Pour ses 50 ans, David Lanaud du Gray veut transformer le Lac Kir en parc aquatique

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Après la tour Eiffel installé dans le square Darcy, voici le dernier projet du candidat de la fête, David Lanaud du Gray.

Faire du lac Kir “un parc aquatique” pour ses 50 ans, en 2015. “Aujourd’hui, que serait Dijon sans son lac ?

Agréable, essentiel, le tour du lac Kir l’est pour tous les Dijonnais. Pourtant, hors des horaires de promenade, le lac s’endort alors qu’il renferme un potentiel de développement considérable”, déclare le candidat de la liste Dijonnons ensemble.

A lire ci-dessous l’intégralité du communiqué de presse :

En 2015, à Dijon, le lac Kir aura cinquante ans. Cinquante ans à voir promeneurs, coureurs et badauds lui tourner autour. Pourtant, Dieu sait que son géniteur, le Chanoine Kir, fut mal accueilli lorsqu’en 1965, il soumit son projet au vote du conseil municipal.

Une seule main se leva : la sienne !

Aujourd’hui, que serait Dijon sans son lac ? Agréable, essentiel, le tour du lac Kir l’est pour tous les Dijonnais. Pourtant, hors des horaires de promenade, le lac s’endort alors qu’il renferme un potentiel de développement considérable.

Avec David Lanaud du Gray, nous voulons faire souffler un vent nouveau sur ses rives : celui des loisirs à toutes heures.

La Cité Chanoine Kir se propose de déployer un grand ponton le long du plan d’eau sur lequel s’ouvrirait un parc aquatique semi-couvert, des restaurants, quelques boutiques, des salles de jeux et un casino ; le tout complété d’une tour d’observation dont la charpente métallique créerait un signal à l’entrée de la ville natale de Gustave Eiffel.

Les parcours des promeneurs et des sportifs n’en seraient pas pour autant sacrifiés grâce à la grande prairie couvrant le toit de l’édifice qui permettrait de développer l’attractivité du site sans le dénaturer. Dijon Plage pourra continuer de cohabiter pour la période estivale.

Des animations populaires seront organisées à plus grande envergure avec la participation de toute la population afin de recréer du lien social avec Dijon et ses habitants, mais aussi avec ses touristes nombreux à Dijon en été.

A Dijon, aucun lieu n’est fermé au progrès : la Cité du Chanoine Kir est là pour montrer qu’il est possible de construire sur un lieu naturel sans sacrifier son paysage ,faire vivre ce paysage à toute heure, c’est rentabiliser l’entretien des espaces verts, des rives du lac et de ses chemins. y développer des activités de loisirs, c’est offrir de nouvelles opportunités de développement économique, de nouvelles ressources à la ville.

C’est toute l’attractivité de Dijon qui s’en trouve renouvelée. Enfin, créer cet ensemble au moyen d’une architecture résolument contemporaine le long d’un lac cinquantenaire, c’est donner au visiteur l’image d’une ville tournée vers l’avenir mais fière de son passé.

Nous espérons vivement que notre sénateur-maire acceptera le poste de ministre de l’Intérieur, car une fois en charge de ce ministère prestigieux nul doute qu’il offrira le droit d’ouvrir un établissement de jeux à la ville à laquelle il doit tant.

Il s’agit d’un projet réalisable, fruit d’un équilibre idéal entre ressources et investissements publics comme privés au bénéfice d’une cité à même de se projeter de manière sereine dans les cinquante prochaines années.

Le financement de ce complexe de 5000 m2 sera réalisé à 70 % par des investisseurs privés dont la construction sera coordonnée par la municipalité propriétaire du site

Le DFCO - Dijon Football Côte D'Or en Ligue des Champions d'ici 2 ans.

Cent Pour Cent Latino.

A la table du restaurant

Les Négociants, autour des Halles, mercredi 12 mars 2014, David Lanaud du Gray feuillette fébrilement ses notes.

Le candidat sans étiquette n’est pas habitué aux conférences de presse, il semble presque impressionné.

Pourtant, cette fois-ci, il est dans le grand bain.

Le 23 mars prochain, il se soumettra aux suffrages des Dijonnais. Lui qui a si souvent été décrit comme un trublion de la vie politique, un candidat fantasque.

“Je suis enfin pris au sérieux, mes idées sont reprises”, se félicite-t-il. Avec ses colistiers, il débute une tournée des bars de Dijon, pour faire campagne.

Un candidat “vraiment” sans étiquette Il sort son smartphone et montre que son affiche de campagne et son slogan ont attiré l’œil de la rédaction de BFM TV. Les couleurs sont multiples.

“Pour ne pas montrer l’appartenance à tel ou tel parti politique”. Une tour Eiffel vient rappeler la proposition qui lui a permis de percer sur internet et son slogan est volontairement provocateur. “Il faut toujours des propositions-chocs, buzzables, pour attirer les regards, les médias.

C’était donc le sens de mon idée de rapatrier la tour Eiffel à Dijon”, explique-t-il.

“Grâce à ça, plein de personnes ont découvert que l’ingénieur était de notre ville”. Pourtant, tout le monde ne voit pas d’un bon œil sa candidature. Sur les réseaux sociaux, de chaque côté, on dénonce son côté amateur et non sérieux. Plusieurs candidats l’auraient contacté, avant le début de la campagne. Il explique avoir refusé. Mais que fera-t-il au second tour ?

“Rien”, répond-il. “Les voix ne m’appartiennent pas. Mes colistiers sont d’anciens électeurs de gauche, de droite, beaucoup d’abstentionnistes. Ce serait trahir le sens de ma candidature que de me rallier derrière quelqu’un”.

“Pour percer en politique, tout le monde considère qu’il faut avoir une étiquette. Merde non. J’ai des idées et je ne compte pas entrer dans la guéguerre classique entre la droite et la gauche au conseil municipal”. Mais avant d’y entrer, il faudra faire campagne. Après avoir abandonné en 2008, invoquant des menaces de mort, l’homme au chapeau, c’est donc bien lancé cette fois-ci.

“Au-delà de toute idéologie, j’ai un véritable amour pour Dijon. Je suis dans l’humain et la totalité de mon équipe exerce une profession, vie dans la vraie vie”.

La surprise du 1er tour ? La veille au soir, ils ont “ba-dijonnez” les affiches de colle pour recouvrir les panneaux électoraux. Une première victoire pour lui.

“Je vois qu’au fil de ma campagne, des propositions que je formulais ont été reprises, comme l’ouverture des halles le dimanche, la création d’un label Made in Dijon ou la reconstruction du centre Dauphine. C’est encourageant”.

Alain Houpert a même parlé de créer un musée Gustave Eiffel dans la ville sur l’antenne d’Europe 1. Lui est convaincu de faire plus que les 5% qu’un récent sondage lui a attribués. “Je suis tous les jours dans la ville, je ne dois pas attendre la campagne pour faire mon marché le samedi”, lance-t-il.

Alors quand nous lui demandons si ces propositions ne sont pas loin des préoccupations principales des citoyens, il se défend. “Je veux créer de l’emploi.

Le tourisme est source d’emploi non délocalisable et permet de drainer de nouveaux acheteurs dans les rues du centre-ville”.

A 41 ans, ce fils d’artisan, s’excuse, dans son tract de campagne de ne pas avoir fait l’Ena ou Sciences Po.

“Je veux faire de Dijon la ville qui investit le plus auprès des jeunes créateurs d’entreprises et des jeunes talents en créant une pépinière, à la Xavier Niel”, le fondateur de Free et vice-président de sa maison mère Iliad. “Il n’y aura pas de surprise au second tour alors il faut en créer une au premier tour”, conclut-il.

Municipales, candidats sur le gril : David Lanaud du Gray (Dijon)

Avec son éternel panama vissé sur la tête et son sourire narquois, il est passé en quelques semaines du statut de « trublion » à celui de « trouble-fête ». Désigné «Coluche dijonnais» par le magazine L’Express, notre franc-tireur, au contraire de l’humoriste à salopette rayée, a maintenu sa liste « Dijonnons ensemble » pour le meilleur et pour le rire. Un peu d’humour et de dérision qui ne feront pas de mal à la campagne, mais risquent de faire grincer quelques dents(*).

Quelle serait votre définition de « l’art de vivre » ? En 140 signes ??

Impossible de définir l’art de vivre en si peu de lettres… Quelques mots : Profiter, partager, rire, solidarité, bonheur, bien manger, se rassembler, s’aimer.

Selon vous, existe-t-il un art de vivre « à la bourguignonne » ? Si oui, comment le qualifieriez-vous ?

Oui, il est plein d’authenticité, de traditions, de chaleur et sans chichis ! Et forcément autour d’une bonne bouteille de vin de la région. La vraie vie quoi ! L’antithèse du bling-bling.

Si la loi Evin venait finalement à interdire Internet comme support de communication pour le vin, seriez-vous prêt à monter au créneau avec votre écharpe de maire ?

Ah maudite loi Evin… Oui pour sûr ! Mais quel est l’élu qui s’oserait à dire non en étant candidat en Bourgogne en période électorale sur un tel sujet ?

Les vins de Bourgogne sont de plus en plus chers, les prix des vignes s’envolent… Faut-il mettre en place des mesures pour protéger la transmission des domaines viticoles au sein des familles bourguignonnes ?

C’est un peu frustrant en effet… Malheureusement, je suis candidat à l’élection municipale de Dijon, pas à la présidence de la République française ! 

Symboliquement, le gigot du dimanche incarne les vertus familiales traditionnelles. Sacrifiez-vous volontiers à cette tradition dominicale ? Le cas échéant, quelle bouteille ouvrez-vous pour l’occasion ?

Pas d’alcool pour moi le dimanche. C’est mon jour d’abstinence. Je suis plutôt brunch ce jour-là. J’adore le concept du buffet à partager combinant petit-déjeuner et déjeuner.

Etes-vous capable de préparer un plat qui fera l’unanimité et pour lequel personne ne pourra contredire votre savoir-faire culinaire ?

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, on me dit que je me débrouille pas trop mal. J’ai un style plutôt « cuisine bistrot » simple mais élaboré avec de bons produits frais achetés sur le marché.

Dijon, Nuits et Beaune sont des villes proches, mais très différentes. Selon vous, qu’est-ce que votre commune possède que les deux autres n’ont pas ?

Beaune et Nuits n’ont pas la chance d’avoir une candidature dans le style de la mienne, qui permet de casser les codes et d’interpeller sur un ton nouveau ce que nos politiques ne voient plus.

Escargots pour tous : entre un escargot d’origine africaine (Helix aspersa aspersa ou petit gris) élevé en Bourgogne et un escargot de Bourgogne (Helix pomatia) élevé en Hongrie, lequel préférez-vous ?

Je préférerais un escargot en Bourgogne élevé en Bourgogne. Je vous rappelle que je suis un fervent défenseur du « Made in Dijon »

Dans la ville où vous êtes candidat, quel est selon vous le monument qu’il faudrait sauver en priorité, et pourquoi ?

Il faudrait surtout rapatrier la tour Eiffel à Dijon ou en construire une copie à l’échelle de la ville pour rendre hommage au génie dijonnais le plus connu au monde.

Dijon et sa moutarde, Nuits et sa Côte, Beaune et ses hospices… Les clichés ont la vie dure, faut-il s’en débarrasser pour les dépasser ?

Il faut réussir à conserver la richesse de notre histoire et de notre patrimoine tout en créant de nouveaux pôles d’attractivité qui donneraient une image plus moderne de Dijon.

Je suis un touriste qui arrive dans votre ville par le train. Dès la sortie de la gare, qu’est-ce qui me fait dire que je suis dans une commune douée pour l’art de vivre ?

Justement rien ! Il faudra y travailler. C’est important et fort dommage parce que c’est la première image que tous les touristes ont de Dijon en sortant de la gare. Elle doit donner envie immédiatement.

Vous venez d’être élu et vous fêtez ça avec vos proches : où, comment, avec qui et avec quoi ?

Ce serait une victoire collective. Je la fêterai avec tous les habitants sur toutes les places de la ville. Tout le monde amènera à boire et à manger pour la fêter ensemble.

A 41 ans, ce chef d’entreprise (directeur général du cabinet d’études de marché BP Est) s’est autoproclamé chef du parti de « L’?amour de Dijon ». On le découvre ici attablé au restaurant Little Italy, prêt à mordre à pleines dents dans une campagne qui s’annonce croustillante. Attention à l’os, quand même !

(*) Les candidats sont présentés un à un, chaque jour, dans l’ordre alphabétique pour Dijon, puis Nuits-Saint-Georges puis Beaune.

David Lanaud du Gray, candidat aux municipales à Dijon, considère, dans un communiqué de presse, que le centre Dauphine est un « temple de la consommation passéiste des années 70 ».

Il désire également créer un nouveau palais des Congrès.

Le but étant de redynamiser le centre-ville de la capitale bourguignonne.

« Il est urgent de redonner de l’attractivité à notre centre-­ville. Un centre-­ville, c’est une histoire , c’est l’identité d’une ville et ce qui fait sa richesse, c’est l’image de Dijon que nous offrons aux autres. C’est le coeur de notre patrimoine et cela doit aussi rester le coeur de notre activité économique. Il faut faire revenir du monde au centre-­ville pour que celui-­ci se redéveloppe en y créant de l’activité économique et de façon urgente !

Le « centre commercial » Dauphine n’est qu’un temple de la consommation passéiste des années 70. On se gargarise d’avoir voulu l’extension d’un centre commercial en périphérie en argumentant sur la création de 300 ou 400 emplois ?

Mais combien en avons nous perdu ?

Différentes études ont prouvé que la création d’un emploi dans un centre commercial en détruit 3 dans les commerces indépendants. Génial !! Bravo !!

Les centres commerciaux ont leur légitimité, certes, mais on trouve les mêmes partout, ils ne sont pas l’identité de notre ville. Si l’on vous dépose les yeux bandés dans un centre commercial, vous serez incapable de dire dans quelle ville vous êtes, une fois les yeux ouverts.

Dans un centre-­ville : si !! Fervent défenseur du centre-­ville de Dijon, je propose dans un premier temps de raser le centre Dauphine. Zone désuète, à l’architecture devenue immonde et nauséabonde, occupant un espace non négligeable au coeur de la ville et dont les étages de bureaux ont un taux d’occupation quasi nul depuis des années pour les problèmes que l’on sait !

Il occupe une surface importante au coeur du centre-ville à un endroit géographique stratégique avec un potentiel extrêmement sous-­exploité. Alors oui, on va me dire que ce centre commercial est privé et que l’on ne peut rien y faire, mais avons-­nous déjà réellement essayé ?

Avons-­nous déjà réellement expertisé sa valeur immobilière en faisant une proposition de rachat à leurs propriétaires ? Pas que je sache ! Si une proposition de rachat est faite à un bon prix par la municipalité, il n’est pas impensable que les propriétaires fonciers acceptent.

Une fois racheté et rasé, nous pourrions alors lancer un concours d’architectes locaux utilisant des entreprises locales, pour la construction d’un bâtiment nouvelle génération à l’architecture agréable, conviviale et ultra-­originale, en lien avec les normes environnementales, où déjà, rien que le bâtiment à lui seul en ferait une curiosité touristique.

Que l’on ne m’objecte pas que le quartier est sauvegardé par les monuments de France , dans un pays où l’on a réussi à construire une pyramide de verre dans la cour du Louvre, tout peut être réalisé si il y a une cohérence et un trait d’union entre le passé et l’avenir. Par ailleurs, je souhaite que Dijon devienne une vraie ville de congrès avec un palais des Congrès digne de ce nom.

L’actuel est si vétuste que lors du dernier congrès national des experts-comptables, il a nécessité camouflage, rafistolage et décorations pour cacher son état de délabrement.

Ce congrès fut néanmoins un succès extraordinaire pour l’activité économique de notre ville et nous montre que nous devons tout faire pour vraiment développer des événements de ce type.

Et tout ça commence par disposer d’un lieu digne de ce nom sur l’emplacement actuel : un palais des Congrès new look !

Nous savons tous que les congrès sont synonymes de retombées économiques locales très conséquentes dans bon nombre de domaines (taxis, hôtellerie, restaurants, boutiques, etc.) et générateurs de créations d’emplois non-­délocalisables.

Afin de rentabiliser ce projet, je souhaite que ce palais des Congrès soit à l’avenir entièrement géré par la Ville, avec une équipe commerciale municipale ayant des objectifs précis, et non pas en cédant la concession à un privé qui se fait de l’argent sur le dos des Dijonnais.

Les recettes ainsi générées pourront amortir cet investissement et même devenir une véritable source de revenus pour la municipalité qui ne pénalisera donc pas le contribuable.

Je souhaite que le nouveau bâtiment qui remplacera l’actuel centre Dauphine soit, en centre-ville, la vitrine de ce nouveau palais des Congrès en devenant une annexe du bâtiment principal où l’on pourra faire des congrès plus petits.

C’est un moyen d’avoir des congressistes, personnes au fort pouvoir d’achat, qui dépenseront en centre-­ville soutenant par là même nos petits commerces.

Les actuels commerçants du centre Dauphine pourront bien évidemment y rester et s’y intégrer, tout comme la boîte de nuit se situant dans les sous-­sols du parking.

Ce parking, qui devra également être rénové et adapté aux voitures d’aujourd’hui et remise aux nouvelles normes de sécurité.

Toujours dans une optique de développement économique, d’attractivité et de de création d’emplois, je souhaite également pour notre centre-ville : L’ouverture du marché des halles le dimanche après-­midi en consultation avec les commerçants.

L’ouverture du marché des halles en période estivale un soir ou deux par semaine nocturne (jusqu’à 22 h 30-­?23 heures). Utiliser le droit municipal de préemption des commerces fermés récemment de la rue de la Liberté, artère principale de notre coeur de ville, pour y favoriser prioritairement l’installation de bars, restaurants, à des loyers plus raisonnables afin d’y créer de la vie le dimanche et les soirs de semaine passé 19 heures en y autorisant l’installation de terrasses.

Faire du square Darcy un mini central park en faisant tomber les grilles afin que la verdure gagne sur la place Darcy et sur ses deux côtés (en étant sous surveillance nocturne).

La conversion de l’église Saint Philibert, propriété de la ville de Dijon en club-­restaurant, boîte de nuit. (Dijon 1ère ville à convertir une église en boîte de nuit en France)

Après l’église-bibliothèque, l’église théatre, Dijon aura son église-boîte de nuit. Installation de vraie verdure rue de la Liberté, un peu trop minérale à mon goût.

La création d’un lieu physique où tous les évènements dijonnais seront recensés et pas uniquement ceux subventionnés par la mairie avec notamment tous les évènements associatifs ou ceux organisés, par exemple, par les commerçants dans leurs établissements (concerts, etc....)

La mise en place de scènes ouvertes tous les week-­end sur les différentes places de la ville sur laquelle nos artistes locaux pourront se produire gratuitement afin de se faire connaître tout en divertissant la population (chaque place aura sa thématique musicale et chaque artiste, groupe, pourra s’y inscrire pour s’y produire.)

Dijon doit encourager ses jeunes talents afin de les aider à se faire connaître tout en permettant à la population de se divertir à moindre coût. Notre centre-­ville est en difficulté, j’y travaille, j’y habite et j’y consomme. Nous ne pouvons pas le laisser mourir ! Favorisons l’installation de commerces d’une nouvelle génération pour lui dessiner un nouvel avenir. J’ai dit !! »

Après plusieurs années de réflexion, un programme de rénovation urbaine du quartier de la Fontaine d’Ouche aboutira en décembre 2015.

En 2009, le conseil municipal a décidé la création d’une zoned’aménagement concerté (ZAC) située à l’angle des boulevards Kir et Bachelard.

« Son objectif principal est la restructuration du centre commercial devenu trop grand et obsolète » indique la mairie de Dijon dans un communiqué. Il s’agit du premier chantier de la transformation du cœur de la Fontaine d’Ouche.

 Après une phase de démolition entamée en septembre 2012, la pose de la première pierre par François Rebsamen marquera le début des travaux de construction de la phase 1 du futur centre commercial, livrée en novembre prochain.

Le projet commercial porte sur une surface de 7 657 m² de commerce composé d’un supermarché de l’enseigne Intermarché de 2 520 m², d’une moyenne surface alimentaire de 900 m², de moyennes surfaces d’équipement de la maison pour 1 371 m² et de boutiques de moins de 300 m² pour une surface totale de 2 866 m².

Les commerces de proximité ne seront pas oubliés, situés face à une place de la Fontaine d’Ouche totalement réaménagée et plus attrayante.

L’espace public a été optimisé pour les déplacements piétons.

Le renouvellement urbain de la Fontaine d’Ouche ne se limite pas à un nouveau centre commercial.

Un nouveau pôle de services publics (1000 m² de surface) sera créé et réunira la mairie de quartier, la maison de la solidarité, la bibliothèque, la Cadole (structure associative dédiée aux parents et aux enfants) et l’accueil du théâtre. 100 à 120 logements seront créés, tandis que le parking Kir sera restructuré. Enfin, le Quai des Carrières blanches, au bord du canal de Bourgogne, sera également aménagé sur une distance d’un kilomètre. L’opération dans son ensemble s’élève à 38 millions d’euros (HT).

La livraison de la première tranche de construction interviendra en novembre 2013 et la livraison de la 2ème tranche en décembre 2014.

Le quartier de la Fontaine d’Ouche se tourne vers le canal de Bourgogne

Alors que les travaux du centre commercial vont bon train, le projet de rénovation urbaine du quartier de la Fontaine d’Ouche à Dijon va entrer dans une nouvelle phase.

À partir du 30 juillet 2013, les premiers travaux vont débuter pour réaliser la future promenade plantée qui remplacera, d’ici février 2014, l’actuelle route qui longe le canal de Bourgogne.

D’après la ville de Dijon, ce projet doit permettre de rendre les berges aux habitants avec la création de 15.700m² d’espaces piétons, de 1km de piste cyclable et de 15.000m² d’espaces verts.

Le quai des Carrières blanches, aujourd’hui parking à ciel ouvert et espace de jeux, devrait ainsi adopter une nouvelle morphologie jusqu’à être fermé à la circulation, de façon totale et définitive, à partir du 21 octobre 2013.

La circulation des véhicules à moteur sera renvoyée sur le boulevard Bachelard. Le quai sera donc rendu aux piétons qui bénéficieront ainsi d’une promenade en bordure du canal.

Compte tenu de sa longueur, différentes ambiances seront développées et une nouvelle passerelle, adaptée aux personnes à mobilité réduite permettra aux piétons de franchir le canal.

Elle sera implantée dans le prolongement de l’avenue du Lac. La première tranche des espaces publics sera livrée au 1er trimestre 2014 et la passerelle sera ouverte au public durant l’été de la même année. En parallèle, 350 logements en accession à la propriété vont sortir de terre.

La première tranche sera terminée pour le printemps 2016. Pour en savoir plus, lire le communiqué de presse ci-dessous. “L’année 2013 est une année “fast” pour le quartier Fontaine d’Ouche. Le projet de rénovation urbaine approuvé par l’ANRU en 2007 déploie ses ailes mois après mois.

Après avoir débuté en février dernier, le chantier de reconstruction du centre commercial dont la première tranche sera terminée avant la fin de cette année, c’est maintenant un second grand projet qui débute, celui du réaménagement du quai des carrières blanches.

À partir du 30 juillet 2013, les premiers travaux vont débuter pour réaliser la future promenade plantée qui remplacera, d’ici février 2014, l’actuelle route qui longe le canal.

Cette réalisation permettra de rendre les berges du canal aux habitants du quartier avec la création de 15 700 m² d’espaces piétons, de 1 km de piste cyclable et de 15 000 m² d’espaces verts. L’ensemble de ces espaces paysagers sera agrémenté par la plantation de 212 nouveaux arbres.

La première étape de ces travaux consistera en la suppression d’unetrentaine d’arbres situés pour la plupart le long du canal. Ces peupliers, tous en état sanitaire moyen, voire mauvais pour certains, ont un système racinaire qui se développe à l’horizontal, ce qui constitue d’ores et déjà un danger pour la stabilité de la route actuelle et des berges du canal et ce qui n’est pas compatible avec la qualité et la pérennité des futurs aménagements.

Ils seront remplacés dans le cadre du projet par des platanes, à l’identique de ceux déjà présent sur le site et qui formaient l’alignement d’arbre historique du canal.

Pour cette première étape du chantier, la circulation le long du quai va être fermée pendant deux semaines du 19 au 30 août puis ré-ouverte en sens unique Plombières-Dijon.

Elle sera définitivement interdite à partir du 21 octobre, date à laquelle la nouvelle voirie reliant le quai des Carrières Blanches, côté Plombières-les-Dijon, à l’avenue du Lac sera mise en service.

Afin de présenter dans le détail le déroulement de ce chantier important pour le quartier de la Fontaine d’Ouche, une réunion publique sera organisée en septembre. Sa date sera arrêtée ultérieurement.

Avec de belles intempéries, et du froid ... on obtient une patinoire, les vignes de glaces !

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