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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Les accidents domestiques peuvent concerner nos chiens, nos chats et l’ensemble de nos compagnons à poils et à plumes.
Selon l’AFP, le Centre national d'informations toxicologiques vétérinaires de Lyon (CNITV) reçoit chaque année quelque 16 000 appels - de particuliers et de vétérinaires - en lien avec l’empoisonnement domestique d’un animal.
Produits ménagers, insecticides, herbicides…
les produits aussi nocifs pour les humains que pour les chiens et les chats sont légion. Mais cette liste de produits, à l’évidence dangereux, ne s’arrête pas là : parfois, nul besoin d’incriminer les produits chimiques.
Les plantes disposées dans votre salon peuvent aussi empoisonner vos animaux:
« L’ingestion du muguet provoque des troubles hépatiques graves chez les chats, explique Yves Lahiani, vétérinaire. Elle peut même causer la mort d’un chien ». C’est donc une batterie de précautions qu’il faut prendre lorsque l’on vit avec un animal. Car en réalité, les animaux il est exposé aux même dangers que son maître :
intoxications, brûlures ou chutes
- même un chat ne retombe pas forcément sur ses pattes - la vigilance est donc de mise.
Chiens et chats très vulnérables
Ce sont les chiens qui sont les premières victimes des ingestions à risques.
Par jeu
- les chiots aiment mâchouiller ce qui est à leur portée - mais aussi par gourmandise. « Deux carrés de chocolat peuvent être fatals pour un chiot ou un chien de petite taille, précise le vétérinaire. Attention aussi aux enfants : ils aiment parfois partager leur goûter avec leurs petits compagnons et peuvent sans le vouloir les empoisonner avec un gâteau ou un pain au chocolat ».
Quant aux chats, ils ne sont pas en reste :
« La javel et l’ammoniaque attirent les félins qui n’hésitent pas à goûter, indique le spécialiste. L’eau de vaisselle qui stagne dans l’évier peut également lui provoquer de graves désagréments, alors qu’il ne cherche qu’à s’abreuver. » Pour ne pas provoquer d’accidents inutiles, un maître-mot, ranger !
Pensez à placer toutes les substances nocives et vos produits d’entretien dans des placards bien fermés… et à vider l’eau de votre évier !
Nos animaux de compagnie sont également très vulnérables face à nos médicaments : « Anxiolytiques, antalgiques, antiinflammatoires… il suffit d’un petit comprimé tombé au sol et ingéré par l’animal pour que cela ait des conséquences dramatiques, explique Yves Lahiani, qui rappelle « qu’un seul comprimé de paracétamol suffit à tuer un chaton en deux minutes ».
Là encore, il faut veiller à mettre les médicaments sous clé, hors de leur portée. «Murs et plinthes peuvent renfermer des peintures extrêmement nocives.
Dr Yves Lahiani - vétérinaire Gare aux aérosols
Les rongeurs et les lapins doivent être surveillés au même titre qu’un chien ou un chat. Leur fâcheuse habitude de tout grignoter - par ailleurs indispensable à leur bonne santé - les conduit parfois à dévorer des fils électriques et... à s’électrocuter !
« Ces animaux peuvent également s’attaquer aux murs et aux plinthes, qui peuvent renfermer des peintures extrêmement nocives, parfois même du plomb » poursuit Yves Lahiani.
Il en est de même pour les meubles en bois ou construits dans d’autres matériaux, et qui sont parfois recouverts de laque ou de vernis toxiques.
Les aérosols sont quant à eux dangereux pour les poissons et les oiseaux.
Les premiers peuvent en effet ingérer accidentellement des particules en suspension via le bulleur, l’appareil qui permet la production de bulles d'air dans l’aquarium ; les seconds peuvent tout simplement inhaler les particules volatiles et en mourir.
« Attention aux désodorisants et aux huiles essentielles »
LE DEGRIFFAGE(onyxectomie) CHEZ LE CHAT UNE MUTILATION INNACEPTABLE
Qu’est-ce que le dégriffage?
Le dégriffage est une chirurgie orthopédique qui consiste à amputer la dernière phalange du doigt du chat. Elle est réalisée sous anesthésie générale, et le chat reçoit des analgésiques pour contrôler sa douleur périe et postopératoire. Le dégriffage des chats est une tendance nord-américaine.
Elle est interdite et illégale dans plus de 24 pays d'Europe depuis mai 2004. Proscrite complètement des actes vétérinaires, elle peut néanmoins être justifiée pour des motifs strictement médicaux.
L'interdiction de cette opération s'appuie sur une CONVENTION EUROPÉENNE POUR LA PROTECTION DES ANIMAUX DE COMPAGNIE faite à Strasbourg en 1987 et approuvée en 2003 par les nombreux pays qui endossent que le dégriffage du chat est inacceptable. Cet accord stipule :
"Les interventions chirurgicales destinées à modifier l'apparence d'un animal de compagnie ou à d'autres fins non curatives doivent être interdites et en particulier : la coupe de la queue, la coupe des oreilles, la section des cordes vocales, l'ablation des griffes et des dents".
L’acte chirurgical - L'onyxectomie
L'onyxectomie est une opération chirurgicale faite uniquement pour convenir aux caprices humains. Les griffes du chat, constituées de kératine, reposent sur un système complexe qui leur permet d'être rétractiles.
L'onyxectomie se fait sous anesthésie générale et consiste en l'ablation totale de la griffe et à l'amputation de la troisième phalange sur laquelle celle-ci est insérée.
Pour les enlever, on coupe donc les tendons, les ligaments qui commandent les griffes et l'os qui les retient.
En comparant avec nous-mêmes, c'est l'équivalent d'amputer le dernier tiers de la longueur de nos doigts.
L'opération est réalisée principalement sur les pattes antérieures, soient 10 amputations !
Conséquences il arrive que l'opération entraîne des complications comme des infections, des hémorragies ou des repousses anormales de griffes qui obligent de nouvelles chirurgies
Dès le réveil du chat, de puissants analgésiques doivent être donnés afin de soulager sa douleur.
Cette opération, irréversible, est très traumatisante pour le chat et comporte de nombreux risques importants pour sa santé physique et son bien-être émotionnel.
Ahh la mauvaise haleine ? (ou HALITHOSE en médecine).
Je sais très bien que vous avez tous des histoires avec un compagnon (humain ou animal) qui a une mauvaise haleine. C’est très désagréable. Mais au moins avec un animal, on peut bien lui dire que son haleine sent mauvais sans problème LOL.
Dans cet article , je vais vous parler des causes majeures de ce problème et commente le traiter.
Tartre et problèmes dentaires
Bien sûr, c’est la première cause qui nous vient à l’esprit quand on parle de la mauvaise haleine du chat ou du chien. En effet, c’est la cause majeure, mais loin d’être la seule.
L’accumulation des particules alimentaires entre et à la surface des dents avec la présence de la salive et les bactéries, une plaque appelée « Tartre » couvre la surface des dents et donne une mauvaise haleine avec le temps.
Le tartre peut aussi causer d’autres affections comment la parodontite qui peut être très grave s’il n’est pas traité rapidement.
La parodontite est une inflammation du parodonte, c’est-à-dire des tissus qui soutiennent et consolident l’organe dentaire.
La gravité de la parodontite réside dans la perte de la substance osseuse « ostéolyse » qui va affaiblir la base des dents et les rendre moins solide voir mobile.
Le diabète sucré chez les animaux ayant un diabète sucré, la concentration des corps cétoniques dans le sang est anormalement élevé suite à l’hyperglycémie.
L’odeur des corps cétoniques est semblable à l’odeur des pommes. Donc si vous constatez que l’haleine de votre chat est d’une odeur de pomme reinette, vous devez absolument consulter votre vétérinaire et faire un examen de diabète.
Problèmes rénaux ( urémie)
Un dysfonctionnement des reins cause une forte concentration de l’urée dans le sang, ce qui donne à l’haleine de l’animal une odeur désagréable proche de l’odeur de l’urine (odeur urémique). Le diagnostic se fait par le dosage des paramètres de l’exploration des fonctions rénales (urée et créatinine).
Maladies des systèmes digestifs et respiratoires supérieurs
Vu que les orifices du tube digestif chez les chiens et les chats sont assez hermétiques (cardia) les mauvaises odeurs d’origine stomacale ou intestinale sont très rarement perceptibles à partir de la bouche.
Toute infection de l’œsophage, de la cavité buccale, des amygdales, des sinus… peut donner des haleines de mauvaises odeurs. Comme vous l’avez vu, il ne faut jamais interpréter une mauvaise haleine juste par des problèmes dans la cavité buccale. Il y’a bien d’autres problèmes plus graves qui peuvent être diagnostiqués rien que par une maitrise de l’interprétation des odeurs des haleines.
Le neuroscientifique canadien explique que les chercheurs se sont réunis pour signer un manifeste dans lequel est reconnue l’existence de la conscience de tous les mammifères, oiseaux et autres créatures telles que le poulpe, et de quelle manière cette découverte pourrait impacter la société.
Le neuroscientifique canadien Philip Low, a gagné la proéminence dans la presse scientifique, après avoir présenté un projet avec le physicien Stephen Hawking, âgé de70 ans.
Low veut aider Hawking, qui est complètement paramysé depuis 40 ans à cause d’une maladie dégénérative, et c’est pour cette raison qu’il ne peut communiquer que par l’esprit.
Les résultats de l’étude ont été révélés samedi dernier lors d’une conférence à Cambridge. Toutefois, le thème principal de la réunion était tout autre.
En effet, les neuroscientifiques du monde entier ont signé une pétition affirmant que tous les mammifères, oiseaux et autres créatures, y compris le poulpe, ont une conscience.
Stephen Hawking était présent au dîner de signature en tant qu’invité d’honneur. Low est un chercheur de l’Université de Stanford et de MIT (Massachussetts Institute of Technology), 2 endroits qui se trouvent aux Etats-Unis.
Lui et 25 chercheurs croient que les structures cérébrales qui produisent la conscience chez les êtres humains existent aussi chez les animaux.
« Les zones cérébrales qui nous distinguent des autres animaux ne sont pas celles qui produisent la conscience », déclare Low qui a accordé l’interview suivante à un site internet :
Le journaliste :
Les études sur le comportement animal ont affirmé que plusieurs animaux ont un certain degré de conscience. Que dit la neuroscience à ce sujet ?
Low : Nous avons découvert que les structures qui nous distinguent des autres animaux , tels que le cortex cérébral, ne sont pas responsables de la manifestation de la conscience. En quelques mots, si le reste du cerveau est responsable de la conscience et que ces structures sont identiques chez les êtres humains et les animaux, comme les mammifères et les oiseaux, nous arrivons à la conclusion que ces animaux sont également conscients.
Le journaliste :
Quels animaux ont une conscience ?
Low :
Nous savons que tous les animaux, tous les oiseaux et beaucoup d’autres créatures, comme le poulpe, disposent des structures nerveuses qui produisent la conscience. Ce qui signifie que ces animaux souffrent. C’est une vérité qui dérange : il était toujours facile de dire que les animaux n’ont pas de conscience. Maintenant nous avons un groupe de neuroscientifiques réputés qui étudient le phénomène de la conscience, le comportement animal, le réseau neuronal, l’anatomie et la génétique du cerveau. On ne peut plus dire qu’on ne le savait pas.
Le journaliste :
Est-il possible de mesurer les similitudes entre la conscience des mammifères et des oiseaux et celle des êtres humains ?
Low :
Cette question est restée ouverte dans le manifeste. Nous ne disposons pas d’indicateur étant donnée la nature de notre approche. Nous savons qu’il y a différentes sortes de conscience. Nous pouvons dire, cependant, que la capacité à ressentir de la douleur et du plaisir chez les animaux et les êtres humains est très similaire.
Le journaliste :
Quel type de comportement animal appuie l’idée qu’ils ont une conscience ?
Low :
Quand un chien a peur, qu’il ressent de la douleur ou de la joie en voyant son maître, il s’agit alors d’activités dans son cerveau dont les structures sont similaires à celles qui se produisent chez les êtres humains lorsque nous montrons de la peur, de la douleur ou du plaisir. Un comportement très important est l’auto-reconnaissance dans un miroir. Parmi tous les animaux qui sont capables de le faire, outre l’être humain, se trouvent les dauphins, les chimpanzés, les bonobos, les chiens et une espèce d’oiseau appelée la pie bavarde.
Le journaliste :
Quels avantages pourraient découler d’une compréhension de la conscience chez les animaux?
Low :
Il y a là une certaine ironie. Nous dépensons beaucoup d’argent pour essayer de trouver une forme de vie intelligente en dehors de cette planète alors même que nous sommes ici, entourés d’une intelligence consciente sur la nôtre. Si nous considérons qu’un poulpe – qui compte 500 millions de neurones (les êtres humains en ont 100 milliards) – réussit à produire de la conscience, nous sommes beaucoup plus proches de produire une conscience synthétique que nous le pensions. Il est beaucoup plus facile de produire un modèle avec 500 millions de neurones que 100 milliards. Cela signifie que ces modèles synthétiques peuvent être plus faciles désormais.
Le journaliste :
Quelle est l’ambition du manifeste ? Les neuroscientifiques se sont-ils convertis en militants du mouvement pour les droits des animaux ?
Low :
Il s’agit d’un sujet délicat. Notre rôle en tant que scientifiques n’est pas de dire ce que la société doit faire, mais nous rendons public ce que nous découvrons. La société va maintenant discuter de ce qu’il va se passer et pourra décider si elle doit formuler de nouvelles lois, réaliser davantages de recherches pour comprendre la conscience des animaux ou les protéger de quelque manière qu’il soit. Notre rôle est de présenter les données.
Le journaliste :
Les conslusions du manifeste ont-elles eu impact sur votre comportement ?
Low :
Je crois que je vais devenir végétarien. Il est impossible de ne pas être touché par cette nouvelle perception sur les animaux , en particulier en ce qui concerne l’expérience de la souffrance. Ca va être difficile mais j’adore le fromage.
Le journaliste :
Que peut changer l’impact de cette découverte ?
Low :
Les données sont perturbantes mais très importantes. En fin de compte, je pense que la société va être moins dépendante des animaux. Ce sera mieux pour tout le monde. Laissez-moi vous donner un exemple. Le monde dépense 20 milliards de dollars par an en tuant 100 millions d’animaux vertébrés pour la recherche médicale. La probabilité qu’un médicament provenant de ces expériences soit efficace sur les êtres humains est de 6%. C’est une probabilité épouvantable. Une première étape consiste à élaborer des procédures non-invasives. Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de prendre des vies pour étudier la vie. Je crois que nous devons faire appel à notre propre ingéniosité et développer de meilleures technologies qui respectent la vie des animaux. Nous devons mettre la technologie au service de nos idéaux, plutôt que de rivaliser avec eux.
Source: Veja
CONSEIL DE LA VIE QUOTIDIENNE : LE CHIEN ET LE MARQUAGE DU TERRITOIRE.
Le chien marque son territoire en déposant aux endroits choisis, un peu d’urine. Cette communication sera comprise par les autres chiens. Le marquage par l’urine répond au besoin d’affirmation de votre chien sur son territoire .
Il s’agit pour votre chien de prévenir ses congénères de son passage et de sa revendication sur un territoire donné. Il dépose pour cela de petites quantités d’urine (quelques gouttes parfois), suffisantes pour transmettre de nombreuses informations à l’odorat très développé des autres chiens.
Il peut ainsi marquer à plusieurs reprises son territoire s’il repasse fréquemment aux mêmes endroits. N’importe quel support peut lui servir : arbre, pneu de voiture, poteau, angle des maisons, broussaille…
Il ne faut pas gronder votre chien pour ce comportement qui est naturel et qui répond à un besoin instinctif. Si votre chien a remarqué une chienne en chaleur dans votre quartier, ce besoin de marquage par l’urine peut prendre des proportions excessives : il pourra s’arrêter tous les 2 mètres dans ce cas !
Mon chien urine à la maison
Quand tout cela se passe à l’extérieur, ça ne pose pas de gros problèmes. En revanche, si votre chien marque son territoire dans votre appartement, c’est plus gênant, voire destructeur si vos meubles, tapis ou parquets sont souillés ou détruits. Les petites flaques déposées à des endroits parfois peu accessibles (surtout par des chiens de petites races), peuvent n’être remarquées que plusieurs jours plus tard, par l’odeur.
Là encore, pas besoin de gronder ou punir votre chien, il n’y peut rien, c’est une réaction hormonale. Essayez plutôt de l’éduquer. Éduquer mon chien à la propretépPour que votre chien prenne de bonnes habitudes quant à la propreté, il faut commencer l’éducation dès son plus jeune âge, en lui indiquant les endroits où il pourra se soulager.
A chaque fois qu’il est tenté de se soulager ailleurs, donnez une petite secousse à la laisse en disant « non », menez-le à l’endroit que vous aurez choisi (une pelouse, un caniveau…), et donnez-lui le signal d’autorisation : « Allez », par exemple. Et félicitez-le toujours à chaque fois. Pour l’empêcher de marquer le territoire chez vous, il vous faudra observer strictement les heures de sorties et observer le même rituel. Vous devez aussi lui interdire l’accès à certains meubles ou même à certaines pièces.
En fonction des âges, les chiens ont besoin de sortir plus ou moins souvent pour leurs besoins. Un chiot mange et boit souvent, donc il doit sortir souvent. De plus il n’a pas l’habitude de se retenir. A vous de repérer les signes et d’être le plus disponible possible. C’est à ce prix que vous l’éduquerez vite et durablement. Un chien adulte est bien entendu plus difficile à éduquer s’il n’a pas reçu les bases étant jeune. Si toutefois vous ne parvenez pas à empêcher votre chien de marquer son territoire de façon excessive, vous pouvez penser avoir recours à la stérilisation/castration.
Cette opération permet de diminuer notablement l’action des hormones. Néanmoins cette opération est irréversible, donc réfléchissez-y et parlez-en à votre vétérinaire.
CONSEIL : MON CHIEN DÉTRUIT TOUT EN MON ABSENCE.
Il existe 4 grandes causes qui mènent un chien à la destruction quand il se retrouve seul.
Les 4 raisons poussant mon chien à détruire :
- L’ennuie. Il faut alors lui fournir le plus de jouets possibles.
- Le manque d'exercice.
Le chien a naturellement besoin d'exercices, certaines races plus que d'autres. Il faut donc lui proposer des sorties régulières au cours desquelles il pourra courir et se défouler.
- Mon chien est un chiot.
Ce dernier passe sûrement par une phase d’exploration par le bouche. Le chiot n’a pas d’autre moyen pour découvrir les objets que de les prendre dans sa gueule. Les mâchonner lui permet aussi de tester leur degré de dangerosité des choses qui se trouvent à sa portée
- L’anxiété de séparation.
L’anxiété de séparation, qu'est-ce que c'est ? Un chien angoisse après le départ de son maître parce qu’il ne sait pas comment réagir : doit il protéger la maison ? Allez-vous revenir ? L’avez-vous oublié en partant. Votre comportement doit faire comprendre au chien que c’est vous qui êtes en charge de la responsabilité de la maison, qu’il n’a pas à se soucier de sécuriser le lieu. Mais aussi que vos départs et vos retours font partie de la vie courante. Concrètement : lorsque vous partez et lorsque vous revenez soyez le plus neutre possible : ne courrez pas, ne lui dites ni au revoir ni bonjour, faites comme si vous alliez dans une autre pièce. Vous communiquerez ainsi à votre chien que tout va bien, qu’il n’y a aucun danger ni pour la maison, ni pour lui. Des petits trucs pour vous aider :
- Laisser la radio en fond sonore pendant votre absence ;
- Laisser un vêtement imprégné de votre odeur ;
- Laisser de préférence le chien dans un petit espace où il se sentira plus en sécurité et fera moins de dégâts ;
- Ne surtout pas réprimander votre chien à votre retour : cela l'exciterait et renforcerait l'anxiété ;
- Enlevez de sa vue tous les objets susceptibles de se transforme en "bêtises" ;
- Attendre 5 minutes après être rentré à la maison pour aller le caresser : c'est vous qui établissez le contact.
Source : Fondation 30 millions d'amis.
CONSEIL SANTE : PRENDRE SOIN D'UN CHAT SENIOR.
Cependant, comme chez les humains, avec l’âge, l’organisme de votre chat se fragilise et ses sens perdent en efficacité. L’appétit peut aussi diminuer et les très vieux chats peuvent perdre du poids. Les chats âgés deviennent plus sensibles aux maladies. Les maladies rénales, souvent repérées par une augmentation de la soif, sont fréquentes chez eux, ainsi que l’hyperthyroïdie, une hypersécrétion de l’hormone thyroïde.
Il est possible également que vous remarquiez des modifications du comportement de votre chat : perte de mémoire, désorientation, il fait ses besoins en-dehors de la litière...
Il va peut être bouder vos genoux, moins chercher qu’avant à se faire caresser, ou encore déambuler dans la maison en miaulant fortement sans raison apparente.
Grâce à toute votre attention, et un peu de d’humour (ne pas dramatiser), vous pouvez aider votre compagnon à vieillir en toute sérénité et avec dignité. Les soins médicaux appropriés Prévoyez des visites de contrôle régulières pour votre chat âgé.
Discutez chaque année avec votre vétérinaire des dépistages gériatriques spéciaux : prise de sang, analyses d’urines et examens cardiaques, ainsi que la surveillance du poids et de l’état physique.
N’oubliez pas les vaccinations, notez tous les signes d’alerte et signalez-les à votre vétérinaire. Rester actif dans la mesure où l’obésité et l’arthrite sont deux des problèmes les plus courants chez les chats âgés, il est important de leur faire faire de l’exercice régulièrement.
Une routine quotidienne Suivre une routine est fondamental pour la santé physique, mentale et émotionnelle de votre chat car cela assure son confort et lui procure un cadre rassurant. Une peau et un pelage en bonne santé
Dans le cadre de cette routine, vous pouvez prévoir une séance de toilettage supplémentaire chaque semaine. Votre chat peut être en effet moins souple et le toilettage stimule et masse les articulations raides. Des dents et des gencives saines
Il est important que le vétérinaire soigne régulièrement les dents de votre chat âgé car ils sont plus vulnérables aux maladies des gencives et à l’accumulation de tartre. Vous devez également examiner vous-même régulièrement ses dents et ses gencives.
Une alimentation adaptée
En général, les chats de plus de sept ans commencent à être moins actifs donc leurs besoins nutritionnels changent. Les chats âgés sont moins actifs et ont un métabolisme plus lent, ils ont donc besoin d’un plus faible apport calorique. Cependant, il est plus important que jamais de fournir à votre chat des protéines de bonne qualité et faciles à digérer et moins de matières grasses, pour lui permettre de conserver un bon état général.
Les minéraux essentiels permettent d’entretenir les articulations vieillissantes.
Les vitamines et les protéines aident à combattre les infections quand le système immunitaire s’affaiblit.
Les aliments industriels pour chats âgés sont spécialement adaptés à leurs nouveaux besoins nutritionnels.
Votre chat continue ainsi à apprécier ses repas, sans compromis sur les éléments essentiels.
Proposer beaucoup d’eau fraîche car les chats âgés ont souvent besoin de boire davantage.
Ses besoins en vieillissant, les chats ont tendance à faire leurs besoins en-dehors de leur litière. Si cela se produit, commencez par vérifier avec votre vétérinaire si cela n’est pas dû à un problème médical spécifique.
Changez la litière de votre chat plus souvent car il peut être devenu très sensible aux odeurs et utilisez un bac à litière plus grand et peu profond afin qu’il puisse y accéder facilement.
Changez l’emplacement du bac. Si votre chat a l’habitude de faire ses besoins à l’extérieur mais qu’il se contrôle désormais moins bien, mettez un bac à litière à sa disposition.
Plutôt que de décliner brutalement, la plupart des chats ralentissent seulement leur rythme de vie. Si votre chat passe moins de temps à chasser ou à jouer, il devient plus bavard et s’intéresse davantage à vos activités. Profitez de lui tel qu’il devient et facilitez-lui sa vie quotidienne.
Source : Purina.
CONSEIL DE LA VIE QUOTIDIENNE : 7 CHOSES SURPRENANTES SUR L'ABOIEMENT DU CHIEN.
L’aboiement du chien est un moyen pour le meilleur ami de l’homme de se faire comprendre de ses congénères, de son maître, ou des autres animaux. Aboyer n’est pas le seul moyen que les chiens ont pour s’exprimer. Ils ont également un langage corporel constitué de postures et mimiques qui veulent en dire autant et qu’il est important de savoir décrypter.
Par ailleurs, le chien ne fait pas qu’aboyer ; il peut aussi grogner, glapir, faire « kaï-kaï », gémir, hurler, ou même faire une sorte d’éternuement.
Les chiens aboient pour toutes sortes de raisons Bien qu’ils soient descendants directs du loup, les chiens n’aboient pas pour les mêmes raisons que leurs ancêtres.
Si les loups aboyaient soit pour alerter la meute, soit pour menacer un ennemi, les chiens aboient pour manifester toutes sortes d’émotions, besoins ou envies (vouloir se promener, être nourri, manifester sa joie, montrer qu’il est là…).
Cela provient du fait que l’homme a sélectionné les individus qui « parlaient » le plus au cours de l’évolution du chien domestique. En effet, plus le chien était « vocal », mieux il protégeait les humains qui avaient besoin de lui.
D’autres animaux peuvent aboyer. Il n’y a pas que le chien qui sait aboyer, il y a aussi le chien… de prairie, le renard, le singe, le cerf, l’otarie. Plus surprenant encore, on vient d’apprendre que le piranha aboie pour menacer ses ennemis !
Ouaf ouaf, Woof woof… A chaque pays sa façon de retransmettre l’aboiement du chien.
Si en France on a plutôt tendance à utiliser le « Ouaf ouaf », les pays anglophones utilisent le « Woof woof ».
En Albanie, on utilise plutôt le « Ham ham », en Irelande, le « amh amh », à Bali le « Kong kong », en Corée du sud le « Meong meong » et au Japon le « Wan wan ».
Les types d’aboiement Un chien aboie pour prévenir : il s’agit d’un grognement d’abord calme qui devient de plus en plus fort et menaçant pour finir en aboiement.
Le chien fait office d’alarme en aboyant quand il détecte un son dont il ne peut pas déterminer la source. Le chien aboie également par plaisir, pendant qu’il joue avec son maître par exemple. Ne l’oublions pas, un chien aboie aussi quand il a besoin de quelque chose (avoir de la nourriture, sortir…).
Enfin, il existe aussi des chiens qui aboient sur commande ! Comment empêcher l’aboiement du chien ? Pour faire cesser l’aboiement du chien qu’il trouve gênant, l’homme a eu recours à toutes sortes de méthodes dont certaines très controversées. Parmi celles-là, les psychotropes, la chirurgie pour rendre les cordes vocales inopérantes, ou encore l’utilisation de colliers à impulsions électriques, à ultrasons ou à spray. La méthode la plus efficace (et inoffensive !) est le contre-conditionnement.
Il s’agit de distraire le chien quand il se met à aboyer, en faisant un bruit surprenant par exemple (secouer une bouteille remplie de graviers…).
Le chien qui chante Le chien Basenji est connu comme « le chien qui n’aboie pas » : en effet, il chante ! Ses vocalises parfois très aigües rappellent les chants tyrols.
Le chien qui aboie le plus fort. Le Guinness Book des records a enregistré l’aboiement le plus fort. Il fait 108 décibels et sort de la gueule de Daz, un Berger allemand blanc. Pour point de comparaison, sachez qu’un train qui passe devant vous dégage 110 décibels, et qu’à partir de 130 décibels, votre ouïe peut-être endommagée !
SPÉCIAL VACANCES : PARTIR EN VACANCES AVEC SON ANIMAL.
Si vous souhaitez passer d'agréables vacances avec votre animal, il vous suffit de tout prévoir avant le départ. Avant les vacances :
- La vaccination : Il est important de vérifier que tous les vaccins de votre animal sont à jour. Bien vacciné, votre animal est protégé en toutes circonstances.
- Le tatouage : Tatouer son animal est le seul moyen de lutter contre l'abandon, mais aussi de retrouver son compagnon en cas de perte ou de vol. Grâce à son tatouage, votre animal est enregistré au fichier canin ou félin sous un numéro qui permettra de l'identifier facilement et de vous joindre rapidement. Le tatouage est rendu obligatoire dès 1993, en cas de vente ou de cession. En 1999, cette obligation est généralisée à tous les chiens, à partir de l'âge de 4 mois.
- Le certificat de santé : Le certificat de santé de votre animal, établi par votre vétérinaire, permet de justifier de la bonne santé de votre compagnon. Ce document officiel facilitera l'accès de votre compagnon dans certains lieux. Ayez-le toujours avec vous.
- Le Passeport : Le passeport européen des animaux de compagnie est indispensable pour voyager sans soucis avec votre animal dans les différents pays de l’Union Européenne. Remplis et délivré par votre vétérinaire, il regroupes toutes les informations relatives à la santé et aux vaccinations de votre animal, un sésame bien utile pour voyager tranquille.
- Les assurances: Il est prudent de signaler à votre assureur la présence de votre animal sur votre lieu de vacances. Au cas où il occasionnerait des dégâts matériels, tous les frais seraient couverts. Renseignez- vous auprès de votre compagnie d'assurances. Il existe aussi des assurances animales qui prennent en charge les frais vétérinaires et les soins de votre animal, ainsi que des sociétés d'assistance qui s'occupent du rapatriement de votre animal en cas de problèmes graves.
- Les parasites : Les tiques et les puces qui pullulent en ces périodes estivales sont à l'origine de démangeaisons chez votre animal et peuvent lui transmettre des maladies (dont certaines transmissibles à l'homme). Il est donc recommandé de faire des traitements antiparasitaires avant et pendant les vacances et de vermifuger votre compagnon plusieurs fois dans l'année.
Enfin, pensez à le vacciner contre la pyroplasmose.
A savoir : La vaccination, le tatouage, le certificat de santé de votre animal sont obligatoires dans tous les campings et dans certains centres de vacances ou hôtels. Renseignez-vous avant votre départ auprès des offices de tourisme. Le voyage : Une partie importante des vacances est le voyage, prévoyez-le aussi avant le départ. Et n'oubliez pas de penser à votre lieu d'hébergement.
Aller… vous reprendrez bien un peu de conseils avant de partir !
- En voiture: La plupart d'entre vous rejoignent leur lieu de villégiature en voiture. A cette occasion, on manque d'espace dans l'habitacle et nos compagnons ont du mal à trouver une place conjuguant confort et sécurité du véhicule. Sachez qu'il est recommandé de faire voyager le chien à l'arrière, si possible séparé du conducteur par une grille ou un filet. Des ceintures de sécurité existent aussi sur le marché. Surtout, ne le mettez pas dans une malle arrière : c'est dangereux pour lui et cela peut être considéré comme un acte de cruauté. Pensez à vous arrêter toutes les deux heures afin de lui dégourdir les pattes et de l'abreuver, tenez le en laisse (de nombreux chiens fuguent sur les aires d'autoroutes), et ne le laissez jamais dans une voiture en plein soleil.
- En train : Pour un petit chien (moins de 6 kilos) ou un chat qui voyage dans un sac, le prix est de 5,10€. Pour un gros chien tenu en laisse et éventuellement muselé, il faut payer un billet demi-tarif. Assurez-vous que la présence de votre compagnon dans le compartiment ne gêne pas les autres voyageurs.
- En avion : Selon sa taille, il pourra rester soit en cabine placé dans un sac soit dans une soute climatisée et pressurisée. Dans ce cas, vous devez louer ou acheter une cage réglementaire. Renseignez-vous auprès des compagnies aériennes. Sur le lieu de vacances :
- L'hébergement : A l'hôtel, en centre de vacances ou au camping, vérifiez que les animaux sont acceptés et n'oubliez pas de préciser lors de votre réservation que vous êtes accompagné d'un animal. La plupart des campings acceptent les animaux de compagnie à condition qu'ils soient tenus en laisse et le plus souvent vaccinés et tatoués. Pour passer des vacances tranquilles avec votre animal, pensez à respecter les règles propres à chaque établissement et lieux de vacances .
De nombreux guides tels que le guide Michelin, l'Auto-Journal, le Gault-Millau vous présentent les hôtels où les animaux sont admis. La Fédération Française de Camping Caravaning (01.42.72.84.08) a édité également un guide répertoriant tous les terrains en France où les animaux sont admis.
- Les activités : La période des vacances est une bonne occasion pour emmener votre animal en promenade. Mais, attention, si pendant l'année votre animal n'a pas l'habitude de pratiquer beaucoup d'activités physiques, ne lui imposez pas d'efforts intenses dès les premiers jours. De plus, évitez d'effectuer de trop longues balades avec votre compagnon aux heures les plus chaudes, il pourrait attraper un coup de chaleur. Adaptez vos promenades selon son âge, la difficulté du parcours et les conditions climatiques. N'oubliez pas de le rafraîchir régulièrement. Enfin, ne le perdez jamais de vue.
- L'alimentation : Le changement de rythme et de cadre de vie de votre animal n'implique pas de modifications de son régime alimentaire. Cependant, en cas d'efforts physiques prolongés, vous pouvez augmenter ses rations.
Source : Fondation 30 Millions d'Amis.
La dépression chez le chien : la comprendre pour mieux la soigner
On a tendance à penser que cette maladie ne frappe que les humains, mais les animaux, et notamment les chiens, peuvent eux aussi souffrir de dépression.
Stress, frustration, émotion, sont autant de causes pouvant engendrer chez nos compagnons à 4 pattes un état dépressif
Jean-Luc Fourtier, éducateur canin, revient sur ces troubles, et nous donne de précieux conseils pour comprendre et soigner un chien déprimé.
Le stress
Le stress signale un danger pour le corps. La production d’adrénaline, une hormone produite par les capsules surrénales, est trop forte. Les muscles se contractent, le temps de réaction est écourté. Lorsqu’une telle situation se répète ou se prolonge, le chien risque un véritable surmenage physique. Il est submergé par la fatigue, qui peut entraîner un grave état dépressif. Ce stress peut être repéré grâce à la fréquence de la respiration et celle du pouls. Il est souvent engendré par un changement de situation dans l’univers du chien. Un déménagement, qui l’oblige à épouser un autre mode de vie, évoluer dans un autre environnement, par exemple de la campagne à la ville, peut entraîner un état dépressif. > Comment préparer le chien à un déménagement L’agitation dans une maison où vivent des enfants bruyants et turbulents peut également être stressante pour un chien, surtout s'il a un tempérament peu actif.
La frustration
Un chien auquel on interdit un plaisir, alors qu'il lui était jusqu'à présent accordé (une promenade par exemple), installe l’insatisfaction permanente. La frustration peut aussi affecter un chien qui se voit soudainement imposer la présence d'un jeune congénère. Pour peu que l’on bouleverse le schéma de meute auquel il se réfère, son psychisme est diminué. Or lorsqu’il y a rupture d’un équilibre entre les circonstances extérieures et la personnalité du sujet, il en découle un stress. De l’agression à la dépression qui exclut toute joie de vivre et énergie, les réactions diffèrent selon les chiens. L’anxiété, considérée comme pathologique chez le chien (à la différence de l’homme), peut également conduire à la dépression. Il s’agit d’un état réactionnel tissé d’émotions analogues à celles de la peur. Un changement dans l'environnement du chien déclenche ce genre d’émotions. Les comportementalistes relèvent parmi les facteurs d’anxiété des exemples quotidiens tels le chien né à la campagne qui ne supporte pas les bruits de la ville, ou le chien atteint du syndrome de privation… Ce dernier cas montre un animal séparé trop tôt de sa mère. Le chiot présente un développement comportemental inachevé. L’hyper-attachement dont il fait preuve l’entraîne vers une anxiété de séparation.
Une émotion trop forte
La dépression réactionnelle survient en réponse à une émotion violente. Indifférence à l’environnement, anorexie, frigidité ou impuissance sont autant de symptômes de cet état. Le traitement, qui ne doit pas empêcher le chien de poursuivre ses activités physiques, comprend essentiellement des antidépresseurs dénués d’effet sédatif. Le chien a surtout, et avant tout, besoin d’affection pour sortir d’un état dépressif. Il est important de bien s'assurer qu'il s'agisse vraiment d'une dépression et non d'une grosse fatigue passagère. Consultez votre vétérinaire, qui après plusieurs jours, pourra poser son diagnostic.