« Deux chasseurs de Valladolid condamnés pour avoir tué leurs trois chiens »

Les chasseurs, condamnés respectivement à des peines de quatre et huit mois de prison, ont pendu deux galgos et un terrier allemand et ont ensuite abandonné leurs cadavres dans une zone abandonnée et inhabitée au nord de la province il y a deux ans.

 La Justice a confirmé les condamnations à quatre et huit mois de prison infligées à deux chasseurs de Valladolid qui ont tué leurs chiens qui ne pouvaient plus leur servir pour la chasse, pour ensuite les abandonner dans un lieu désertique au nord de la province.

Le jugement de la Cour Provinciale est ferme et leur interdit également de travailler avec des animaux au cours des trois prochaines années. Les deux chasseurs sont condamnés pour des faits pratiquement similaires : ils ont frappé et pendu leurs chiens de chasse pour ensuite abandonner leurs cadavres dans un lieu dépeuplé de Villacreces, zone abandonnée de la localité de Santervas de Campos, un lieu où, comme l’a déclaré l’un deux, « on enterre les animaux morts ».

L’un deux a commis ce crime au début de 2014 : on avait diagnostiqué une maladie potentiellement mortelle chez son lévrier et il avait décidé de l’étrangler avec une corde.

Le second a fait de même un an plus tard avec deux de ses chiens : il a d’abord pendu son lévrier et a ensuite frappé son terrier avec un tesson et l’a asphyxié, ces deux chiens étant aussi des chiens de chasse. Les corps ont été retrouvés par les agents de la Seprona de la Guarda Civil quelques jours plus tard. z.jpg Trois meurtres exécutés avec «une cruauté particulière » et avec « des méthodes particulièrement cruelles et inhumaines » que les juges traduisent en une peine d’emprisonnement de 8 mois pour celui qui a tué deux chiens et quatre mois pour l’autre, tous les deux pour délit de maltraitance.

La Cour Provinciale confirme de cette façon la peine prononcée par le tribunal pénal numéro 2 de Valladolid. Elle rejette le fait que, selon l’un des 2 accusés, l’une des chiennes assassinées est morte de la maladie qui avait été diagnostiquée et non par pendaison : le vétérinaire qui a examiné le cadavre dans le Centre de Récupération des animaux de Valladolid a été « clair et convaincant » en désignant la strangulation comme cause de la mort. Les juges ont également souligné « un motif financier » dans les crimes, puisque la saison de chasse était terminée.

La Guardia Civil a signalé la découverte d’une douzaine de chiens morts dans cette zone abandonnée de Valladolid au même moment mais sans que cela soit pris en compte dans le jugement : des sources de l’affaire affirment que ces faits ont été mis à leur charge sans qu’il existe la moindre preuve de liens avec les faits initialement reprochés.

Les galgos, des animaux de compagnie

Le jugement de la Cour Provinciale de Valladolid rejette également l’argument, utilisé par l’un des accusés, qui a fait valoir que les lévriers de chasse ne doivent pas être considérés comme des animaux de compagnie à des fins juridiques :

« on parle d’un chien habitué à la coexistence et au contact avec l’homme, élevé dans la compagnie de son propriétaire, d’une race non potentiellement dangereuse, qui avait sa puce d’identification et a été inclus dans le système des animaux de compagnie de la Junta de Castilla y Leon » expliquent les magistrats pour cautionner sa protection. Cette semaine, un tribunal pénal de Badajoz a condamné à un an et deux mois de prison et trois ans d’interdiction de travailler avec des animaux , un chasseur de Usagre (Badajoz) qui a battu à mort 5 galgos en 2014 :

« à la fin de la saison de chasse, devenus inutiles pour la chasse », lui et un autre accusé ont assassiné ces 5 chiens : Cometa, Sultan, Mori, Paloma et Cachorra. Le galgo, icône de la maltraitance animale Silvia Barquero, présidente du parti animaliste PACMA, a déclaré à Cadena SER que les lévriers sont devenus « un symbole de la maltraitance des chasseurs envers les chiens qu’ils utilisent pour la chasse ».

Elle réclame des moyens aux administrations publiques mais déclare aussi : « nous sommes très optimistes, la société a déjà fait un pas en avant » dans la défense des droits de cet animal. Lien vers message audio de Sylvia Barquero sur l’article original. Un message de protestation contre la chasse avec lévrier que revendique aussi Anna Clemens, directrice de l’organisation SOS Galgos. « Ils ne chassent pas avec un fusil de chasse, ils utilisent le galgo comme un outil, alors soit il sert soit il ne sert pas, ils n’ont aucun respect pour sa vie ».

Lien vers message audio de Anna Clemens sur l’article original. Le mois de mars dernier, le PACMA a rentré au Ministère de l’Agriculture une pétition de 30000 signatures contre la chasse avec lévriers. //

galgos 

Quel pays pourrait encore accepter que des chiens qui n’ont pas été à la hauteur d’une chasse au lapin soient punis de pendaison, qu’on leur crève les yeux, qu’on les ampute à vif, qu’on les écorche vivants, qu’on les brûle à l’acide, qu’on les empoisonne de produits extrêmement toxiques ? Et même qu’on les traîne derrière une voiture jusqu'à ce que mort s’ensuive. Voilà ce que l'Espagne réserve aux GALGOS c'est ignoble

Un homme a été interpellé et placé en garde à vue, ce mercredi après-midi à Calais après avoir lancé trois de ses 23 chats par la fenêtre de son appartement du 12ème étage.

L'incident s'est produit vers 13h, dans un appartement de la rue Antoine Bourdelle à Calais.

Un homme possédant 23 chats en a lancé 3 par la fenêtre. Les trois animaux n'ont fatalement pas survécu à la chute. L'individu a été interpellé et placé en garde à vue. Il sera poursuivi pour cruauté envers les animaux.

Il risque jusqu'à 2 ans de prison. Les chats survivants ont été pris en charge par la Ligue Protectrice des Animaux de Calais. La LPA devrait se porter partie civile.

Par compassion, cette employée de refuge s’allonge dans l’enclos d’une chienne pétrifiée pour la calmer

Prissy vivait sur une dalle en béton dans une rue du Tennessee, aux États-Unis, avant d’être secourue puis transférée au refuge animalier de l’association Conway Area Humane Society, dans le New Hampshire. Au moment des faits, la chienne vient de donner naissance à trois chiots ; les vétérinaires du centre décident alors de l’opérer afin de la stériliser.

Cette opération chirurgicale de routine, qui a pour but de simplifier sa future adoption. aura lieu dès son arrivée au refuge.

À peine réveillée de l’anesthésie générale que suppose l’opération, Prissy est ensuite placée dans un enclos, au milieu du chaos habituel du refuge et de ses nombreux chiens qui aboient constamment. Il est facile d’imaginer à quel point une telle expérience peut s’avérer déboussolante pour la pauvre chienne : elle a d’abord vécu livrée à elle-même après son abandon, puis a été prise en conduite à un centre médical pour animaux avant d’être opérée et enfin, de se réveiller en terre inconnue, dans un enclos du refuge de Conway.

Chrissy Ireland, une des employées de ce dernier, se rend rapidement compte que Prissy semble mal en point. Souhaitant lui apporter du réconfort, elle décide alors de s’installer auprès de la chienne, dans son enclos, et de lui tenir compagnie pendant ce difficile moment :

« J’ai vu qu’elle était toute tremblotante, elle n’avait vraiment pas l’air bien. J’ai eu de la peine pour elle alors j’ai décidé de m’allonger à ses côtés, sur le sol, et de la câliner. Si je me faisais opérée et que je me réveillais dans un chenil, je serai pétrifiée. » Si de tels gestes d’affection ne sont pas rares au refuge – où les bénévoles font tout pour s’occuper au mieux des chiens – le cas de Prissy est particulièrement touchant. L’acte de l’employée est d’autant plus fort que la chienne vient de se réveiller de son anesthésie et est encore « dans les vapes », ce qui renforce son angoisse et son impression d’être délaissée.

Debra Cameron, la directrice du refuge, effectue à ce moment là sa ronde d’inspection quotidienne lorsqu’elle découvre son employée blottie contre la chienne. Attendrie par la scène, elle ne résiste pas à la tentation de l’immortaliser. C’est ce genre de petits gestes – motivés par de grandes intentions – qui illustrent quel point le travail des employés de refuges pour animaux est noble et digne du plus grand respect.

Dans une interview avec le site TheDodo, bora Cameron déclare : Nous offrons aux chiens un environnement sûr et chaleureux. La majorité des gens imaginent que les refuges sont des endroits sinistres et que tous les animaux qui y sont ont vécu des choses atroces, mais c’est loin d’être toujours le cas. Il y a beaucoup de refuges de qualité à travers le pays, qui emploient du personnel expérimenté, attentionné, plein de compassion, et prêt à tout pour s’assurer que les animaux s’y sentent aimés.

Lorsqu’elle sera pleinement remise de son opération, Prissy pourra être adoptée. Nous espérons de tout coeur qu’elle le sera au plus vite et qu’elle trouvera une famille aimante et attentionnée comme Chrissy. En attendant, on vous laisse visionner l’émouvante séquence :

Chiot tué pour avoir rongé le canapé de son maître Un boxer a dû être piqué après avoir été battu par son propriétaire.

Ce dernier, connu pour être violent, sera emprisonné. Sa courte vie s’est achevée après quatre heures d’agonie dans des souffrances terribles...

Un boxer de 3 mois a été très gravement blessé en février dernier. C’est son maître, Jonas*, 26 ans, qui est à l’origine de son décès. Terminé, les bêtes Le vétérinaire cantonal vaudois Giovanni Peduto enregistre heureusement peu de dossiers comme celui de Raïko.

De tels cas de maltraitance sont rares, explique-t-il. Des dénonciations, suivies de vérifications, sont plus fréquentes, mais les infractions constatées ont des conséquences moins graves. Dans le cas de Jonas, une procédure administrative s'est ajoutée au volet pénal: le jeune homme a désormais l'interdiction de détenir un animal.

Même s'il s'établit dans un autre canton, puisque son nom figure à présent dans un registre fédéral. Comme tous les chiots, Raïko mordillait tout ce qui lui passait à portée de crocs. Ce 11 février, l’animal avait rongé le canapé du jeune Nord-Vaudois. Jonas ne l’a pas supporté. Il s’est emparé de la pauvre bête, l’a secouée et frappée très durement, probablement avec les pieds. Les coups portés ont été tellement violents que le boxer est resté immobile au sol.

Il a agonisé pendant quatre heures avant que Jonas se rende dans un cabinet vétérinaire d’Yverdon. La professionnelle s’est vite rendu compte que les multiples plaies internes du chiot rendaient tout traitement illusoire. Raïko a été euthanasié et la justice avertie. L’autopsie qui a suivi montre que l’ensemble de ses organes internes étaient atteints.

Et que la bête avait déjà été battue à plusieurs reprises. Entendu par la police, Jonas a fini par admettre les faits. Le bonhomme est plutôt violent. Il a déjà été condamné à cinq reprises, notamment pour complicité de meurtre et agression. C’est ce passé qui a incité le procureur à le condamner à 120 jours de prison ferme pour mauvais traitement infligé à l’animal.

Condamné à vivre dans une caisse en bois, un berger malinois de 12 ans a été secouru à Bagnolet (93) par la Fondation 30 Millions d’Amis. Amos vivait dans une caisse en bois.

Fondation 30 Millions d'Amis

C’est grâce à un signalement que la Fondation 30 Millions d’Amis a pu mettre fin au calvaire d’Amos. Son existence se résumait à vivre enfermé le jour et à ne sortir que la nuit pour travailler avec un maître-chien.

DES ESCARRES AUX COUDES

La caisse dans laquelle Amos était placé en journée ne faisait pas plus d’1,50m de longueur, collée à un mur. Le malinois vivait dans le noir et pouvait à peine se tenir debout. Sur place, les sauveteurs ont constaté que le chien était particulièrement maigre, son pelage était sale et il présentait des escarres aux coudes.

Le berger semblait très fatigué et anxieux, il avait sa queue rabattue entre ses pattes arrières en présence de son maître. Aucune gamelle de croquettes n’était à sa disposition et son eau était croupie.

PLAINTE DE LA FONDATION

En présence des agents de la police judiciaire des Lilas (93), la représentante de la Fondation 30 Millions d’Amis a libéré le berger belge de ses terribles souffrances « Lorsque nous sommes arrivés, le chien poussait des gémissements et montrait une pressante envie de sortir de là en tentant de s’extraire tant bien que mal dans la caisse » a confié l’enquêtrice.

La Fondation 30 Millions d’Amis s’est constituée partie civile et a déposé plainte pour abandon ainsi que pour actes de cruauté sur un animal . Amos attend un famille d’accueil au refuge 30 Millions d’Amis de la Tuilerie (77) : 01 64 00 15 45.

Que ceux qui ne veulent pas voir vivent les yeux fermés…A tous nos anges à l’âme cassée

Mon petit ange tout cassé.Mais que t’ont-ils donc fait ? Quelles sont ces vilaines balafres qui sillonnent ton cou ? Comment ont-ils osé ?

Tu es si jeune, si doux, si tendre. Tu es mon ange immaculé. Pour eux un simple objet. Tes grands yeux si inquiets. Ton corps tendu qui sursaute au moindre geste. Ta peur de franchir le seuil, de te retrouver enfermé, où tout peut arriver.

Comme j’aime te regarder dormir, les yeux enfin clos. Ce long sommeil si mérité que là-bas tu n’as jamais pu trouver. Trop de tension, de promiscuité, trop de peurs accumulées. Ici tu dors profondément, chaque jour tu t’étends un peu plus sur ce canapé devenu ton lieu de sécurité. J’y ai déposé quelques os à ronger.

Je sens ton regard sur moi quand tu es couché, la tête entre les pattes. Tes yeux grands ouverts qui ne cillent pas et qui m’observent inlassablement. Tes pupilles dilatées comme pour fouailler au tréfonds de moi, tu me sondes, tu t’interroges, tu te demandes ce que j’attends de toi, si tu peux me faire confiance.

Pourquoi me ferais-tu confiance d’ailleurs ? Jusqu’à présent tu n’as connu que les coups, la souffrance et les cris. Tu as très peur de la main humaine, et même ces petits gâteaux que tu aimes tant ne te feront pas approcher dès que la main se tend vers toi. Même la voix te fait sursauter. Alors c’est un dialogue muet que nous avons entamé. Nous nous regardons, et en silence avec les yeux nous nous parlons. Comment peut-on en arriver là ? Quel est ce monde où l’on ne panse plus… que les blessures ?

Mon petit ange tout cassé. Mais que t’ont-ils donc fait ? Quand tu es arrivé en France on pensait mettre la lumière sur toi, on pensait te faire exister. Enfin, toi l’anonyme. Mais aucun regard ne s’est posé sur toi, pas une demande, pas une question. Tu es devenu l’invisible, celui que personne ne voit.

Mon pauvre ange, personne n’a voulu de toi. Cela me crève le cœur pour toi, c’est comme si on t’abîmait une nouvelle fois. Combien de temps encore devras-tu payer pour le mal que l’on t’a fait ? Mais laissons-les t’ignorer. Ils ne comptent pas. Ils ne comprennent pas. Moi, je te garderai, non contrainte et forcée, mais parce que je sais celui que tu es et que je vois celui que tu deviendras. Jour après jour je réparerai ta petite âme cassée, je panserai ces blessures que l’on t’a faites et tu deviendras celui qu’au plus profond tu as toujours été.

Et que ceux qui ne veulent pas voir vivent les yeux fermés

Un chasseur condamné pour avoir enterré son chien vivant

Le Tribunal Correctionnel de Saumur (49) a jugé un chasseur pour avoir enterré vivant son épagneul breton de 14 ans. Il a été reconnu coupable. La Fondation 30 Millions d’Amis était partie civile.

6 mois de prison avec sursis, l’interdiction de détenir un animal pendant 5 ans et la confiscation de ses autres chiens . C’est la peine prononcée par le Tribunal Correctionnel de Saumur à l’encontre d’un chasseur de 55 ans qui avait enterré vivant son épagneul breton (15/06/2017).

Pour sa défense, l’homme expliquait que son « meilleur chien de chasse » serait mort avant qu’il ne le mette en terre, d’après ses propos relayés dans la presse. La Fondation 30 Millions d’Amis était partie civile à l’audience. « Au cours de l’instruction du dossier, le prévenu a été mis face à ses contradictions par la Présidente du Tribunal.

La souffrance infligée à cet animal est indescriptible ! » commente Maître Eva Souplet, l’avocate de la Fondation.

RAPPEL DES FAITS

Cet épagneul breton, renommé Aslan par des défenseurs des animaux, a été découvert enterré sous une couche de terre, elle-même recouverte par une tôle et des bûches de bois en décembre 2016.

Alerté par des jappements sourds, un riverain avait déterré l’animal puis l’avait transporté chez un vétérinaire. Malgré les premiers soins apportés, le vétérinaire avait dû abréger ses souffrances…

En juin 2016, une peine semblable était prononcée à l’encontre d’un jeune homme qui avait enterrée vivante sa chienne dogue de Bordeaux Athéna à Carrières-sur-Seine (78).

Lorsque nous prenons des animaux de compagnie, nous devons garder à l'esprit que nous nous engageons. Ils pourraient faire partie de notre vie, mais pour eux, leurs propriétaires sont le monde. Ils sont si dévoués à leurs propriétaires; ils sont tristes de les voir partir pour le travail et ne peuvent contenir leur bonheur quand ils rentrent chez eux.

Malheureusement, leur fidélité n'est pas remboursée par tant de personnes. Ils abandonnent leurs animaux de compagnie dans l'abri animal pour les plus petites raisons, et cela peut être très pénible pour l'animal. Cette histoire concerne un chien nommé AJ.

Il a été abandonné à l'Agence Carson Animal Control Agency. Il n'avait aucune idée pourquoi il était laissé là-bas, et il était en détresse extrême. Regardez simplement combien il avait l'air effrayé! Ses yeux pleins de larmes, et il tremblait littéralement de peur. Ce pauvre chien a l'air si innocent, il n'a jamais dû blesser une mouche dans sa vie. Il est tellement confus.

Pourquoi les gens qu'il aimait le plus le trahiraient comme ça? Malheureusement, s'il n'est pas adopté bientôt, il sera mis en panne. C'est pourquoi il est si important d'adopter des animaux de compagnie plutôt que d'en acheter de nouveaux.

Les animaux innocents comme AJ peuvent perdre leur vie, grâce à l'inconscience d'une autre personne. L'agression chez le chien rend difficile l'adoption de ceux qui vivent dans un refuge pour animaux, car personne ne veut se blesser de leur nouvel animal de compagnie. Le fait de les mettre en panne est habituellement un dernier recours, après avoir passé des mois à essayer de socialiser ces pauvres animaux qui n'ont pas leur mot à dire dans leur éducation.

 Cette beauté a touché le cœur de beaucoup de gens et aujourd'hui, il a eu la chance de prendre sa liberté de sortir du refuge, même s'il essaie un rhume. Il a été sauvé et nous espérons que demain que Rescue fonctionnera avec les différents sauvetages qui sauvent son frère collé TOBY, afin qu'ils puissent être réunis. Les deux ont été très déprimés depuis leur séparation ... Happy life sweet AJ

Entendre des bruits non-identifiés venant d’une maison abandonnée n’est jamais de bon augure.

Ces policiers de Chicago ont certainement dû penser la même chose quand ils ont entendu des cris.

Les bruits venaient d’une vieille maison en ruine. Ce qu’ils découvrirent à l’intérieur va vous choquer : deux chiens se trouvaient dans la maison, et hurlaient de douleur.

Nous sommes le 6 juillet quand la Trio Animal Fondation reçoit un appel de la police de Chicago, les informant qu’ils venaient de secourir deux chiens en état de malnutrition avancée. Ces pauvres chiens, Emmy et Oscar, avaient été abandonnés à leur sort.

Les chiens ont ensuite été emmenés au centre de secours, où l’équipe soignante a fait tout son possible pour les sauver. Emmy, la chienne rousse, pesait à peine 9 kilos ! Et Oscar était dans un tel état en arrivant que les sauveteurs ne pensaient pas qu’il survivrait.

Malgré cela, après trois mois d’efforts sans relâche, les chiens recouvrèrent la santé. Emmy et Oscar sont tous les deux passés par une période très difficile, et ont survécu ! Pour commencer, ils ont reçu des solutions intraveineuses, des anti-douleur, des antibiotiques, et un régime adapté. Après un tel cauchemar, ils vont mieux que jamais !

Cette histoire a fort heureusement une fin joyeuse : Emmy a été adoptée par son docteur préféré, Anthony. Oscar a lui aussi trouvé une maison pleine d’amour. Bien qu’ils aient tous les deux trouvé une maison, il y a toujours de très nombreux animaux en attente d’une nouvelle maison. Pensez-y …