peu photographiée, cette espèce de grenouille se trouve à Quepos, Costa Rica. Sa peau contient une puissante neurotoxine. Il n’en resterait qu’une poignée très localisée.

On estime que toutes les espèces ont diminué de 25% durant les 500 dernières années. En cause, l’activité humaine. Les chiffres ne mentent pas. Le rythme de disparition est de 100 à 1 000 fois plus élevé que ne le veut le processus d’évolution naturel selon l’Union internationale pour la conservation de la nature. Parmi ces espèces en danger, certaines le sont plus que d’autres. Vous pourriez sans doute assister à leur extinction de votre vivant. Voici le « visage » de certaines d’entre elles.

Dauphin de l’Irrawaddy

Situation particulièrement critique pour ce dauphin. Il en resterait moins de 100 aux dernières nouvelles… En cause : certaines techniques de pêche.

On estime que toutes les espèces ont diminué de 25% durant les 500 dernières années. En cause, l’activité humaine. Les chiffres ne mentent pas. Le rythme de disparition est de 100 à 1 000 fois plus élevé que ne le veut le processus d’évolution naturel selon l’Union internationale pour la conservation de la nature. Parmi ces espèces en danger, certaines le sont plus que d’autres. Vous pourriez sans doute assister à leur extinction de votre vivant. Voici le « visage » de certaines d’entre elles.

Talève takahé

Oiseau rare de Nouvelle-Zélande qui se nourrit exclusivement de plantes. La quasi-extinction du takahé est due à deux principales raisons : la chasse massive des autochtones avant l’arrivée des colons et par la suite, l’introduction de nouveaux prédateurs par ces colons.