J'ai du mal à m'exprimer,a dévoiler mes sentiments. J'ai du mal à l'avouer,a décrire ce que je ressens. Peur d'être jugé ,je mets ces mots sur papier Peur d'être incompris je préfère que l'on me lise. Je fuis mon passé. J'évoque le présent. Et les temps oubliés .Je pense au futur, incessamment. Je couche tous ces mots sur papier a l'encre de mon âme, percée

Je ne crois pas au destin. Je n'existe que dans mon calvaire. Ma vie ne rime à rien ne serait-ce qu'à mes vers. Ma présence dans ce monde est inutile. Nul besoin de chercher, je n'ai pas le profil .Je suis victime du passé, à coup sûr. Spectatrice du présent, proie du futur. La honte me cherche, me traque .Je m'enfonce allègrement dans un cul-de-sac tandis que la gloire me fuis, encore faut-il en avoir l'envie ? Telle une goutte dans l'océan. Une de plus ou de moins, nulle différence. Je me noie dans la foule, suis le mouvement. Ca n'a maintenant plus d'importance

Un sentiment de trahison de rejet, d'incompréhension. Une douce larme, de colère en précède d'autres, solidaires.

L'horrible vérité que l'absence de lois de protection des animaux en Chine

Le 3 mars, près de Zhanjiang Chikan North Bridge un pauvre chien sans défense est battu à mort par un groupe de jeunes gens.

Si ce genre d'atrocités qui se passe dans les rues d'une ville animée, demandez-vous ce qui se passe où les caméras ne peuvent pas atteindre ?

Ruelle et fonctionnaire chien abattoirs ?

Bord de la route illégale la vente et l'abattage des points ?

L'esprit rebondit à la cruauté qui se passe sur une base horaire en Chine ! Il convient d'introduire des lois de protection ??Animal? et bons citoyens chinois réclament à grands cris pour eux !

Nous nous retrouvons juste demander pourquoi ?

Acte de compassion pour aujourd'hui est de signer et de partager cette pétition :

https://www.change.org/p/stop-horrific-dog-meat-trade-deman…

RIP

Si tu as oublié les paroles qui redonnent espoir demande à un poète de t’emporter en voyage ; avec lui tu pourras rêver tous les soirs..

Être seul est devenu une maladie honteuse. Pourquoi tout le monde fuit-il la solitude? Parce qu'elle oblige à penser.

En Colère !

Aujourd'hui le dauphiné publie cela : " ANIMAUX Australie : les autorités abattent près de 700 koalas affamés

Les autorités australiennes ont abattu près de 700 koalas dans le sud-est du pays où les marsupiaux, trop nombreux, mouraient de faim. Les koalas ont été euthanasiés en 2013 et 2014 dans la région de Cape Otway, a expliqué Lisa Neville.

"L’opération était indispensable pour éviter des souffrances aux koalas qui ne trouvaient pas de quoi se nourrir", a plaidé la ministre de l’Environnement de l’Etat de Victoria.

Au total, 686 koalas ont été euthanasiés. La ministre a indiqué qu’elle s’était entourée d’experts pour améliorer la gestion des populations, sans exclure cependant une nouvelle campagne d’abattage.

"L’expérience montre que le déplacement des koalas ne fonctionne pas et peut au contraire provoquer des souffrances plus grandes", a-t-elle déclaré à la chaine de télévision australienne ABC.

Avant l’intervention des autorités, les animaux mouraient à petit feu et leurs cadavres jonchaient la côte au point que l’endroit "sentait la mort", a témoigné le gérant d’un camping de la zone, Frank Fotinas.

L’affaire de Cape Otway n’en demeure pas moins exceptionnelle: la population de ces petits marsupiaux classés comme vulnérables par le gouvernement est en effet en forte diminution en raison de la perte de leur habitat, de maladies, d’attaques de chiens et d’incendies de forêts. (Incendies de forêts????!!!!!)

L’Australian Koala Foundation, qui estime leur population à moins de 100 000 individus, dénonce la mauvaise gestion des responsables politiques locaux. "Ce qu’ils ont fait est choquant. Pourquoi avoir laissé la situation se détériorer ?", a réagi la directrice exécutive de la fondation, Deborah Tabart. Selon la zoologiste et spécialiste des koalas Desley Whisson, la population de Cape Otway s’est considérablement accrue après l’introduction de koalas prélevés sur French Island, une île côtière de l’Etat de Victoria devenue un sanctuaire pour les koalas victimes de la chasse au début du 20ème siècle.

Faute de prédateurs comme l’uraète, un aigle endémique d’Australie, ils ont proliféré. Desley Whisson a défendu l’intervention des autorités en expliquant qu’il s’agissait "d’arracher les koalas à leur destin misérable". Par AFP | Publié à 08:24 "

-> Et si on disait la véracité de leurs extinctions ?!

" A l'âge adulte, le koala se nourrit exclusivement de feuilles d'eucalyptus. Fait assez rare, il ne boit jamais et l'apport d'eau dont il a besoin lui vient uniquement de son alimentation en végétal. Cet animal est assez difficile car il ne mange que vingt espèces d'eucalyptus (et uniquement des feuilles très fraîches !) parmi les six cents espèces recensées. Il peut, par contre manger jusqu'à un kilo de feuilles par jour ! Cette exclusivité alimentaire met d'ailleurs l'espèce en danger suite à une déforestation de son milieu de vie à des fins commerciales (le bois servant à la fabrication de meubles).

De plus la chasse au koala a longtemps été un jeu apprécié des australiens qui aimaient la douceur de sa fourrure. Les importants feux de forêts qui ont déjà ravagé l'Australie, ont également participé à l'extinction de milliers de koalas. Le koala est classé dans les espèces « quasi menacées » mais on ne connaît pas précisément le nombre d'individus en vie. Ils sont estimés entre cent mille et un million. Le gouvernement australien et les ONG environnementalistes comme le WWF travaillent à la préservation de l'espèce.

Les projets sont menés essentiellement en milieu naturel car il est difficile de conserver des koalas en parc zoologique. Leur alimentation spécifique et la difficulté de reproduction en captivité sont des freins importants. Les actions locales sont menées par des bénévoles qui soignent les individus blessés.

Certains sont munis d'émetteur avant d'être relâchés dans la nature. " Source : Web- Libre .com

Mais aussi : "La fin des koalas : victimes de l'industrie papetière L'Australie est souvent synonyme pour nous de deux animaux emblématiques : le kangourou et le koala. Mais ce dernier a vu sa population diminuer de 90% en moins de 15 ans.

En cause ?

L'homme, une fois encore, avec l'urbanisation et la déforestation. Les routes se multiplient ainsi que les lotissements, qui s'étendent au détriment de la forêt et donc des petits marsupiaux. Les koalas (Phascolarctos cinereus) étaient à l'origine très répandus en Australie. Ils ont déjà failli disparaitre à cause de leur fourrure laineuse marron-gris argenté, qui compte 55 poils par mm², avant d'être réintroduits. Mais les koalas exigent des conditions très spécifiques.

Un espace adapté comporte principalement, mais pas seulement, des espèces d'eucalyptus, un sol adapté ainsi que suffisamment de précipitations. La taille des populations de koalas est directement liée à celle des espaces vitaux, au nombre et à la densité d'espèces d'eucalyptus pertinentes pour leur alimentation.

Si un espace vital se réduit ou est parcellisé, sa capacité porteuse en est réduite proportionnellement à sa superficie. Fréquemment, dans les zones soumises à la déforestation, les koalas vivent dans un environnement de type steppique aux arbres plutôt isolés.

Dans ce cas, les territoires sont plus grands, seule manière de s'assurer un nombre suffisant d'arbres destinés à l'alimentation. Mais il est également courant de les retrouver aussi dans les espaces verts plantés d'eucalyptus dans les villes, qui ne sont néanmoins pas des espaces vitaux adaptés.

Les animaux sont alors le plus souvent victimes des automobiles, des chiens et autres dangers liés à l'Homme. Aujourd'hui les populations les plus importantes se trouvent le long de la côte orientale de l'Australie ainsi que dans certaines régions de l'arrière-pays, où suffisamment d'arbres sont disponibles pour leur alimentation.

Face à un habitat naturel qui rétrécit comme peau de chagrin, le koala se réfugie dans des exploitations forestières, monocultures, d'Eucalyptus, mais cet abri n'en est pas un car l'abbateuse y règne en maître. L'abbateuse me direz-vous ? Il s'agit d'un engin prisé par l'industrie du bois pour exploiter les plantations en Australie. Infatigable, elle coupe 1000 arbres/jour.

Il lui suffit de quelques secondes pour couper et débrancher un arbre, les grumes collectées étant exportées vers les usines à papier de la Chine et du Japon. Mais les abbateuses ne font pas de sentiments et réservent un sort funeste aux koalas. Peu soucieux du cas de l'animal, les exploitants tronçonnent les branches où bloqués par leur lenteur, les koalas restent agrippés et se font happer par les lames des monstres mécaniques.

Les exploitants des plantations contactent rarement les secours pour sauver les marsupiaux, simplement blessés, car ils ne souhaitent pas être associés avec des images de koalas tués ou blessés. Ils préfèrent exhiber la certification FSC de leurs plantations industrielles pour "gestion forestière responsable".

Les employés des plantations, ne parvenant plus à supporter le spectacle cruel de koalas blessés ou tués, ont fini par alerter les médias. " Source : notre-planete.info Notre conclusion? On informe sur un fait, qui cache encore la vérité de la cause de l'action, ou du moins on l'a noie sous des informations diverses qui n'auront comme conclusion qu'un chapitre sans réflexion de la part de ses lecteurs.

Aujourd'hui, les Koala sont euthanasiés car "chassés" de leurs habitat naturel, "chassés" de leur propre maison que l'homme utilise à des fins commerciales. Les solutions ? ..... Prêter attention au papiers qu'on utilise par exemple ...

Se renseigner sur le bois utiliser sur le meuble que nous allons acheter. Privilégier les petits fabricants utilisant les bois locaux. Faire attention à la laine, polaire, et fourrure. Bannir l'huile de palme ( pour l’Indonésie....), les OGM, soja non français..... -> LA solution ? Remettre en question nos achats qui ne sont plus "neutre" pour le monde. Se demander si NOS habitudes à NOUS, ne nuisent (tue) pas quelqu'un la bas, ou pendant la fabrication....

Nous, et uniquement NOUS CONsommateurs, pourrons changer les choses.... Ils produisent parce qu'ON achète.....

Dieppe Le gérant d'un abattoir de Seine-Maritime condamné pour maltraitance sur des bovins

Le responsable de l'abattoir Bigard, à Forges-Les-Eaux, a laissé des bovins en plein soleil, sans nourriture ni abri, et a négligé les règles d'abattage. 2 500 euros d'amende.

Les abattoirs Bigard - La Dépêche-l'Eclaireur

Le dirigeant de l'abattoir a été condamné à 2 500 euros d'amende, contre 60 000 requis par l'avocat général. Décidément, la société Bigard fait parler d’elle. Poursuivie par la commune de Forges-Les-Eaux en Seine-Maritime où elle est située, qui lui réclame plus d’un million d’euros pour occupation illégale du site qu’elle est censée avoir quitté depuis 2011, cette entreprise de transformation de viandes a été condamnée pour maltraitance sur animaux, rapporte France 3.

Des bovins laissés sans nourriture ni abri Lundi 2 mars 2015, le tribunal de police de Dieppe a condamné à une peine de 2 500 euros le responsable de l’abattoir. « Nous sommes bien loin des 60 000 euros requis par le ministère public, 30 000 euros à titre personnel et 30 000 euros en tant que représentant de la société », nuance cependant sur Normandie-actu, Me Dominique Lemiegre, avocat de la défense, qui a plaidé coupable. Relaxé à titre personnel, le dirigeant a été condamné pour deux infractions.

La première : pendant plus de 24 heures au mois de juillet 2011, 35 bovins ont été laissés sans nourriture ni abri en plein soleil. La deuxième concerne l’abattage des animaux qui na pas été réalisé par un personnel formé. « Par manque de matériels, les bêtes n’ont pas été correctement immobilisées et la pince censée les étourdir ne fonctionnait pas », a déclaré le 2 février 2015 à France 3 Frédéric Freund, directeur de l’œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs (OABA).

La défense, qui nie aucunement les accusations, met en avant les circonstances qui ont conduit à ces dysfonctionnements : la procédure de fermeture de l’abattoir et son transfert vers un autre lieu.

Augusta a été trouvée hier par les bénévoles d'Ecija,dans un état critique critique. Elle va être transportée à la Fondation pour y être hospitalisée et opérée en urgence. Elle souffre d'une vilaine fracture, certainement ancienne. Elle n'a plus que la peau sur les os...

Une autre pauvre misère est en ce moment même à l'infirmerie de la FBM. Il s'agit de Nina, elle a touché le ♥ des bénévoles Français qui sont sur place et bien évidemment elle sera prise en charge par LSF.

Malgré toutes ces urgences, il faut préparer le transport du 07 mars et c'est l'effervescence en Espagne. Beethoven à enfin la chance de sortir du refuge d’Ecija et a été emmené à la Fondation avec la petite Podenca Cuenqui. Ils seront tous les deux dans le camion de l'espoir.

Tout le monde s’active pour les préparatifs et toujours dans la bonne humeur .On est heureux d'en voir partir quelque-uns et on ne manque jamais de "bisouter" les autres au passage en leurs faisant la promesse que bientôt ce serait leur tour.

Et pendant ce temps , les vétérinaires et les bénévoles envoyés à la FBM par Lévriers sans frontières continuent les opérations et les stérilisations. Je tiens à remercier l'équipe Française qui a travaillé sans compter pour aider au maximum l'équipe Espagnole.

C'est qu'il y a fort à faire en ce moment au refuge, trie des médicaments nettoyage de l'infirmerie...les tâches ne manquent pas.. Mais il y a aussi des moments de bonheur et la vie qui commence pour certains.. Ceux-là auront la chance de ne pas avoir grandi dans leur pays.

La plupart d'entre eux n'ont que quelques semaines ou mois d'existence. Les animaux ne nous offrent pas leur vie. Nous la leur prenons.