Allez y continuez d' acheter en animalerie , les chiots proviennent de ces " élevages ", que dis je de ces mouroirs , continuez d' alimenter la chaîne de production , vous ne sauvez pas un chiot , vous faites agoniser sa mère et ses futurs frères et sœurs , et bien souvent tous ces chiots mal nutris et non éduqués viennent surpeupler les refuges et SPA , réfléchissez avant d' acheter un chiot , pour ne pas succomber au regard de ces pauvres chiots , n' allez pas les voir , je vais paraître dur , mais comme les autorités ne font RIEN , c' est la seule solution ne pas ACHETER , il faut que ça cesse , de VRAIS ÉLEVEURS PASSIONNÉS font tout leur possible pour faire naître dans d' excellentes conditions des magnifiques chiots en bonne santé qui feront votre bonheur , croyez moi , même si il est beaucoup plus cher , qu' importe !!!

LA SANTE ?

LE COMPORTEMENT ?

enfin le BONHEUR ça n' a pas de prix non qu' en pensez vous . Je compte sur vous !!!

Un sans-abri retrouve un lapin nain volé dans une poubelle..

Amos est un lapin nain noir appartenant à l’école maternelle Great Beginings de Rogue River (États-Unis).

Cette adorable mascotte, chouchoutée par les enfants, a malheureusement attiré la convoitise d’une personne malintentionnée et a été volé dans la nuit de 3 au 4 juin.

L’adorable boule de poils avait en effet disparu du jardin de l’école, de même que sa bouteille d’eau et sa nourriture. La police de Rogue River a longtemps cherché le pauvre animal disparu, et connaissant l’efficacité des réseaux sociaux a même lancé un appel sur Twitter.

Mais au bout d’une semaine, toujours aucun signe d’Amos le lapin nain. Abandonné dans une poubelle Pourtant, lundi dernier, grâce à un sacré coup de chance, Amos a enfin été retrouvé.

C’est un sans-abri qui a découvert l’animal, après avoir entendu un drôle de bruit venant… D’une poubelle. L’homme fouilla un peu et y a découvert une boîte en carton, dans laquelle se trouvait un lapin avec un peu de nourriture et de quoi boire.

« Ca m’a un peu choqué », a avoué le sans-abri, répondant au nom de Ralph Rodan. « J’ai trouvé que c’était cruel ».

L’homme a alors rapidement contacté les autorités de la ville pour leur parler de ce lapin vivant jeté avec négligence dans une poubelle. « J’étais quasiment certain que c’était Amos », raconte Ken Lewis, chef de la police de Rogue River.

« Je veux dire, quelles sont les chances que n’importe quel lapin soit trouvé dans une poubelle un lundi matin ? »

De retour chez lui Le directeur de l’école maternelle Great Beginings, appréciant beaucoup l’intégrité de Ralph Rodan qui a eu la gentillesse de signaler le lapin, a offert une récompense de 50$ pour avoir rendu le lapin aux jeunes élèves de l’école.

Un autre lapin ayant été donné à l’école après la disparition d’Amos, ce n’est pas une boule de poils servant de mascotte à la classe, mais deux ! Des colocataires qui bénéficient désormais d’une cage en acier renforcé et sécurisée, pour éviter toute nouvelle tentative de vol.

Au Nicaragua, reptiles, amphibiens et araignées exportés comme animaux domestiques Managua

- Tous les jours, Yader sort ses boas constrictors imperators de leur cage pour vérifier qu'ils n'aient pas de tiques, les douche, leur faire prendre le soleil et s'assure qu'ils ont mué avant de leur servir un savoureux déjeuner constitué de souris blanches vitaminées.

A 29 ans, Yader Andino est soigneur chez Exotic Fauna, un élevage situé à quelques kilomètres de la capitale du Nicaragua, Managua, dédié à l'exportation d'espèces exotiques.

Il s'assure, entre autres, du bien-être de ces séduisants reptiles de grande taille de couleur vert foncé tachetés de noir vendus comme animaux domestiques au Canada, aux Etats-Unis, en Europe ou en Asie.

«Quand le boa défèque et change de peau, tous les 15 ou 22 jours, cela signifie qu'il faut le nourrir», explique doctement le jeune homme tout en immobilisant un mâle adulte de 1,5 mètre.

Ils se vendent comme «animaux de compagnie parce qu'ils attirent l'attention, c'est comme avoir un chien ou un chat, la différence est que leur entretien est plus délicat», indique à l'AFP Eduardo Lacayo, propriétaire de l'élevage. Selon lui, les boas nicaraguayens «plaisent beaucoup» à l'étranger et font concurrence à ceux de Colombie, autre pays latino-américain qui profite de sa riche biodiversité à des fins commerciales.

Au Nicaragua, pays d'Amérique centrale parmi les plus pauvres du sous-continent, on compte une dizaine de ces élevages de reptiles, amphibiens ou araignées, placés sous la supervision du ministère de l'Environnement et des ressources naturelles (Marena).

On estime que le pays exporte chaque année quelque 40.000 animaux de ce type, pour un total de 250.000 dollars, selon le gouvernement. - Préservation d'espèces menacées-

M. Lacayo raconte avoir lancé son affaire il y a sept ans «par passion» avec son épouse, Yesenia Talavera, ingénieure agronome, et confie que ce commerce n'est pas très lucratif mais «dégage des bénéfices».

Pour nourrir leurs serpents, les deux entrepreneurs ont également développé un élevage de souris, préalablement traitées contre les parasites avant d'être «servies» aux boas, vendus actuellement huit dollars pièce. Les serpents, qui peuvent donner naissance à une cinquantaine de jeunes par an, ont commencé par avoir beaucoup de succès aux Etats-Unis ainsi qu'à Dubaï.

Toutefois, la demande des Etats-Unis a chuté en raison d'une surpopulation de pythons dans les mangroves locales et de «croisements avec d'autres espèces de reptiles» sans aucun contrôle, explique M. Talavera.

Comme alternative, il espère que le gouvernement lui accorde rapidement une licence pour produire «des araignées tigres», aux longues pattes fines et au corps rayé de jaune et noir, ainsi que des tarentules, qui «s'alimentent de grillons, de vers et de jeunes souris».

Ces animaux «plaisent partout dans le monde», assure l'éleveur, qui avec les bénéfices dégagés par les ventes de serpents s'est diversifié dans la reproduction de grenouilles à yeux rouges, de lézards - très prisés des Chinois - et de tortues de terre.

Le Nicaragua compte 300 espèces d'amphibiens et de reptiles, dont certaines en voie d'extinction en raison de la chasse et du commerce illégal, situation à laquelle les autorités tentent de remédier grâce à l'élevage en captivité.

Le gouvernement «promeut la reproduction d'espèces menacées d'extinction à des fins commerciales comme moyen d'éviter leur prélèvement dans le milieu naturel», indique ainsi le ministère de l'Environnement.

A ce titre, l'Université autonome du Nicaragua (UNAN, publique), administre une ferme produisant 3.000 iguanes verts par an, un animal menacé par la chasse.

Une fois adultes, ils sont relâchés dans des réserves naturelles ou vendus à d'autres élevages destinés à l'exportation, explique à l'AFP José Quiroz, de l'UNAN.

Londres: scandale parce qu'elle mange son lapin qui a mangé son persil!

Une romancière britannique a choqué des milliers d'amoureux des animaux jeudi en publiant des photos d'un lapin qu'elle a piégé, dépecé et mangé au prétexte qu'il avait osé s'en prendre à son persil. Jeanette Winterson, 54 ans, est d'abord connue pour son roman "Oranges Are Not The Only Fruit" qui a rencontré un franc succès au Royaume-Uni et traduit dans plusieurs langues. Mais depuis dimanche, elle fait surtout parler d'elle, dans un pays épris de la cause animale, à cause du sort qu'elle a réservé à un lapin qui avait eu le malheur de s'"attaquer à son persil".

Tout a commencé lorsqu'elle poste sur son compte Twitter, où elle se définit comme amoureuse des livres, de l'opéra et des animaux, la photo d'un lapin à demi-dépecé accompagné de cette phrase: "le lapin a mangé mon persil. Je mange le lapin."

20 ans de prison ferme pour avoir organisé des combats de chiens..

Les condamnations pour organisation de combats de chiens ne cessent de se multiplier aux Etats-Unis, dont le gouvernement a décidé d’éradiquer ce fléau devenu mondial et très présent sur le territoire américain.

Des actes barbares et moyenâgeux, reflétant la stupidité et le sadisme de leur bourreaux.

Lundi dernier, l’un d’entre eux, Timothy Stewart, a été condamné à 20 ans de prison ferme pour avoir organisé des combats de chiens à son domicile.

Les condamnations se suivent aux États-Unis, véritable ambassadeur de la lutte contre les combats de chiens, fléau hélas devenu planétaire.

Les peines prononcées semblent s’alourdir au fil des mois et des procès. Récemment, nous vous parlions d’une condamnation à 15 ans de prison ferme pour un homme ayant organisé des combats de chiens à son domicile.

Mais lundi dernier, la peine prononcée par le tribunal fédéral de Martinsburg en Virginie, a été encore plus lourde. Le Juge Gina Groh a condamné Timothy Stewart, âgé de 35 ans, à 20 ans de prison ferme pour possession de chiens dans le but de les faire combattre et organisation de combats de chiens, et dans une moindre mesure pour son implication dans un trafic de stupéfiants et la possession d’une arme à feu.

L’homme avait reconnu les faits plus tôt cette année après une opération anti-drogue menée par le FBI et la police d’état de l’ouest de la Virginie en octobre 2013.

Les agents fédéraux et les policiers avaient investi son domicile dans le cadre d’une enquête sur un trafic de stupéfiants. Mais lors de l’arrestation et de la perquisition, les policiers avaient découvert des preuves flagrantes de l’organisation de combats de chiens au domicile du suspect : de nombreux chiens étaient présents, des fourrures de chiens, des cages ainsi que tout un attirail servant à entraîner les chiens au combat.

Plus de 4000 dollars de cocaïne ainsi qu’une arme à feu avaient été saisis .

Lundi dernier, comme le rapporte le site Your4State.com, le Procureur William Ihlenfeld a annoncé la condamnation de Timothy Stewart à 20 ans de prison ferme pour avoir organisé des combats de chiens à son domicile.

Sa compagne, Shannon Broadwater, âgée de 33 ans, a quant à elle été condamnée à 3 ans de prison ferme pour son rôle dans la revente de drogue.

C’est l’une des peines les plus lourdes prononcée pour l’organisation de combats de chiens que nous vous avons rapporté sur Guide du chien, et probablement l’une des plus lourdes aux États-Unis pour ces faits.

Espérons que cette condamnation exemplaire, même si nous, amoureux des animaux souhaitons toujours davantage, puisse passer à certains de ces tortionnaires l’envie d’organiser ces actes barbares et innommables.

LES SOUFFRANCES DE LOLITA

Ci-joint le 1 eres photos d'une pauvre créature trouvée au fond d un jardin ,enchaînée dans une vieille niche. Nous y avons trouvé une chienne de taille moyenne, environ 1 an en grande souffrance et résignée à son sort, elle s'est révélée sociable et n'a même pas bougé lorsque la bénévole l'a détachée pour la sortir de là, elle a eu un 1 er bain desinfectant et a commencé un traitement pour la soulager de ses souffrances. elle l'a appelée LOLITA

Super gentille,adorable avec les chats, n’aboie pas (pour le moment), est propre , marche en laisse aux pieds, ne s’éloigne pas quand elle est libre. A besoin d’être rassurée. Commence à jouer .Sera caramel et le bout de la queue comme un pinceau blanc, peut être des taches blanches mais pour le moment…on ne peut pas voir !

Nouvelle définition pour le "DICORRIDA" : Costume de lumière. Un cache-misère, en fait.

Nouvelle définition pour le DICORRIDA : Toro bravo !

Cette race créée par l'homme qui paye si cher le sadisme, la violence, l'indifférence ou l'ignorance de certains...

Vaches maltraitées : le lait de Chilliwack Cattle Sales sera détruit.

L'Office de mise en marché du lait de la Colombie-Britannique détruira le lait fourni par la ferme Chilliwack Cattle Sales puisque les entreprises de transformation refusent de recevoir le lait produit dans l'exploitation agricole qui fait l'objet d'une enquête pour maltraitance.

« L'Office se pliera aux demandes des entreprises de transformation, et comme il n'y a pas d'autre marché pour ce lait, celui-ci sera détruit », indique un communiqué publié dans le site web de l'organisme.

Cette décision intervient moins de 24 heures après que Saputo, qui fabrique les produits Dairyland, eut révélé qu'il n'achèterait plus de lait de la ferme au cœur de la tourmente.

Maltraitance d'animaux :

Saputo refuse le lait de la ferme de Chilliwack Plus de 100 000 personnes ont signé cette semaine une pétition en ligne demandant aux entreprises laitières d'intervenir après la diffusion d'une vidéo, la semaine dernière, qui montrait des employés maltraitant des vaches dans la ferme britanno-colombienne.

Une vache, chaîne au cou, est traînée par un tracteur.

À la suite de la divulgation de la vidéo, l'Office de mise en marché du lait de la Colombie-Britannique avait suspendu la cueillette du lait de cette ferme, mais l'avait rétabli un jour plus tard, après qu'un rapport de vétérinaires et d'assurances de Chilliwack Cattle Sales eut affirmé que la ferme se conformait aux normes de la société canadienne pour la prévention de la cruauté envers les animaux de la province.

Réforme demandée Saputo, le plus grand transformateur laitier au Canada, n'a pas tardé à réagir. Il exige une réforme en profondeur pour prévenir des cas futurs de maltraitance auprès des animaux. Le fromager québécois affirme avoir entrepris des démarches en ce sens auprès du ministre de l'Agriculture et des autorités du secteur en Colombie-Britannique.

Mardi, un des propriétaires de Chilliwack Cattle Sales, Jeff Kooyman, n'a pas voulu commenter la décision de détruire son lait livré, notant qu'il n'était pas au courant de l'intervention de l'Office de mise en marché de la province.

Formidable nouvelle qui nous vient de nos amis belges de GAIA : le permis nécessaire au gigantesque élevage de visons en projet à Wervik près de la frontière française, a été refusé par la Ministre de l'environnement !

Bravo à GAIA pour son rôle crucial dans la mobilisation pour empêcher cet élevage de voir le jour.

Faute de base légale sur le bien-être animal , la décision a été prise pour motifs environnementaux, mais GAIA oeuvre pour qu'une loi interdise désormais, pour des raisons éthiques, tout élevage d'animaux pour leur fourrure en Belgique.