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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Le chien jeté aux ordures sauvé par un billet de loterie
Ce petit caniche croisé a été retrouvé samedi dernier enfermé vivant dans un sac-poubelle taxé à Belmont-sur-Lausanne (VD). C’est un chauffeur de bus, voulant récupérer son billet de loterie jeté par mégarde, qui l’a sauvé.
Caniche jeté vivant dans une benne à ordures dans le canton de Vaud
Le petit chien de 4 kilos était parvenu à sortir sa tête du sac-poubelles, dans la benne à ordures.
C’est un petit miracle. Le caniche retrouvé samedi dernier enfermé mais vivant dans un sac à poubelle taxé à Belmont-sur-Lausanne (VD) a été sauvé par un chauffeur de bus des Transports lausannois. Un pur hasard, puisque le conducteur voulait récupérer dans la benne à ordures son billet de loterie jeté par mégarde. Le propriétaire de l’animal s’est quant à lui dénoncé jeudi aux autorités. Il s’agit d’un homme domicilié dans le canton de Vaud, mais pas à Belmont-sur-Lausanne. Ce qui explique la présence insolite d’un sac taxé dans une commune qui n’a pas adopté ce système et où les sacs noirs sont encore autorisés.
Par ailleurs, cet homme est d’origine étrangère, ressortissant d’un pays de l’Union européenne. «Je vais l’entendre ces prochains jours afin de déterminer les circonstances de son acte. En fonction de l’audition il sera donné une suite administrative ou pénale, voire les deux», informe Giovanni Peduto, vétérinaire cantonal vaudois, en charge de l’instruction. Les mesures administratives pourraient prendre la forme d’un séquestre définitif suivi d’un replacement auprès d’un nouveau propriétaire, assorti d’une interdiction de détention d’autres chiens pour un certain temps
La cruauté de certains Hommes, et l'incroyable instinct de survie des animaux n'en finissent pas de nous bouleverser.
8 chiens abandonnés, affamés, et décharnés
L'histoire de Goldie, une femelle Golden Retriever abandonnée avec 7 autres chiens, est absolument terrifiante. Le pauvre animal, dont on ne connaît pas l'âge exact, a été découvert avec ses congénères par le propriétaire de la maison que louaient ses maîtres, dans l'Iowa, aux Etats-Unis.
L'homme a été contraint d'expulser ses locataires, et lorsqu'il est arrivé dans sa maison après leur départ, il a assisté à un affligeant spectacle, celui de 8 animaux affamés, sales et décharnés.
7 d'entre eux ont heureusement été rapidement adoptés, après avoir été soignés et nettoyés. Mais Goldie, elle, n'a pas eu cette chance.
A l'agonie, la chienne commence à manger sa queue
La chienne, emprisonnée dans une cage pendant trois semaines, était privée de nourriture et d'eau. Pour survivre, elle a commencé à manger sa queue. Lorsque le propriétaire l'a trouvé, le chien était à l'agonie, ses os apparents, et la moitié de sa queue avait disparu.
Goldie ne demande qu'à vivre, et être aimée
L'homme a tout de suite conduit l'animal chez le vétérinaire, qui ne lui a proposé qu'une seule option : l'euthanasie. Mais bien décidé à offrir une seconde chance à Goldie, le propriétaire a refusé, pour se tourner vers l'association de protection animaleHumane Society.
Lorsqu'il est arrivé au refuge, les employés ont été surpris, non pas seulement par l'état pitoyable dans lequel se trouvait le chien, mais aussi par son entrain, sa gaieté, son envie de se faire de nouveaux amis, et de vivre, tout simplement.
"Les animaux domestiques ne sont pas jetables"
"L'histoire de Goldie nous montre à quel point cette jeune fille est résiliente. Elle a enduré trois semaines terribles de négligence et d'abandon, ce qui confirme que les animaux domestiques ne sont pas jetables ou quelque chose que vous laissez derrière vous quand votre vie change" souligne Sybil Soukup, la directrice du refuge.
Aujourd'hui, Goldie va déjà bien mieux. Sa queue a été amputée, pour éviter une infection, et la chienne suit un régime protéiné. En deux semaines, elle a pris 6 kilos, elle qui ne pesait plus que 9 kilos quand elle a été découverte.
Lorsqu'elle sera totalement remise sur pieds, elle sera proposée à l'adoption.Et Goldie devrait bien vite trouver un foyer. Son histoire a été relayée par de nombreux médias, et le refuge a déjà reçu des centaines d'appels et de messages.
Ces enfants, qui ont accompagné leur demande d'une adorable photo, seront peut-être les heureux élus !
"Nous promettons d'aimer et de prendre soin de Goldie" ont écrit ces enfants, peut-être les futurs maîtres de la chienne
Voilà plus d’un siècle déjà que des cétacés sont capturés en mer et maintenus en captivité aux seuls fins d’amuser le grand public, de faire l’objet de recherches ou, plus récemment, en vue de contacts « thérapeutiques » rapprochés avec des êtres humains.
Maintenir en captivité des cétacés qui, dans leur environnement naturel, parcourent des kilomètres par jour est un acte de barbarie. Quand on sait combien les cétacés captifs souffrent du manque d’espace, de l’agression de l’eau traitée, du bruit, d’isolement, de solitude, de faimsouvent. Qu’ils sont privés de la possibilité de communiquer naturellement avec leurs pairs, soumis à la pression de l’entraînement et subissent un lavage de cerveau. Qu’ils souffrent de toutes sortes de pathologies physiologiques et mentales, développent des comportements anormaux et une agressivité accrue, leur espérance de vie normalement importante se réduit à quelques années et leur reproduction en bassin pose de graves problèmes et constitue globalement un échec.
Pour bien comprendre à quel point la captivité est cause de souffrance, il nous semble opportun de relever quelques-unes des constatations établies, lors d’études, sur les delphinariums.
La capture
La capture des dauphins libres s’opère dans un climat d’extrême violence. Lors de ces captures, nombre de femelles avortent, des cétacés s’échouent ou se noient. Certaines poursuites peuvent durer des heures. Le « tail-grabber », une sorte de pince à sucre géante munie d’un lasso, est le plus souvent utilisé pour extraire le dauphin hors de l’eau par la queue. Parfois, le dauphin est saisi par la tête, lorsqu’il vient nager devant la lame d’étrave du bateau en toute confiance. Nombre de dauphins meurent lors de la capture.
Au niveau environnemental, il apparaît que 66% de tous les dauphins capturés dans le monde sont des femelles adultes. Ceci affecte gravement le taux de reproduction du groupe autant que sa cohérence sociale, du fait du rôle essentiel que jouent les femelles à ce niveau.
Le transport
Transporté en brancard, le cétacé est maintenu hors de l’eau pendant des heures. Sa peau se déshydrate rapidement, sa respiration devient difficile, des escarres apparaissent aux divers points de frottement.
En 1998, deux dauphins transportés depuis la Californie jusqu’en Floride mirent 18 heures à faire le parcours en avion. A l’arrivée, leurs « nécroses de pression » étaient telles que l’un des dauphins mourut quelques jours plus tard. Récemment, la compagnie aérienne Lufthansa a décidé qu’elle ne transporterait plus de dauphins captifs, compte tenu des souffrances infligées à l’animal et des risques trop importants.
L’arrivée en bassin et la « désensibilisation »
L’arrivée en bassin provoque un triple choc chez le dauphin fraîchement capturé :
- réduction brusque et spectaculaire de son espace vital
- contact étroit et sous contrainte avec l’espèce humaine
- nécessité de se nourrir de cadavres de poissons et non plus de proies vivantes.
Ces traumatismes obligent les professionnels à confiner les dauphins dans un bassin d’isolement pendant un mois ou plus, afin de les « désensibiliser ». Le poisson mort leur est alors imposé par gavage, car c’est sans doute pour le dauphin l’épreuve la plus terrible. 53% des dauphins capturés meurent dans les jours qui suivent leur arrivée en bassin.
Le confinement
En liberté, une communauté normale (pod) compte en moyenne une centaine de dauphins. Ceux-ci occupent en permanence un territoire « central » de 125 kilomètres de long, qu’ils quittent fréquemment pour effectuer de plus longs voyages vers d’autres groupes (pods). Les dauphins Tursiops du Pacifique aiment à plonger à 535 mètres de profondeur tandis que le Tursiops de l’Atlantique se maintient fréquemment sous 390 mètres d’eau. Les dauphins passent à peine 20% de leur temps en surface. Leurs activités principales sont le « foraging » (recherche d’invertébrés dans les fonds),l’exploration sur de longues distances (scouting), la chasse en groupe (nombreuses méthodes très diversifiées et culturellement transmises), la socialisation, les jeux et les échanges vocaux (chaque dauphin en connaît au moins 250 autres) ainsi que l’éducation des enfants. Celle-ci dure de cinq à quinze ans et les contacts intergénérationnels restent fréquents durant toute la vie adulte.
En captivité, de 3 à 5 dauphins par bassin, 275 m2 de superficie, une profondeur de 5 mètres sur 20% de la superficie du bassin, une profondeur de 3,5 m sur 80% de la superficie du bassin et une superficie supplémentaire : 75m2 par animal. Exigences particulières : bassin d’isolement de 125 m2 et 3,5 m de profondeur. Un bassin d’isolement par espèce .
A titre de comparaison, imaginez-vous vivre tout le restant de votre vie, dans une pièce de 2 m sur 2.
De telles conditions de manque d’espace, d’oisiveté forcée, de perte de tout contrôle sur leurs propres activités, leur sexualité et leur environnement, au sein d’une vie sociale réduite à quelques individus, sont la cause de souffrances et de décès principale pour les dauphins captifs. Le chlore dans l’eau du bassin, l’absence d’oligo-éléments et d’ensoleillement, la prise constante d’antibiotiques, le stress, un décor nu toujours identique contribuent à dégrader encore davantage leur état de santé.
Ethologie sociale
La composition du groupe naturel est également gravement perturbé en captivité : en milieu naturel, les femelles de plusieurs générations vivent avec leurs petits dans un territoire qui est le leur. Les mâles vivent en périphérie, regroupés en alliances complexes, et n’effectuent que de brèves visites au groupe de leur mère lorsqu’ils sont adultes. La proportion normale est de deux mâles pour une femelle
En captivité, ce rapport est inversé et les femelles sont plus nombreuses. Ceci entraîne des conflits tout à fait inédits et propres au seul milieu de la captivité entre des mères enceintes ou sur le point d’accoucher et même à des infanticides de la part de femelles jalouses. Une sorte de polygamie obligée est reconstituée, qui ne correspond en rien aux modèles naturels.
L’alimentation
En liberté, le régime alimentaire est extrêmement diversifié et varie selon l’environnement occupé et les ressources disponibles. Néanmoins cette nourriture doit toujours être absorbée vivante : il s’agit de crevettes, calmars, petits invertébrés, poissons mulet, anchois, harengs etc.
En captivité le poisson mort et découpé en fragments de taille et de qualité variable, en une fois accepté, doit être massivement enrichi de vitamines, d’antidépresseurs et d’antibiotiques. La nourriture est distribuée essentiellement lors des shows ou du dressage, comme moyen de contrainte. Le Règlement Européen 3626/87 dit que chaque dauphin se doit d’être nourri à la main mais précise en sa section B, paragraphe 42, « que la nourriture peut servir de récompense mais pas de punition ».
Taux de survie et longévité
En liberté « les dauphins Tursiops de la baie de Sarasota (Floride) vivent longtemps : les femelles dépassent souvent l’âge de 50 ans tandis que les mâles vivent en moyenne plus de quarante ans » (Cetacean Societies. Fields studies of dolphins and whales.Edited by Janet Mann, Richard C. Connor, Peter L. Tyack and Hal whitehead. University of Chicago. 2000 )
La longévité des dauphins captifs en revanche est de 10 à 15 ans.
Reproduction en captivité
Les reproductions y sont rares et sont le fait d’inséminations artificielles. Quand elles ont lieu, les nouveau-nés meurent souvent prématurément.
Plusieurs femelles captives se sont laissées mourir suite au décès de leur nouveau-né. Cela a été le cas pour Mavis, captive dans le bassin du delphinarium d’Edmonton Mall. Mavis en était à son troisième petit, à son troisième décès…et ce n’est pas la seule à avoir vécu cela au delphinarium d’Edmonton Mall, Maria a perdu deux petits et est décédée à l’âge de 19 ans.
Le fait que des femelles aient tant de mal à mettre au monde un petit viable et fécond, est une preuve irréfutable que les bassins des delphinariums, ne répondent pas aux demandes écologiques des dauphins. Or à l’heure actuelle, on dénombre au moins 176 delphinariums dans le monde.
Par ailleurs, il semblerait que souvent ce soient les mères qui tuent leur petit. « Ce comportement est fréquent chez les dauphines captives, mais largement censuré par les industriels du spectacle qui s’autorisent à maintenir des dauphins en prison ». Ric O’Barry, ancien dresseur en delphinarium reconverti à la cause des dauphins, cite notamment le cas de Sally au Waragamba Dam, en Australie, qui a noyé de cette manière pas moins de quatre de ses petits.
La reproduction en bassin, prônée avec tant de fougue par les établissements actuels, ne produit que des êtres chétifs et souffreteux à peine capable d’atteindre l’âge adulte. Sait-on que les mères privées de leurs delphineaux sont traitées aux antidépresseurs ? Sait-on que lorsque ceux-ci sont arrachés à leur mère pour se voir expédiés vers quelques lointains bassins, ils continuent à l’appeler plaintivement pendant des semaines ? La promiscuité atroce due à la surpopulation et au manque d’espace, génère un climat de tension dont nous ne devinons la violence que par ses effets.
Captivité et décès prématuré
L’espérance de vie des dauphins en captivité est fortement inférieure à celle des dauphins libres. Certaines études montrent que les dauphins en milieu naturel, selon les espèces, peuvent avoir une espérance de vie similaire à la nôtre, tandis qu’en captivité, rares sont ceux qui dépassent les 25 ans.
Le fait que la captivité soit objectivement désastreuse pour les cétacés (dauphins, orques et bélougas) ne relève nullement d’une spéculation «anthropomorphique» : le taux de mortalité de ces mammifères marins est ahurissant, même lorsqu’on le compare aux décès de toutes les autres espèces détenues dans les zoos (30 Tursiops décédés en 30 ans à Anvers, plus de 46 à Duisburg pour la même période, 12 morts en 14 ans à Bruges ) tandis que la durée de vie moyenne des cétacés captifs est réduite de moitié dans le meilleur des cas.
En mai 2001, Gary, âgé de 20 ans à peine, meurt au terme de 16 ans de captivité continue dans un hall bruyant, sans lumière naturelle et mal ventilé. La petite Delphine Marie le suit de peu, en décédant à l’âge de 19 ans au mois d’août 2001. Manon au Marineland d’Antibes est morte à 13 ans…
Nous pourrions citer encore bien des noms de dauphins captifs morts prématurément, à vrai dire, nous pourrions citer tous les dauphins captifs décédés à l’heure actuelle. Un seul exemple tout à fait exceptionnel de survie prolongée : Nellie, 53ans ce qui a valu d’ailleurs un véritable article publié dans le Daytona Beach News-journal du 28 février 2003, contrairement aux dauphins décédés prématurément
Ce bilan semble démontrer que la plupart des delphinariums ne répondent pas aux besoins écologiques des dauphins.
Des conditions écologiques indispensables
. Un espace suffisamment grand
Il existe des delphinariums comprenant des bassins de 500 mètres de profondeur ? Car les dauphins plongent volontiers à cette profondeur. En liberté, leur « territoire » est en moyenne de 120 km. Et leurs « clans » sont en perpétuels échanges avec les autres « clans ». Clan généralement formés de 10 à 15 individus, fortement liés les uns aux autres. Les dauphins ont besoins du contact de leur « proches ». Or dans les delphinariums, les dauphins sont en moyenne trois par bassins (loin de faire 120km), et ne proviennent que très rarement du même « clan ».
. Une alimentation riche et variée
En milieu naturel, les dauphins chassent et mangent une grande variété de poissons vivants, assurant leur équilibre alimentaire et se créant une couche de graisse sous-cutanée, nécessaire pour assurer le bon fonctionnement de leur métabolisme.
En delphinarium, les dauphins sont la plupart du temps, nourris de poissons morts et souvent volontairement en dessous de la quantité qu’un dauphin libre ingère, de manière à les maintenir dans un état de dépendance alimentaire et de s’assurer par-là, leur collaboration.
Par ailleurs, l’une des activités favorites des dauphins libres est de fouiller le sol, lorsque les fonds sont peu profonds ou de cueillir des petits invertébrés sous le sable des fonds. Cette occupation, typiquement dévolue aux femelles et aux enfants est rendue impossible par la nudité absolue du décor. Les dauphins vivent désormais dans une eau chlorée et sont nourris à l’aide d’un régime spécial, composé de poissons congelés, de vitamines et de divers médicaments pour les maintenir en vie. La nourriture est distribuée selon un programme de « renforcement positif », autrement dit, le dauphin doit faire son show pour avoir à manger…
Dans certains delphinariums où l’on soumet les dauphins à une activité intensive pour des raisons commerciales, les dauphins ne sont plus nourris que lors des shows ou des programmes de « nage avec les dauphins ».
La triste réalité des lévriers en Espagne
Il est malheureusement nécessaire, afin de mieux faire connaître le sort des lévriers en Espagne, de montrer ici la dure réalité.
Attention, certaines images sont insoutenables. Comment imaginer de telles monstruosités ?
Chaque année, ce sont plus de 50 000 galgos et podencos qui sont massacrés. La tradition veut que les galgos soient pendus, les pattes arrières touchants à peine le sol pour que l’agonie soit plus longue.
Mais les moyens sont hélas multiples : brûlés vifs, trainés derrière des voitures, battus à mort, torturés, jetés dans des puits, piqués à l’eau de javel, abandonnés les deux pattes avant cassées, blessés au couteau…
Ils sont aussi abandonnés à leur triste sort dans les abords des villes ou des autoroutes avec la certitude de se faire renverser un jour par un véhicule. Ils survivent dans les poubelles, souvent couverts de tiques, infectés par la gale ou autres maladies de peau, et tous ces parasites finissent par les affaiblir jusqu’à la mort. Les galgueros ( chasseurs ) vont même jusqu’à arracher la puce électronique en ouvrant le cou des chiens avant de les abandonner..
Les conditions de vie des galgos sont abominables. Ils vivent enfermés la plupart du temps, ne sortent que pour la chasse, et sont transportés comme du bétail sans importance. Les galgas en âge de procréer passent leur vie à faire des portées, puis sont tuées ou abandonnées lorsqu’elles sont trop vieilles.
Si les galgos sont trouvés par des bénévoles de refuge, ils ont une petite chance d’échapper à leur sort terrible. Car si c’est la police qui les récupère, ils vont finir dans une perrera ( fourrière ), lieu souvent surpeuplé et insalubre..; La perrera c’est l’antichambre de la mort, ils y seront gazés au bout de 14 jours, délai légal, sans aucun soin, à peine nourris, et dans des conditions de vie horribles.
Cela n’est hélas qu’une infime partie de la barbarie humaine envers les galgos et les podencos en Espagne. Ces chiens ne sont pas considérés comme des êtres vivants, même moins importants qu’un outil ou une chose.. Ils ont peu de chance de trouver des adoptants en Espagne où ils ne sont pas considérés comme des chiens de compagnie. Seul 10% d’entre eux auront une chance de trouver une adoption en Europe via les associations de sauvetages.
La maltraitance animale en Espagne ne s’arrête pas aux seuls lévriers.. Tous les jours, des centaines de chats et de chiens sont torturés, mutilés, brûlés … L’Espagne, l’enfer pour les animaux, n’a pas fini de faire parler d’elle…
Ces images peuvent être choquantes, à ne pas laisser regarder par un public sensible.
Les vérités sur les perreras en Espagne. Le sort des galgos et la miséreuse vie qu’est la leur. La perrera de Olivenza est celle d’où est sortie Sophia une galga blanche sur notre site. Nous ne sommes qu’en Novembre et déjà de nombreux chiens arrivent, « les mauvais chasseurs » sont vite rejetés. Et ils finissent à la perrera où ils seront gazés dans les cris de douleurs des autres qui les voient partir.
Des endroits sordides où les croquettes se font rares ou sont pour les plus forts.
Les soins pas difficiles ,il n’y en a pas.
Et pourquoi personne ne voit cela, le sort de ces chiens sacrifiés par la bêtise humaine.
Pourquoi personne ne voit le galgo souffrir et son cousin le podenco aussi.
Voila notre combat, celui de sortir ces chiens d’Espagne et aussi d’essayer de toucher les gens pour que le message passe et que quelqu’un d’un peu plus puissant que notre petite association puisse faire quelque chose pour eux. Nous chercherons cette personne et notre combat continue.
En janvier, à la fin de la saison de chasse , les chiens vont arriver par millier. Ce mois de l’année est le pire pour les galgos.
Selon les journaux locaux, dans la nuit de janvier 15-16, cages ont été ouverts et vison 1 200 environ libéré dans une ferme de la fourrure dans la municipalité de Dovera (Province de Crémone). Le propriétaire de la ferme, a déclaré que les dommages ne sont pas couverts par l'assurance