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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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histoire vrai (animaux)

magnifique

Publié à 18:07 par fandeloup Tags : chiens monde amour news animal
magnifique

Quelle drôle de famille ! Une portée de Teckels abandonnés a été adoptée par un bien étonnant animal, une femelle Capybara, un très gros rongeur,qui prend soin d'eux comme s'ils étaient ses petits.

C'est dans un refuge de l’Arkansas, aux Etats-Unis, que la magie a opéré, instantanément.

8 chiots abandonnés

Le refuge Rocky Ridge a recueilli 8 chiots, découverts enfermés dans une boîte sur le parvis d'une église. C'était le 6 mars dernier. 4 petits ont été adoptés, et les autres attendent toujours leur future famille.

Mais les petits teckels ne sont pas malheureux. Ils ont trouvé en Cheesecake une maman de substitution.

3 jours après leur arrivée, Janice Wolf, la fondatrice du refuge, a confié les petits à la femelle Capybara.

 

des chiots adoptés par un capybara
Une famille pas comme les autres !

Une étonnante et adorable famille !

"Il faisait chaud et ensoleillé, alors j'ai laissé les petits dehors, sous la responsabilité de Cheesecake", raconte-t-elle.

Une merveilleuse idée ! L'imposant rongeur a pris son rôle très au sérieux, et les chiots se sont immédiatement pris d'amour pour leur baby-sitter !

Les capybaras, originaires d'Amérique du Sud, sont les plus gros rongeurs du monde, et leur poids peut égaler celui d'un humain adulte !

Les chiots, eux, sont encore minuscules ! Comment rester de marbre devant les clichés de ces bébés blottis contre leur improbable mamand'adoption

récit

récit
A propos des bêtises : DETRESSE ET NON VENGEANCE

Danièle Mirat


Vous pensez que votre chien cause des dégradations parce qu’il vous en veut d’être sorti sans lui ? !

Attention : ressentiment, rancune, esprit de vengeance, ne sont pas des ressentis attribuables au chien.

La réalité animale est souvent bien loin des idées toutes faites que s’en font les êtres humains, et voyons comment une relation avec un chien peut aller jusqu’à la rupture, quand elle est basée sur 2 idées reçues parmi les plus tenaces:
- Le chien qui provoque des « destructions » aboie ou souille la maison de ses déjections quand vous tournez les talons, ne se « venge » pas !
- Ce n’est pas parce qu’il prend cet air penaud, presque rampant la tête et la queue basse, qu’il « sait qu’il a mal fait » !


Le chien qui provoque des « destructions », aboie ou souille la maison de ses déjections quand vous tournez les talons, ne se « venge » pas !
Cette première croyance (du chien qui ainsi se vengerait) n’est qu’une interprétation humaine et erronée, qui voile notre ignorance de la spécificité de l’animal.

- Mais alors qu’est-ce qu’il a à "détruire" ainsi ? me demande Alex propriétaire de « Tarzan » son jeune dogue argentin.
Le molosse exprime simplement la détresse qu’il ressent quand il se retrouve seul sans son propriétaire. Inquiet, il essaie (maladroitement!) de se libérer de sa tension intérieure en la redirigeant dans des actions de secouement, mâchouillement ou grattage de ce qui est à sa portée (provoquant, il faut bien le dire, quelques dommages collatéraux!).
Malheureusement cela ne lui apporte pas l’apaisement recherché, puisque seule la présence de son propriétaire le sécurise vraiment.
En écoutant Alex me faire le long récit des divers méfaits de son compagnon, je me représentais très bien Tarzan, déjà inquiet dès qu'Alex enfile son veston, prépare son porte-document, cherche ses clés pour s’apprêter à sortir. Je l’imaginais entendant Alex lui « expliquer » en mots qu’il ne comprenait pas ! qu’il fallait bien « que papa aille travailler, et qu’il attendait de son chien qu’il soit bien sage ! »
Tarzan resté seul se mettait à tourner, courir à la fenêtre, gémir quand ça n’était pas hurler, chercher partout les traces de son propriétaire comme pour le faire être présent, trouver son odeur sur les coussins et les accoudoirs du canapé, les chaussons oubliés là, le tee-shirt accroché à la patère, le livre qu’il lisait hier soir.
Le molosse se saisissait alors tour à tour de l’un ou de l’autre de ces objets pour les mordiller, dans une vaine tentative d’y trouver un apaisement à sa détresse.
Désemparé parce que trop dépendant
La grande dépendance (appelée couramment "hyper attachement») c’est-à-dire une dépendance intense à une seule personne dans sa famille, est à la base de désarroi chez l’animal quand cette personne s’absente, mais pas seulement.

- Scratch le doberman vivait les choses un peu différemment,
il semblait animé de grande frustration à voir s'absenter ses propriétaires dont il avait d'ordinaire l'attention et la disponibilité, quand ceux-ci étaient présents à la maison!
Quand (rarement !) Ingrid et Grégoire sortaient sans lui, ils se comportaient, en fait, en propriétaires indépendants et donc en toute contradiction (pour Scratch) avec la plupart de leurs comportements habituellement attentionnés et disponibles vis-à-vis de leur chien.
Du coup, Scratch animé de vives tensions se distinguait en sauts et grattages sur la porte de sortie (d'où des dommages tout autour aussi), en aboiements intempestifs et même souvent en déjections disposées toujours bien en évidence...
Pas davantage motivés par l’esprit de vengeance que ceux Tarzan, tous les comportements de Scratch n'étaient qu'expressions des tensions vécues qui (au passage!) lui en permettaient la décharge (par la motricité, la communication par vocalisations et dépôts urinaires et fécaux)

- Dans le cas de Toupie, la bull terrier de Joseph et Pascale
c’est à la suite de leur déménagement qu’elle s’était mise à aboyer, dégrader et souiller la maison de ses déjections éparses, puis ensuite à creuser dans le jardin chaque fois que ses propriétaires tournaient les talons.
Là aussi c’est sa détresse que Toupie exprimait, devant une perte de ses anciens repères de vie; insécurité intérieure qui peut aussi être ressentie par certains chiens, lors des retours de vacances ou de perte d’un être cher de sa famille, par décès ou divorce par exemple.


Un comportementaliste Caniconsultant pourra identifier avec précision ce qui motive ces différentes expressions de la détresse d’un chien. Dégradations, aboiements, éliminations dites "malpropretés", mais aussi agitations, activités autocentrées (grattages, léchages parfois jusqu’à mutilation), comportement alimentaire déréglé, etc.… la liste n’est pas exhaustive.
Non ! ça n’est pas parce qu’il prend cet air penaud, presque rampant la tête et la queue basse, qu’il « sait qu’il a mal fait » !
Chez leurs propriétaires respectifs, les trois molosses avaient chacun souffert de cette seconde croyance qui accompagne la première.

- Encore chiot, Tarzan avait déjà commencé à exprimer son inquiétude quand Alex s’absentait.
Il se saisissait d’un objet ou d’un vêtement, le gardait avec lui sur son tapis, mais sans vraiment l’abîmer.
Constatant ces premières « bêtises » en rentrant chez lui, Alex bien fâché y avait réagi en grondant son petit molosse, récupérant ses affaires sur lesquelles le chiot sans comprendre, mi-confiant mi-inquiet venait se rouler et se mettre sur le dos en posture dite "de soumission", pour tenter d’apaiser le soudain courroux de son propriétaire.
Tarzan n’étant pas en mesure d’associer la brusque colère d’Alex au fait qu’il avait dans la journée, transporté et mâchonné tel objet sur son tapis, ne comprenait pas ce qui motivait cette conduite, et se mit petit à petit à craindre chaque réapparition d'Alex.
Il venait dorénavant l’accueillir à la fois excité de le retrouver enfin, mais les oreilles basses, tour à tour en sautillant puis s’aplatissant, s’attendant à cette colère incompréhensible et maintenant habituelle, à chacun de ses retours.
L’escalade des incompréhensions mutuelles avait commencé : Tarzan gémissait longuement dans ses moments de solitude (selon les dires du voisinage) et cherchait de plus en plus désespérément à trouver un apaisement, en s’emparant d’objets divers qu’il allait maintenant jusqu’à déchiqueter (cet exercice musculaire de sa mâchoire lui permettant d'évacuer ses tensions).
Se sentant de moins en moins rassuré par ce propriétaire imprévisible, le molosse était maintenant couché sur son tapis quand Alex rentrait, la tête et les oreilles basses avec juste quelques timides battements du bout de la queue.
Cette attitude craintive et dite "de soumission" disait bien "caninement" sa désorientation intérieure et son souhait de ne pas entrer en conflit avec Alex, mais ce dernier l’interprétait humainement, comme l’attitude penaude d’un enfant qui venait d’être pris en faute.
Excédé par les plaintes des voisins, comme par les dégradations toujours renouvelées, Alex entrait en fureur, s’agitait et réparait les dégâts, se retenait (il ne sait comment !) de frapper ce maudit molosse qui pourtant « savait si bien qu’il était coupable » !! Il le punissait en l’isolant sur le balcon !
Après une bonne douche et une balade avec son chien, Alex enfin retrouvait son calme et sa bonne humeur… Tarzan lui, redevenait un peu confiant… Jusqu’au lendemain seulement.

- Pour Scratch, son histoire avait été tout autre.
En grandissant, petit à petit il avait pris l’habitude de gérer bien des choses dans son quotidien. Il gesticulait devant la porte pour obtenir de sortir, aboyait pour avoir de la nourriture à table, ou pour que cesse une trop longue conversation téléphonique, ou une de ces discussions à n’en plus finir de son propriétaire avec le voisin.
Il sollicitait continuellement Ingrid, Grégoire et les enfants pour recevoir attention, caresses, jeux, etc...
Bref, il menait son petit groupe familial par le bout du nez ; alors la première fois qu’il a vu sortir tout ce petit monde là sans lui, il n’était soudain plus certain d’avoir la place de celui qui a la disponibilité des siens (place qu’on lui laissait pourtant occuper d’habitude).
Scratch était frustré par leurs inconstances et les aboiements, urine et défécations étaient là pour dire son malaise dans ce relationnel changeant.
A leur retour, Ingrid et Grégoire ont commencé à se mettre en colère en entrant dans la maison, alors que Scratch les avait bien entendus arriver d’humeur joyeuse en bas dans le garage. Lui qui était tout content de les revoir, est traité de « vilain chien » !? Bousculé, repoussé sans ménagement, surpris par cette vague soudaine de colère, il court se blottir sur le canapé !
Ce que ses propriétaires ne savent pas, c’est que leur chien n’a pas un cerveau (comme les humains) qui lui permette d’associer leur irritation présente à ses propres comportements d’il y a quelques minutes ou quelques heures.
Il n’a pas commis de « bêtises » il a juste communiqué son désarroi en urinant sur le meuble de l’entrée, et déféquant bien en vue sur le fauteuil (urination et défécation étant mode de communication des chiens entre eux).
Mais voilà, personne n’a compris « le message » et l’a au contraire interprété de manière erronée en pensant : « il s’est vengé ! »
Alors quand Scratch s’est à nouveau retrouvé seul, il a renouvelé sa communication aboyeuse (et les voisins ont commencé à s’en plaindre !) et à semer ses déjections, à gratter la porte de sortie…
Avec une fureur grandissante Ingrid et Grégoire découvraient de plus en plus de dégâts après chaque absence. Comme Scratch maintenant les accueillait assis dans un coin les oreilles basses, ils ont continué d’interpréter faussement sa nouvelle attitude de retrait inquiet par : « il sait qu’il a mal fait ! »
C’est avec une confusion grandissante que Scratch voyait maintenant revenir ses propriétaires, apeuré par leurs cris et gesticulations incompréhensibles pour lui, et prêt à grogner si on venait à trop l'approcher.
La communication était coupée, chacun ne sachant plus faire confiance à l’autre.


Dans ces exemples, c’est la nature du lien qui l’attache à son propriétaire qui est génératrice d’inquiétude pour le chien. Non perçues pour ce qu’elles sont, les manifestations comportementales de son désarroi sont suivies de réponses maladroites des propriétaires, qui ne font qu’ajouter à la confusion de l’animal. C’est dans une recherche éperdue pour s’adapter qu’il en vient à produire des comportements de plus en plus désordonnés. Quand tout cela est compris, il devient évident qu’il y a nécessité de réorganiser les relations avec l'animal, afin que celui-ci retrouve l’apaisement.

Les propriétaires de Tarzan, Scratch et Toupie n’avaient pas exactement le même travail à faire pour retrouver chacun un molosse paisible et l’harmonie de leur relation. Mais c’est en passant d’abord par la compréhension du désarroi de leur compagnon, qu’ils ont pu ensuite s’impliquer dans les changements relationnels qu’il y avait lieu d’instaurer.
Comprendre l’autre signifie entrer dans ses raisons, admettre ses motivations. C’est une démarche de curiosité guidée par le respect de l’animal, qui mène à une communication plus vraie dans une authentique rencontre avec lui.
C’est en cessant d’attribuer à leur compagnon des sentiments et des pensées comme pourrait en avoir un être humain à leur place que les propriétaires des 3 molosses avaient déjà fait un grand pas.
En changeant nombre de ses comportements, Alex a dû montrer patience, indulgence et constance, pour que Tarzan découvre l’autonomie qui lui a permis de savoir mieux rester seul sans stress.
En modifiant également nombre de leurs propres conduites, Ingrid et Grégoire ont dû déployer aussi beaucoup de patience, de rigueur et de constance pour ne plus offrir leur disponibilité aux moindres demandes d'attention de Scratch, qui a fini par trouver la tranquillité intérieure.
Quant à Toupie la bull terrier, elle a réussi à se faire de nouveaux repères tranquillisants dans sa nouvelle maison. Ses propriétaires pleins de compassion pour elle et travaillants à répondre enfin de manière appropriée à ses inquiétudes, l’ont rendue plus tolérante à leurs divers changements de rythme de vie.
 

rott

Publié à 10:44 par fandeloup Tags : chiens chien animal
rott

Le Rottweiler compte parmi les plus anciennes races de chiens. Son origine remonte au temps des Romains. Il était alors un chien de garde et de troupeau. Il escorta les légions romaines lorsqu’elles franchirent les Alpes, protégeant les hommes et menant le bétail. Lorsque les légions s’installèrent dans la région de Rottweil, ces chiens se trouvèrent en contact avec les chiens indigènes et il se produisit des croisements entre les deux variétés. Les principales fonctions du Rottweiler restèrent la garde et la conduite des grands troupeaux ainsi que la défense du maître et de ses biens. La vieille ville impériale de Rottweil finit par lui octroyer son nom : chien de boucher de Rottweil, car les bouchers en faisaient l’élevage uniquement en fonction de leurs performances comme chiens d’utilité. Il se développa ainsi au fil des ans une race tout à fait exceptionnelle de chiens de garde et de troupeau, utilisé aussi comme animal de trait. Lorsqu’au début du XXème siècle la police eut besoin de chiens de service, on testa également le Rottweiler et il se révéla parfaitement adapté aux missions d’un chien de police. Il fut officiellement reconnu comme tel en 1910. L’élevage du Rottweiler est orienté vers un chien débordant de vigueur, noir, aux marques feu bien délimitées, dont l’aspect général massif n’altère aucunement la noblesse et qui se prête tout spécialement à l’emploi comme chien de compagnie, de service et d’utilité.Le Rottweiler est un chien robuste de taille moyenne à grande, ni lourd, ni léger, ni haut sur pattes, ni levretté. De proportions harmonieuses, son aspect trapu et vigoureux laisse présager force, souplesse et endurance.

belle histoire

Publié à 16:49 par fandeloup Tags : news vie moi homme chez histoire belle amis animaux voyage chat animal
belle histoire

Quelle belle histoire que celle qui unit le sergent Jesse Knott et son chat Koshka. Le soldat américain, originaire de l'Oregon, servait en Afghanistan lorsqu'il a fait cette salvatrice rencontre.

En pleine guerre, si loin de chez lui, le sergent a trouvé en cette petite boule de poils un véritable réconfort, un souvenir de sa vie aux Etats-Unis.

Un chat, et de l'espoir

"Parfois ce sont de petites choses qui vous rendent la foi" confie Knotts.

Le 8 décembre 2011, un kamikaze a visé un convoi militaire près de sa base, dans le district de Maiwand. Plusieurs de ses camarades ont perdu la vie. "J'ai été tellement dévasté que j'ai perdu tout espoir" raconte Jesse.

Le jeune homme était dans son bureau, seul. Il pleurait ses amis lorsque tout à coup, un petit chat est apparu, puis s'est hissé sur ses genoux.

Un soldat sauve un chat en Afghanistan
"Parfois ce sont les petites choses qui vous rendent la foi"

Lorsqu'il a vu l'animal, il a tout de suite compris que "les gens ne prenaient pas bien soin de lui" raconte-t-il. Bien que les soldats ne soient pas autorisés à avoir des animaux de compagnie, Jesse a recueilli l'animal, et lui a fait une place dans son petit bureau.

"J'avais perdu confiance en moi. J'avais perdu la foi. Puis d'un coup, ce chat est venu, et c'était comme s'il me disait "Hey, tu es toi"' explique-t-il

Jesse a alors réalisé que Koshka ne pouvait pas rester en Afghanistan. "Il m'a fait sortir d'une des périodes les plus sombres de ma vie, alors j'ai décidé de le sortir d'un des endroits les plus sombres" raconte-t-il.

"Ce chat a été ma grâce salvatrice"

Il était impossible de faire partir le chat dans un convoi militaire. Mais un interprète local lui est courageusement venu en aide, proposant de prendre le chat avec lui, et de l'emmener à Kaboul.

Cet homme a risqué sa vie pour aider Jesse. Si les talibans afghans l'avaient arrêté, et découvert qu'il rendait service à un Américain, il aurait certainement été abattu. "Le risque était immense pour lui" confie le sergent avec émotion.

Jesse a attendu plusieurs semaines avant d'avoir des nouvelles de son petit compagnon. Mais lorsqu'enfin il l'a su en sécurité à Kaboul, il a contacté ses parents et ces derniers ont payé le voyage en avion du chat jusqu'à Portland.

"Koshka a été ma grâce salvatrice, il m'a gardé en vie pendant cette mission" affirme aujourd'hui Jesse.


Koshka, une grâce salvatrice pour un homme ayant perdu tout espoir

sauvetage

Publié à 14:09 par fandeloup

rip

Publié à 15:53 par fandeloup Tags : animaux amour anges monde chien
rip
Je tenais a rendre un hommage a Rigas .....

Rigas était un gentil chien, un innocent qui vivait dans la rue a Athènes en Grèce .... Il ne demandait rien a pers...onne si ce n'est un peu de nourriture et de l'amour .....

Mais un jour, un connard a décidé de jouer avec lui, il l'a frappé a coup de marteau ainsi qu'un autre chien puis les a abandonné dans une décharge a l'agonie .... Des protecteurs grecs ont été avertis et sont venus au secours de ces 2 malheureux ..... Un a pu etre sauvé mais Rigas est décédé de ses blessures a la tete .....

Grace a une dame qui a brisé la loi du silence, le tortionnaire de ces 2 loulous a pu etre arrété et est passé en jugement .....

Verdict: 9 mois de prison ferme, 8.500 euros d'amende et la suspension de la possibilité de faire appel!!!

C'est un verdict historique en Grèce ou les animaux vivent un enfer quotidien dans l'indifférence quasi générale et ceci a été possible grace a la pression que les protecteurs du monde entier ont exercé sur les autorités grèques a travers des pétitions et des campagnes de mailing ....

A toutes celles et ceux qui n'y croient plus ou n'y croient pas, SI, les choses sont possibles, tous ensembles nous pouvons faire valoir les droits des animaux a travers le monde, mais il faut rester unis, une seule voix, une immense voix pour les innocents et arréter de dire, "non je ne signe pas ou je n'envoie pas les mails car ça ne servira a rien ...." !!!!!

NOUS SOMMES LEUR SEULE ET UNIQUE VOIX et a tous les tortionnaires de par le monde nous disons STOP, fini de dormir tranquille, nous sommes la, nous veillons et nous vous ferons payer vos atrocités un jour ou l'autre !!!!!

Rigas tu es parmi les anges aujourd'hui ....
 
Reposes en paix mon garçon, reposes en paix

Leopard

Publié à 12:53 par fandeloup Tags : cadre nature monde travail
Leopard

Dans le cadre de ses activités auprès de l’EOCA*, DYNAFIT a proposé la nomination d’un projet du Snow Leopard Trust, association qui s’engage depuis 1981 pour la sauvegarde du léopard des neiges, un grand félin menacé d’extinction. Le programme «High Altitude Habitats for Snow Leopards», prévu dans l’Himalaya indien, est un des cinq nominés «Alpine» pour la phase finale de vote. Il a été choisi parmi 55 propositions au total.


Chaque année, l’institut European Outdoor Conservation Association (EOCA) sélectionne, parmi de nombreuses candidatures, trois projets qui seront soutenus par un don important. L’EOCA est une association formée par des entreprises actives dans la branche de l’outdoor. Un montant dépassant le million d'euros a ainsi été alloué ces six dernières années à des projets liés, dans le monde entier, à la protection de la nature. Ce sont les apports financiers des 94 membres de l’EOCA qui permettent de soutenir les projets sélectionnés.

DYNAFIT, qui est partenaire de l’organisation Snow Leopard Trust depuis 2005 déjà, est convaincu par le travail réalisé en faveur du léopard des neiges. La population mondiale du grand félin s’est réduite à environ 6000 individus ces dernières années. L’Inde est le pays comptant la troisième plus importante population de léopards des neiges. L’objectif du projet est de préserver l’espace vital naturel de l’animal et d’éviter son extinction, dans une région où le tourisme progresse à grands pas. Le possible don de l’institut EOCA sera investi dans la conservation de l’espace protégé et dans le soutien et la formation des habitants de la région. C’est uniquement par une contribution financière et par un travail de sensibilisation et d’information auprès des autochtones qu’il sera possible de faire vivre côte à côte la population et le grand félin.

humour

Publié à 07:35 par fandeloup Tags : photos moi chien

honteux

Publié à 16:04 par fandeloup Tags : amour photos animal horreur merci moi monde article chien
honteux
Je m’appelais FALKON j'étais un jeune rottweiler de 9 mois


Mon maitre m'a fait subir le pire : ébouillanté à maintes reprises, frappé, affamé, obligé d...e boire de l'alcool. J'étais un gentil chien, je ne me suis jamais rebiffé contre lui. Il m'a enfin abandonné dans une cour d’école, et de là j'ai été conduit à la SPA de CHAMBERY.

Je suis arrivé au refuge et tout le monde s’est aussitôt occupé de moi. Je présentais des plaies sur le corps. Deux jours après, mes plaies se sont étendues, j’étais brûlé sur tout le corps et la tête.
Pendant 10 jours, chaque jour, un vétérinaire m’a endormi pour pouvoir nettoyer et soigner mes blessures car il était impossible de me toucher, tant je souffrais.

J'ai été mieux et les vétérinaires me pensaient sauvé, quand j’ai commencé à vomir. On m’a hospitalisé une nouvelle fois. Je souffrais d'une péritonite due aux brûlures qui avaient libéré des toxines dans mon corps.

Deux jours après, j'ai été à nouveau opéré, jusqu'à 23 heures : ce sera la dernière tentative, à 12h00 je mourrais.

Les dégâts intérieurs occasionnés par les brûlures ont été fatales.

Pardonnez-moi de ne pas avoir eu le temps de vous dire merci pour tout ce que vous avez fait pour moi. Je vais pouvoir garder au plus profond de mon âme de chien le souvenir des personnes du refuge et des vétérinaires qui m’ont tout simplement aimé.



Mon maître a été jugé le 17 février 2011 par le Tribunal de Grande Instance de CHAMBERY.

La SPA de SAVOIE avait déposée plainte et s'est constituée partie civile.

Le jugement rendu a été exemplaire :

- 2 mois de prison ferme

- Le remboursement des frais supportés par la SPA de SAVOIE

- 1000 € de Dommages et intérêts et 400 € au titre de l'article 475.1 du code de procédure pénale

- Et surtout 10 ANS D'INTERDICTION DE DETENTION D'UN ANIMAL...
 
 
            

cirque

Publié à 11:32 par fandeloup Tags : animaux femme monde animal
cirque
Le cirque Ringling Bros maltraite les animaux depuis les années 1930

Cette affaire remonte au début des années 1900, en 1929, quand John Ringling du cirque Ringling Bros and Barnum & Bailey a ordonné l’exécution d’un éléphant après que cel...ui-ci ait tué une femme qui avait été dans la foule, comme il a été promené dans une ville du Texas. Vingt hommes furent déployés et tuèrent l’éléphant avec pas moins de 170 balles !

C’était en 1929 et les choses n’ont guère évolué et d’ailleurs le cirque continue… Comme dans tous les cirques, les éléphants (et les autres animaux exploités et torturés) vivent enchaînés, la plupart du temps dans des cages minuscules.


Qui n’a jamais vu ces animaux malheureux enchaînés et cloîtrés dans des cages honteusement étroites faire les cents pas et être victimes de troubles du comportement ?


Dire que le spectacle est désolant est bien faible face à la douleur ressentie, quand on voit de près ces êtres perdus.
Et la douleur que nous ressentons nous n’est rien face à la détresse subie par ces animaux, qui sont loin de leurs terres d’origine, qui sont violentés, exploités, dominés et ridiculisés à faire des numéros plus stupides les uns que les autres, souvent dans des positions improbables que leur corps doit subir.


La page originale (en anglais) du site militant Ringling beats animals est ici, mais pour résumer, depuis 2000, le US Department of Agriculture (USDA) a cité de nombreuses fois le cirque Ringling pour de graves violations de la loi sur la protection des animaux (AWA), à savoir que les animaux captifs ne reçoivent pas les soins vétérinaires adéquats, l’alimentation que reçoit chaque animal n’est pas propre, les animaux vivent dans des lieux insalubres et ils sont stressés et battus.


Au moins 29 éléphants (dont 4 bébés) sont morts depuis 1992.
En 2004, un lion de 2 ans est décédé d’un coup de chaleur pendant que le train du cirque traversait le désert de Mojave, à l’ouest des Etats-Unis.


En 2008 déjà, le cirque est accusé devant la justice de maltraiter ses éléphants :
Le procès intenté à l’entreprise de cirque +Ringling Bros and Barnum and Bailey+ par des défenseurs des droits des animaux, qui l’accusent de maltraitance envers les éléphants d’Asie vedettes de ses chapiteaux depuis plus d’un siècle, doit commencer lundi à Washington.


Ce procès devant un tribunal fédéral de la capitale américaine démarrera après huit ans de procédures, à la suite d’une plainte d’un ancien employé de Ringling Bros, Tom Rider, scandalisé par le traitement des pachydermes, rejoint par plusieurs organisations de défense des droits des animaux dont Animal Welfare Institute, Fund for Animal et Animal Protection Institute.
Les plaignants estiment que le cirque enfreint la loi sur la protection des espèces animales en danger en « blessant et harcelant » ces animaux, selon la plainte.


« Nous avons une multitude de preuves de leur maltraitance dont des vidéos, des photographies, de la documentation et des dossiers médicaux », a souligné jeudi lors d’une conférence de presse Lisa Weisberg, conseillère juridique de l’ASPCA (American Society for the Prevention of Cruelty to Animals), partie prenante du procès.
Ces documents n’ont jusqu’ici jamais été rendus publics, à la demande de la défense.


Tom Rider a décrit des animaux aux pattes entravées par de lourdes chaînes jusqu’à 26 heures d’affilée alors qu’à l’état sauvage, les pachydermes ont besoin de marcher plusieurs kilomètres par jour, a-t-il affirmé. « Les seuls moments où ils sont libres de leurs chaînes sont ceux où ils font leur numéro », a-t-il ajouté.


Il a montré un instrument, dit « crochet de taureau », une longue canne terminée par un crochet utilisée pour se faire obéir des éléphants et les dresser pour leurs numéros.


Les dresseurs accrochent ces crochets « à des endroits très sensibles » du corps des éléphants, « derrière les oreilles par exemple, sous leur menton ou derrière les pattes. Utilisé à un très jeune âge, le crochet de taureau sert ensuite d’instrument d’intimidation », a expliqué Mme Weisberg faisant état de blessures et cicatrices.
Le procès est censé durer trois semaines.

Interrogé sur l’ouverture du procès, le groupe Ringling Bros and Barnum and Bailey, filiale de Feld Entertainment a estimé que « les groupes d’intérêts qui défendent les animaux altèrent les faits en faisant de fausses allégations sur le traitement des éléphants par Ringling Bros. Cela fait partie d’une longue croisade pour éliminer les animaux des cirques, des zoos et des parcs », a affirmé Michelle Pardo, conseillère juridique du cabinet Fulbright and Jaworski pour la maison mère des cirques Ringling, Feld Entertainment.

Lors d’une décision de justice il y a un an qui avait limité le procès à l’examen de six cas d’éléphants au lieu de 53, le cirque s’était déclaré « immensément fier de (ses) animaux et du personnel qui s’en occupe ». « Nous savons que les allégations des plaignants dans ce procès sont sans fondement », ajoutait-il.

Le cirque, créé à la fin du 19ème siècle par sept frères, a notamment bâti son succès sur ses éléphants savants. Il existe encore 35.000 éléphants d’Asie dans le monde contre 200.000 en 1900. Le cirque Ringling Bros, qui possède un centre d’élevage en Floride baptisé Centre pour la conservation des Eléphants, affirme « avoir la plus grande population d’éléphants d’Asie en captivité dans l’hémisphère occidental ».

source: Laterredabord

petition:
https://www.change.org/petitions/living-social-stop-selling-tickets-to-ringling-bros-barnum-and-bailey-circus