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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
On m'explique pourquoi toutes bonnes choses ont une fin? tandis que le mal ne s'arrête jamais?
Tous ce que j'avais écris sont partit, tous ce que j'avais créés se sont envolés, tous ce que je m'étais imaginer ne se sont pas réalisés, toutes mes larmes on coulées, tous ce que j'ai versés se sont écoulés. Les minutes passent, les heures passent, les jours passent, mais les souvenirs restent, les marques restent, les cicatrices restent, cette putain de tristesse reste. J'ai l'impression d'être seul, abandonné
je t'imagine, toi mon adoptant,
Je t'imagine, toi ma nouvelle maison,
Je t'imagine, toi mon futur copain.
J'imagine, je rêve, je désire, ...
Pourquoi personne ne me veux...
J'imagine ne pas être assez beau,
J'imagine que mon passé ne convient pas,
J'imagine que je reste un mal aimé...
Je sais que je suis plus un chiot. Mais tout les jours , j'imagine combler mon ♥ d'amour.
"Chien abandonné" - de François CAVANNA
Comme les » « 300.000... » saligauds,
Qui laissent tomber leurs animaux,
A la veille des congés payés,
Comme les trois cents mille assassins,
Qui abandonnent, chats et chiens, Sans espoir de les retrouver,
Préméditant, leur saloperie, Madame et monsieur sont partis.
Le chien qui remuait la queue,
Avait du bonheur plein les yeux,
Installé sur le siège arrière De la 604 en partance Pour la grand route des vacances, qui doit passer par la fourrière, quand l'animal devient trop lourd avec ces dix kilos d'amour, et la voiture s'est arrêtée, et la portière s'est refermée, tout s'est passé comme prévu, et la voiture est repartie.
Le chien encore tout étourdi,fait celui qui ne comprend plus,
A la même heure, un peu partout d'autres chiens sont devenus fous.
Appui, sur l'accélérateur, 110, 120, 130 à l'heure, « Le chien va-t-il nous rattraper ? » Il avait beau être bâtard, Il était capable d'avoir des accès de fidélité, éffectivement, le chien courait après l'auto qui s'enfuyait.
Les maîtres se sont retournés un court instant pour vérifier si le chien les suivait encore, mais le code nous a dit cent fois qu'il faut regarder devant soi et, la route a compté « Deux morts »
Après l'horrible collision d'une 604, et d'un camion. « C'est vrai, que les Routiers ! Sont sympa des fois ; Vous n' pensez pas ? » Alors le chien, s'est arrêté, On ne sait pas s'il a pleuré, On ne sait pas, s'il s'est marré, Il est parti, à travers champs, Loin des rumeurs de l'accident, La queue flottant, au vent d'été, Une petite fille l'a recueillie ; « Et mort aux cons ! Et vive la vie ! »
Raju, l’éléphant qui avait pleuré de joie à sa libération apprécie sa nouvelle vie..
L’histoire de Raju, l’éléphant enchaîné depuis 50 ans et qui pleurait à sa libération, a fait le tour du monde. Une semaine après sa libération le 2 juillet 2014, l’animal prend goût à sa nouvelle vie.
Depuis son arrivée dans un centre de soins de Mathura, au nord de l’Inde, Raju mange à nouveau normalement. Un appétit qui pourrait s’expliquer par sa rencontre avec Phookali, une femelle éléphant retrouvée partiellement aveugle dans un entrepôt abandonné il y a deux ans.
Les deux animaux ont déjà apprécié un premier grand repas ensemble, à base de mangues, fruits du jacquier, bananes et biscuits.
« Quand nous avons sauvé Phookali, elle avait des ecchymoses sur tout le corps et portait un abcès de la taille d’un ballon de foot sur la tête. Il est naturel qu’elle s’intéresse à Raju car elle a la même histoire que lui » précise un porte-parole de Wildlife SOS dans une vidéo. rajupo Raju, léléphant qui avait pleuré de joie à sa libération apprécie sa nouvelle vie Les éléphants Raju (à gauche) et Phookali (à droite) Selon l’association, même si l’affection entre les deux animaux est réelle, il est encore trop tôt pour dire si cette rencontre se traduira par « quelque chose de plus ».
Soins et apprentissages Enchaîné pendant 50 ans, et retiré de sa mère alors qu’il était tout petit, Raju n’a jamais vraiment connu la liberté. Ce qui explique quelques difficultés pour l’éléphant de se déplacer dans les jours qui ont suivi son sauvetage.
« Au début, il se postait mécaniquement comme s’il était toujours enchaîné. Mais maintenant ça va mieux, il se déplace normalement, comme si il était libre » avance l’association qui précise aussi que le traitement que l’éléphant reçoit sur ses plaies donne de bons résultats. soinsraju Raju, léléphant qui avait pleuré de joie à sa libération apprécie sa nouvelle vie
Le vétérinaire Khadpekar administre des soins à Raju
Une confiance à regagner Aujourd’hui, les membres de Wildlife SOS travaillent dur pour regagner la confiance de l’animal. Et ils le savent, la partie n’est pas encore gagnée.
« Le problème, c’est qu’il a perdu sa foi en l’humanité. Cela prendra du temps, mais je pense que nous arriverons à gagner son amour et sa confiance. Nous devons juste rester très prudents » précise Yaduraj Khadpekar, le vétérinaire qui a libéré Raju. Preuve que la situation avance dans le bon sens, Wildlife SOS a réussi à faire prendre un bain à l’éléphant, qui a visiblement beaucoup apprécié.
Raju, léléphant qui avait pleuré de joie à sa libération apprécie sa nouvelle vie 37.000 dollars levés Alors que quelque 37.000 dollars (27.000 euros) ont déjà été recueillis sur internet pour aider Wildlife SOS à continuer sa lutte pour libérer les éléphants en Inde, une chose semble déjà certaine. Raju, ne pleurera plus.
Mais d'où viennent tous ces chiens qui sont utilisés dans les laboratoires? Un grand nombre vient de France. À Gannat, la société Harlan ‘produit’ entre 1500 et 2000 beagles par an. C’est le plus grand élevage de chiens en France. Les beagles de Harlan sont élevés rien que pour l’industrie de la vivisection. Pauvres chiens malheureux... N’est-ce pas infiniment triste ?
A L E R T E ! ! ! ! ( dans le Tarn )
C'est une véritable catastrophe qui arrive à une amie des animaux et à son association..... Des saloperies d'agriculteurs !!!!! ont réussis leur jalousie, leur intention de la mettre à genoux !!! Ce matin s'est fait.
L'association n'existe plus, le domaine de 30 hectares et ces dizaines d'animaux qui avaient trouvés ici leur liberté, leur joie de vivre, risque de partir vers la mort. A moins qu'un huissier est du coeur, se que je doute!! et que dire de certaines personnes qui voudront se procurer ces animaux pour la........ Boucherie!!
C'EST UN VERITABLE CRI D'ALERTE QUE JE LANCE AVEC MA FONDATION B.BARDOT.
Déja des associations comme celle de notre grand ami S.Lamart ont commencées à placer certains animaux.
NOUS RECHERCHONS DES AMIS DES ANIMAUX POUR PLACER: Chèvres Chevaux ( 1 de trait - poulains )
Moutons Cochon ect....
L'URGENCE ET LA AVANT LA VENUE D'UN HUISSIER. SAUVEZ LES d'un autre drame, voir de la mort.
UN NUMERO SPECIAL EST MIS EN PLACE: 06. 79. 65. 11. 03. demandez Robert de la Fondation B. Bardot, si répondeur laissez un message nous vous recontacterons.
MERCI DE PARTAGER, de contacter associations, amis ......
En février 2010, en plein milieu d’un spectacle, une orque du parc aquatique Seaworld saisit sa dresseuse et l’entraîne sous l’eau. Elle meurt noyée.
Le documentaire "Blackfish" diffusé sur Arte retrace la vie cette orque tueuse.
À qui la faute ?
Il y a une dizaine d’années, Marc a réalisé un stage à Marineland à Antibes. Pour lui, de toute évidence, les parcs sont responsables. Édité par Louise Auvitu Auteur parrainé par Muriel Fusi
Une orque en spectacle à Marineland à Antibes le 11 août 2013.
Il y a quelques semaines, j’ai eu l’occasion de visionner "Blackfish" ("L’orque tueuse" en français), diffusé sur Arte. Tout ce que j’ai pu voir dans ce documentaire a fait remonter à la surface mon propre vécu, car tout ce qui s’y dit est véridique.
Ce film est une révélation. Je fais partie de la génération "Sauvez Willy". Depuis l’enfance, ce film a déclenché en moi une évidente passion pour les mammifères marins, que j’ai pu naturellement assouvir en allant régulièrement au parc Marineland d’Antibes, sur la Côte d’Azur dont je suis originaire.
Une première ambition de devenir vétérinaire s’est par la suite mutée en désir d’étudier et de faire carrière dans la cétologie (l’étude des cétacés). Bande-annonce de "Blackfish". (YouTube) À 18 ans, mon bac S en poche, je me suis donc inscrit en première année de biologie à la fac de sciences de Nice.
En cours d’année, l’occasion d’un stage s’est présentée, j’ai toute de suite pensé à Marineland. Malheureusement, cette expérience m’a fait revoir le bon cliché que j’avais des parcs zoologiques et l’idée fausse que je me faisais sur le traitement des animaux en captivité. Prévu aux orques, je me suis retrouvé aux manchots J’avais demandé au préalable de passer le temps de mon stage (10 jours) au bassin des orques. Dès mon premier jour, j’ai très vite déchanté : on m’avait affecté aux manchots, car il y avait "besoin de main d’œuvre".
À l’époque, ils étaient cachés du public, enfermés et entassés dans un minuscule enclos en coulisse. Ils vivaient dans leurs excréments. Il s’y dégageait une odeur plus que nauséabonde. J’avais pour travail de les nourrir, notamment ceux qui étaient handicapés (aveugles, au bec cassé ou avec une aile atrophiée).
Si par malheur l’animal laissait tomber un poisson, il ne fallait pas le ramasser mais lui en donner un autre car il était contaminé. Pas touche au dauphin !
Au bout de quelques jours, on m’a envoyé au bassin des dauphins pour en gratter le bord à l’éponge. Dès les premiers instants, Joséphine, la star du "Grand Bleu", s’est approchée de moi et j’ai eu l’envie de la toucher.
Ma responsable m’en a défendu car seuls les dresseurs en avaient le droit, prétextant que cela pouvait perturber les animaux s’ils n’étaient pas dans un cadre de travail. Ou devrais-je dire, d’une prestation payante. Les vestiaires se situant près du bassin des orques, j’allais tous les matins leur rendre visite, avant l’ouverture au public. J’ai pu nouer une sorte de contact avec le bébé de l’époque, Wiki, qui était curieuse et très joueuse.
Elle connaissait déjà quelques gestes essentiels et "ordres" régulièrement utilisés lors des spectacles.
À partir de ce moment-là, j’avoue que j’ai commencé à arriver en retard un peu plus tous les matins. Ma responsable en a eu marre et a décidé que dorénavant je n’étais plus sous sa responsabilité. Je l’ai pris comme une bonne nouvelle car j’étais libre d’aller au bassin des orques, le but initial de mon stage.
Les soigneurs des orques m’ont de suite accepté et j’ai pu finir mon stage avec eux. Mais mon rapport a changé de sujet ; de "la condition de vie des orques en captivité" il est devenu : "les coulisses du parc Marineland". Je n’avais bien évidemment pas le droit de prendre des photos.
En captivité, les orques s’ennuient Quand j’ai vu ces majestueux animaux dans leur bassin étriqué, tourner en rond comme des poissons rouges dans un bocal, entre deux spectacles, j’ai réalisé à quel point ils devaient être malheureux. Ils meurent d’ennui. La captivité provoque toutes sortes d’effets secondaires ; outre l’espace vital, le manque d’exercice et les dérèglements psychologiques, ils ont d’importantes carences alimentaires car leur nourriture est essentiellement basée sur le hareng et le maquereau, contrairement à la vie "libre" où leur régime alimentaire est très varié.
Par conséquent, chaque animal avait une prescription médicale. Ma mission principale était de les nourrir : tri du poisson et préparation des médicaments en les insérant dans les ouïes des poissons, suivant un tableau affiché dans la cuisine. Ces bêtes évoluent dans une eau salée mais aussi chlorée qui détériore leurs yeux et poumons (première cause de mortalité).
C’est pourquoi les soigneurs leur administraient de la vitamine A et E. Image extraite du documentaire "Blackfish". (NFP) En captivité, les orques mâles sont nerveux, leur tension sexuelle est maximale. L’équipe leur donnait une pilule contraceptive pour chienne pour éviter qu’ils ne se reproduisent entre membres d’une même famille.
Les cas d’inceste ne sont pas rares chez les animaux en captivité. "On fait du business" En regardant "Blackfish", j’ai retrouvé de nombreuses similitudes avec ma propre expérience.
J’ai notamment appris l’existence de l’insémination artificielle alors que les parcs se servent de l’argument des naissances comme preuve de bonne santé. Quels vétérinaires se rendent complices de ce désastre ?
Je ne blâme pas les soigneurs, ce sont souvent des scientifiques qui poursuivent un rêve et se retrouvent à travailler dans des delphinariums pour ne pas être au chômage.
Mais ils sont victimes du système eux aussi, autant que les animaux. À la fin de mon stage, j’ai eu un entretien avec le responsable animalier. Dans le blanc des yeux, il m’a déclaré : "Ici, on ne fait pas de sauvegarde animale, mais du business. On leur assure juste une survie à peu près décente." Ça m’a achevé.
Ce parc est une machine à fric. Un parc, qui au nom de la sauvegarde des espèces, ose héberger des ours polaires sur la Côte d’Azur, avec une banquise artificielle de seulement 50m². L'ours polaire Raspoutine au parc Marineland d'Antibes pour les fêtes de Noël.
(Lionel Cironneau/AP/SIPA) Un parc qui prévoit prochainement de s’agrandir et de construire un lagon artificiel, un complexe hôtelier. Un parc qui n’a aucune honte à vendre une rencontre avec les dauphins en tant que prestation. (La dernière mode : faire sa demande en mariage avec les dauphins…)
Un parc qui conditionne ses pensionnaires à n’être que des bêtes de cirque, humains et animaux. Marineland est plus qu’un parc animalier, c’est un lobby.
Je lance un appel à témoin
Je n’ai jamais compris l’intérêt de voir des poissons dans un aquarium alors qu’il suffit d’un masque et d’un tuba pour apprécier la beauté des fonds marins. J’ai eu l’occasion de faire du whale watching en Corse puis au Canada, l’émotion est immense et incomparable par rapport à une vitre de bassin.
Après mon stage, j’avais déjà le projet de changer de voie dans mes études. J’ai néanmoins présenté mon rapport, et ma tutrice l’a immédiatement censuré, le qualifiant de "trop dénonciateur". J’ai laissé tomber.
Depuis 10 ans je travaille dans le tourisme. Je ne suis retourné qu’une seule fois à Marineland, pour des besoins professionnels et la mort dans l’âme. Aujourd’hui, je lance un appel à témoin. J’invite toutes les personnes ayant vu comme moi les coulisses à se manifester. Stagiaires, employés, anciens soigneurs, il faut sortir de l’ombre et faire connaître l’envers du décor au grand public.
Sea World a vu sa fréquentation baisser après "Blackfish", faisons de même à Antibes ! Car pas de demande, pas d’offre. Quel avenir pour les zoos marins ? Il faut interdire la capture d’animaux en milieu sauvage. L’histoire de Keiko, héros de "Sauvez Willy", nous a prouvé que la relâche en liberté n’est pas viable.
Les animaux devraient tous être nés en captivité, en attendant une interdiction totale des zoos. Néanmoins, la contradiction réside dans le fait que ce genre de parc a permis d’observer les animaux, mais l’idée même de l’existence de ces zoos me révulse.
J’ai regardé récemment "Winter le dauphin", l’histoire de ce dauphin amputé de la queue et qui aujourd’hui se trouve dans un hôpital marin qui est en partenariat avec une association d’handicapés moteurs et dont l’efficacité est prouvée. Pourquoi ne pas transformer tous les zoos en hôpitaux ?
C’est là que nous pourrions faire la différence : aider, soigner, étudier mais ne pas considérer ces parcs comme de vulgaires manèges. Propos recueillis par Louise Auvitu
Afrique du Sud: une girafe meurt sur l'autoroute, sa tête a heurté un pont
Une jeune girafe est morte jeudi sur une autoroute à Pretoria, apparemment après que sa tête eut heurté un pont, alors qu'elle voyageait à l'arrière d'un camion, a indiqué la SPA sud-africaine.
Une jeune girafe est morte jeudi sur une autoroute à Pretoria, apparemment après que sa tête eut heurté un pont, alors qu'elle voyageait à l'arrière d'un camion, a indiqué la SPA sud-africaine.
«Deux girafes étaient transportées par la route lorsque l'une d'elles a eu un accident. Nous ne savons pas bien ce qui s'est passé, mais on nous a dit qu'elle a heurté sa tête contre un pont,» a expliqué Rick Allan, le responsable local de la Société pour la prévention de la cruauté contre les animaux (SPCA).
Les automobilistes horrifiés La girafe, qu'il a décrite comme étant jeune et dont les yeux étaient bandés pendant le voyage, est morte de blessures à la tête, a-t-il ajouté, alors que des photos des deux animaux prises par des automobilistes ont commencé à circuler sur internet.
Sa compagne n'a rien eu. La SPCA a ouvert une enquête et pourrait porter plainte contre les propriétaires des animaux, a relevé M. Allan.
De nombreux automobilistes ont posté des photos sur les réseaux sociaux, avant ou après le drame.
«Avez-vous vu les deux girafes coincées sur la route (l'autoroute) N1 ? interrogeait
On juste juste roulé derrière elles.»
Saskia, Lévrier Martyr d'Espagne considérée comme un meuble !
Alors que le statut juridique de l'animal est en pleine évolution ! En effet considéré jusqu'à présent par le code civil (1804) comme un "bien meuble" au même titre qu'une table ou une commode, un amendement à la loi a été voté par nos députés le 15 avril reconnaissant l'animal "comme un être doué de sensibilité"et rendue publique par les médias français. En effet, les associations française de protection animale se battent depuis des années pour que le statut de l'animal change et qu'il ne soit plus considéré aux yeux de la loi comme un meuble mais bien comme "un être sensible". Les défenseurs des animaux ont été soutenus dans leur bataille à 89% par l'opinion publique mais aussi par les plus grands intellectuels français de tous horizons (scientifiques, philosophes, juges...)
Comment comprendre alors le jugement rendu opposant l'association Lévriers sans Frontières aux "adoptants" de Saskia, Lévrier martyr d'Espagne et condamnant l'association a restituer un animal pourtant placé dans sa nouvelle famille depuis presque 1 an et demi.
Alors même qu’en 16 mois de placement dans sa nouvelle famille, Saskia n’a eu aucun problème de fugue, de fuite... au contraire, la petite lévrier s’est parfaitement acclimatée à sa nouvelle vie.
Petit rappel des faits :
Saskia a été adoptée en février 2013, elle a passé 3 semaines chez ses "adoptants", s'est enfuie pour errer pendant 8 jours dans la nature, a ensuite été récupérée par l'Association Lévrier sans Frontière qui l'a replacée dans un environnement plus approprié en famille d'accueil, celle-ci souhaite d'ailleurs la garder définitivement (mais Saskia étant prise dans une bataille juridique, c'est pour le moment impossible) , où elle se trouve maintenant depuis 16 mois. Les éléments parlent d'eux mêmes....
L’association LSF a de bons et légitimes motifs concernant la non restitution de Saskia à « ses adoptants ».
Ces motifs sont réels et fondés. Le jugement rendu ce 26 mai 2014 anéanti, toute l’équipe LSF.
Nous sommes très peinés car Saskia et son bien-être ont été tout simplement occultés, au nom d’un jugement de droit et uniquement de droit, par l’application stricto sensu d’un code civil datant de Napoléon
A cela s’ajoute bien sûr, la non prise en compte de l’évolution votée par les députés français ce 15 avril 2014, octroyant à l’animal le caractère d’être sensible.
Certes, le 26 mai 2014, cette évolution n’était pas encore publiée au Journal Officiel mais elle était bel et bien en cours et votée. Saskia n’est ni un meuble, ni un objet, c’est avant tout un être vivant et sensible.
Que dirait Saskia si nous prenions la peine de s’intéresser à elle, à son bien être ?
Que dirait Saskia de cette décision de justice ?
En 6 années de fonctionnement, Saskia a été la seule à ne pas avoir été restituée à « ses adoptants » et ce, compte tenu d’une étude attentive de tous les paramètres et éléments, avec pour seul objectif : son bien être !
L’association a pour habitude d’aider les adoptants dans les recherches relatives aux fugues de ses protégés.
Extrait 1 du jugement : Saskia, Lévrier Martyr d'Espagne considérée comme un meuble !
Le jugement reconnait même clairement, qu'il n'était pas indiqué sur le contrat d'adoption, qu'un propriétaire doit s'occuper correctement de son chien....
Extrait 2 du jugement : Saskia, Lévrier Martyr d'Espagne considérée comme un meuble !
Article paru dans le Journal La Provence, Samedi 19 juillet 2014.