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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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histoire vrai (animaux)

magnifique

Publié à 18:58 par fandeloup Tags : vie histoire chien voyage femme
magnifique

Les gens passent à côté de ce chien sans rien faire, mais une jeune femme décide de changer sa vie!

Tous les gens aiment ramener un souvenir lorsqu’ils partent en vacances. Ramener un souvenir peut être l’un des plus belles expériences de voyage et c’est exactement ce qui est arrivé à une Canadienne du nom de Meagan Penman.

Alors qu’elle marchait sur une plage de la Thaïlande, la jeune femme a remarqué un pauvre chien paraplégique qui se déplaçait uniquement sur ses pattes avant… ses pattes arrières n’étaient plus fonctionnelles.

Elle a appris que le chien était impliqué dans un accident de moto, ce qui l’a laissé dans cette condition, mais ses maîtres n’ont pas voulu le soigner et l’ont abandonné.

Tous les gens qui passaient à côté de lui et l’ignoraient, mais Meagan a décidé de changer sa vie. Elle a décidé de ramener le chien au CANADA, elle a donc mis sur pied une campagne de charité afin de ramener le pauvre chien au Canada. 

il choisit le chien

Publié à 11:53 par fandeloup Tags : jeune bonne homme couple moi chien
il choisit le chien

Entre le chien et sa copine, il choisit le chien

C'est le chien ou moi: voilà l'ultimatum qui a mis fin à la relation amoureuse de Scott Ladauti.

Ce jeune homme confie au Huffington Post qu'il n'a pas hésité une seconde quand sa copine lui a dit cela.

Il a choisi le chien. Il admet: son couple allait mal depuis quelque temps.

"J'ai pris ce chien en me disant que ça allait sauver notre relation en quelque sorte. J'ai toujours voulu un chien, je me disais que c'était une bonne idée. De toute façon, nous aurions rompu. Mais ça a probablement accéléré le processus", pense-t-il. "Chaque fois que le chien faisait quelque chose de mal, je prenais son parti. On se disputait du coup à cause de ça aussi. J'ai fait le bon choix", confie-t-il encore. 

le merveilleux chat qui réconforte les patients

Publié à 19:59 par fandeloup Tags : chat animaux fille message dieu cadre mort femme coeur amis vie
le merveilleux chat qui réconforte les patients

Tom, le merveilleux chat qui réconforte les patients en fin de vie et leurs familles

Un chat accompagne des patients en fin de vie

Il s'appelle Tom, il est âgé de 8 ans et il vit dans un hôpital à Salem, en Virginie. Il, c'est un chat, un gros matou roux qui apporte aux patients en fin de vie apaisement et réconfort.

Tom se balade, vit sa vie de chat, monte sur le lit de ses amis en soins palliatifs et se laisse papouiller en ronronnant. C'est son job, et il le fait merveilleusement bien.

Une présence réconfortante pour les patients et leurs familles "Regarder le chat ou le caresser vous sort du triste moment que vous traversez" explique à VA.gov Dorothy Rizzo, coordinatrice des soins palliatifs de l'hôpital. Et d'ajouter : "Les animaux, comme les bébés, sont en quelque sorte une affirmation de la vie".

Tom a été adopté par les infirmières de l'hospice du Salem VA Medical Center dans le cadre d'une expérimentation de thérapie animale. Et sa présence ne fait pas seulement du bien aux patients, les familles des malades profitent elles aussi des bienfaits de cet adorable thérapeute à 4 pattes.

"Les familles se sentent souvent impuissantes. Elles regardent un être cher mourir et savent qu'elles ne peuvent pas le sauver" explique Betty Gillespie, une psychologue de l'hospice.

"Parfois, on ne peut même pas parler avec eux, ni les réveiller. Tout ce qu'on peut faire est de les regarder et attendre. Mais Tom offre un certain réconfort, quelque chose sur quoi se concentrer. Parce que quand un chat marche nonchalamment dans la salle, il envoie un message disant que tout va bien, que tout est comme cela doit être". "Ce ne fut pas un jour triste. Et cela grâce à Tom"

Certains patients ont noué une relation très forte avec ce chat. Ce fut le cas d'Edwin Gehlert, un vétéran de la seconde guerre mondiale. Le jour de sa mort, Tom semblait savoir ce qui allait se passer. Le chat est monté sur le lit de son ami puis s'est allongé près de lui, une patte posée au creux de sa main.

"Ce chat l'a conduit tout droit au paradis" affirme la femme d'Edwin Gehlert, Elizabeth, qui dit avoir ressenti à ce moment une véritable paix. Cette douce présence a fait aussi un bien immense à la fille d'Edwin et Elizabeth, Pam.

"Quand Tom a mis sa patte dans la main de papa, c'était comme si Dieu me disait qu'il s'occupait de mon père et que tout allait bien. (...) Je n'ai pas quitté l'hôpital dans la douleur et les larmes. J'avais tant de joie dans mon coeur, je me suis presque sentie coupable. Ce ne fut pas un jour triste. Et cela grâce à Tom" confie-t-elle.

Véritable membre de l'équipe de l'hôpital, Tom a comme n'importe qui d'autre besoin de se reposer après avoir accompagné l'un de ses amis durant les dernières heures de sa vie.

"Il entre dans une sorte d'hibernation pendant plusieurs heures. Il trouve un coin et se met en veille. Je pense qu'il recharge juste ses batteries" raconte Laura Hart, l'un des médecins de l'unité des soins palliatifs du Salem VA Medical Center.

Combien vaut la vie d’un chien aujourd’hui en France ?

Combien vaut la vie d’un chien aujourd’hui en France ?

Florence Desasy vit à Juvisy-sur-Orge, en région parisienne.

Combien vaut la vie d’un chien aujourd’hui en France ?

Là, elle est bien connue des amis des animaux, puisqu’elle est la gérante de La Boutique du Chats et Compagnie, l’une des plus grandes animaleries de la région (qui ne vend pas d’animaux).

Ce 24 juillet 2014, elle a perdu son chien Aaron (qui était la mascotte de la boutique et le chouchou des clients) dans des circonstances dramatiques.

Meurtrie de chagrin suite à la perte de ce beau beauceron âgé de tout juste un an, Florence souhaite dénoncer « l’irresponsabilité » de ceux qui considèrent que la vie d’un chien n’a pas de valeur.

Sa tribune, chargée d’émotion, pose une véritable question : quelle importance est accordée à la vie d’un animal dans notre société actuelle ?

En mémoire d’Aaron, 08/06/2013 – 24/07/2014.

Je n’oublierai jamais quand je t’ai vu la première fois et que j’ai du venir te sortir du TGV, toi qui ne voulait pas en sortir, si grand et si craintif !

Ce 24 juillet au matin, Aaron, mon beau Aaron, a voulu me suivre dehors. Je lui ai dit de rester dans la boutique, où il est alors retourné. Cinq minutes plus tard pourtant, il est apparemment sorti. Deux camions de travaux du chantier d’à côté bloquaient la rue et le trottoir. Il a voulu faire le tour du camion pour me suivre, mais quand il a passé la tête, une voiture l’a emporté. Sur 20 mètres. Surement roulait-elle trop vite…

Et oui, il n’avait rien à faire là. Comme un enfant. Tout ceux qui connaissaient Aaron savent qu’il n’a jamais été sur la N7, malgré les portes ouvertes, il restait sur le trottoir comme le fait un enfant. Il a fait le tour du camion pour suivre sa mère comme l’aurait fait un enfant…

Je m’en veux terriblement. J’avais contacté plusieurs fois les services municipaux, et la police, afin que les camions ne stationnent plus en double file dans la rue (c’est la N7 quand même), je l’ai dis plusieurs fois au chef de chantier, qui me répondait toujours « oui, oui ».

Après l’incident, il ne s’est pas excusé, et nous a confirmé qu’il allait bouger les camions. J’ai porté Aaron chez le vétérinaire, quand je suis revenue, il y avait un camion devant la boutique en double file, un camion en double file devant le chantier, et un troisième qui bloquait le trottoir.

La mort d’Aaron une heure avant n’avait servi à rien ! Tout recommençait. Faut-il attendre qu’un enfant se fasse renverser pour que les choses changent ?

J’ai appelé le patron du chantier. « Ce n’est qu’un chien », m’a-t-il rétorqué. Il m’a dit qu’avec moi tout était toujours de leur faute, et ne s’est pas excusé non plus. Je lui ai demandé de venir me voir… il m’a dit j’arrive. Il n’est pas venu.

Si ce matin un enfant avait été renversé, le chantier serait stoppé à cette heure-ci et le chauffeur aurait été arrêté. Aujourd’hui, je suis responsable de ne pas avoir enfermé mon chien.

Notre président nous avait annoncé qu’il donnerait un statut à l’animal.

Qu’en est il ? C’était un enfant, c’était notre enfant, c’était l’enfant de tous les clients qui viennent à la boutique et à qui il faisait la fête. Je ne veux pas que sa mort ne serve à rien, je veux que les gens qui ne reconnaissent pas que c’était une vie le comprenne enfin. A ce jour, le droit pour les animaux n’a pas bougé, malgré les pseudos changements dans les textes du Code civil.

Le statut DE l’animal en France (promesse électorale DE notre Président !), quel est-il réellement ?

NON ce ne sont toujours pas des meubles… et NON, ils ne le deviendront jamais !

Dimanche matin, le chantier démontera sa grue, je l’espère cette fois dans les règles de l’art. La dernière fois, il a encore fallu appeler la police : ils s’étaient installés là où il n’avaient pas le droit, là où ça les arrangeait pour aller plus vite en dépit de toute sécurité…

Pour que la mort d’Aaron n’ait pas été vaine, pour tout ceux qui considèrent que la vie d’un animal est une vie, pour veiller pacifiquement à ce que tout se passe bien, pour prévenir la police si une nouvelle fois on ne fait pas attention à la vie de nos enfants dans nos quartiers…

Dimanche 27 juillet sera organisé un rassemblement à 9h au 97 avenue de la cour de france à Juvisy sur Orge qui devrait mobiliser environ deux cents personnes, dont le Maire de la commune qui soutient cette action.

BFM TV devrait même venir faire un reportage. Inédit en France, que la mort d’un animal rassemble autant les gens. Nos animaux partagent nos vies en nous comblant de bonheur, nous demanderons ce dimanche la création d’un véritable statut de l’animal, on leur doit bien ça… Aaron.

Toi qui partageait ma vie, mon compagnon, mon ami. TON manque, le vide que tu laisses dans ma vie, la douleur de ne plus pouvoir te serrer contre moi.

Chaque jour je vais devoir continuer à faire seule ce que l’on faisait tous les deux…

émouvant

émouvant

Si vous ne deviez lire qu'une seule chose aujourd'hui... Alors lisez ceci.

Ils m’ont dit que ce grand Labrador noir s’appelait “Reggie”, tandis que je l’observais allongé dans son enclos.

Le refuge était propre, et les gens qui y travaillaient avaient l’air sympathique.

Cela faisait à peine six mois que je venais d’emménager dans cette petite ville universitaire, mais je trouvais déjà que les gens étaient chaleureux et très accueillants. Tout le monde vous disait bonjour quand vous les croisiez dans la rue.

Mais une chose manquait encore à ma nouvelle vie dans ce paisible endroit, et je m’étais dit qu’adopter un chien ne me ferait pas de mal. Cela me ferait un peu de compagnie. Et j’avais vu l’annonce concernant Reggie dans un journal local.

Les gens du refuge m’ont dit qu’ils avaient reçu de nombreux appels, mais que les PERSONNES qui étaient venues jusque-là ne leur semblaient pas être des “personnes à Labrador”, pour reprendre leurs mots.

Ils ont dû penser que j’étais la bonne personne. Mais au début, je me suis vite rendu à l’évidence et je me suis dit qu’ils m’avaient mal jugé en me confiant Reggie et les objets qui lui appartenaient, qui consistaient en une petite niche, un sac de jouets dont la plupart étaient des balles de tennis encore neuves, sa gamelle, et une lettre scellée de la part de son ancien propriétaire.

En fait, Reggie et moi nous n’avons pas particulièrement accroché, une fois de retour à la maison. Ça a été la GALÈRE pendant deux semaines (le temps que les personnes du refuge m’avaient demandé de lui donner pour qu’il s’habitue à sa nouvelle maison).Peut-être que moi aussi, il aurait fallu que je m’habitue. Peut-être que lui et moi nous étions, au fond, un peu trop semblables…

Je ne sais pas pourquoi, mais ses affaires (mis à part les balles de tennis—il n’allait nulle part sans en avoir deux englouties dans sa bouche) se sont retrouvées dans un coin avec le reste des cartons que je n’avais pas encore déballés.

Je m’étais dit qu’il n’aurait pas vraiment besoin de tous ces vieux trucs, que je lui achèterais de nouveaux jouets une fois que ça irait mieux. Mais j’ai compris très vite que cela ne serait pas le cas. J’ai d’abord essayé de lui dire les paroles que les gens du refuge m’avaient dit qu’il connaissait, comme “assis”, “reste là” “viens ici” et il écoutait - enfin, quand il lui prenait l’envie.

Il n’avait jamais l’air de vraiment m’écouter quand je l’appelais par son nom - bien sûr, il regardait vaguement vers moi après la quatrième ou cinquième fois, mais il reprenait presque immédiatement le cours de ses occupations. Quand je l’appelais encore, on aurait presque cru l’entendre soupirer avant qu’il obéisse enfin à contrecœur.

Je savais que cela n’allait pas être possible. Il a mâché deux paires de chaussures et il a détruit l’un de mes cartons. J’étais peut-être un peu trop froid avec lui, et je savais qu’il ressentait cela. Cela ne collait pas du tout entre nous, au point que j’ai fini par attendre avec impatience la fin de la deuxième semaine pour pouvoir le rapporter au refuge.

Le moment venu, je cherchais frénétiquement mon téléphone au milieu de mes cartons. Je me suis souvenu que je l’avais laissé sur l’un des cartons de la chambre d’amis, mais j’ai dit cyniquement entre mes dents que ce “foutu corniaud l’a probablement mangé”.

Finalement, j’ai retrouvé le téléphone mais avant d’avoir pu taper le numéro du refuge, j’ai trouvé son panier et d’autres jouets. J’ai balancé le panier dans la DIRECTION de Reggie, et c’est là qu’il a commencé à le renifler et à remuer la queue. C’était la première fois que je le voyais si enthousiaste, mais quand je l’ai appelé, il m'a lancé un regard vide et il s’est couché au sol. En me tournant le dos. Bon, cela ne va pas s’arranger comme ça, ai-je pensé. Alors, j’ai composé le numéro.

Mais j’ai raccroché immédiatement quand j’ai vu l’enveloppe scellée. Ça aussi, je l’avais complètement oublié.

“Ok, Reggie,”ai-je dit à voix haute,” voyons si ton ancien maître a des conseils à me donner.”

À celui qui ADOPTERA mon chien :

Bon, je ne peux pas vraiment dire que je sois heureux que tu lises cette lettre, que j’ai confiée au refuge en leur disant qu’elle ne pourrait être ouverte que par le nouveau maître DE Reggie.

Je ne suis pas non plus heureux DE devoir l’écrire. Si tu lis ceci, cela signifie que je viens de rentrer de mon dernier trajet en voiture avec mon chien, après l’avoir laissé au refuge. Il savait que cette fois, quelque chose était différent. J’ai déjà emballé toutes ses affaires pour les mettre dans le coffre arrière de la voiture, mais cette fois-là… C’est COMME si il savait que quelque chose n’allait pas. Et quelque chose ne va pas… c’est pourquoi je dois tout faire pour que tout aille bien.

Alors, laisse-moi TE parler un peu de mon Labrador, dans l’espoir que cela vous aide à vous lier d’amitié tous les deux. Tout d’abord, tu l’auras remarqué, il adore les balles de tennis. Plus il en a, plus il est content. Parfois je me demande s-il n’est pas croisé avec un écureuil, vu comme il aime les collectionner. D’habitude, il en a toujours deux fourrées dans sa bouche, et il essaye d’en faire rentrer une troisième. Jusqu’ici, il n’a jamais réussi. Tu peux les lancer ou tu veux, il se mettra à courir après - alors attention à ne pas le faire près d’une ROUTE.

J’ai fait cette erreur une fois, et il a bien failli se faire renverser. Ensuite, il y a les mots qu’il connaît. Les gens du refuge TE l’ont peut-être déjà dit, mais il connaît les mots les plus courants— “assis”, “RESTE là”, “viens ici.” Il sait aussi donner la patte et il est réactif aux signes de la main. Il fait “couché” quand il a envie - mais je suis sûr que tu pourras travailler cela avec lui. Il connaît les mots “balle” “croquette” et “os”. Je l’ai dressé en lui donnant des petites récompenses. Le mieux pour qu’il ouvre grand les oreilles, c’est des petits morceaux de saucisse. Il est à jour dans ses vaccins. Appelle le vétérinaire pour récupérer le dossier, c’est un type bien et il TE rappellera quand il faudra l’amener là-bas.

Mais sois prévenu : Reggie déteste le vétérinaire. Bonne chance pour le faire monter dans la voiture (je ne sais pas comment il sait quand on l’y emmène, mais crois-moi, il sait !) Enfin, laisse-lui le temps de s’adapter. Je n’ai jamais été marié, alors ça a toujours été juste lui et moi, depuis qu’il est né. Il me suivait partout, alors si tu peux, amène-le en voiture avec toi quand c’est possible. Il a l’habitude, il est propre et n’aboie pas. Il adore sortir et passer du temps avec des gens, et avec moi tout particulièrement. Ce qui signifie que la transition sera très dure pour lui, puisqu’il n’a jamais vécu DANS UNE autre maison que la mienne. Et c’est pourquoi il est temps que je te dise la vérité et que je te donne quelques informations supplémentaires…

Son nom n’est pas Reggie. Je ne sais pas pourquoi j’ai fait cela, mais quand je l’ai laissé au refuge, je leur ai dit qu’il s’appelait Reggie. Je n’ai tout simplement pas pu leur dire son vrai nom. Si je l’avais fait, cela m’aurait paru si extrême que cela aurait été comme admettre le fait que je ne le reverrais plus jamais. Et si jamais je reviens, que je le récupère et que je déchire cette lettre, cela voudra dire que tout va bien. Mais si tu es en train de lire ceci, alors… alors ça veut dire QUE SON nouveau propriétaire doit connaître son vrai nom. Cela t’aidera à te lier d’amitié avec lui.

Qui sait, peut-être même que tu remarqueras quelques changements, s’il te pose des problèmes au début. Son vrai nom est Tank. Parce que c’est ce que je conduis. Si tu lis ce message et que tu habites dans le coin, peut-être que tu auras lu mon nom dans les journaux.

J’ai dit aux gars du refuge qu’ils ne proposent pas “Reggie” à l’adoption tant qu’ils n’auront pas reçu un appel de la part du COMMANDANT de ma compagnie. Tu comprends, mes parents sont partis, je n’ai pas de frère et sœurs, personne à qui j’aurais pu confier Tank… Et la seule requête que j’ai fait à l’armée quand ils m’ont annoncé mon déploiement en Irak, c’était de prévenir le refuge… en cas d’”accident”... pour leur dire que Tank était prêt à avoir un nouveau maître.

Heureusement, mon colonel adore lui aussi les chiens, et il savait bien vers où ma division avait été envoyée. Il m’a donné sa parole qu’il s’en occuperait personnellement. Et si tu lis ceci, alors cela signifie qu’il a tenu sa parole.

Bon, désolé, cette lettre devient vraiment déprimante même si, franchement, je l’écris juste pour mon chien. Je n’imagine même pas ce que cela aurait été si j’avais dû le faire pour une femme et DES enfants… mais quand même, Tank a été ma seule famille au cours des six dernières années. Et à présent, j’espère que tu sauras lui faire une PLACE au sein de ta famille à toi, qu’il s’habituera et qu’il finira par t’aimer tout comme il a pu m’ aimer.

Cet amour inconditionnel, c’est ce que j’ai emporté avec moi, comme une source d’inspiration pour faire don de moi-même pour protéger les autres. Si je devais abandonner Tank pour le faire, alors je suis heureux de faire ce sacrifice. Il était pour moi un exemple d’amour et de dévouement. J’espère l’avoir honoré par mon dévouement envers mes camarades de FRONT. C’est bon, c’en est assez. Ce soir, je serais envoyé au front, et je dois encore déposer cette lettre au refuge. Je ne pense pas que j’irais dire au revoir à Tank une nouvelle fois. J’ai bien assez pleuré la première fois. Peut-être que je glisserai juste un regard, pour voir s'il a FINALEMENTréussi à mettre cette troisième balle de tennis dans sa bouche. Bonne chance avec Tank.

Soigne-le bien, et donne-lui une caresse en plus de ma PART, chaque soir, pour lui dire bonne nuit. Merci, PAUL Mallory

J’ai replié la lettre, et je l’ai replacée avec précaution dans l’enveloppe. Bien sûr, j’avais entendu parler de Paul Mallory, TOUT LE monde en ville le connaissait, même les nouveaux habitants comme moi. Un gosse du coin, mort en Irak quelques mois auparavant et décoré à titre posthume de la croix d’honneur, pour avoir sauvé trois de ses compagnons avant de mourir. Les drapeaux avaient été en berne tout l’été.

Je me suis penché en avant, les coudes posés SUR LES genoux, et j’ai regardé le chien. “Hé, Tank,” ai-je murmuré.

La tête du chien s’est soudainement redressée, ses oreilles se sont dressées et son regard s’est illuminé. “Viens par ici.” Il était debout, ses ongles ont cliqueté SUR LE parquet. Il s’est assis devant moi, la tête penchée, comme s’il cherchait ce nom qu’il n’avait pas entendu depuis des mois.

“Tank,” ai-je murmuré. Sa queue se mit à battre l’air. J’ai continué à murmurer ce nom, encore et encore, et chaque fois, ses oreilles se baissaient un peu plus, son regard d’adoucissait et son corps se détendait tandis qu’une vague de bonheur semblait le traverser.

J’ai frotté ses oreilles, j’ai gratté son dos, j’ai enfoui mon visage dans sa fourrure tout en le serrant contre moi. “C’est moi, Tank, juste toi et moi. Ton vieil ami t’a confié à moi.” Tank a tendu la tête et m’a léché la joue. “Alors, tu veux jouer à la balle?” Ses oreilles se sont alors dressées d’un coup. “Hein? La balle? T’aimes ça, hein ? La balle ?” Tank s’arracha de mes bras et disparut d’un bond dans l’autre pièce. Quand il est revenu, trois balles de tennis se tenaient dans sa bouche.

Deux chiens âgés adoptés

Publié à 15:41 par fandeloup Tags : vie homme france argent animaux chien chiens pouvoir
Deux chiens âgés adoptés

Deux chiens âgés adoptés ensemble coulent une retraite heureuse

On ne connaît rien de leur passé, à part le fait qu’ils étaient inséparables et qu'ils ont été abandonnés ensemble.

Thia et Uky, deux croisés labradors, ont été adoptés ensemble il y a près d’un an, par Olivier et Vanessa, un couple de trentenaires résidant à Montpellier.

« Je voulais adopter un chien depuis longtemps mais je travaillais énormément et j’avais peur de ne pas pouvoir m’en occuper, explique Olivier. Puis nous avons emménagé à la campagne et notre emploi du temps a changé ».

Direction le refuge de Montpellier - une structure partenaire de la Fondation 30 Millions d’Amis - où patientent Uky et Thia, mâle et femelle âgés respectivement de 11 et 12 ans.

« Nous les avons promenés plusieurs fois... et nous sommes repartis à la maison avec les deux ! » poursuit le maître.

Thia s’est très rapidement adaptée à sa nouvelle vie. Equilibrée, la chienne a trouvé ses marques sans peine.

Pour Uky, cela a été différent. « Il est très craintif et très possessif, explique Oliver. Je pense qu’il a été battu par le passé ».

Avec beaucoup d’amour et de patience, Uky a fini par trouver sa place au sein de sa nouvelle famille. Très différents par leur comportement, les deux croisés n’en sont pas moins inséparables et se promènent chaque jour dans les vignes environnantes, même si Uky a une petite tendance à vouloir faire parfois cavalier seul.

« Mais il revient toujours » explique son maître. Olivier regorge d’anecdotes amusantes sur le quotidien : « Thia est très intelligente et apprend très vite, poursuit-il. Elle est tellement intelligente qu'elle a développé des stratégies consistant à me demander des câlins jusqu'à ce que Uky, jaloux, vienne aussi. Dès qu'il se lève, elle en profite et se précipite sur la meilleure place de la couette ! » s’amuse-t-il.

Peu familiers des chiens, Olivier et Vanessa ont fait un choix qui pourrait paraître insolite, voire difficile aux yeux de certains : adopter deux animaux en même temps et qui plus est, des animaux âgés.

« Je ne voulais pas avoir à éduquer mes chiens, leur apprendre la propreté… sans compter que les chiens âgés sont plus tranquilles que les chiots ». Et le couple ne regrette pas son choix : « Quand on les voit dormir sur une couette, au chaud, étalés de tout leur long à ronfler, on se dit qu’on a vraiment bien fait de les prendre avec nous ! ».

La Fondation 30 Millions d’Amis mène, en partenariat avec 120 refuges répartis dans toute la France , l’opération Doyens : pour toute adoption d’un chien âgé de 10 ans et plus, la Fondation 30 Millions d’Amis s’engage à régler les éventuels frais vétérinaires, à hauteur de 600 euros et sur présentation de factures.

« Ce qui peut faire peur avec des vieux chiens, ce sont les frais vétérinaires, reconnaît le jeune homme. Mais très rapidement, lorsque l’on aime ses animaux, la question de l'argent n'est plus une priorité… la priorité devient le bien être du chien » conclut-il.

Un petit garçon fait face à un moment de la vie très dur

Publié à 11:17 par fandeloup Tags : mort vie bonne chez enfants article femme belle animaux chien aimer chiens
Un petit garçon fait face à un moment de la vie très dur

Un petit garçon fait face à un moment de la vie très dur, voilà comment il réagit... J'ai eu les larmes aux yeux !

 La vie nous réserve quelques belles surprise, et des moments très durs également. La façon dont cet enfant a réagi est très émouvante. Ses paroles sont à la fois très belles et très sages...

À quoi servent les chiens - selon un petit garçon de 6 ans.

Je suis vétérinaire. Un jour, j’ai été appelée pour examiner un vieux lévrier irlandais, âgé de 10 ans, qui s’appelait Belker. Les propriétaires du chien, Ron, sa femme Lisa et leur petit garçon, Shane, aimaient tous énormément Belker. Il faisait partie de la famille, et ils espéraient qu’un miracle se produise. J’ai examiné le chien, et j’ai compris qu’il était en train de mourir du cancer. J’ai dit à la famille que nous ne pouvions plus rien faire pour sauver Belker, et je leur ai proposé de faire une euthanasie directement chez eux, afin que le vieux chien puisse mourir sans souffrance, en paix.

Tandis que nous remplissions les papiers, Ron et Lisa m’ont dit qu’ils pensaient que ce serait une bonne idée que le petit Shane, âgé de six ans, soit présent lors de l’opération. Ils avaient bien réfléchi : Shane pourrait peut-être apprendre quelque chose de cette expérience, en tirer une leçon.

Le jour suivant, j’ai senti cette boule familière remonter dans ma gorge tandis que la famille de Belker s’est rassemblée autour de lui. Shane avait l’air si calme, tandis qu’il caressait le vieux chien pour la dernière fois, que je me suis demandé si il comprenait vraiment ce qui était en train de se produire…

En l’espace de quelques minutes, Belker est parti paisiblement. Le petit garçon ne bronchait pas, il avait l’air d’accepter la mort de son compagnon sans aucune difficulté, sans aucune confusion…

Alors, nous nous sommes assis ensemble pendant un long moment après sa mort, et nous nous sommes attristés du fait que les vies des animaux sont malheureusement beaucoup plus courtes que les vies humaines.

Shane, qui n’avait pas dit un mot et qui jusque là s’était contenté d’écouter en silence, a alors dit de sa petite voix, “Moi je sais pourquoi.”

Nous avons tous sursauté et d’un bond nous nous sommes tournés vers lui. Ce qui est alors sorti de sa bouche m’a complètement ébahi. Jamais je n’avais entendu une si belle explication.

Il a dit, “ Les humains sont là pour apprendre comment vivre une bonne vie - aimer les autre tout le temps, être gentils et généreux, pas vrai ?”

Et le petit garçon de continuer, “ Eh bien, les chiens savent déjà faire toutes ces choses, alors ils n’ont pas besoin de rester aussi longtemps.”

On dit que la vérité sort de la bouche des enfants... Pour son âge, ce petit garçon dit des choses extrêmement sensées. Et c'est lui qui a enseigné quelque chose aux adultes qui l'entouraient ! Voilà qui fait réfléchir...

N'hésitez pas à partager cet article si il vous a plu.

sauvetage

Publié à 19:17 par fandeloup Tags : chien
sauvetage

Le prix Nobel de courage et générosité devraient être donnés à ce chien, sans y penser et avec l'aide des pompiers,ce chien a été utiliser pour récuperer dans un trou de six mètres de profondeur où l'eau de pluie avait atteint presque cinq centimètres des chiots pittbull orphelins restants en raison des inondations qui, une fois pris avec des dents avec une telle délicatesse, Casper est son nom, rapportés à la surface sains et sauf..

sauvetage

Publié à 08:13 par fandeloup Tags : nature
sauvetage

Sauvetage et soins d'un jeune renard blessé à Sarrebourg. Le petit Rusé retrouvera la nature après un bon repos.......

sauvetage

Publié à 07:56 par fandeloup Tags : noel
sauvetage

Depuis ce soir ce jeune veau s"appelle NOEL..échappé des abattoirs ,affolé il s"est réfugié dans la cité pas loin du refuge.La SPA Prévenue nous sommes allés aider à le capturer pour éviter accident et autres .Une fois attaché et remis dans la remorque du Paysan nous avons négocié ,en force,le transport du veau direction le Refuge de SPA de Sarrebourg Refuge des Malgré-Eux. Deux heures de pourparler et le jeune veau a été ceder à la SPA pour VIVRE avec les autres Malgré Eux .