Abandonné en pleine forêt de Bouconne, un chien meurt au bout de sa laisse

«Un monstre et un lâche». Ce sont les mots utilisés par l'association pibracaise «Aide et soutien aux animaux» pour qualifier la personne ayant abandonné son chien dans la forêt de Bouconne.

C'est une promeneuse qui a retrouvé l'animal mort, attaché à un arbre avec sa propre laisse.

«Comme il n'a pas pu s'échapper, il est mort dans d'atroces souffrances» dénonce l'association. Des bénévoles et la police municipale se seraient rendus sur place pour constater «l'horrible calvaire infligé à l'animal».

L'association, qui lutte contre les maltraitances aux animaux depuis bientôt dix ans, tient à rappeler que ces agissements ne sont pas sans gravité: «les sévices graves ou actes de cruauté envers les animaux sont punis de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende selon le code pénal».

A l'heure actuelle, personne ne sait qui est à l'origine de cet acte de cruauté. C'est pourquoi l'association «Aide et soutien aux animaux» lance un appel à témoins.

Le chien décédé est «noir avec une longue queue, des oreilles tombantes, assez corpulent et ressemble à un labrador». Toutes les personnes pouvant aider à identifier l'animal, et ainsi retrouver son maître ou sa maîtresse, sont invitées à contacter l'association pibracaise au 06.64.72.04.27.

Cette affaire de cruauté envers les animaux n'est pas isolée, puisque le mois dernier à Colomiers, quatre adolescents ont été interpellés après avoir torturé à mort un canard.

En Espagne, le « calvaire » des lévriers (vidéo) Ces images de chiens attachés à un véhicule, forcés à le suivre sur une vingtaine de kilomètres pour les entraîner à courir, seuls trois députés espagnols ont pu les voir.

Mercredi 12 mars, pas un de plus n'est venu à la présentation organisée spécialement pour les 350 membres du Congrès.

C'est peu, très peu même, surtout quand l'on sait le surprenant succès rencontré à travers le pays avant ce rendez-vous avec ses représentants : 70 demandes de projection en deux mois, organisées spontanément par des salles de cinéma de Barcelone, Madrid, Séville, ou Valence, et des dizaines d'interviews pour Irene Blanquez, à l'initiative du projet.

D'ordinaire monteuse de films publicitaires, celle qui avec Febrero, el miedo de los galgos (« Février, la hantise des galgos ») signe son premier documentaire est pourtant ravie d'avoir pu accéder aux décideurs politiques, accompagnée de militants associatifs et de propositions pour enfin briser « le calvaire des lévriers espagnols », les galgos. L'Espagne est l'un des seuls pays européens à autoriser, encore aujourd'hui, la chasse sans fusil.

En 2004, l'Angleterre a finalement décidé de bannir la chasse à courre de son territoire, pourtant vieille de quatre siècles.

En France, si la vénerie attire encore quelques milliers d'amateurs, une proposition de loi a été déposée en mai dernier pour la faire arrêter, et l'utilisation de lévriers est interdite depuis 1844. L'Espagne se singularise par les modalités de sa pratique : dans les larges plaines caillouteuses de la moitié sud du pays, au cœur des communautés autonomes de Madrid, de Castille-La Manche ou d'Andalousie, la chasse au lièvre prend la forme d'une course entre chiens, lâchés dès qu'une proie apparaît à l'horizon.

Selon Irene Blanquez, 190 000 chasseurs s'adonneraient encore aujourd'hui à un exercice populaire toujours très ancré dans les zones rurales, où ceux qui élèvent et entraînent des chiens se souviennent l'avoir fait « toute leur vie ».

C'est terminé, je resterais enfermé ici pour l'éternité. Personne ne viendra me chercher, c'est réglé. Je suis emprisonné dans cette vie, cette cellule, ce monde si sombre. On peux comparer ma vie dans cette société , à une prison, à quatre murs, à des barreaux d'acier et un sol de béton. Il fait chaud ici, tu trouves pas ? J'ai l'impression d'étouffer, d'agoniser, de crever. Sauve-moi, je t'en supplie, ne me laisse pas là. Je crois que j'ai perdu la clé de cette grille de métal. Après tant d'années d'attente je commence à perdre espoir. J'ai l'impression d'être nez à nez avec la mort, de sentir son souffle sur mon museau. Alors oui je veux sortir d'ici, de cette cellule, de ce cachot, de cette vie. Prend-moi la patte et sort-moi de là, pitiez.

Il ne supportait plus cet espace clos, il souffrait trop. Il était trop compressé, il ne voulait plus vivre dans l'obscurité de ce lieu fermé. Il a décidé de fuir le malheur, oui l'amour a déserté son cœur.

Je ne tenais plus sur mespattes, tout mon corps tremblait. J'essayais de toutes mes forces de ne pas aboyer, mais la ppeur montait, tellement l'idée qu'il m'abandonne m'envahissait. Les secondes paraissaient devenir des heures, et je le fixais en tentant de cacher ma peur.

Près d'Agde : plusieurs chiens congelés et morts retrouvés chez une femme

Les chiens vivants ont été confiés à la SPA.

Une trentaine de chiens morts, dont certains congelés, et une soixantaine encore en vie mais en mauvais état ont été retrouvés le 29 mars dans la maison d'une femme de 52 ans à Bessan, près d'Agde (Hérault).

Près de cent chiens dont une trentaine morts, et certains congelés, ont été retrouvés dans la maison d'une femme de 52 ans, à Bessan, près d'Agde (Hérault) ce samedi 29 mars.

"La dame a été internée dans un établissement psychiatrique de Béziers" "Les chiens morts ont été retrouvés dans et autour de la maison. Les autres vivants ont été confiés à la SPA et pris en charge par les services vétérinaires. La dame a, de son côté, été internée dans un établissement psychiatrique de Béziers", a indiqué le représentant du ministère public de Béziers.

Elle habite Bessan Les voisins de cette dame de 52 ans habitant Bessan (Hérault) avaient alerté les sapeurs-pompiers en raison d'une odeur pestilentielle.

A leur arrivée sur place, ont-ils indiqué, la dame n'a pas souhaité leur ouvrir et il a fallu l'intervention du premier adjoint de la commune pour qu'elle obtempère. Le parquet de Béziers a confié l'enquête à la gendarmerie de Pézenas.

Honteux! Elle fait bouillir son chat et le découpe en morceaux pour en faire… de la soupe

Li Jinbang reçoit des messages de haine d’à travers le monde depuis qu’elle a publié des photos atroces sur les réseaux sociaux. Sur ces clichés, elle fait bouillir son chat, lui ôte sa fourrure et le coupe en morceaux pour… en faire de la soupe.

0Li Jinbang, originaire de la province de Guandong, en Chine, a posté des photos indignes de son chat sur Weibo, la version chinoise de Facebook.

Sur ces clichés, elle fait bouillir son chat dans une casserole d’eau bouillante, lui ôte sa fourrure et le coupe en morceaux pour… en faire de la soupe.

Alors qu’elle prépare sa recette, la jeune femme porte également un manteau de fourrure. Avant d’être cuit, le pauvre animal était enfermé dans une cage.

Depuis, la jeune femme reçoit des menaces et de nombreux messages de haine par mail. Pour se défendre, elle a expliqué que son chat avait été blessé à la suite d’un accident de voiture et qu’elle l’empêchait de souffrir en le mangeant.

Selon les sources du Daily Mail, environ 4 millions de chats sont mangés chaque année en Chine.

Que vois-tu toi qui me soignes, que vois-tu? quand tu me regarde que penses-tu? Un vieux chien grincheux, un peu fou, le regard perdu, c'est ça que tu pense, c'est ça que tu vois? Alors ouvre les yeux, ce n'est pas moi. Je vais te dire qui je suis, assis là, si tranquille, me déplaçant à ton ordre, mangeant quand tu veux.Voici les jours noirs, je regarde vers le futur en fremissant de peur,je suis vieux maintenant et la nature est cruelle, qui s'amuse à faire passer la vieillesse pour plus bon a rien.Mon corps s'en va, la grâce et la force m'abandonnent et il y a maintenant une pierre là ou jadis j'eus un coeur, mais dans cette vieille carcasse, c'est la que je me meurt.Je me souviens des joies, et à nouveau je sens ma vie et j'aime. Je repense aux années trop courtes et trop vites passées et j'accepte cette réalité, implacable que rien ne peut durer. Alors ouvre les yeux toi qui me soignes, et regarde non le vieux chien grincheux mais regarde mieux, tu me verra,moi l'ami de toujours

J'ai besoin de l'amour pour vivre chaque jour sans toi la vie devient nuit dans l'ombre et l'oubli. Dans une solitude si profonde où une goutte noie le monde..

Donne-moi tes mains pour l'inquiétude, donne-moi tes mains dont j'ai tant rêvé dans ma solitude, donne-moi te mains que je sois sauvé.