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QUAND LES CHIENS DEVIENNENT DE VRAIS PANSEMENTS HUMAINSDes labradors dressés pour panser des blessures de guerre ou en prison, des loups dans le viseur et une nouvelle application pour faire découvrir à vos enfants des espèces animales...La thérapie par les animaux n’est plus à démontrer. Et ce ne sont pas les soldats américains qui reviennent traumatisés du front qui diront le contraire. Ils réapprennent à reprendre goût à la vie et à ne plus avoir peur grâce au labrador qu’une association leur confie. On voit en effet dans un reportage du magazine Marie-Claire, les bienfaits d’une chienne sur une ex combattante en Irak qui a été violée et qui a perdu des amis soldats. Le toutou arrive à avoir un effet positif sur sa maitresse qui retrouve le sommeil et n’a plus peur de sortir. Un réel bonheur qui s’étend d’ailleurs aux prisons puisque des pénitenciers mènent des programmes de dressage dans l’Etat de New-York. Des labradors sont confiés à d... es prisonnières qui sont condamnées à de lourdes peines durant deux ans. Cette période leur permet de changer leur comportement, de trouver de l’affection, de trouver du sens à leur vie et même pour celles qui sortent de prison de travailler auprès de vétérinaires et toiletteurs!
Peut-être qu’un jour le loup sera lui aussi mis à contribution pour son altruisme auprès des hommes. Seulement pour l’instant il continue d’être dans la ligne de mire des chasseurs. 200 loups environ cohabitent sur notre territoire et ce nombre risquerait bien de baisser fortement. Sénateurs et députés veulent en effet que l’on puisse leur tirer dessus car ils seraient responsables de la mort de 4.500 brebis, ce qui a couté à l’Etat 7 millions en indemnisations versées aux éleveurs. Même le conseil d’administration du Parc national des Cévennes aimerait que le gouvernement assouplisse les règles, nous informe Le Parisien. La SPA, le WWF et france nature environnement soulignent que cela va à «l’encontre de la conférence environnementale qui a souhaité faire de la france un État exemplaire en matière de biodiversité».
Enfin terminons par Animap, une nouvelle application ludo-éducative. Disponible sur l’App Store en anglais et en français, elle propose aux 4-12 ans de découvrir 72 espèces d’animaux en faisant un tour du monde interactif. Un mappemonde permettra à vos enfants d’explorer les 5 continents de notre planète et d’en savoir plus sur les bêtes qui y vivent à travers son cri, sa classe, son habitat ou encore son alimentation. Les bambins pourront même enregistrer leurs voix afin d’imiter leur cri selon le site lavienumerique.com. De quoi faire devenir chèvre leurs parents! (source 20minutes.fr)
Pourquoi certains animaux hibernent-ils et d'autres pas ?
Pour faire face à l'hiver et survivre, les animaux adoptent différentes stratégies. Certains animaux sont très mobiles. Ils peuvent parcourir de longues distances, migrer vers un endroit où ils trouveront la nourriture dont ils ont besoin. Par exemple, certains oiseaux tels que les hirondelles et les oies blanches, et certains mammifères coureurs comme le caribou, sont des animaux migrateurs.
Les animaux n'étant pas assez mobiles pour faire une migration, mais pouvant trouver facilement leur nourriture pendant l'hiver, restent sur place et demeurent actifs. C'est le cas entre autres de certains oiseaux, comme le geai bleu et la mésange, et de certains mammifères tels que le loup, le renard et l'ours polaire. Les animaux peu mobiles et ne pouvant se nourrir l'hiver, hibernent ou pseudo-hibernent. Les animaux qui hibernent dorment profondément, ils ne se réveillent pas de l'hiver
C'est notamment le cas de la marmotte. L'engoulevent de Nuttall est le seul oiseau qui hiberne.
Les hibernants survivent grâce à l'énorme réserve de graisse qu'ils ont accumulée avant l'hiver. Leur température corporelle chute, et les fréquences cardiaques et respiratoires diminuent considérablement. Les pseudo-hibernants dorment moins profondément et s'éveillent au cours de l'hiver. Les petits mammifères, comme l'écureuil, s'éveillent périodiquement pour grignoter un peu de nourriture qu'ils ont entreposée dans leur terrier, pour uriner et déféquer. Par temps doux, ils peuvent même sortir de leur abri. Les mammifères plus gros, comme la moufette, le raton laveur et l'ours (sauf polaire) ne se nourrissent pas de l'hiver. (Radio-Canada.ca)
Conseils : le hérisson et l'hiver ! - afin de ne pas déranger le hérisson en cette période critique pour lui, ne brûlez pas vos tas de feuilles et ne les déplacez pas au moyen de fourches (il adore y faire son nid), ne traitez pas vos jardins à l'aide de produits anti-limace mortels pour lui, vérifiez avant d'utiliser vos tondeuses, taille-haie ou de déplacer vos tas de bois... - si vous tombez su... r un nid, ne dérangez pas ses habitants qui vont hiverner du mois de novembre au mois de février... - si vous trouvez des nouveaux nés ou un animal blessé, contactez au plus vite votre vétérinaire qui le transférera vers un organisme spécialisé, vous pouvez lui proposer dans l'urgence de l'eau et des croquettes pour chien ou chat (proscrire le lait et le pain)... - un animal de moins de 600 g ne passera pas l'hiver... Pour plus de détails, la clinique peut vous mettre en relation avec l'association ATOUPIC sur Massay ou pour les plus curieux, nous vous conseillons : http://www.hameaudesherissons.fr/
RÉCAPITULATIF DES ALIMENTS, PLANTES, ANIMAUX, OBJETS ET PRODUITS DANGEREUX, TOXIQUES POUR LA SANTÉ DE VOS ANIMAUX DE COMPAGNIE ! A LIRE & A PARTAGER ! I/ Les animaux sont très gourmands et sont prêts à tout pour nous attendrir et nous convaincre de partager notre repas ou nos friandises : Regard triste, pleurs, museau collé sur la table... Certains aliments peuvent cependant représenter un vrai ... danger pour votre compagnon. Voici la liste des aliments et produits à proscrire absolument pour le garder en bonne santé et éviter les urgences vétérinaires : 1. Les os Ils sont très dangereux pour les animaux. Chaque année, plusieurs milliers de chiens finissent aux urgences après avoir avalé des os, souvent donné par leurs maîtres. Les chiens sont omnivores, pas carnivores. La plupart des chiens et des chats ne tolèrent pas les os, puisqu'ils peuvent se briser ou se loger dans la région intestinale avec des résultats désastreux, et une opération chirurgicale souvent à la clé. Ils peuvent aussi se coincer dans la bouche ou la gorge de votre compagnon. Tous les os sont dangereux, sans exception. Il faut toujours donner des os vendus en animalerie ou chez le vétérinaire, qui ne comportent aucun risque. 2. Le chocolat Le chocolat est un poison dangereux pour les chiens. Sa toxicité est liée à la présence dans le cacao d'un alcaloïde: La théobromine, que les toutous ne peuvent pas métaboliser et qui passe rapidement dans le sang. Les symptômes, qui apparaissent en général quatre ou cinq heures après l'ingestion, sont des vomissements, des convulsions, mais aussi de la diarrhée et dans les cas les plus dramatiques, des troubles cardiaques pouvant faire lâcher le coeur. La dose mortelle est de 63 grammes de chocolat noir non sucré pour un chien de 10 kilos, ou 670 grammes de chocolat au lait. Notez aussi que les races de chien brachycéphales au museau aplati (type Carlin, Boxer, Bulldog, Bullmastiff...) sont plus sensibles que les autres aux problèmes respiratoires et cardiaques, donc plus sensibles à l’intoxication au chocolat. A lire: https://www.facebook.com/photo.php?fbid=375773999119921&set=a.342872599076728.85993.178463282184328&type=3&src=https%3A%2F%2Ffbcdn-sphotos-c-a.akamaihd.net%2Fhphotos-ak-prn1%2F540496_375773999119921_1923098272_n.jpg&size=720%2C486 3. L'alcool Quelques gorgées suffisent à rendre malade votre animal. Comme chez l'homme, l'alcool peut provoquer une démarche anormale: l'animal chancelle et se cogne partout, pouvant se blesser. L'alcool provoque aussi des vomissements. Et en cas d'ingestion importante, les symptômes seront même cardiaques et nerveux. 4. Le lait et le fromage Beaucoup d'animaux sont intolérants au lactose, naturellement présent dans le lait. En effet, ils ne disposent pas de l'enzyme digestive capable de dissoudre ce sucre et leur intestin ne peut pas l'assimiler. S'ils mangent des produits laitiers, ils pourront développer des vomissements, des diarrhées et d'autres symptômes gastro intestinaux. Même si votre petit compagnon a été allaité par sa mère quand il était bébé, évitez de lui donner des produits laitiers. Le fromage, même en toute petite quantité, est trop riche en graisse et peut entraîner une inflammation du pancréas, qui, dans les cas les plus graves, peut être fatal. 5. Le jambon et les viandes grasses Comme le fromage, le jambon et certaines viandes sont trop riches en lipides, pouvant là aussi, provoquer des pancréatites. En plus d'être grasses, ces viandes sont aussi très salées, ce qui est également nocif pour l'estomac, surtout chez les grands chiens. Car s'ils boivent trop d'eau, ils peuvent être victime d'une torsion de l'estomac, une pathologie grave, souvent mortelle. L'estomac se remplit de gaz et peut se tordre. 6. L'oignon, l'ail et la ciboulette Ils contiennent des dérivés soufrés qui peuvent endommager les globules rouges des animaux de compagnie et les tuer. Ils peuvent souffrir de vomissements et entraîner de l'anémie,de la tachycardie... Les oignons sont encore plus toxiques que l'ail car il suffit d'une toute petite quantité pour provoquer une intoxication. 7. La caféine, le thé Les boissons contenant de la caféine, comme les sodas ou le café, sont très nocives car elles accélèrent le rythme cardiaque de l'animal: agitation, palpitations et même crises cardiaques peuvent s'ensuivre. Alors, faites bien attention à ce que votre petit compagnon ne mette pas son museau dans votre tasse, au petit déjeuner ! 8. L'avocat D'abord, les avocats sont très riches en matières grasses, ce qui peut entraîner une inflammation du pancréas. Ensuite, leurs noyaux très toxiques parce qu'ils sont riches en persine, une substance nocive pour les poumons et le coeur de nos petits compagnons. Sans parler du fait que par sa taille, le noyau peut provoquer des occlusions intestinales. Si votre chien ou votre chat en mange, ils pourront éprouver des difficultés respiratoires, des vomissements. 9. Le thon Le chat a besoin d'ingérer de la taurine, un acide aminé essentiel pour le bon fonctionnement de son coeur et de sa vision. Oui, mais voilà, le thon en boîte ne possède pas de taurine et si vous lui en donnez, il risque de développer des troubles cardiaques. Si votre matou aime le thon, assurez-vous de lui donner des produits vétérinaires, enrichies en taurine. 10. Le raisin Une étude récente a démontré que le raisin (sec et frais) peut entraîner des troubles intestinaux, mais aussi endommager gravement les reins. Et les plus petits chiens peuvent aussi s'étouffer avec ce fruit ou souffrir d'occlusions intestinales. 11. Les noix de Macadamia Elles contiennent toxine qui peut gravement attaquer le système digestif, le système nerveux, et les os d'un animal. Si un chien en avala moins d'une dizaine, il tombe très malade: vomissements, diarrhée, difficultés respiratoires, convulsions... Et comme pour le raisin, les plus petits gabarits peuvent s'étouffer. 12.Le tabac Le tabac contient la nicotine, qui endommage les nerfs et le système digestif. Si votre animal en ingère, il souffrira d'hyperactivité, de vomissements, de tachycardie. Dans les cas les plus graves, le chien sombrera dans le coma et pourra même mourir. 13. Le foie Les animaux qui mangent du foie en grande quantité peuvent être intoxiqués à la vitamine A, qui détruit les muscles et les os. Dans ce cas, les symptômes les plus régulièrement constatés sont la constipation, la perte de poids, la déformation des os. 14. Le gras La nourriture trop grasse peut provoquer une pancréatite, c'est-à-dire une inflammation du pancréas, qui peut s'avérer fatale si elle n'est pas soignée à temps, notamment parce que l'organe se nécrose. Il s'agit donc d'une urgence vétérinaire très grave. Les animaux concernés sont léthargiques, ne bougent plus et souffrent quand on leur touche le ventre. Lécher les sauces et les graisses cuites, sont comme les bonbons, des aliments que l'on ne trouvent pas dans la nature et dont le chien n'a absolument pas besoin. Ces aliments favorisent le diabète et l'obésité. 15. Les pommes de terre crue et leurs pelures Les patates crues contiennent de l'oxalate de calcium, un cristal ionique insoluble très dangereux pour l'appareil urinaire de nos animaux. D'ailleurs 80 % des calculs rénaux sont composés d'oxalate de calcium. Si votre chat ou votre chien raffole des pommes de terre, n'oubliez pas de les faire toujours bien cuire. Ainsi préparées, elles représentent une source intéressante de nutriments. 16. La pâte à tarte crue Si vous préparer une tarte maison et que votre chien vous a volé la pâte, les risques peuvent être très graves. En effet, si cette pâte contient de la levure, elle va gonfler dans l'estomac de votre animal, provoquant des ballonnements importants. Dans les cas les plus graves, elle peut même percer l'estomac ou l'intestin. En plus, les ferments de la pâte produisent de l'alcool, qui est aussi très toxique, comme nous vous l'avons expliqué ci-dessus. 17. La nourriture moisie ou périmée Comme pour les humains, les chats et les chiens peuvent s'intoxiquer gravement, voire même mourir, s'ils mangent des aliments périmés, et donc infestés de multiples toxines. Comme pour les humains, les symptômes sont les vomissements, les diarrhées, les convulsions. Les ordures et les détritus sont donc très dangereux. Il ne faut jamais donner à son animal quelque chose qu'on ne mangerait pas. 18. Les plants de tomates et de rhubarbe Comme les pomme de terre, ces plantes contiennent de l'oxalate de calcium, très toxique. Les animaux qui auront grignoté les feuilles de votre potager seront pris de vomissements, de difficultés respiratoires, de crampes abdominales et de convulsions. 19. Les champignons Comme pour les humains, certains champignons sont toxiques et peuvent être mortels. En cas d'ingestion, l'animal peut s'empoisonner et tous les organes atteints. 20. Les noyaux de fruits L'été, vous aimez déguster des pêches, des cerises et des abricots? Veillez à ne pas laisser les noyaux à proximité d'un animal. Ils contiennent en effet de l'acide cyanhydrique, autrement dit du cyanure, qui peut les empoisonner. 21. Le blanc d'oeuf cru Il contient de l'avidine, qui détruit la biotine, vitamine B8, utile au métabolisme des protéines et des graisses. 22. Le poisson cru qui détruit les vitamines B1, le porc cru ou mal cuit car il peut transmettre la maladie d'Aujesky, (mortelle). 23. Les bonbons. II/ Les intoxications végétales : Lors de ballades en extérieur, ne laissez pas votre chiot manger les plantes qu'il peut rencontrer. Certaines sont toxiques (exemples : if, laurier cerise, muguet…). En cas de doute sur la toxicité d'une plante, coupez une feuille et aller voir le vétérinaire le plus proche. Il vous renseignera sur sa toxicité. III/ Les intoxications animales : Les animaux toxiques par contact ou ingestion sont les crapauds, les chenilles processionnaires, les limaces et escargots. IV/ Produits toxiques pour les chiens : Xilitol : On le trouve dans les bonbons et pâtisserie de régime. Des problèmes hépathiques peuvent survenir après son ingestion. Antigel : Par son goût agréable, il attire trop souvent les animaux. Si vous soupçonnez votre chien d'avoir consommé de l'antigel, contactez immédiatement votre vétérinaire. antigel (éthylène glycol). Ce produit au goût sucré est très apprécié par le chien. 1 à 4 heures après ingestion, l'animal est en état d'ébriété, a des troubles respiratoires et se déshydrate. La mort peut survenir en 4 à 6 heures. V/ Petites monnaie, billes, ... : Ne laissez rien trainer ! Les chiots adorent s'amuser avec ces petits objets qui provoquent une obstruction du tube digestif. VI/ Produits domestiques : Certaines peintures sont toxiques. Les produits de nettoyage sont corrosifs pour le tube digestif et la peau. Les intoxications par des médicaments. Les produits phytosanitaires. Les raticides et rodenticides, les insecticides, les anti-limaces, mais aussi certains engrais et désherbants. Un animal intoxiqué produit beaucoup de salive, a les pupilles dilatées, des difficultés respiratoires et des vertige. Dans les cas les plus graves, l'animal peut sombrer dans le coma et mourir. ? EN CAS D'INTOXICATION : 1/ Ce qu’il ne faut pas faire : Vous venez de vous apercevoir que votre animal vient d’ingérer un produit suspect : N’attendez pas que des symptômes apparaissent avant d’appeler votre vétérinaire. Il pourra parfois agir avant que le toxique n’ait eu le temps d’être assimilé. Ne faites pas boire de lait à votre animal !!! L’assimilation de la plupart des produits toxiques est accélérée par le lait. N’essayez pas de faire vomir votre animal !!! Certains produits sont des caustiques qui brûlent les voies digestives. Si votre animal vomit, le produit lui aura brûlé l’œsophage à l’aller (ingestion) et une deuxième fois au retour (vomissement)... inutile d’en rajouter ! 2/ Ce qu’il faut faire : Un seul mot d’ordre en cas de contact avec un toxique : Consultez immédiatement votre vétérinaire !!! Si cela est possible, communiquez-lui le nom du produit incriminé, ou mieux, apportez-lui l’emballage. Soyez vigilents si vous voulez garder vos animaux en bonne santé et en vie ! Merci de partager un maximum cet article très IMPORTANT pour le bien-être de vos compagnons ! Informez votre entourage !
Ara
Lieux d'origine : Amérique du Sud
Taille : en moyenne 45 cm
Poids : 400 à 800 gr selon l'espèce
Couleur : très varié
Queue : longue
Bec : gris, noir, corne, selon l'espèce
Longévité : 40 à 80 ans
Dimorphisme sexuel : rare
Les aras sont les oiseaux les plus gros et les plus beaux de la famille des perroquets (psittacidés). Originaires de l'Amérique Centrale et de l'Amérique du Sud, ils sont facilement reconnaissables à leur taille impressionnante, à leur allure exotique, à leurs couleurs chatoyantes et à la peau blanchâtre glabre (dénudée) qui entoure leurs yeux et recouvre leurs joues. Ces gentils géants sont devenus, depuis le début du siècle, des animaux de compagnie très populaires.
Même si les différentes espèces de aras varient beaucoup en taille et en couleurs, elles partagent les mêmes caractéristiques physiques fondamentales. Les aras ont tous un corps mince, une queue longue et une tête large pourvue d'un bec énorme et très puissant.
De nos jours, la grande majorité des aras gardés en captivité sont nés et ont été élevés en captivité. Ils se sont remarquablement bien adaptés à cette situation. Dans la nature, ces oiseaux possèdent des territoires qui s'étendent sur des kilomètres de distance ; il n'est pas surprenant qu'on ne puisse reproduire cet environnement en captivité, mais les aras acceptent volontiers le mode de vie qui leur est imposé pourvu qu'on réponde adéquatement à leurs besoins physiques et émotionnels. Les jeunes aras, s'ils sont bien socialisés, deviendront de merveilleux compagnons ; cependant, sans une éducation appropriée, ils peuvent représenter une grave menace pour leurs propriétaires si jamais ceux-ci démontrent de la crainte ou de l'incertitude.
Les aras ne sont pas les parleurs les plus doués mais la plupart apprennent quelques mots et parfois même quelques phrases qu'ils disent assez clairement d'une voix nasillarde et forte. Ce qu'ils préfèrent en revanche, ce sont les activités physiques ; ils aimeront bien apprendre à faire de la planche à roulettes, de la bicyclette, etc. sur des engins spécialement conçus pour eux. Ce sont des perroquets qui adorent les contacts physiques et ils sont friands de ce genre d'activités.
Dans la nature, la diète des aras varie beaucoup d'une espèce à l'autre selon les régions qu'ils habitent et la disponibilité de nourriture en ces endroits tout au cours de l'année. La recherche et la consommation de nourriture occupe une grande partie de leur temps durant la journée. En captivité, la nourriture devra donc combler non seulement des besoins physiques mais psychologiques tout autant. Ainsi il faudra offrir une alimentation fraîche, saine, équilibré et variée tant par les formes, les saveurs, les textures et les couleurs. L'alimentation représentera ainsi pour les aras en captivité, une aventure sensorielle qui contribuera à leur bien-être physique et psychologique. Cette diète peut inclure un mélange de graines pour gros perroquets, de la moulée, des noix variées, des fruits et légumes cuits ou crus et, à l'occasion, de la viande maigre et très bien cuite.
Les aras nains
La différence principale entre les gros aras et les aras nains est bien évidemment la taille. Leur comportement est très similaire et le fait que les aras nains soient plus petits ne veut pas dire qu'ils ont besoin de moins. Leur bec plus petit est très certainement un avantage à plusieurs points de vue! Quant à leur alimentation, elle est la même que leurs congénères plus gros mais lorsque nécessaire, adaptée à leur taille.
Nourrir les oiseaux en hiver
En hiver, les oiseaux qui n’ont pas migré passent la plus grande partie de leur temps à chercher de la nourriture pour lutter contre le froid.
La raréfaction des insectes et les couches de neige et de verglas ne leur facilitent pas la tâche, surtout lorsque les journées sont si courtes...
Saviez-vous qu’en hiver, une mésange peut perdre 10% de son poids en une seule nuit ? En manque de nourriture, les oiseaux qui restent sur le territoire français ont parfois du mal à survivre. Pour les aider, il est possible d’installer des mangeoires et des abreuvoir au fond du jardin ou sur l’appui du balcon.
Il faut cependant faire attention à bien les entretenir afin de limiter la propagation des maladies, et de les maintenir à l’abri de l’humidité et des intempéries. Certaines aliments sont particulièrement appréciés des oiseaux, comme les céréales, les graines, les noix, les raisins secs, les amandes et les abricots secs. En r evanche, il faut proscrire les biscottes, le pain sec, le riz cru, le lait les larves de mouche, les graines de lin et de ricin.
Il est recommandé de placer la nourriture le matin de bonne heure ou le soir avant la tombée de la nuit.
Un abreuvoir propre permet aussi aux oiseaux de se désaltérer et de se baigner.
Si les températures baissent en dessous de zéro, ce geste aidera les volatiles à trouver de l’eau libre de glace.
Enfin, ces bonnes habitudes devront être suspendues à la fin du mois de mars, pour inciter les oiseaux à retrouver leur comportement naturel. Il ne vous reste plus qu’à observer ces petits visiteurs, bien au chaud derrière vos fenêtres....
Publié à 13:24 par fandeloup
L'insuffisance cardiaque du chien âgé.
Pour tous les chiens âgés, une toux accompagnée de difficultés respiratoires, d'une fatigabilité importante ou de syncopes pourrait être le signe d'une insuffisance cardiaque. N'hésitez pas en parler à votre vétérinaire.
L'insuffisance cardiaque.
Elle correspond à une diminution de la capacité de fonctionnement du muscle cardiaque. Ses battements deviennent moins réguliers ou moins efficaces. Le coeur envoie alors moins de sang à l'organisme à chacun de ses battements. En effet, le coeur bat en permanence entre 50 et 200 fois par minute selon la taille du chien pour envoyer du sang chargé en oxygène et en molécules nutritives aux organes vitaux et aux muscles.
Causes de l'insuffisance cardiaque.
Les causes de l'insuffisance cardiaque sont nombreuses, rétrécissement des valvules intra-cardiaques, défaut de fermeture de ces valvules, hypertension artérielle, amincissement de la paroi musculaire des ventricules par exemple... Ainsi, l'insuffisance cardiaque peut toucher seulement une partie du cœur (moitié gauche ou droite) ou le cœur dans sa totalité.Quelle que soit la cause, le résultat est généralement le même : la pompe cardiaque est moins efficace. Les causes de l'insuffisance cardique sont variées. Principaux symptômes et leur évolution.
L'insuffisance cardiaque est plus fréquente chez les chiens âgés mais l'âge d'apparition est variable selon l'individu et sa race.Les symptômes apparaissent en fonction de l'évolution de la maladie. Au début, le chien ne présente aucun symptôme. Le cœur fonctionne moins bien mais il compense en augmentant légèrement la fréquence des battements et sa taille globale.
La première phase peut durer ainsi, sans symptômes pendant quelques mois à quelques années plus tard. Ensuite, le cœur n'arrive plus à compenser dans certaines circonstances : lors d'efforts importants ou suite à un stress. Des symptômes apparaissent alors toux après l'effort, fatigue rapide lors d'effort, impression d'étranglement comme si le chien cherchait à cracher quelque chose, essoufflement avec aggravation de ces signes en période de fortes chaleurs.
À ce moment, il convient d'aller consulter un vétérinaire. La dernière phase est dite phase de la décompensation. Le cœur est usé et ne parvient plus à fonctionner efficacement. Les symptômes de l'insuffisance cardiaque sont présents même au repos (quintes de toux, essoufflement).
Le chien peut même faire des syncopes. A ce moment, le moindre effort peut être à l'origine d'un œdème pulmonaire ou d'une crise cardiaque. Toux, fatigue, essoufflement sont les principaux symptômes. Importance du diagnostic et du traitement. Là encore, le traitement dépend essentiellement de la phase de l'insuffisance cardiaque.
Pendant la phase asymptomatique, difficile de diagnostiquer une insuffisance cardiaque mais si le vétérinaire la détecte, aucun traitement ne sera mis en place. Généralement, le diagnostic est établi lors de la deuxième phase, les propriétaires consultent car ils sont observé ces prinipaux symptômes.
Le vétérinaire pourra juger de l'importance de l'insuffisance cardiaque par auscultation du souffle mais ce dernier est parfois peu spécifique. D'autres examens peuvent être réalisés : radiographie du thorax, échographie du coeur et éventuellement un électrocardiogramme. Dans un premier temps, il faudra limiter les efforts du chien et faire des promenades en laisse en évitant les heures les plus chaudes.
Sachez aussi que l'obésité aggrave les symptômes. Pour un chien en embonpoint,le régime fait partie du traitement. Une alimentation pauvre en sel est indiquée et votre vétérinaire pourra vous conseiller. Ces mesures hygiéniques seront rapidement complétées par un traitement médical qui permet d'améliorer le travail du cœur et évité l'apparition d'un œdème pulmonaire. Ce traitement devra être poursuivi à vie et une suivi régulier permettra d'adapter progressivement le traitement si nécessaire.
Publié à 16:33 par fandeloup
Publié à 18:46 par fandeloup