Cette semaine, à Wuhan en Chine, un camion de 2800 chats destinés à être vendus pour la viande a été stoppé et arrêté grâce à la mobilisation de citoyens et défenseurs des animaux, en collaboration avec la police. Les papiers du transporteur étaient falsifiés.

Ils sont actuellement soignés par des bénévoles et vétérinaires. Chats, chiens, cochons, poulets... Partout dans le monde, des voix s'élèvent pour défendre les animaux.

Plus de photos et d'infos sur cette intervention : http://careforchineseanimals.net/…/17/1-15-wuhan-cat-rescue/

Une souris verte , heu

On vient d'etre mis au courant d'une filère rom (vous savez les gens dont il ne faut jamais dire de mal) qui passe de la drogue d'Italie a Marseille dans l'estomacs des chiens ? Comment on le sait ? recrudescence de chiens eventrés sur les terrain vagues de Marseille Et c'est nous qu'on trouve trop violent émoticône frown Face aux hyenes , il faut des loups

Parfois il faut juste être capable d'accepter que certaines personnes ne sont qu'un morceau de ta vie, et pas toute la vie. Il faut accepter que les gens changent, se désintéressent, ne donnent plus signe de vie, effacent leur mémoire comme si c'était un disque dur.  Il y a un jour où il faut accepter que la plupart des gens sont juste de passage...

Celui qui ne comprend pas ton silence n’arrivera jamais à comprendre ton regard

Le droit à la vie... Rescapé de perrera.

Jade, si proche et si lointain... Qu'as-tu subi en Espagne pour être devenu ainsi ?

Une somptueuse Inconnue ! A qui appartiens-tu Beauté ?

Ces photos sont choquantes, elles vont très certainement vous émouvoir et vous révolter.

Ces photos sont le reflet de ce qu’endurent les Galgos en Espagne. Pour nous, protecteurs et spectateurs de leur martyr, elles sont presque banales… car ce sont des milliers de Galgos qui sont ainsi maltraités et détenus sans de terribles conditions.

Et pourtant, malgré tous ce que je peux apporter de témoignages sur ce blog attestant des conditions de vie effroyables des Galgos, nous sommes confrontés à la triste réalité des exigences des candidats à l’adoption.

Dans la majorité des cas, le Galgo devra être un chien parfait Il devra bien se comporter , aimer les enfants surtout, ne pas avoir peur des humains, ne pas courir après les chats, être propre sur lui, bien se tenir au restaurant, ne pas aboyer et j’en passe parce que la liste est longue….de ce que vous attendez de cette vie pauvre sauvée.

Alors, ne soyez pas surpris quand parfois je perds patience au téléphone, surtout lorsque que votre discours commence par « je voudrais faire une bonne action en sauvant un Galgo » et qu’au fil de la conversation vous m’énumérez « la liste » de ce que vous attendez de ce futur compagnon et bien à ce moment-là, j’ai juste envie de vous ramener à cette triste réalité.

Regardez ces photos et vous comprendrez.

Il était grand temps pour Bin et Canita qui ont été retiré à un Galguero par les protecteurs de la FBM. Tous les deux ne pèsent plus que 11 kg et étaient sur le point de mourir de faim.

VIOLENCES CONJUGALES –

Une Britannique de 54 ans rouée de coups par son compagnon qui a tenté de la brûler vive pour avoir refusé sa demande en mariage témoigne pour la première fois.

Elle raconte sa nuit d'horreur et son combat pour la défense des femmes battues: il tente de la brûler vive parce qu'elle refuse sa demande en mariage

Metronews a fait le tour de la presse internationale et vous livre le fait divers du jour… Elle a décidé de parler pour, peut-être, venir en aide à d'autres femmes. Helen Byrom, originaire de Dewsbury, dans le nord de l'Angleterre, a raconté à la presse britannique la nuit d'horreur que son ancien compagnon lui a infligé l'été dernier.

Rouée de coups, défigurée et couverte de sang, elle ne doit sa survie qu'aux quelques instants d'inattention de son bourreau qui lui ont permis de s'échapper alors qu'il s'apprêtait à la brûler vive. L'histoire avait commencé par un coup de foudre.

Helen Byrom, âgée de 54 ans, avait rencontré Vincent Bowen dans un avion. Ils étaient assis l'un à côté de l'autre, et le temps d'un vol, elle avait été séduite.

Une semaine plus tard, il emménageait chez elle.

"J'étais tombée amoureuse, j'ai cru qu'on resterait ensemble pour la vie", se souvient-elle. "J'ai eu pitié de lui" Alors qu'il est au chômage, elle le loge, le nourrit, le blanchit et lui offre même des vacances.

L'idylle dure trois ans. Mais en septembre 2013, alors que le couple est de retour d'un voyage, elle décide de rompre. "J'ai eu l'impression qu'il profitait de moi, reconnaît Helen Byrom. Je lui ai dit que c'était fini, qu'il fallait qu'il parte. Mais à Noël, il était encore là."

Vincent Bowen finit par plier bagages. Mais un mois après, il revient avec une alliance. "J'ai cru que c'était une plaisanterie, s'étonne-t-elle encore. Je lui ai dit que nous n'étions plus ensemble, que ça n'avait aucun sens. Mais j'ai eu pitié de lui." Il lui promet qu'il a changé. Elle accepte de le loger, comme locataire. Il paie son loyer et tout se passe bien jusqu'à ce la Britannique rencontre un autre homme.

Le comportement de Vincent Bowen change et devient jaloux, narquois. "Je vais te brûler" Une nuit d'août 2014, il rentre saoul à la maison. "Il disait que je lui manquais de respect en étant avec un autre homme" se rappelle-t-elle. Enragé, il se jette alors sur elle. La roue de coups de poings, tente de l'étrangler.

Elle le supplie de ne pas la tuer. Puis il l'asperge d'un liquide transparent et lui murmure : "Je vais te brûler". Le temps qu'il trouve son briquet, Helen Byrom parvient à s'enfuir de la maison et trouve refuge chez ses voisins. Le visage ensanglanté, tuméfié et couvert de bleus, elle est méconnaissable.

"Dès que je repense à cette nuit, je frémis d'horreur. Il était comme un animal sauvage." Vincent Bowen a été condamné à vingt-huit mois de prison. Mais il n'en purgera que la moitié et devrait être libéré en octobre prochain. Helen Byrom, toujours traumatisée, mène aujourd'hui un combat pour tenter de se reconstruire : sensibiliser aux violences conjugales. "Je ne vais pas laisser ce monstre gagner."