Il y a des jours comme ça,ou tout s'écroule autour de vous,sans qu'on ne sache vraiment pourquoi... Il y a des jours comme ça,ou tout vous semble étranger,simplement que tout ne peut se contrôler.. Il y a des jours comme ça,ou on aimerait juste savoir que le temps semble nous aider à y croire.. Il y a des jours comme ça,ou le passé nous semble présent,ou les regrets semblent être une parcelle du temps..

Rêver je n'ai que ça.Espérer bien au-delà. Croire malgré tout.Se relever après coups..

Ne dis pas que ma peine ne durera pas éternellement, quand tu brises mon cœur. Ne dis pas que nous ne serons jamais ensemble, nous pourrions l'être, encore et encore, nous pourrions l'être pour toujours.

Les humains sont comparables à celui qui serait plongé dans un lac et qui crierait : "De l'eau, de l'eau, j'ai soif !". Ils sont plongés dans l'océan de la lumière cosmique, mais ils ont de telles carapaces que cette lumière ne peut pas pénétrer en eux.

Je ne savais plus où le soleil se levait et où il se couchait, je ne savais plus la nuit et le jour, le froid et la tempête, le pain qu'on mange et l'eau qui désaltère. Je ne savais plus rien. Tu avais tout emporté avec toi.

Ma lointaine demeure, ou le jour grandit, et la nuit se meurt.

Ma lointaine demeure, colline verdâtre; Joie, inondant le cœur.

Ma lointaine demeure, vallée de l’innocence; Breuvage-bonheur.

Ma lointaine demeure, foyer sans barbelés, chemin sans épines; Sans angoisse, ni peur.

Ma lointaine demeure, ou se bousculent les minutes, et s’accentue la magie, qui enveloppe les heures!

Comme la source et son murmure,comme l'amour et ses blessures.Au bout des heures,au fil du temps et dans mes veines comme un torrent coule ma peine infiniment.....

À mesure que les secondes défilent, j'oublie peu à peu que mon éternelle a pris la fuite. Mais le regard porté vers l'horizon, je fredonne encore et toujours cette même chanson. Celle qui dit qu'elle peut leur dire ce que je sais, le crier sur tous les toits, l'écrire sur la ligne d'horizon, que tout ce que nous avions a disparu désormais. Qu'elle peut leur dire que j'étais heureux et que mon cœur est brisé, que mes cicatrices sont ouvertes et que tout ce que j'espère sera impossible. J'ai appris à aimer la vie au travers de cette douleur qui me brûle les artères, j'ai dû comprendre l'abandon de l'amour pour convaincre mon âme que tous les attachements n'étaient pas fatals. Si la réussite ne tient qu'à un chemin, la guérison n'est qu'une question de choix. Il faut atteindre le fond des abysses, contrôler l'obscurité au-delà du visible pour réapprendre à courir au rythme de ces os qui se brisent. Si tu penses que la rédemption est une amie qui te délivre lorsqu'arrive la nuit, sache que celui qui n'a jamais connu la solitude ne saura jamais se cache en lui. J'ai la peur du vivant, celle qui te rappelle bien trop souvent que tout peut s'arrêter en un instant, celle qui te jure et te murmure que si tu n'agis pas dès maintenant tu monteras au paradis avec la peur du vide. Alors j'ai agis, j'ai teinté mes nuits blanches d'une bonne centaine de pas de danses. J'ai compris que l'orage était le plus beau des orchestres et que la pluie qui heurtait mon visage n'était qu'une manière différente de masquer mes larmes.

Je ne te promets pas toutes les montagnes même si elles ne se rencontrent pas…

Je ne te promets pas un 8ème continent même s’il devait se créer…

Je ne te promets même pas la lune même si tu le souhaitais mais simplement l’amour que je pourrais te donner.

Tout comme l’hiver les fleurs de notre jardin, mon âme se fane, je ne vois pas de lendemains…

J’avais pourtant cru en toi qui venais de si loin pour m’adopter enfin en me tendant la main…

Je m’étais caché si longtemps .Je ne croyais plus en rien. Et l’espace d’un moment tu m’as fait tant de bien.

Pourquoi m’as-tu menti ?

Pourquoi m’as-tu trahie ?

J’ai cru tout ce que tu m’as dis. Et à nouveau j’ai le cœur meurtri .Tu as fais semblant de m’aimer. Et j’ai voulu y croire. Mais en moi le mal tu as ravivé. Je n’avais plus le moindre espoir. Alors je suis parti pour ne pas te pourrir la vie.

Solitaire, sauvage et sans joie. Voilà ce que tu as fait de moi .Oh ! Je ne t’en veux pas. Moi quand j’aime c’est pour la vie. Mais je ne veux en aucun cas recommencer à vivre ainsi.

Des gens bien intentionnés essaient de m’attraper pour me redonner confiance en l’humain. Mais je ne suis pas prêt, qui sait… Peut-être demain .

Je sais qu’ils ne veulent que mon bien. Mais pour l’instant je ne demande rien. Juste un petit morceau de pain, histoire de tenir le coup jusqu’à demain.

J’ai trop souffert .J’ai trop pleuré. Et maintenant que j’ai goûté à la liberté ,j’ai peur de me trouver de nouveau enfermé.

Enfermé ce n’est rien quand on sait que chaque matin une main bienveillante viendra vous caresser .Une parole d’amour viendra vous réconforter .Mais pour combien de temps.

Devrai-je vivre au présent ?

Que veut dire Avenir quand on n’a rien à offrir ?

Laissez-moi encore un peu de temps .Ne m’oubliez pas, de loin veillez sur moi. Et si trop grande est ma souffrance je pourrai de nouveau vous faire confiance.

Mais dans l’instant je ne sais plus que faire.

Je ne sais plus que dire

Dois-je rejoindre l’Enfer ou bien le Paradis ?

Aimer c’est souffrir

Aimer c’est parfois haïr

Ne plus penser c’est s’endormir à tout jamais